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Diam's : un remariage et un nouvel enfant

5 participants

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Josué

Josué
Administrateur

Diam's : un remariage et un nouvel enfant
Le Point - Publié le 21/05/2015 à 06:12 - Modifié le 21/05/2015 à 07:34
Si son engagement religieux reste fort, la vie privée de l’ex-chanteuse a évolué. À l’occasion de la sortie de son livre, Diam’s donne de ses nouvelles.

Par MARC FOURNY
Son prochain livre devrait s’arracher comme le premier, très autobiographique. Cette fois, Diam’s, qui désire qu’on l’appelle désormais Mélanie Georgiades, de son vrai nom, a décidé d’évoquer sa vie spirituelle depuis sa conversion à l’islam, qui avait fait grand bruit. Et surtout d'expliquer comment on peut vivre sa foi dans un pays comme la France, revendiquant les deux cultures qui la nourrissent. « Moi, Mélanie, Française et musulmane... Ce titre me tenait à coeur, car je voulais par ces mots montrer qu’il n’y a pas de contradictions entre ces termes, ni incompatibilité, explique-t-elle sur la quatrième de couverture de son nouveau livre, en vente dès le 21 mai. Ni dans les mots, ni dans mon coeur. Je suis française et musulmane, j’ai des racines et des ailes. »

Être heureux loin du show-biz

Un acte de foi, mais surtout un acte politique pour cette ex-rappeuse, née catholique, qui a quitté la violence verbale et les pièges de la célébrité pour se construire une vie axée sur la méditation, le pacifisme et l’altruisme – elle soutient l’enfance défavorisée en Afrique à travers son association Big Up Project. Quand les Français la découvrent convertie et voilée en 2012, lors de l’émission Sept à huit, le choc se mélange à la gêne : comment une artiste engagée dans des combats passionnés, contre les violences faites aux femmes ou le Front national, pouvait-elle basculer et s’épanouir dans un cadre strict et religieux ? « Je crois bien que beaucoup ont encore du mal à accepter que l'on puisse être si heureux et si serein loin du show-biz, de l'opulence, de la gloire et des médias, expliquait alors celle qui quittait définitivement la scène... Et qu'il y a un bonheur possible sans tous ces faux-semblants, ces faux sourires, ce faux monde dans lequel nombreux se noient. »

À l’occasion de la sortie de son livre, Diam’s s’est confiée au journaliste Thierry Demaizière, dans un nouvel entretien dans Sept à huit, diffusé dimanche 24 mai. « Elle parle de la naissance de son deuxième enfant, un garçon prénommé Abraham, de son divorce, de son remariage et de ce qui s'est passé dans sa vie depuis deux ou trois ans, rapporte le journaliste sur le site Mytf1. Elle a même accepté de parler de son divorce pour montrer qu'une femme musulmane n'est pas soumise à son mari. » Elle évoque également son père, avec lequel elle était fâchée depuis de nombreuses années, et leur récente réconciliation. Déjà mère d’une petite Maryam, Diam’s est toujours restée très discrète sur sa vie privée.

« Je suis musulmane, certes..., mais française »

Depuis sa nouvelle vie, elle ne communique que par sa page Facebook, suivie par 860 000 personnes. On y trouve des poèmes, des photos de fleurs, d’arbres ou des paysages inspirants, des phrases du Prophète, des conseils ou encore des nouvelles de ses engagements humanitaires... Lors des attentats contre Charlie Hebdo, en janvier dernier, elle avait fermement condamné cette violence perpétrée au nom de l’islam : « Je suis affligée, écrivait-elle. L'islam n'enseigne pas la vengeance ni le meurtre, mais appelle à propager la lumière du bien et de l'excellence dans le comportement. » Même réaction face aux barbaries commises par les membres de Daesh : « Le terrorisme de Daesh et d'Al-Qaïda est l'ennemi numéro un de l'islam », rappelle-t-elle fermement, en reprenant les paroles du grand mufti d’Arabie saoudite.

