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Pourquoi n'y a-t-il pas le nom "Jéhovah" en Hébreux 1:10 dans la TMN ?

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papy
BenFis
Josué
Mikael
philippe83
Martur
Voyageur
11 participants

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Voyageur

Voyageur

Bonjour. J'ai entendu dire que les traducteurs de la TMN introduisaient le nom "Jéhovah" dans le Nouveau Testament à chaque fois qu'ils y trouvaient une citation de l'Ancien Testament qui concernait YHWH.

En Hébreux 1:10, on trouve une citation du Psaume 102, verset 25 dans la version de la Septante. Voici le texte dans la Septante :

"Au commencement, Seigneur, tu as créé la terre ; et les cieux sont l'œuvre de tes mains."

Il suffit de lire ce psaume et de considérer le contexte du verset 25 pour se convaincre que le "Seigneur" dont il est question est YHWH.

Pourtant, voici la citation qui en est faite en Hébreux 1:10 dans la TMN 2018 :

"Au commencement, ô Seigneur, tu as posé les fondations de la terre, et les cieux sont les œuvres de tes mains."

Pourquoi avoir dérogé à la règle en se retenant ici d'introduire le nom "Jéhovah"?

Voyageur.

Martur

Martur
MODERATEUR
MODERATEUR

Pourquoi Hébreux 1:10-12 cite-​t-​il Psaume 102:25-27 et l’applique-​t-​il au Fils, alors que d’après le psaume cette déclaration concerne Dieu? Parce que c’est par l’entremise de son Fils que Dieu a réalisé les œuvres créatrices décrites par le psalmiste. (Voir Colossiens 1:15, 16; Proverbes 8:22, 27-30.) On peut noter qu’Hébreux 1:5b cite le texte de II Samuel 7:14 et l’applique au Fils de Dieu. Bien que ce texte se soit d’abord réalisé sur Salomon, l’application qui en est faite ensuite à Jésus Christ ne signifie nullement que Salomon et Jésus sont une seule et même personne. Jésus est “plus que Salomon” et il accomplit une œuvre qui avait été préfigurée par ce qu’a fait Salomon. — Luc 11:31.

Voyageur

Voyageur

Martur a écrit:Pourquoi Hébreux 1:10-12 cite-​t-​il Psaume 102:25-27 et l’applique-​t-​il au Fils, alors que d’après le psaume cette déclaration concerne Dieu? Parce que c’est par l’entremise de son Fils que Dieu a réalisé les œuvres créatrices décrites par le psalmiste.
Martur merci pour votre réponse. Il s'agit manifestement d'un copier-coller de votre communauté religieuse et je constate qu'il admet qu'il peut y avoir des versets de l'Ancien Testament qui concernent YHWH mais qui, dans le Nouveau Testament, sont appliqués à Jésus-Christ.

Je pense que vous comprenez un peu mieux maintenant la gravité de la responsabilité qui incombe à vos dirigeants spirituels de déterminer quels sont, parmi tous ces versets, ceux qui doivent s'appliquer à Jésus, et ceux pour lesquels ils ont remplacé "Seigneur" par "Jéhovah". La moindre erreur peut avoir de graves conséquences.

Personnellement j'estime qu'il vaut mieux se contenter de traduire humblement ce que Dieu nous a légué dans les textes originaux, plutôt que de chercher à les "corriger" en s'appuyant sur notre sagesse humaine.
Selon moi, c'est une question d'humilité, de confiance, de respect et de soumission à l'Auteur des Saintes Écritures.

Voyageur.

philippe83


MODERATEUR
MODERATEUR

Tu va un peu vite en besogne Voyageur. Serais-tu en train de dévoiler ta venue sur ce forum et de révéler tes petites attaques à l'encontre de notre confession? Je m'explique cher ami/e...

Darby qui met souvent dans le NT une * devant seigneur pour le nom de Dieu ne met pas cette petite* devant seigneur dans ce passage pourquoi? C'est pourtant pas un de nos dirigeant...et il croit que Jésus est Jéhovah. Pourquoi dans ce verset alors qu'il a l'occasion de faire ce parallèle, il ne met pas de petite * devant seigneur dans Heb 1:10?

Et pareillement pour Chouraqui alors qu'il met très souvent IHVH/Adonaï pour le Nom de Dieu là en Héb 1:10 il met Adon à la place? Lui aussi ce n'est pas un de nos dirigeant mais pourquoi fait-il ce choix?

Tu en veut d'autres qui font ainsi le même choix que la Tmn dans ce passage? Se dérogent-ils eux aussi à ta règle? Quelles en sont les raisons?

De plus dans le Ps 102:25-27 on ne trouve pas la mention du Nom de Dieu littéralement. Il se peut donc que Paul utilise une autre source comme par exemple la LXX. Le fait qu'il applique dans ce passage un verset qui s'applique à Dieu son Dieu (verset 9) dans le Ps 102 veut dire quoi pour toi?

Qu'il serait Jéhovah? Tiens donc tu voudrais en douce faire passer ce message? En fait toi aussi tu voudrais feinter pour arriver au même but que certains SUR CE FORUM à savoir faire de Jéhovah(YHWH) = Jésus?

Sinon si tu veux que l'on te montre que des versets repris texto s'appliquent à Jésus alors qu'au départ ils s'appliquent à des humains donc qui ne sont pas pour autant Jésus c'est avec plaisir que l'on peut le faire ?
Tiens un petit exemple pour commencer pour que tu comprennes ou je veux en venir: Ps 22:1 David déclare: Mon Dieu mon Dieu pourquoi m'as-tu abandonnés" Or Jésus reprend les même propos en Mat 27:46. Donc dois-je en déduire que David et Jésus sont la même personne puisqu'ils disent la même chose? Pourrais-tu tenir le même raisonnement alors pour le Ps 102 et Heb 1:10?
Je trouve que depuis quelques temps tu te dévoile...Et à force de dire

Voyageur

Voyageur

philippe83 a écrit:Tu va un peu vite en besogne Voyageur. Serais-tu en train de dévoiler ta venue sur ce forum et de révéler tes petites attaques à l'encontre de notre confession?

Veuillez cesser ce genre d'attaques personnelles, je vous prie. C'est blessant, pour ne pas dire humiliant.

philippe83 a écrit:
Darby qui met souvent dans le NT une * devant seigneur pour le nom de Dieu ne met pas cette petite* devant seigneur dans ce passage pourquoi? C'est pourtant pas un de nos dirigeant...et il croit que Jésus est Jéhovah.
Auriez-vous l'obligeance de bien vouloir fournir une référence officielle qui atteste que Monsieur John Nelson Darby croyait que "Jésus est Jéhovah"?

Je vous en remercie par avance. Une fois ce détail éclairci, je me ferai un devoir de répondre au reste de votre message.

Voyageur.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

philippe83 a écrit:Tu va un peu vite en besogne Voyageur. Serais-tu en train de dévoiler ta venue sur ce forum et de révéler tes petites attaques à l'encontre de notre confession? Je m'explique cher ami/e...

Darby qui met souvent dans le NT une * devant seigneur pour le nom de Dieu ne met pas cette petite* devant seigneur dans ce passage pourquoi? C'est pourtant pas un de nos dirigeant...et il croit que Jésus est Jéhovah. Pourquoi dans ce verset alors qu'il a l'occasion de faire ce parallèle, il ne met pas de petite * devant seigneur dans Heb 1:10?

Et pareillement pour Chouraqui alors qu'il met très souvent IHVH/Adonaï pour le Nom de Dieu là en Héb 1:10 il met Adon à la place? Lui aussi ce n'est pas un de nos dirigeant mais pourquoi fait-il ce choix?

