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la légalité de la répudiation des femmes musulmanes devant la justice

5 participants

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Josué

Josué
Administrateur

Inde: la légalité de la répudiation des femmes musulmanes devant la justice
Par RFI
La Cour suprême indienne a entamé jeudi 11 mai l'audition de l'un des cas les plus sensibles des dernières années. Elle doit décider si la répudiation automatique, autorisée aujourd'hui pour les maris musulmans envers leurs femmes, est constitutionnelle. Six femmes musulmanes ont déposé ce recours, entraînant un vif débat dans ce pays qui compte la deuxième plus importante population musulmane du monde.

Avec notre correspondant à New Delhi, Sébastien Farcis

« Talaq », « talaq », « talaq ». En répétant trois fois ce mot, qui signifie « répudiation », un homme musulman indien peut prononcer unilatéralement son divorce et abandonner son épouse sans plus d'explication ou de procédure. Ces dernières années, les maris envoyaient même ces trois mots par SMS, pour éviter la confrontation.

Cette pratique est autorisée pour les 180 millions de musulmans qui vivent en Inde, où chaque religion possède un code civil spécifique inspiré de ses textes sacrés. Toutefois, cette forme de répudiation express n'est pas recommandée par le Coran et l'Inde est l'un des rares pays à la permettre. Même des nations musulmanes comme le Pakistan ou le Qatar n'offrent pas un tel pouvoir aux hommes. Les six femmes musulmanes qui ont déposé ce recours affirment que cette pratique va à l'encontre de leurs droits constitutionnels.

La Cour suprême va également entendre les arguments du conseil musulman indien, composé d'hommes et favorable au triple talaq. Elle décidera dans une semaine si cette forme de divorce est fondamentalement religieuse, ce qui l'empêchera d'intervenir, ou si c'est une simple pratique culturelle qui peut être interdite.
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]

samuel

samuel
Administrateur

Les gommes qui envois des sms de répudiation à leurs femmes ne sont pas bien courageux.
Au fait les femmes peuvent elles répudier leurs maris ?

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

samuel a écrit:
Au fait les femmes peuvent elles répudier leurs maris ?
Non, elles n'ont même pas à y penser, sinon le mari a le droit de frapper sa femme jusqu'à ce qu'elle soit de son avis.

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

Josué

Josué
Administrateur

La Tunisie abolit l'interdiction du mariage des femmes avec des non-musulmans

Les Tunisiennes de confession musulmane pourront désormais se marier dans leur pays avec des non-musulmans, les circulaires ministérielles empêchant ces unions ayant été abolies. Photo d'archives AFP.
DROITS
Les circulaires ministérielles empêchant ces unions abolies.
OLJ/AFP14/09/2017
Les Tunisiennes de confession musulmane pourront désormais se marier dans leur pays avec des non-musulmans, les circulaires ministérielles empêchant ces unions ayant été abolies, a annoncé jeudi la porte-parole de la présidence.

"Tous les textes liés à l'interdiction du mariage de la Tunisienne avec un étranger, à savoir la circulaire de 1973 et tous les textes semblables, ont été annulés. Félicitations aux femmes de Tunisie pour la consécration du droit à la liberté de choisir son conjoint", a écrit sur Facebook Saïda Garrach, qui n'était pas joignable dans l'immédiat.

Le 13 août, le président Béji Caïd Essebsi avait annoncé avoir demandé au gouvernement de retirer une circulaire datant de 1973 et empêchant le mariage des Tunisiennes musulmanes avec des non-musulmans.



(Pour mémoire : Quand les Tunisiennes exigent de se marier avec qui elles veulent)



Des organisations de la société civile ont ces derniers mois lancé une campagne sur cette question, et une plainte a été déposée auprès du Tribunal administratif pour faire annuler la circulaire.
Ces circulaires -il en existe plusieurs outre celle de 1973- "procèdent de mesures discriminatoires. Elles sont contraires à la Constitution" qui stipule l'égalité entre hommes et femmes et sont "une violation du droit fondamental de tout être humain à choisir son conjoint", avaient dénoncé dans un communiqué des militants des droits humains, dont le Collectif pour les libertés individuelles.

Si elles voulaient que leur mariage soit reconnu ou célébré en Tunisie, les Tunisiennes épousant des non-musulmans devaient jusqu'ici fournir le certificat de conversion à l'islam de leur futur mari. Quelques-unes ont réussi au prix d'une bataille juridique à faire reconnaître leur mariage sans ce document, selon une avocate active dans ce domaine.

Dans un discours prononcé le jour de la "Fête de la femme" le 13 août, le chef de l’État avait aussi lancé le débat sur le sujet délicat de l'égalité entre femmes et hommes en matière d'héritage, jugeant que la Tunisie se dirigeait inexorablement vers l'égalité "dans tous les domaines".