Faire la différence entre un islam de paix et des sectes prônant la mort, voilà le message qu’elle souhaite faire passer. Prouver que l’on peut vivre sereinement sa foi musulmane en France, sans pour cela être montré du doigt ou assimilé à des intégristes violents. « Être différent, est-ce vouloir du mal à l’autre ? s’interroge-t-elle dans son nouveau livre. Si moi, Mélanie, je m’habille différemment de mes voisins, cela signifie-t-il que je veux du mal au pays qui m’a portée et éduquée ? Que de questions. Car moi, je suis musulmane, certes..., mais française. » De quoi relancer le débat.

Mélanie, française et musulmane de Mélanie Georgiades, parution le 21 mai.

samuel

samuel
Administrateur

Pourtant le Coran préconise de tuer l'infidèle alors pour une religion de paix c'est pas le top.

samuel

samuel
Administrateur

Je retient ses paroles.
Depuis sa nouvelle vie, elle ne communique que par sa page Facebook, suivie par 860 000 personnes. On y trouve des poèmes, des photos de fleurs, d’arbres ou des paysages inspirants, des phrases du Prophète, des conseils ou encore des nouvelles de ses engagements humanitaires... Lors des attentats contre Charlie Hebdo, en janvier dernier, elle avait fermement condamné cette violence perpétrée au nom de l’islam : « Je suis affligée, écrivait-elle. L'islam n'enseigne pas la vengeance ni le meurtre, mais appelle à propager la lumière du bien et de l'excellence dans le comportement. » Même réaction face aux barbaries commises par les membres de Daesh : « Le terrorisme de Daesh et d'Al-Qaïda est l'ennemi numéro un de l'islam », rappelle-t-elle fermement, en reprenant les paroles du grand mufti d’Arabie saoudite.

Faire la différence entre un islam de paix et des sectes prônant la mort, voilà le message qu’elle souhaite faire passer. Prouver que l’on peut vivre sereinement sa foi musulmane en France, sans pour cela être montré du doigt ou assimilé à des intégristes violents. « Être différent, est-ce vouloir du mal à l’autre ? s’interroge-t-elle dans son nouveau livre. Si moi, Mélanie, je m’habille différemment de mes voisins, cela signifie-t-il que je veux du mal au pays qui m’a portée et éduquée ? Que de questions. Car moi, je suis musulmane, certes..., mais française. » De quoi relancer le débat.

Mélanie, française et musulmane de Mélanie Georgiades, parution le 21 mai.

Josué

Josué
Administrateur

Diam's : un remariage et un nouvel enfant Chante10

samuel

samuel
Administrateur

Diam’s ouvre une agence de voyage spécialisée dans les pèlerinages à La Mecque
L’ex-chanteuse a dévoilé son nouveau projet sur son compte Instagram jeudi.

Diam’s sur scène en 2010.
Diam’s sur scène en 2010. LE PARISIEN/JEAN-BAPTISTE QUENTIN
Par A.T.
Le 21 février 2020 à 15h26, modifié le 21 février 2020 à 16h53
L'ex-rappeuse Diam's se lance dans le tourisme. Elle a annoncé sur son compte Instagram, jeudi, ouvrir sa propre agence de voyage, baptisée Hégire voyages et spécialisée dans la Omra, le pèlerinage à La Mecque.

« Depuis deux ans, je passe énormément de temps à Médine, cette ville si chère au cœur de croyants. Depuis mon premier voyage dans les lieux saints, je nourris un rêve : ⁣⁣celui d'ouvrir ma propre agence de voyage et d'offrir à mes frères et sœurs la possibilité de venir faire la Omra dans les meilleures conditions, en toute confiance et en toute sérénité », écrit-elle sur le réseau social.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

C'est un moyen aussi d'arrondir ses fin de mois.
C'est toujours juteux les pèlerinages et pas que chez les musulmans.

Lechercheur



Pas de chance pour elle car l'Arabie va fermer ses frontières a cause du virus.

chico.

chico.