Tu en veut d'autres qui font ainsi le même choix que la Tmn dans ce passage? Se dérogent-ils eux aussi à ta règle? Quelles en sont les raisons?

De plus dans le Ps 102:25-27 on ne trouve pas la mention du Nom de Dieu littéralement. Il se peut donc que Paul utilise une autre source comme par exemple la LXX. Le fait qu'il applique dans ce passage un verset qui s'applique à Dieu son Dieu (verset 9) dans le Ps 102 veut dire quoi pour toi?

Qu'il serait Jéhovah? Tiens donc tu voudrais en douce faire passer ce message? En fait toi aussi tu voudrais feinter pour arriver au même but que certains SUR CE FORUM à savoir faire de Jéhovah(YHWH) = Jésus?

Sinon si tu veux que l'on te montre que des versets repris texto s'appliquent à Jésus alors qu'au départ ils s'appliquent à des humains donc qui ne sont pas pour autant Jésus c'est avec plaisir que l'on peut le faire ?
Tiens un petit exemple pour commencer  pour que tu comprennes ou je veux en venir: Ps 22:1 David déclare: Mon Dieu mon Dieu pourquoi m'as-tu abandonnés" Or Jésus reprend les même propos en Mat 27:46. Donc dois-je en déduire que David et Jésus sont la même personne puisqu'ils disent la même chose? Pourrais-tu tenir le même raisonnement alors pour le Ps 102 et Heb 1:10?
Je  trouve que depuis quelques temps tu te dévoile...Et à force de dire  
J'ai la même approche que toi et il me fait aussi penser à quelqu'un.

Voyageur

Voyageur

Martur a écrit:On peut noter qu’Hébreux 1:5b cite le texte de II Samuel 7:14 et l’applique au Fils de Dieu. Bien que ce texte se soit d’abord réalisé sur Salomon, l’application qui en est faite ensuite à Jésus Christ ne signifie nullement que Salomon et Jésus sont une seule et même personne.
J'approuve ce raisonnement qui me paraît totalement cohérent.

Voyageur.

Josué

Josué
Administrateur

Psaume 102:25-27
Le premier verset de ce psaume montre que le psalmiste s’adressait à Jéhovah. Mais en Hébreux 1:10-12, l’apôtre Paul attribue les qualités en question à Jésus Christ, car Jésus est celui que Dieu a utilisé pour accomplir son œuvre créatrice et à qui il a actuellement remis toute autorité “dans les cieux et sur la terre”. (Mat. 28:18; Col. 1:15-17.)

philippe83


MODERATEUR
MODERATEUR

Introduction dans sa traduction Darby en page vii écrit:"....alors Dieu-Père,Fils et Saint Esprit...."
page x:"...note (2)="Le rejet du Christ venu comme Messie promis et étant en même temps Dieu manifesté en chair...", page xxviii 2ème paragraphe :"...était le Fils de Dieu, le Dieu créateur."
Tu en veux d'autres?
Sache que nombre de traducteurs protestant et Catholique croient que Jésus est Jéhovah et toi?

Voyageur

Voyageur

philippe83 a écrit:Introduction dans sa traduction Darby en page vii écrit:"....alors Dieu-Père,Fils et Saint Esprit...."
page x:"...note (2)="Le rejet du Christ venu comme Messie promis et étant en même temps Dieu manifesté en chair...", page xxviii 2ème paragraphe :"...était le Fils de Dieu, le Dieu créateur."
Je ne vois nulle part ici que John Darby affirme que "Jésus est Jéhovah".

Voici au contraire la doctrine officielle des frères darbystes concernant la Trinité :

Les frères acceptent le Symbole des apôtres (même s’il est peu connu):

Nous croyons:

En Dieu le Père, Tout-Puissant, Créateur

En Jésus-Christ, Fils de Dieu, Sauveur et Seigneur, mort et ressuscité, qui reviendra enlever son Eglise

Au Saint-Esprit, comme personne divine habitant chaque croyant

Comme vous pouvez le constater, Darby enseigne que Jésus-Christ est le "Fils de Dieu". C'est le dogme protestant de base.

Voyageur.

Josué

Josué
Administrateur

C'est la base du christianisme de dire ça!

philippe83


MODERATEUR
MODERATEUR

Voyageur bonjour,
Dans la brochure "Lettre sur la divinité de Jésus-Christ" de J.N Darby il est précisé que :"Christ est le Jéhovah de l'AT". Donc Darby considérait Jésus comme étant Jéhovah. Je n'invente rien et je ne suis pas connu pour quelqu'un qui avance des faits sans preuve.

Voyageur

Voyageur

philippe83 a écrit:Voyageur bonjour,
Dans la brochure "Lettre sur la divinité de Jésus-Christ" de J.N Darby il est précisé que :"Christ est le Jéhovah de l'AT".
Merci pour votre réponse. J'aimerais bien pouvoir vous croire sur parole, mais si vous pouviez produire un scan de l'extrait de cette brochure, comprenez que ce serait autrement plus probant.

Voyageur.

philippe83


MODERATEUR
MODERATEUR

Pas de problème Voyageur voici un lien https://www.bibliquest.net/JND/JND-LETTRE-Divinite-Jesu-Christ.htm
Comme tu le constates Darby enseigne donc que Jésus est Jéhovah. Tu en penses quoi puisque tu trouvais à redire...?

Voyageur

Voyageur

philippe83 a écrit:Pas de problème Voyageur voici un lien https://www.bibliquest.net/JND/JND-LETTRE-Divinite-Jesu-Christ.htm
Comme tu le constates Darby enseigne donc que Jésus est Jéhovah. Tu en penses quoi puisque tu trouvais à redire...?
Merci pour votre réponse. En cliquant sur le lien j'obtiens un message d'erreur "la page demandée n'existe pas". C'est peut être parce que je suis sur smartphone. Je ferai de nouveau l'essai tout à l'heure, sur PC, lorsque je serai rentré chez moi.

Voyageur.

BenFis

BenFis

http://bible.free.fr/divers/20divin.html
ou
https://www.bibliquest.net/JND/JND-LETTRE-Divinite_Jesus-Christ.htm

Il n'est pas certain que ce texte soit de Darby ! ?

Ceci dit, je ne comprends pas pourquoi Philippe cite Darby qui dessert l'enseignement TJ ? Suspect

philippe83


MODERATEUR
MODERATEUR

Merci BenFis pour la précision mais tu noteras la signature en bas de la lettre de J.N Darby sur ton 2 ème renvoie. Et connaissant l'auteur bibliquest.net qui défend le monde évangélique et donc Darby (il te suffit de cliquer sur DA dans ce site et tu verras toute la panoplie des ouvrages de Darby sur ce même site).

Maintenant juste pour préciser que lorsque je dis que selon Darby Jésus est Jéhovah je n'invente rien. Ce n'est pas de moi. Et je prouve ainsi à Voyageur la réalité de ce que j'avance puisqu'il veut une 'preuve'.