La Tunisie est considérée comme pionnière dans le monde arabe en matière de droits des femmes, mais ces dernières continuent d'hériter généralement de la moitié de ce qui revient aux hommes, comme le prévoit le Coran.
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]

faraj



Je cois que Ce qui est écrit  dans le coran ; la torah et la bible on va pas le changer !  
Dieu Tout-Puissant dit : « Aujourd’hui, les choses bonnes vous sont permises. La nourriture de ceux auxquels le Livre a été donné vous est permise, et votre nourriture leur est permise. L’union avec les femmes croyantes et honnêtes et avec les femmes appartenant au peuple qui a reçu le Livre avant ((vous vous)) est aussi permise, si vous leur remettez leur douaire, en hommes (vertueux) et non comme des débauchés ou de ceux qui ont des liaisons secrètes. Quiconque rejette la foi, ses actions sont vaines et, dans la vie future, il se trouve parmi les perdants. » Al-Mâ’idah (5:5)
LOCALISTION ici sur la (croyance) soit d’homme ou femme !
du point de vue  pour la Tunisie  Il faut que  des gens qui ont loi de décider où  pas ;   il ne faut pas introduire l’Etat .
Mighisfaraj

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

Cher Faraj,

Votre traduction du Coran est un peu bizarre. Quelle traduction utilisez-vous ? Je traduirai "permis" par "licite". Vous noterez aussi que c'est le retour au judaïsme et l'ignorance de l'Injil qui dit le contraire.
À vous lire.

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

Yacoub

Yacoub
surveillant
surveillant

Marmhonie a écrit:
samuel a écrit:
Au fait les femmes peuvent elles répudier leurs maris ?
Non, elles n'ont même pas à y penser, sinon le mari a le droit de frapper sa femme jusqu'à ce qu'elle soit de son avis.

Salut Marmhonie

Il y a un cas où la musulmane peut divorcer de son mari, c'est quand celui ci apostasie l'islam étant donné qu'une musulmane ne peut se faire labourer par un non-musulman.

http://apostats-de-lislam.xooit.org/index.php

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

Exact, je n'y pensais pas.

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Josué

Josué
Administrateur

Les couples islamo-chrétiens ne sont plus interdits en Tunisie
Anne-Bénédicte Hoffner , le 02/10/2017 à 5h28
Le gouvernement tunisien vient d’annoncer le retrait d’une circulaire de 1973 qui empêchait le mariage d’une Tunisienne avec un étranger (sous-entendu non-musulman).
Pour le Groupe des foyers islamo-chrétiens (Gfic), qui fêtait samedi ses 40 ans à Paris, c’est « une digue qui a sauté ».
« Extraordinaire », « fantastique », « un signe d’espoir », de « modernité »… Simplement « amoureux », fiancés ou déjà mariés, voire parents ou grands-parents, les couples islamo-chrétiens n’ont pas assez de mots pour commenter la décision du président tunisien, Beji Caïd Essebsi, d’autoriser les Tunisiennes – supposées musulmanes – à épouser des étrangers – supposés non-musulmans. La décision a été annoncée le 14 septembre. Le Groupe des foyers islamo-chrétiens, qui fêtait samedi ses 40 ans au Collège des Bernardins à Paris, y voit une heureuse coïncidence.

Les plus anciens n’ont qu’un seul regret : qu’elle n’ait pas été prise plus tôt. « C’est quand même fou d’avoir attendu 2017 pour faire un tel pas », remarque Pierre, dont le mariage avec une Algérienne n’est pas reconnu dans son pays (1). « Pas trop tôt », appuie Leïla, mariée à Antoine depuis quatre ans.

La promesse de pouvoir marcher « main dans la main dans la rue »

Les plus jeunes, eux, nourrissent tous les espoirs. Amoureux d’une jeune Tunisienne qui vit, avec sa famille, de l’autre côté de la Méditerranée, Baptiste l’avoue : il a « pleuré de joie toute la journée » lorsqu’il a appris la nouvelle. Le jeune homme rêve de pouvoir « marcher côte à côte dans la rue » avec sa bien-aimée et se félicite que « l’officier d’état civil soit désormais obligé de reconnaître » leur éventuel mariage.

Même si le chemin risque d’être long… « Sa famille est très traditionnelle », soupire-t-il, en racontant ces échanges sur Internet au cours desquels son amie lui a listé « tous les arguments tirés du Coran » démontrant que leur amour est impossible.

De fait, l’interprétation ultra-majoritaire autorise un musulman à épouser une non-musulmane, mais non l’inverse. Cette question de la « légalité » d’un mariage entre une musulmane et un non-musulman est donc l’une de celle qui revient le plus dans les café-couple du Gfic.

« Nous, les hommes musulmans, subissons la pression familiale, et souvent aussi les réticences de notre belle-famille catholique. Mais pour les femmes musulmanes, la pression est multipliée par je-ne-sais-combien à cause de cet interdit religieux », reconnaît Adel.

La fin des « conversions de convenance » ?

Certains, qui – comme Matthieu – ont accepté ce qu’ils appellent « une conversion de convenance », mesurent particulièrement l’avancée. Pour faire reconnaître son mariage en Tunisie, il s’est plié à la procédure locale : envoi d’un dossier, puis convocation – avec quelques autres Français comme lui – devant le grand mufti de la mosquée de la Zeitouna à Tunis, visiblement « pas dupe ».