[size=33]Coronavirus : l'entrée de pèlerins provisoirement suspendue à La Mecque[/size]


[size=33]Les autorités saoudiennes ont suspendu les visas depuis le 27 février pour éviter une propagation massive chez les pèlerins venus du monde entier.[/size]


 Source AFP
Modifié le 28/02/2020 à 16:59 - Publié le 28/02/2020 à 16:35 | Le Point.fr


Diam's : un remariage et un nouvel enfant 20105295lpw-20105334-article-coronavirus-jpg_6941637_660x281

La Mecque, le 27 février 2020, jour à partir duquel l'Arabie saoudite suspend les arrivées sur son territoire.
:copyright: ABDEL GHANI BASHIR / AFPP
« Nous sommes entre les mains de Dieu » : en pèlerinage à La Mecque, Nadia Bitam dit ne pas avoir peur du coronavirus. Comme les autres fidèles arrivés dans la ville sainte juste avant la suspension jeudi des visas par les autorités saoudiennes, elle prend toutefois ses précautions. Arrivée d'Algérie cinq jours avant la décision de Riyad de suspendre l'octroi de visas pour l'Omra, le petit pèlerinage, Nadia, la cinquantaine, se considère comme « chanceuse ». Elle se trouve à quelques mètres du sanctuaire le plus saint de l'islam, la Kaaba, une structure cubique enveloppée dans une étoffe noire brodée d'or et vers laquelle les musulmans du monde entier se tournent pour prier. « Je n'ai pas peur [...] Nous prenons des précautions », dit-elle en désignant les masques blancs couvrant le bas de son visage et celui de sa sœur qui l'accompagne.
Lire aussi Phébé – À La Mecque, certains musulmans sont plus égaux que d'autres



Le royaume, qui n'a pas encore été touché par l'épidémie de coronavirus, a annoncé jeudi suspendre « temporairement » l'entrée des pèlerins se rendant dans la ville sainte, une décision d'une ampleur sans précédent destinée à prévenir « l'arrivée » du nouveau coronavirus qui s'est propagé dans le Golfe, affectant particulièrement des personnes revenant d'Iran, pays le plus lourdement touché après la Chine. Les sols de la Grande Mosquée sacrée sont lavés quatre fois par jour, quelque 13 500 tapis de prière ont été retirés, d'autres ont été désinfectés, selon les autorités. Chaque année, La Mecque accueille des millions de fidèles pour l'Omra. Parmi eux, Hossam Eldin Ali, un jeune Turc de 21 ans qui étudie la loi islamique – la charia — à l'université d'Al-Azhar au Caire. « Comment pourrait-on avoir peur dans la maison de Dieu ? » s'interroge-t-il. « Même si j'étais infecté, je mourrais en martyr ici. »

Annulations en série


Robina Mahmoud guide un groupe d'une centaine de pèlerins venus des Pays-Bas. Elle dit s'assurer en permanence que tous portent un masque, boivent de l'eau et se lavent les mains régulièrement. « Cela nous protégera certainement, mais le reste est entre les mains de Dieu », lance la jeune femme qui, sous ses lunettes, porte elle-même un masque. Avec des centaines de milliers de fidèles en pèlerinage, les masques ont été pris d'assaut dans les pharmacies adjacentes à la Grande Mosquée. « La demande au cours des deux derniers jours est sans précédent. J'ai vendu 200 boîtes en trois jours, notre stock pour tout le mois », indique un pharmacien syrien.

Les affaires sont en revanche moins bonnes pour les hôteliers. « Des groupes entiers [de pèlerins] ont annulé leurs réservations à cause de la suspension des visas », déplore Mahfouz, un expatrié égyptien qui loue des chambres dans plusieurs hôtels de la ville sainte. « Je compte toujours mes pertes, elles sont importantes », se désole-t-il. « Au moins 20 chambres sont annulées quotidiennement. Malheureusement, cela se produit pendant la saison haute de l'Omra », confirme un employé d'un hôtel près de la Kaaba.