Maintenant que Darby dessert notre enseignement çà je le sais depuis longtemps et en la circonstance c'était juste pour montrer ma bonne foi.

ps: Bien que... parfois Darby par se traduction et certaines de ses explications va dans notre sens mais ce n'est pas à l'ordre du jour.
A+

papy

papy

*** w72 1/5 p. 287-288 Questions de lecteurs ***
Pourquoi les textes de Psaume 102:26, 27, et d’Hébreux 1:10, 11, parlent-ils des cieux et de la terre comme ‘périssant’ et ‘étant changés comme un vêtement usé’ ?
Pour répondre à cette question, certaines personnes diront peut-être que les mots “cieux” et “terre” ne sont pas toujours utilisés au sens littéral. Par exemple, dans Psaume 96:1 (Da), la “terre” est invitée à chanter un “cantique nouveau”. Dans ce cas-là, il s’agit évidemment des habitants de la terre. La Bible parle aussi des “forces spirituelles mauvaises qui sont dans les lieux célestes”. (Éph. 6:12.) Ceci indiquerait que ces forces spirituelles mauvaises constituent un ‘ciel’ dominant la société humaine inique. En fait, le Diable est appelé le “dieu de ce système de choses”. (II Cor. 4:4.) Sur cette base, certains pourraient conclure que les cieux et la terre mentionnés dans Psaume 102:26, 27 (cité dans Hébreux 1:10, 11) se réfèrent au cieux iniques composés de Satan et de ses démons, qui dominent la terre constituée par des hommes éloignés de Dieu. Mais le texte lui-même permet-il une telle application ?
Le texte de Psaume 102:26, 27, déclare : “Tu [Dieu] as anciennement fondé la terre et les cieux sont l’ouvrage de tes mains. Ils périront, mais tu subsisteras, ils s’useront tous comme un vêtement ; tu les changeras comme un habit, et ils seront changés.” Cela soulève la question suivante : Comment Dieu pourrait-il être le Créateur de cieux et d’une terre iniques ?
Bien sûr, on pourrait argumenter en disant que Dieu a créé des créatures spirituelles qui se sont rebellées pour finalement devenir les cieux iniques dominant la race humaine, et que Dieu a créé Adam et Ève de qui tous les hommes éloignés de Dieu sont les descendants. Cependant, il faut remarquer que ni le passage lui-même ni le contexte ne permettent une telle conclusion. En outre, aucun autre texte biblique ne laisse entendre que Jéhovah a posé le fondement pour une société humaine mauvaise ou a créé des cieux iniques. Nous devons donc raisonnablement rechercher une explication qui convienne plus naturellement et plus logiquement au contexte.
Le titre du Psaume 102 (AC) indique qu’il s’agit d’une “prière du malheureux, lorsqu’il est accablé et qu’il répand sa plainte devant Jéhovah”. Un homme ainsi affligé penserait logiquement à l’éternité de Jéhovah comparée à la terre et aux cieux matériels. En effet, les cieux et la terre physiques, qui ont été créés, sont destructibles. Ils pourraient être détruits, si tel était le dessein de Dieu. Contrairement à l’existence éternelle de Dieu, la durée de n’importe quelle partie de sa création matérielle n’est pas indépendante. Comme on le constate pour la terre, la création matérielle doit passer par un perpétuel processus de renouvellement pour subsister ou garder sa forme actuelle. Que les cieux physiques dépendent de la volonté de Dieu et de sa force de soutien, c’est ce que montre le Psaume 148 (NW). Après avoir parlé du soleil, de la lune, des étoiles ainsi que d’autres parties de la création divine, ce psaume (au verset 6) déclare que Dieu “les fait subsister à jamais, jusqu’à des temps indéfinis. Il a donné une prescription, et elle ne passera pas”.
Dans Hébreux 1:10, 11, les paroles du Psaume 102:26, 27, sont appliquées à Jésus-Christ. À son sujet, on peut aussi déclarer qu’il a ‘établi les fondations de la terre même’ et produit les cieux comme des ‘œuvres de ses mains’, car Dieu s’est servi de son Fils unique comme d’un Agent particulier pour créer l’univers matériel (Jean 1:1, 2 ; Col. 1:15, 16). Pour souligner la grandeur du Fils de Dieu, qui jouit maintenant de l’incorruptibilité, la “vie indestructible” (Héb. 7:15, 16), le rédacteur de la lettre aux Hébreux met en contraste l’immutabilité du Fils avec la durée de la création physique que Dieu, si tel était son dessein, pourrait ‘envelopper comme un manteau’ et faire disparaître. — Héb. 1:12.
Par conséquent, l’immutabilité de Jéhovah Dieu (Ps. 102:26, 27) et de Jésus-Christ, son Fils glorifié (Héb. 1:10, 11), est plus grande que la durée de la création matérielle qui est dégradable et peut être détruite. D’autres textes bibliques soutiennent aussi cette conclusion. Par exemple, dans Luc 21:33, Jésus déclara que “le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront en aucune façon”. Ici, Jésus met en opposition le caractère permanent et la vérité éternelle de ses paroles avec la nature destructible de la terre et des cieux matériels. Dieu n’a pas l’intention de les détruire, mais ils sont destructibles. Cette expression semble donc avoir le même sens que celle qui est rapportée dans Matthieu 5:18 en ces termes : “En vérité je vous dis que le ciel et la terre passeraient plutôt [ou “il est plus facile que le ciel et la terre passent”, dans Luc 16:17] que ne passe en aucune façon la plus petite lettre ou un menu trait de lettre de la Loi et que toutes les choses ne soient accomplies.”
Puisque Jéhovah Dieu et son Fils jouissent d’une immutabilité plus grande que la terre et les cieux matériels, nous avons l’assurance que Jésus est toujours vivant pour plaider en faveur des créatures affligées et que Dieu est toujours vivant pour entendre ses requêtes et y répondre (Voir Hébreux 7:25). Cette connaissance devrait nous encourager à avoir une confiance absolue dans toutes les promesses de Dieu, avec l’assurance qu’elles se réaliseront quels que puissent être les obstacles apparents.

BenFis

BenFis

philippe83 a écrit:Merci BenFis pour la précision mais tu noteras la signature en bas de la lettre de J.N Darby sur ton 2 ème renvoie. Et connaissant l'auteur bibliquest.net qui défend le monde évangélique et donc Darby (il te suffit de cliquer sur DA dans ce site et tu verras toute la panoplie des ouvrages de Darby sur ce même site).

Maintenant juste pour préciser que lorsque je dis que selon Darby Jésus est Jéhovah je n'invente rien. Ce n'est pas de moi. Et je prouve ainsi à Voyageur la réalité de ce que j'avance puisqu'il veut une 'preuve'.

Maintenant que Darby dessert notre enseignement çà je le sais depuis longtemps et en la circonstance c'était juste pour montrer ma bonne foi.

ps: Bien que... parfois Darby par se traduction et certaines de ses explications va dans notre sens mais ce n'est pas à l'ordre du jour.
A+

Bien que la Lettre sur la divinité de Christ porte la signature de J.N Darby, je ne pense pas qu'elle soit de lui. Son contenu ne colle pas vraiment avec sa théologie, et ce texte contient à la fois L'Eternel et Jéhovah. Certains versets cités ne sont pas de sa traduction et le fait que le nom Yahvé y figure aussi est une indication supplémentaire qu'elle a probablement été rédigée après la mort de Darby.

samuel

samuel
Administrateur

Darby a pour loi de mettre un astérisque  devant le mot * Seigneur ( Jéhovah) pour ne pas le confondre avec le Seigneur Jésus.

philippe83


MODERATEUR
MODERATEUR

Et alors BenFis...
Du vivant de Darby dans sa traduction les formes L'Eternel et Jéhovah sont utilisées parfois ensemble et en notes il utilise une fois la forme Jahveh en Gen 2:4.
En Exode 6:3 on trouve:"L'Eternel(Jéhovah).
En tous cas dans les Maisons d'éditions bibliques évangéliques cette brochure :"Lettre sur la divinité de Christ" a à chaque fois pour auteur: J.N Darby.
En tous cas je n'invente rien puisque la brochure contient bien la signature de J.N Darby. Et si je cite Darby ICI concernant Heb 1:10 tu remarqueras qu'il ne traduit pas par "*Seigneur"= Jéhovah, mais par "seigneur" sans étoile" . Chouraqui fait le même choix puisqu'en lieu et place de IHVHAdonaï il rend simplement par "seigneur". Et je peux t'en proposer d'autres qui font la même approche comme la Tmn dans ce verset;
a+

