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En Chine, Les Témoins de Jéhovah pourchassés et déportés
02/21/2019 Rapport direct en provenance de Chine
La Chine étend la persécution religieuse à toutes les religions, sans discrimination.
Non seulement les Témoins de Jéhovah face à une répression sévère en Chine, mais également d'autres religions comme les musulmans.
Le 26 Décembre 2018, deux agents de police d'une ville en Chine orientale du Shandong ont fait irruption dans le domicile de deux missionnaires espagnols Témoins de Jéhovah où ils leur ont posé des questions sur le travail qu'ils effectuaient et pourquoi ils se trouvaient là. Les policiers leur ont alors ordonné de quitter la Chine dans les deux semaines au motif que « les étrangers ne sont pas autorisés à faire du travail missionnaire. »
« Ils [les missionnaires] ont estimé que leur expulsion était trop rapide "
En ce qui concerne les missionnaires étrangers TJ qui n'ont pas encore été arrêtés ou expulsés, ils sont toujours inquiets d'être suivi par la police, ils se montrent extrêmement prudents quand ils sortent.
Pour éviter d'être découvert par la police quand ils tiennent des rassemblements en cachette, les TJ ont non seulement installé une porte de sécurité épaisse aux lieux de réunion, mais ont également utilisé un panneau de mousse, mesurant deux mètres de haut et épais de dix centimètres, pour insonoriser les lieux. . Malgré cela, ils n'osent pas chanter haut et fort.
Ils s' organisent aussi pour veiller à l'entrée du lieu de réunion si on détecte un danger. Ils avisent immédiatement les autres membres à mettre fin à la réunion ou à leur rencontre s'ils se trouvent dehors. Les TJ utilisent aussi des gestes de la main pour signaler autres d'éteindre les lumières lors des réunions au moindre danger.
Le 5 mai 2018, la police a effectué une opération importantee dans laquelle sept salles de réunion ont été perquisitionnés et fermées. Un TJ missionnaire japonais a été détenu pendant 15 jours, condamné à une amende de 2500 euros, et a été ordonné de quitter le pays.
Dans les villages, les habitants sont encouragés à dénoncer les missionnaires étrangers aux autorités dès qu'ils les découvrent.
02/21/2019 Rapport direct en provenance de Chine
La Chine étend la persécution religieuse à toutes les religions, sans discrimination.
Non seulement les Témoins de Jéhovah face à une répression sévère en Chine, mais également d'autres religions comme les musulmans.
Le 26 Décembre 2018, deux agents de police d'une ville en Chine orientale du Shandong ont fait irruption dans le domicile de deux missionnaires espagnols Témoins de Jéhovah où ils leur ont posé des questions sur le travail qu'ils effectuaient et pourquoi ils se trouvaient là. Les policiers leur ont alors ordonné de quitter la Chine dans les deux semaines au motif que « les étrangers ne sont pas autorisés à faire du travail missionnaire. »
« Ils [les missionnaires] ont estimé que leur expulsion était trop rapide "
En ce qui concerne les missionnaires étrangers TJ qui n'ont pas encore été arrêtés ou expulsés, ils sont toujours inquiets d'être suivi par la police, ils se montrent extrêmement prudents quand ils sortent.
Pour éviter d'être découvert par la police quand ils tiennent des rassemblements en cachette, les TJ ont non seulement installé une porte de sécurité épaisse aux lieux de réunion, mais ont également utilisé un panneau de mousse, mesurant deux mètres de haut et épais de dix centimètres, pour insonoriser les lieux. . Malgré cela, ils n'osent pas chanter haut et fort.
Ils s' organisent aussi pour veiller à l'entrée du lieu de réunion si on détecte un danger. Ils avisent immédiatement les autres membres à mettre fin à la réunion ou à leur rencontre s'ils se trouvent dehors. Les TJ utilisent aussi des gestes de la main pour signaler autres d'éteindre les lumières lors des réunions au moindre danger.
Le 5 mai 2018, la police a effectué une opération importantee dans laquelle sept salles de réunion ont été perquisitionnés et fermées. Un TJ missionnaire japonais a été détenu pendant 15 jours, condamné à une amende de 2500 euros, et a été ordonné de quitter le pays.
Dans les villages, les habitants sont encouragés à dénoncer les missionnaires étrangers aux autorités dès qu'ils les découvrent.