« Si le virus arrive ici et se propage, ce sera une épidémie mondiale »


Les autorités saoudiennes, appuyées par les plus grandes institutions musulmanes comme l'université al-Azhar, martèlent que leur décision est justifiée. « Nous avons chaque mois des centaines de milliers de pèlerins de toutes les régions du monde. Si [le virus] arrive ici et se propage, ce sera une épidémie mondiale », explique un responsable saoudien qui a requis l'anonymat. Pour le royaume, qui observe une application très stricte de l'islam, « la sécurité des personnes est plus importante que la pratique de l'Omra », assure-t-il. En 2003, l'Arabie saoudite avait suspendu l'octroi de visas pour l'Omra, mais seulement à certains pays d'Asie, en raison du syndrome respiratoire aigu sévère (Sras), qui avait fait 774 morts dans le monde, bilan largement dépassé par le nouveau coronavirus.

En plus du visa pour le petit pèlerinage, Riyad a décidé de suspendre l'octroi de visas touristiques aux ressortissants de sept pays, dont ceux particulièrement touchés par le virus, tels que la Chine, l'Italie et la Corée du Sud. Les autorités saoudiennes ne se sont pas encore exprimées sur d'éventuelles mesures de précaution dans l'organisation du hajj, le grand pèlerinage de La Mecque qui doit avoir lieu cette année entre fin juillet et début août. Il avait rassemblé quelque 2,5 millions de fidèles en 2019.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Le Parisien
Le 29 avril 2022 à 20h08, modifié le 30 avril 2022 à 08h47
Après plus de 10 ans d’absence, la rappeuse Diam’s fera son grand retour au Festival de Cannes 2022, où elle présentera son documentaire « Salam », a annoncé la plateforme de streaming de Brut dans un communiqué.

« BrutX est fier de vous annoncer la projection en avant-première mondiale et en séance spéciale au Festival de Cannes du film documentaire Salam, écrit et réalisé par Mélanie Diam’s, Houda Benyamina et Anne Cissé », a écrit la plateforme qui a coproduit le documentaire.

chico.

chico.

Au cours d’un entretien accordé au Parisien, jeudi 26 mai, Diam’s est revenue sur son passé. L’occasion pour elle de revenir sur ses nombreuses tentatives de suicides…


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Diam’s se confie : tentative de suicide, scarifications… “J’ai perdu la raison”
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Une prise de parole faite en toute honnêteté. Après s’être écartée de la vie médiatique en 2010, Diam’s est revenue avec son documentaire intitulé Salam. Un projet de longue haleine qu’elle a évoqué non seulement avec Brut - avec qui elle a réalisé son film - mais également au Parisien, ce jeudi 26 mai. À nos confrères, cette dernière a partagé des confidences très fortes sur une période difficile de sa vie.
En effet, comme elle l’a évoqué dans son documentaire, lorsqu’elle était encore en activité Diam’s avait fait plusieurs tentatives de suicide et s’automutilait. "Les scarifications, c’est ma manageuse de l’époque qui en parle dans le film. Je n’aurais pas pu le faire moi-même", a d’abord rapporté Diam’s, avant de poursuivre : "Tu n’es pas fière d’avoir fait un truc comme ça. Mais je voulais que tout ça soit raconté, parce que ça a fait ce que je suis devenue aujourd’hui. Il faut comprendre que j’ai touché la folie du doigt. J’ai été folle. J’ai perdu la raison. J’ai été shootée par des médicaments qui m’éteignaient puis me désinhibaient." Une période sombre qui l’a menée à être internée en hôpital psychiatrique. Seulement, grâce à la religion, cette dernière a trouvé une voie qui lui a permis d’être plus apaisée et heureuse.

[size=30]Diam’s cash sur sa conversion à l’Islam[/size]

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Toujours dans les colonnes du Parisien, l’ancienne rappeuse est également revenue sur les nombreuses attaques qu’elle a reçues suite à sa conversion à l’Islam. Ce qui, à l’époque, avait beaucoup choqué ses fans.
"À ce moment-là, on leur a dit : 'elle a pété les plombs', 'elle est un mauvais exemple', 'elle va faire du tort aux jeunes filles de banlieue'", avait-elle d’abord lancé, avant de poursuivre, suite aux remarques parfois négatives de ses fans : "Quand on me dit des trucs comme ça, j’ai envie de répondre : 'Vous n’étiez pas là, vous ne savez pas ce que j’ai vécu'."


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