BenFis

BenFis

philippe83 a écrit:Et alors BenFis...
Du vivant de  Darby dans sa traduction les formes L'Eternel et Jéhovah  sont utilisées parfois ensemble et en notes il utilise une fois la forme Jahveh en Gen 2:4.
En Exode 6:3 on trouve:"L'Eternel(Jéhovah).
En tous cas dans les Maisons d'éditions bibliques évangéliques cette brochure :"Lettre sur la divinité de Christ" a à chaque fois pour auteur: J.N Darby.
En tous cas je n'invente rien puisque la brochure contient bien la signature de J.N Darby. Et si je cite Darby ICI concernant Heb 1:10 tu remarqueras qu'il ne traduit pas par "*Seigneur"= Jéhovah, mais par "seigneur" sans étoile" . Chouraqui fait le même choix puisqu'en lieu et place de IHVHAdonaï il rend simplement par "seigneur". Et je peux t'en proposer d'autres qui font la même approche comme la Tmn dans ce verset;
a+

Ca ne me pose aucun problème qu'un traducteur inscrive Jéhovah dans la marge, ou en notes, lorsque Jésus cite un verset de l'AT contenant le nom de Dieu.
Ce que j'ai toujours critiqué, c'est uniquement ces versions bibliques qui remplacent Kurios par le nom de Dieu directement dans le texte du NT.

Je m'étonnais seulement que Darby considérait Jésus comme étant Jéhovah !? Pour moi c'est une nouvelle que je ne pourrais pas cautionner avant d'avoir sous les yeux un écrit de Darby du XIXème siècle.

Josué

Josué
Administrateur

Quels enseignements pouvons-nous tirer de l’épître aux Hébreux aujourd’hui ? Comment peut-elle nous aider à persévérer dans l’épreuve, à mieux comprendre l’œuvre de Christ, à progresser dans notre marche chrétienne et dans notre vie d’église ?
[size=14]Dans ce commentaire, Brad Dickson résume le message central de l’épître aux Hébreux sous la forme d’une exhortation : « Persévérons dans la foi obéissante au Christ exalté car lui seul a procuré l’expiation qui nous rapproche pour toujours de Dieu ». Il va ainsi s’attacher à mettre en avant la personne et l’œuvre de Jésus-Christ en montrant que le remède au doute et au découragement est une bonne christologie. Cet ouvrage est construit sur un plan dont le but consiste à mettre tous les passages de l’épître en lien avec son objectif global : avertir ceux qui s’éloignent tout en encourageant chacun à persévérer.

Les applications et les questions de réflexion proposées tout au long de l’étude témoignent du souci pastoral de l’auteur et sont des outils précieux pour s’approprier, seul ou en groupe, le contenu de cette épître et le mettre en pratique. 
[/size]
[size=16]360 pages                            21,00 €[/size]


Pourquoi n'y a-t-il pas le nom "Jéhovah" en Hébreux 1:10 dans la TMN ?  Zopitr10

papy

papy

À l’époque du prophète Jérémie, Jéhovah a dit que les faux prophètes faisaient oublier son nom à son peuple « à cause de Baal » (Jér. 23:27). Les Israélites ont manifestement arrêté d’utiliser le nom de Dieu et l’ont remplacé par le nom « Baal », qui signifie « propriétaire » ou « maître ». À cause de cela, il est devenu difficile pour eux de faire la différence entre Jéhovah et Baal, ce qui les a amenés à introduire des rites du culte de Baal dans le culte de Jéhovah , Osée 2:16, 17.

philippe83


MODERATEUR
MODERATEUR

Salut papy monkey
Juste je rajouterais que Baal veut dire aussi Seigneur...tiens tiens. Si tu veux je peux te fournir des preuves d'ouvrages et d'auteurs qui confirme cette idée. Eh oui les copistes qui ne respectent pas le texte préfère remplacer Jéhovah par (Baal/Seigneur) pour faire oublier le Nom de Dieu. Du moins comme dit le texte :"ils pensent" faire oublier le Nom de Dieu. Heureusement que Dieu ne pense pas comme eux et qu'il y a des copistes et traducteurs qui ne tombent pas dans le piège des "baalistes'"modernes de tous bord...

papy

papy

Donc la chrétienté adore le Seigneur Baal!

Josué

Josué
Administrateur

papy a écrit:Donc la chrétienté adore le Seigneur Baal!
Tout a fait.

papy

papy

https://catholique.bf/protestantisme/568-mon-dieu-quel-est-ton-nom

D'où vient le mot Jéhovah ?

Les Israélites de l'Ancien Testament éprouvaient un profond respect à l’égard de Dieu : Yahveh. C'était le nom le plus sacré de Dieu parce que Dieu lui-même s’était donné ce nom en tant que nom propre. Au fil du temps, les Israélites, par respect pour le nom propre de Dieu, cessèrent de prononcer le nom de Yahveh et quand ils lisaient la Bible au lieu de dire Yahveh, ils disaient : Edonaï ou Adonaï (le Seigneur). Puis, les Israélites oublièrent complètement la prononciation originale de Y H V H parce qu'ils disaient toujours Adonaï ou Edonaï. Au Moyen-Age (1000 à 1500 ans après le Christ) les connaisseurs de la langue hébraïque ancienne commencèrent à mettre des voyelles au milieu des consonnes. Et lorsque ce fut le tour de placer les voyelles dans le mot hébreu Y H V H (l'ancien nom de Dieu) ils trouvèrent de nombreuses difficultés.
Ne connaissant pas la prononciation originelle des quatre consonnes (qui correspondent aux caractères français Yhvh et aux caractères latins Jhvh) et dans le but de rappeler au lecteur qu’il devait dire par respect Edonay au lieu de Yahveh, ils placèrent les trois voyelles (e, o, a) du mot Adonay (Edonay); il en résulta en latin le mot Jéhovah, c’est-à-dire qu'ils prirent les quatre consonnes d’un mot (Yhvh) et ils y placèrent les trois voyelles d'un autre mot (Edonaï), ce qui donna lieu encore à un autre mot Jéhovah. Il est donc clair que le mot Jéhovah n’est qu'une jonction de deux mots en un seul. Et, bien sûr, le mot Jéhovah n'a jamais existé en hébreu. Jéhovah est donc une prononciation défectueuse du nom de Yahveh.
Lors des années 1600, la Bible commença à être traduite dans toutes les langues. Ayant trouvé dans les textes bibliques du Moyen-Age le mot Jéhovah, en tant que nom de Dieu, les traducteurs reproduisirent littéralement dans les diverses langues modernes (français, espagnol, anglais, allemand, etc.) le mot Jéhovah. Et depuis lors, catholiques et protestants commencèrent à prononcer le mot Jéhovah en tant que nom propre de Dieu. Or, les Bibles chrétiennes sont revenues à Yahveh et non à celui de Jéhovah. Est-ce que c’est bien ?
Nous pensons que c'est bien, parce que tous les hébraïsants modernes (ceux qui étudient l'hébreu) s'accordent sur le fait que la manière originale et première dont le nom de Dieu fut prononcé était Yahveh et non pas Jéhovah.
Yahveh est une forme du verbe havah (être, exister) et signifie : Je suis celui qui est, alors que Jéhovah ne correspond à aucune forme du verbe être, tel que nous l'avons expliqué plus haut. C’est pour cette raison que l'Église, dans le souci d’une plus grande fidélité à la Bible, a pris la décision d'employer la prononciation originelle Yahveh au lieu de Jéhovah et aussi parce que les Israélites du temps de Moïse ne disaient jamais Jéhovah, puisque Jéhovah est un mot qui n’existait pas dans leur langue.

samuel

samuel
Administrateur

Dommage que Voyageur ne vient plus.

papy

papy

samuel a écrit:Dommage que Voyageur ne vient plus.
C'est un voyageur qui va par monts et par vaux.

philippe83


MODERATEUR
MODERATEUR

Et bien sur le mot Jérémie n'a jamais existait en hébreu...pour répondre au commentaire que propose Papy sur le nom de Jéhovah.