« On récite la chahada, cela dure peut-être 20 mn en tout », se souvient Matthieu. « Je l’ai vécu comme une simple démarche administrative, mais l’ensemble n’est pas très agréable. »

À lui et aux autres, l’intervention, samedi, de l’imam d’Ivry-sur-Seine, Mohamed Bajrafil, a mis du baume au cœur. Ce jeune imam, spécialiste de fiqr (droit musulman), a affirmé que « l’interdit » d’un tel mariage, intériorisé par une immense majorité de savants comme de fidèles, repose sur une fausse interprétation du Coran.

Une prise de position « incroyable », pour les responsables de l’association, qui se souviennent de leur « déception » lors de rencontres à ce sujet avec différents imams il y a trois ou quatre ans…

Lutter contre le patriarcat

Quel sera l’impact de cette annonce historique ? Lorsqu’elle a appris la nouvelle, Saloua, musulmane, en couple avec Jérémy, catholique, a vu là l’argument idéal pour « convaincre sa mère », restée au Sénégal : « Pour le moment, nous n’avons échangé que des messages. Mais quand je lui en ai parlé, elle m’a répondu : ‘‘et alors, tu es tunisienne ?’’ » Au-delà de la décision politique, ce sont les mentalités qui doivent changer, et les jeunes couples savent à quel point ce peut être dur pour leurs parents…

« J’attends de voir comment se sera appliqué dans les faits, si l’administration suivra », répète aussi Leïla. « Ce n’est pas le début d’un processus mais une étape de plus, soixante ans après l’adoption du code du statut personnel, et après des mesures sur la répudiation, la polygamie, le divorce », répond Manel, tunisienne elle aussi, qui prépare son mariage avec Florent.

« Quand ça bouge, c’est en Tunisie ! Aujourd’hui, il ne reste que la question de l’héritage à régler pour asseoir l’égalité entre hommes et femmes : c’est le dernier bastion du patriarcat sous couvert de religion. »

____________________

Des couples mixtes, de part et d’autre de la Méditerranée

Le 13 août, jour de la fête de la femme, le président tunisien Béji Caïd Essebsi a annoncé son souhait d’instaurer l’égalité successorale entre hommes et femmes dans son pays, ainsi que de lever l’interdiction des mariages entre Tunisiennes et étrangers. Le 14 septembre, la porte-parole de la présidence a annoncé que la circulaire de 1973 qui interdisait ces derniers a été « retirée ».

« Afin de mieux vivre leurs différences culturelle et religieuse, des couples islamo-chrétiens ont éprouvé le besoin de se retrouver. Depuis 1977, ils se réunissent afin de réfléchir à leur engagement de couple, de mettre en commun leur expérience, et approfondir leur foi. » Ainsi est né le « Groupe des foyers islamo-chrétiens », qui organise un grand rassemblement à la Pentecôte et des « cafés-couple » au fil de l’année.

Anne-Bénédicte Hoffner
(1) Certains prénoms ont été changés.
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]

Yacoub

Yacoub
surveillant
surveillant

C'est une bonne nouvelle pour les femmes de Tunisie mais est ce qu'elles vont prendre cette liberté d'aimer des non-musulmans si elles sont vraiment musulmanes, je ne le crois pas. Il y a des musulmanes qui ont divorcé quand elles ont appris que leur mari est devenu athée.

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Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

Quel est le nombre exact des musulmanes qui ont opté pour un mariage inter-religieux ?

Il n’y a, à notre connaissance, aucune statistique sur ce sujet malgré le grand intérêt qu’elle représente.
Selon Mohammed Talbi, "les mariages réellement mixtes, c’est-à-dire entre un homme et une femme de mouvances spirituelles différentes sont en réalité peu fréquentes."

Le Coran a tranché pour le racisme
A la différence du mariage du musulman, celui de la musulmane ne supporte pas d’exception. L’interdiction est fondée sur un texte « de base » (2/221) et renforcée par un verset postérieur, relatif aux musulmanes émigrées de La Mecque à Médine : Coran 60-10 "Ne les renvoyez pas aux infidèles. Elles ne leur sont plus permises et ils ne leur sont plus permis." ainsi que par un hadith d'inégalité : "L’Islam domine et ne saurait être dominé".

 La question des mariages mixtes soulève donc des obstacles qu’aucune société non musulmane n’a jusqu’à présent surmontés. C’est un problème qui reste ouvert et qu’on peut traiter sans jamais trouver une solution définitive.

Et pour qui ose, que de problèmes !
Les hommes et les femmes qui choisissent de vivre un mariage inter-religieux se trouvent face à plusieurs questions :

1) celle de l’amour, de la religion et de la tradition : quelle place leur accorder ?
2) celle de la définition du mariage : est-il un acte social ou un acte personnel relevant du libre choix ?
3) faut-il faire prévaloir les liens affectifs et le sentiment amoureux sur la règle et le sentiment religieux ?
4) comment redéfinir notre rapport à l’autre ?
5) comment peut-on coexister ensemble quand on est différent ?

C'est quasiment impossible de tenir dans la durée, sauf cas rarissimes.

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