L'auteur d'une telle approche dit que la forme Yahveh est plus correcte en prétendant que TOUS les hébraisants modernes préfèrent Yahvé à Jéhovah pourtant de plus en plus de traducteurs reviennent à la forme Jéhovah y compris dans le NT.

Et des juifs font aussi ce choix. Et plus près de nous en français,Chourqui et Zadoc Khân ne défendent même pas la forme Yahveh puisqu'ils ne citent pas une seul fois ce Nom. Pourquoi si c'est soi-disant plus correcte que Jéhovah?

En français la forme Jéhovah est plus ancienne que Yahvé...D'ailleurs on ne trouve aucune mention du mot Yahvé dans les codex Alep et St Petersbourg (900/1000ans de notre ère) les plus célèbres et les plus connue des mss hébreux avec les points voyelles, mais Yehowah oui! pourquoi si cette forme n'est pas correcte et que Yahvé c'est mieux?

BenFis

BenFis

philippe83 a écrit:Et bien sur le mot Jérémie n'a jamais existait en hébreu...pour répondre au commentaire que propose Papy sur le nom de Jéhovah.

L'auteur d'une telle approche dit que la forme Yahveh est plus correcte en prétendant que TOUS les hébraisants modernes préfèrent Yahvé à Jéhovah pourtant de plus en plus de traducteurs reviennent à la forme Jéhovah y compris dans le NT.

Et des juifs font aussi ce choix.  Et plus près de nous en français,Chourqui et Zadoc Khân ne défendent même pas la forme Yahveh puisqu'ils ne citent pas une seul fois ce Nom. Pourquoi si c'est soi-disant plus correcte que Jéhovah?

En français la forme Jéhovah est plus ancienne que Yahvé...D'ailleurs on ne trouve aucune mention du mot Yahvé dans les codex Alep et St Petersbourg (900/1000ans de notre ère) les plus célèbres et  les plus connue des mss hébreux avec les points voyelles, mais Yehowah oui! pourquoi si cette forme n'est pas correcte et que Yahvé c'est mieux?

Selon la Jewish Encyclopedia (Encyclopédie Judaïque), Jehovah est une faute de prononciation introduite par les théologiens chrétiens. Les massorètes ne prononçaient pas le nom de Dieu Jehovah ou Jehovih car Les points voyelles inclus dans le tétragramme avaient pour but d'indiquer au lecteur qu'il fallait prononcer le nom Adonaï ou Elohim.

La prononciation Yahvé est donc certainement plus correcte que celle de Jéhovah, néanmoins l'écriture et la prononciation Jéhovah s'insère mieux dans l'ensemble des noms propres depuis longtemps francisés (Jérusalem, Jérémie, Jésus, Josué...).

Josué

Josué
Administrateur

[size=35]Seigneur Dictionnaire Biblique Westphal[/size]
Titre divin, correspondant, le plus souvent à l’hébreu Adôn, Adonaï et au grec Kurios, quelquefois à l’hébreu Baal et au grec Despotes
Donc Seigneur et un titre et pas un nom propre.

BenFis

BenFis

Josué a écrit:[size=35]Seigneur Dictionnaire Biblique Westphal[/size]
Titre divin, correspondant, le plus souvent à l’hébreu Adôn, Adonaï et au grec Kurios, quelquefois à l’hébreu Baal et au grec Despotes
Donc Seigneur et un titre et pas un nom propre.

Westphal dit aussi que c'était bien ce titre Seigneur (Adonaï) qui était prononcé en lieu et place du nom divin, notamment lorsque les Juifs lisaient le tétragramme tel qu'il était écrit par les Massorètes, c'est-à-dire avec des point voyelles.

philippe83


MODERATEUR
MODERATEUR

Quand je lit YeHoWaH (YHWH) dans le texte je sais faire la différence avec AdOnAI dans le texte pas toi? Je ne lis pas deux fois YHWH ni deux fois Adonaï puisque le texte ECRIT ne va pas dans ce sens. La loi orale est une chose le texte ECRIT en est une autre. Je ne fais pas le même choix que toi puisque YHWH ne veut pas dire Adonaï est inversement.

samuel

samuel
Administrateur

Je signal en passant que le dictionnaire Westphal n'utilise le vocable Jéhovah .

BenFis

BenFis

philippe83 a écrit:Quand je lit YeHoWaH (YHWH) dans le texte je sais faire la différence avec AdOnAI dans le texte pas toi? Je ne lis pas deux fois YHWH ni deux fois Adonaï puisque le texte ECRIT ne va pas dans ce sens. La loi orale est une chose le texte ECRIT en est une autre. Je ne fais pas le même choix que toi puisque YHWH ne veut pas dire Adonaï est inversement.

Je n'ai pas prétendu que YHWH voulait dire Adonaï, mais que les points voyelles insérés dans le tétragramme n'avaient pas pour but de le prononcer Yéhovah ou Yéhovih, mais Adonaï ou Elohim.

Selon l'encyclopédie judaïque, telle était la convention mise en place par les massorètes. Je pense qu'elle dit vrai. Ce n'est pas une invention de ma part et je le considère comme un fait historique.

Cependant, je n'ai pas dit par là qu'il ne fallait pas traduire YHWH par Jéhovah. Comme je te l'ai déjà dit, j'y suis même favorable, mais je ne le suis pas pour la raison que tu avances.

Josué

Josué
Administrateur

[size=30] Jéhovah, le Dieu d’Israël[/size]

À mesure que l’idée nationale se précise en Israël, se précise également l’idée de Jéhovah, son Dieu. La religion d’Israël a toujours été une religion nationale, raciale et elle l’est encore aujourd’hui. Jéhovah et Israël grandissent ensemble, luttent ensemble, traversent ensemble le désert, vainquent ensemble les Cananéens. La tradition est unanime à placer l’origine d’Israël en tant que peuple appartenant à Jéhovah dans les scènes qui ont eu pour théâtre le mont Sinaï. C’est dans cette montagne que Jéhovah apparaît pour la première fois à Moïse (Exode 3.15 ; Exode 4.24) ; c’est là qu’il se manifeste au peuple d’Israël comme son Dieu (Exode 20 ; Juges 5.5). Jéhovah est un esprit de montagne, le dieu de l’orage, du tremblement de terre, du volcan. Certains auteurs ont conclu d’Exode 24.16 ; Exode 24.17 que le Sinaï, fumeux et ardent, fut effectivement ou symbolise un volcan en activité. Le feu (voir ce mot) est l’élément qui précède Jéhovah (Ésaïe 30.27) ; le vent qui brûle est son souffle (Ésaïe 40.7) ; il habite dans le buisson ardent (Exode 3.2), dans les charbons embrasés (Psaumes 18.9), au milieu d’une colonne de feu et de fumée (Exode 13.22). Jéhovah est un feu dévorant (Deutéronome 4.24). Ses jugements se manifestent par le feu céleste (1 Rois 18.38 ; 2 Rois 1.12 ; Ésaïe 10.17). Son approche est signalée par le feu, la fumée, l’orage, l’arc-en-ciel (Nahum 1.3-5 ; Psaumes 18.8-16 ; Genèse 9.13). Ce Dieu fort est un guerrier (Exode 15.3). Son peuple est Israël = Dieu combat. Les ennemis d’Israël sont les ennemis de Jéhovah (Nombres 10.35). Nul ne résiste lorsque Jéhovah combat (Deutéronome 33.27 ; Deutéronome 33.29). Cette idée du Dieu guerrier s’exprime aussi dans les mots : Jéhovah Sebaoth, Éternel des Armées (voir article suivant, paragraphe 4), expression dont le sens primitif est discuté et qui désigne parfois les armées célestes (étoiles), mais aussi les armées d’Israël (1 Samuel 17.45).
Le droit a sa source dans les volontés du Dieu auquel Israël appartient. C’est au nom de Jéhovah que les anciens et les rois rendent la justice, concluent des contrats (Genèse 31.49-53 ; 1 Samuel 20.42 etc.). La justice de Jéhovah est souvent sociale, nationale plus qu’individuelle dans ses arrêts. Elle punit l’iniquité des pères sur les enfants jusqu’à la 3e et la 4e génération. Elle punit le peuple entier (famine, peste, guerre) à cause de la faute d’un de ses chefs. Mais elle s’occupe aussi de la moralité interne, secrète des individus. Elle punit Caïn contre lequel aucun bras humain ne se lèvera (Genèse 4.15) ; Jéhovah ne laisse pas impunie la violation d’alliances politiques séculaires (2 Samuel 21.1). Un acte généreux est appelé la bonté de Dieu (2 Samuel 9.3).
Ce serait une erreur de penser que les Hébreux ne sont pas arrivés de très bonne heure à l’idée que la puissance de Jéhovah dépasse infiniment le territoire géographique d’Israël. Israël n’a jamais trouvé les limites de son Dieu. À mesure qu’il découvrit le monde, il s’aperçut que son Dieu l’avait déjà précédé. Jéhovah bénit Jacob en Mésopotamie et Joseph en Égypte. Il déploie son bras à la mer Rouge ; en son honneur, on chante le Chant de la Mer (Exode 15). Il habite le ciel (Genèse 11.5). Il fait pleuvoir du ciel (Genèse 19.24). L’armée des cieux est à sa droite et à sa gauche (1 Rois 22.19). Israël chercherait en vain un endroit de la nature d’où son Dieu serait exclu. Mais ce sont les prophètes qui de ce Dieu, vainqueur partout où les intérêts d’Israël l’appellent, feront le Dieu unique, s’occupant également et en tout temps de toutes les nations.
Dictionnaire Wesphal

papy

papy

Le même dictionnaire dit aussi ceci.
[size=35]Yahvé, Jahvé : Jéhovah Dictionnaire Biblique[/size]
Dieu est désigné dans la Bible par deux noms principaux : Jéhovah et Élohim, ce dernier vocable accompagné généralement d’un adjectif possessif ou d’un complément. Ex : « Je suis Jéhovah, ton Élohim » (Exode 20.2), « l’Élohim de vos pères, l’Élohim d’Abraham, etc. » (Exode 3.15). Élohim est un nom générique ; comme notre mot français dieu, il est applicable à toutes les divinités. Jéhovah est le nom propre du Dieu d’Israël, l’Éternel, révélé dans la Bible. Voir Dieu [les noms de].
Sans vouloir discuter ici le problème de philologie, encore moins chercher à mettre d’accord les multiples théories en présence, nous nous bornerons à remarquer que l’étymologie du vocable Jéhovah ou Yahvé n’est obscure que pour ceux qui refusent à la révélation une part dans l’histoire d’Israël.
En effet, dans Exode 3, qui nous raconte la manifestation de Dieu à Moïse, le verset 14 (E) rattache le nom propre du dieu d’Israël à la racine hâvah, respirer, être animé (forme ancienne de la racine hâyàh, être), tout comme Genèse 3.20 (J) rattache le nom d’Eve, la mère des vivants, à la racine khâvâh, signifiant : khâyâh, respirer, vivre ou faire vivre.
On est donc amené, par ce groupe de racines qui appartiennent au même tronc, à constater que ce qui différencie le dieu des Hébreux des divinités des religions naturelles c’est qu’il se présente comme le dieu qui est, qui vit, qui agit ; en d’autres termes : le Dieu réel, le seul Dieu. Moïse lui a demandé quel est son nom (Exode 3.13) ; n’oublions jamais que dans la Bible le « nom » (voir ce mot) et la « puissance » sont deux notions étroitement solidaires, voire, à l’occasion, interchangeables.
Moïse veut savoir d’où le dieu qui se manifeste à lui et qui le charge d’une mission écrasante tient sa puissance. Le dieu répond : du fait que moi j’existe, et que je me révèle le dieu vivant par mon action ; Èheyèh acher Èheyèh =« Je suis celui qui suis » (celui qui peut dire « Je suis » ; Version Synodale : Je suis celui qui dit « Je suis » ; Vers, des Rabbins : « Je suis l’Être invariable »). Les LXX traduisent : ho ôn, c’est-à-dire « Je suis celui qui est », ce qui rend la phrase correcte. Mais il y a ici plus qu’une question de grammaire.
Nous croyons que cette forme étrange : « Je suis celui qui suis », doit, pour livrer tout son sens, être rapprochée de l’expression analogue employée par Jésus lorsque les Juifs lui demandent qui il prétend être : « Avant qu’Abraham fût, je suis » (la grammaire voudrait ici « j’étais »). Ces deux « je suis », présents absolus, élèvent ceux qui les prononcent au-dessus du temps et dans un autre ordre que celui de l’humanité (L’Apocalypse paraphrase : « Celui qui était, qui est et qui vient », c’est-à-dire Celui qui possède la vie dans sa plénitude et de qui tout ce qui existe la tient, Apocalypse 1.4 Hébreux 13.Cool.
Il semble que dans cette expression mystérieuse « Je suis », incompréhensible à tout rationalisme, impénétrable aux recherches de la pure critique historique ou philosophique, Jéhovah et Jésus aient voulu résumer le fondement et la somme de la foi des fidèles au seuil de l’ancienne alliance comme au seuil de la nouvelle. On peut pousser plus avant, et voir dans la formule Exode 3.14 l’affirmation de la liberté de Jéhovah, qui n’a reçu la vie de personne, qui est ce qu’il est de sa propre détermination. Et par la liberté, on atteint à l’immutabilité ; Jéhovah, du fait de son absolue indépendance, demeure toujours libre de faire ce qu’il veut, c’est-à-dire de rester conséquent avec soi-même. À ce titre, on a bien fait de rapprocher Exode 3.14 de Exode 33.19 : « Je fais grâce à qui je fais grâce. »
Mais lorsqu’on invoque, comme on le fait quelquefois aujourd’hui, la similitude de ces deux tournures hébraïques pour en conclure que Jéhovah s’est dérobé quand Moïse lui a demandé son nom, et qu’il s’est borné à répondre énigmatiquement : « Je suis ce que je suis », on se met dans l’impossibilité de résoudre le problème religieux de l’Ancien Testament. Du même coup, on sort de la logique des textes ici rassemblés. Sans doute l’expression de Exode 3.14 est elliptique, et l’on pourra toujours se servir d’elle pour échafauder, en ne voulant connaître que le terrain grammatical, des hypothèses d’ailleurs réfutées par tout l’ensemble du jéhovisme ; mais déjà la fin du verset, verset 14b, éclaire suffisamment l’obscurité de verset 14a, lorsque Dieu ajoute pour calmer les appréhensions de Moïse : « Tu répondras ainsi aux enfants d’Israël : C’est « Je suis » qui m’a envoyé vers vous ». Au verset 15 le texte porte : « Dieu dit encore à Moïse : Tu parleras aux enfants d’Israël : C’est « Jéhovah » (JHVH)… qui m’a envoyé vers vous ». Donc Jéhovah =« Je suis ».
Le dieu qui se révèle et se nomme Jéhovah a bien pour caractère propre de pouvoir dire : « Je suis » ; il se présente comme le dieu qui se distingue en ceci des autres Élohim, qu’il a la vie en soi-même (cf. Jean 5.26 ; Jean 1.4) et qu’il existe réellement avec toutes les prérogatives de la divinité ; d’un mot, il est Dieu.
On comprend sans peine qu’à cette révélation, à ce contact divin, Moïse ait été épouvanté, qu’il ait cherché d’abord dans sa petitesse à se dégager de l’étreinte, puis qu’il soit entré résolument appuyé sur Dieu dans la carrière, unique au monde, à laquelle Jéhovah l’appelait. Par contre, si Jéhovah a répondu par une fin de non recevoir : « Je suis ce que je suis », comment expliquer que dans cette mystification Moise ait puisé le courage d’aller affronter son peuple et trouvé le fondement de la religion qui devra transformer l’humanité en lui rendant Dieu, que depuis la chute elle cherchait à tâtons ?
Aussi bien, l’ensemble des textes bibliques où Jéhovah parle à travers l’histoire hébraïque s’en référera toujours à la manifestation inaugurale et reprendra sous de multiples formes l’expression de Dieu vivant (Nombres 14.28 ; Deutéronome 5.26 ; 1 Samuel 17.36 ; 2 Rois 2.2 ; 2 Rois 5.16 ; Ézéchiel 20.31 ; Ézéchiel 33.11 ; Psaumes 36.10, cf. Deutéronome 5.26 ; Josué 3.10 ; Jérémie 23.36, etc. ; on jure par le Dieu « vivant » : est-il formule de serment plus redoutable pour les coupables et pour les hypocrites que la formule : Jéhovah vit ? Jérémie 4.2 ; Jérémie 5.2, etc.), jusqu’au moment où la lumière décisive poindra du sommet de la prophétie avec les oracles qui foudroyent les Élohim, chez Jérémie et dans Ésaïe 41.44 :

Josué

Josué
Administrateur

Valeur accordée au nom

Chez les peuples bibliques comme dans toute l’antiquité et surtout en Orient, les noms étaient revêtus d’une importance considérable, noms d’endroits et parfois d’objets aussi bien que de personnes ou de divinités. À cet égard, la mentalité primitive ressemble à la mentalité enfantine : « Pour les enfants, le nom fait partie de l’essence des choses… ; il est dans l’objet, non à titre d’étiquette collée contre l’objet, mais à titre de caractère invisible » (J. Piaget). Ainsi, pour le non-civilisé, « il y a une relation intime entre le nom et la chose nommée : le nom révèle la chose » , au point que « posséder le nom d’un objet, c’est être, croient nombre d’hommes, en état d’agir sur lui et par lui » (R. Allier). Sur le problème de l’origine des noms, il y a un essai d’explication étiologique dans le récit jéhoviste de la création, à propos des animaux, nommés par l’homme à la vue de chacun d’eux (Genèse 2.19 et suivant), comme dans les nombreuses interprétations étymologiques des noms propres (voir paragraphe III). Quelle que soit d’ailleurs son origine, le nom est tenu pour constitutif de la personnalité, et celle-ci tombe sous l’influence de qui le connaît ; d’où les précautions prises par les sauvages pour éviter de livrer leur vrai nom, jusqu’à se faire appeler d’un nom fictif.
Et Seigneur n'est pas un nom propre mais un titre.

chico.

chico.

Les mots grecs et hébreux rendus par “ seigneur ” (ou des termes similaires comme “ monsieur ”, “ propriétaire ”, “ maître ”) sont employés à propos de Jéhovah Dieu (Éz 3:11), de Jésus Christ (Mt 7:21), d’un des anciens que Jean vit en vision (Ré 7:13, 14), d’anges (Gn 19:1, 2 ; Dn 12:Cool, d’hommes (1S 25:24 ; Ac 16:16, 19, 30) et de faux dieux (1Co 8:5). La désignation “ seigneur ” concerne souvent quelqu’un qui détient la propriété ou le pouvoir et la puissance sur des personnes ou des choses (Gn 24:9 ; 42:30 ; 45:8, 9 ; 1R 16:24 ; Lc 19:33 ; Ac 25:26 ; Ép 6:5). Sara appliqua ce titre à son mari (Gn 18:12),

papy

papy

(Religion) Nom de Dieu en hébreu, dans la Bible en français courant, parfois rendu par Yahweh , Yahvé ou Iavhé.
  • Regardez en avant et non pas en arrière,
    Le courant roule à Jéhovah !
     — (Alphonse de Lamartine, Harmonies poétiques et religieuses IV, 13, 1830)

  • Quand ces filles du Ciel, retournant au Seigneur,
    Comme ayant retrouvé leurs régions natales,
    Autour de Jéhovah se rangèrent en chœur, (…)
    « Nous venons demander la Loi de l’avenir.
    « Nous sommes, ô Seigneur, les froides Destinées
    « Dont l’antique pouvoir ne devait point faillir.
     — (Vigny, Les Destinées, 1849)

  • Les anguilles de Needham prouvent que Dieu est inutile. […] Alors à quoi bon le Père éternel ? Monsieur l'évêque, l'hypothèse Jéhovah me fatigue. Elle n'est bonne qu'à produire des gens maigres qui songent creux. — (Hugo, Les Misérables, Fantine, I, 8, 1862)

  • Bossuet le premier imagina de juger l'histoire universelle, ou ce qu'il appelait ainsi naïvement, d'après les principes du judaïsme biblique: il vit crouler tous les empires où la main de Jéhovah s'était appesantie. C'est l'idée de décadence expliquée par l'idée de châtiment. — (Rémy de Gourmont, La culture des idées, 1900)

chico.

chico.

[size=44]Pourquoi ne prononce-t-on pas le tétragramme, le nom de Dieu Yhwh ?[/size]

Mis en ligne le 27 mai 2019


Pourquoi n'y a-t-il pas le nom "Jéhovah" en Hébreux 1:10 dans la TMN ?  Question-2048x1240

[size=16]Cette pratique est traditionnellement associée aux célèbres Dix Commandements, où l’on peut lire : “Tu ne prendras pas le nom de Yhwh ton dieu pour rien, car Yhwh n’acquittera pas celui qui prendra son nom pour rien.” (Exode 20,7).

Par crainte de prendre le nom divin “pour rien”, certains juifs ont décidé d’éviter de le prononcer, en le remplaçant par un titre tel que “Seigneur”. C'est par exemple le cas du Grand Rouleau d’Isaïe, ainsi que je l’explique ici dans un livre que j’ai codirigé. Ce manuscrit a été copié environ un siècle avant Jésus-Christ, ce qui prouve que cette tradition est ancienne, au moins dans certains milieux juifs.

On Fri, May 24, 2019 at 2:51 PM 

[/size]
POUR QUELLE RAISON ON NE PRONONCE POINT LE NOM DE YAHVE ?

philippe83


MODERATEUR
MODERATEUR

"certains juifs ont décidés..." .Heureusement que ce n'est pas Dieu qui a décider cette approche!

Josué

Josué
Administrateur

Et oui c'est certains juifs par superstition.

Josué

Josué
Administrateur

Combien de noms Dieu a-​t-​il ?
Combien de noms Dieu a-t-il ?

Dieu a un seul nom. Il s’écrit יהוה en hébreu et est habituellement rendu par « Jéhovah » en français a. Par l’intermédiaire de son prophète Isaïe, Dieu a déclaré : « Je suis Jéhovah. C’est là mon nom » (Isaïe 42:Cool. Ce nom figure environ 7 000 fois dans les antiques manuscrits de la Bible, bien plus que tout autre terme qui désigne Dieu, ou que tout autre nom propre b.

Jéhovah a-​t-​il d’autres noms ?
Bien que la Bible appelle Dieu par un seul nom, elle utilise plusieurs titres et qualificatifs pour parler de lui. La liste suivante en énumère quelques-uns et explique comment chacun d’eux révèle un aspect de la nature ou de la personnalité de Jéhovah.

Titre

Référence biblique

Signification

Allah

(Aucune)

Le mot arabe « Allah » n’est pas un nom mais un titre qui signifie « Dieu ». Les traductions de la Bible en arabe et dans d’autres langues rendent le mot « Dieu » par « Allah ».

L’Alpha et l’Oméga

Révélation 1:8 ; 21:6 ; 22:13

« Le premier et le dernier » ou « le commencement et la fin ». Signifie qu’il n’y a pas eu de Dieu Tout-Puissant avant Jéhovah, et qu’il n’y en aura pas après lui (Isaïe 43:10). Alpha et oméga sont la première et la dernière lettre de l’alphabet grec.

Ancien des jours

Daniel 7:9, 13, 22

N’a pas eu de commencement. Celui dont l’existence précède à l’infini l’apparition de toute chose et de tout être (Psaume 90:2).

Berger

Psaume 23:1

Prend soin de ceux qui l’adorent.

Celui « qui écout[e] la prière »

Psaume 65:2

Écoute personnellement chaque prière qui lui est adressée avec foi.

Créateur

Isaïe 40:28

Est à l’origine de tout ce qui existe.

Dieu

Genèse 1:1

Un objet de culte ; un être fort. Le mot hébreu ʼÈlohim est un pluriel qui indique la majesté, la dignité ou l’excellence de Jéhovah.

Dieu des dieux

Deutéronome 10:17

Le Dieu suprême, en opposition avec les « dieux sans valeur » que certains adorent (Isaïe 2:Cool.

Dieu heureux

1 Timothée 1:11

La joie et le bonheur le caractérisent (Psaume 104:31).

Grand Auteur

Psaume 149:2

A créé toutes choses (Révélation 4:11).

Grand Instructeur

Isaïe 30:20, 21

Nous enseigne et nous offre une direction pour notre profit (Isaïe 48:17, 18).

Jaloux

Exode 34:14 (Traduction du monde nouveau avec notes et références)

Ne tolère pas de rivalité dans le culte. Ce terme est également rendu par l’expression « qui exige un attachement sans partage » (Exode 34:14).

Je suis qui je suis

Exode 3:14, Bible en français courant

Devient tout ce que nécessite la réalisation de ses promesses. Cette phrase est également traduite ainsi : « Je deviendrai ce qu’il me plaît [de devenir] » (The Emphasised Bible, traduction de J. Rotherham [angl.] ; note). Cette explication permet de comprendre la signification du nom de Dieu, Jéhovah, figurant dans le verset suivant (Exode 3:15).

Père

Matthieu 6:9

Source ou Auteur de la vie.

Potier

Isaïe 64:8

Détient l’autorité sur les personnes et les nations, comme un potier a pouvoir sur l’argile (Romains 9:20, 21).

Racheteur, Rédempteur

Isaïe 41:14 (Bible de Darby)

Rachète l’humanité du péché et de la mort par la rançon fournie grâce au sacrifice de son fils Jésus Christ (Jean 3:16).

Roc

Psaume 18:2, 46

Un refuge sûr et une source de salut.

Roi d’éternité

1 Timothée 1:17

A toujours possédé l’autorité absolue, et la possédera toujours.

Sauveur

Isaïe 45:21

Délivre du danger et de la destruction.

Seigneur

Psaume 135:5

Propriétaire ou maître. Correspond aux termes hébreux ʼAdhôn et ʼAdhonim.

Seigneur des armées, Seigneur Sabaoth

Isaïe 1:9 (Nouvelle Bible Segond) ; Romains 9:29 (Nouvelle Bible Segond)

Commandant d’immenses armées d’anges. Le titre « Seigneur Sabaoth » peut également être rendu par « Jéhovah des armées » et « le Seigneur des armées » (Romains 9:29, Traduction du monde nouveau ; Bible de Louis Segond).

Souverain Seigneur

Genèse 15:2

Détient l’autorité suprême, de l’hébreu ʼAdhonay.

Suprême

Daniel 7:18, 27

Le plus élevé des souverains.

Tout-Puissant

Genèse 17:1

Dispose d’une puissance irrésistible. L’expression hébraïque ʼÉl Shadday, « Dieu Tout-Puissant », apparaît sept fois dans la Bible.

Très-Haut

Psaume 47:2

Occupe la position suprême.

Très-Saint

Proverbes 9:10

Sans égal en sainteté (propreté et pureté morale).

chico.

chico.

[size=35]Jésus[/size]
 Retour

de l’hébreu : Yehoshuah « Yahvé est sauveur »
L’ange de l’annonciation indique par ce nom, que le Seigneur vient accomplir, par l’enfant qui va naître de Marie, une mission de salut. Le nom de « Jésus » indissociable de « Christ« , témoigne du mystère de ce salut en la personne du Fils de Dieu.
Source dico catholique, donc quand on cite Jésus ont cite forcement le nom de Dieu

Yves



1 la nom de Dieu nnest pas Jéhovah ce nol propre est un mélange de seigneur et des 4 lettres Hébreu latinisées.
2 le nouveau testament n'est pas une copie de l'ancien mais reprends des textes en Hebreux pour les retranscrires en Grec. Comme Esdras ou Daniel peuvent faire la même chose avec l'araméen.
Mettre volontairement un nom propre constitue d'un attribut de manière volontaire dans le nouveau est une atteinte au 3 eme commandement. Qui stipule que celui qui dait ces choses ne restera pas longtemps impuni. Donc quand la foudre tombera J'espère que ceux qui sont conditionnés comme victime feront la part des choses vrais.

papy

papy

Jéhovah et simplement la transcription du tétragramme.
En hébreu, le nom de Dieu s’écrit יהוה. Ces quatre lettres, qui se lisent de droite à gauche, sont souvent appelées le Tétragramme. Beaucoup de noms de personnages et de lieux figurant dans la Bible contiennent une forme abrégée du nom divin. Se pourrait-il que ces noms propres offrent quelques indices sur la façon dont se prononçait le nom de Dieu ?
Oui, selon George Buchanan, professeur honoraire au Wesley Theological Seminary de Washington (États-Unis). Il explique ceci : “ Jadis, il était fréquent que les parents donnent à leurs enfants des noms forgés à partir de celui de leurs divinités. Cela signifie qu’ils prononçaient le nom de leurs enfants de la même façon que celui de leur dieu. Le Tétragramme était utilisé dans les noms des gens, et ils employaient toujours la voyelle du milieu. ”
Voici quelques exemples de noms propres rencontrés dans la Bible qui contiennent une forme courte du nom de Dieu. Yonathân, qui dans l’hébreu est orthographié soit Yônathan soit Yehônathan, signifie “ Yaho ou Yahowah a donné ”, selon le professeur Buchanan. Le nom du prophète Éliya est ʼÉliyah ou ʼÉliyahou en hébreu. Pour le professeur Buchanan, il signifie : “ Mon Dieu est Yahou ou Yahou-wah. ” De même, le nom hébreu auquel correspond Yehoshaphat est Yehô-shaphat, qui signifie “ Yaho a jugé ”.

Yves



Jéhovah c'est pas la transcription du tétragramme car il ya le mot seigneur à l'intérieur.

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