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Condamnation d'une musulmane convertie.

5 participants

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chico.

chico.

Londres fait pression pour la chrétienne condamnée à mort
Mis à jour à 11:33
Née musulmane, la jeune femme s'est convertie au christianisme et a été condamnée à mort. Le Premier ministre britannique David Cameron a appelé samedi le gouvernement soudanais à annuler la peine.

David Cameron s'est dit «absolument révolté» par la condamnation de Meriam Yahia Ibrahim Ishag, une chrétienne de 27 ans. (Photo: Keystone)
Le Premier ministre britannique David Cameron a appelé samedi le gouvernement soudanais à annuler la condamnation à mort par pendaison d'une jeune femme pour apostasie, fustigeant une peine «barbare».

David Cameron s'est dit «absolument révolté» par la condamnation de Meriam Yahia Ibrahim Ishag, une chrétienne de 27 ans, qui a accouché mardi en prison d'une fille. «La façon dont elle est traitée est barbare et n'est pas acceptable dans notre monde moderne», a poursuivi le chef du gouvernement britannique, rappelant que «la liberté de religion est un droit de l'homme absolu et fondamental».

«J'exhorte le gouvernement soudanais à annuler le verdict et à fournir immédiatement le soutien et les soins médicaux adéquats pour elle et ses enfants», a ajouté M. Cameron dans un communiqué, précisant que «le Royaume-Uni continuera à presser le gouvernement soudanais d'agir».

Le gouvernement britannique avait convoqué le 19 mai le chargé d'affaires soudanais à Londres à propos de cette condamnation.

Conversions interdites

Née d'un père musulman, Meriam Yahia Ibrahim Ishag a été condamnée à mort le 15 mai en vertu de la loi islamique en vigueur au Soudan qui interdit les conversions, provoquant un tollé à l'étranger.

La jeune femme, qui a aussi un petit garçon de 20 mois, a refusé d'abjurer sa foi chrétienne au profit de l'islam. Mariée à un chrétien du Soudan du Sud, elle a également été condamnée à 100 coups de fouet pour «adultère».

(ats/afp)

samuel

samuel
Administrateur

La plus grande confusion régnait, dimanche soir, autour du sort d'une chrétienne condamnée à mort pour apostasie au Soudan. La veille, un responsable du ministère des affaires étrangères contacté par l'AFP avait affirmé qu'elle serait libérée « dans les prochains jours selon les procédures prises par le pouvoir judiciaire et le ministère de la justice ». Les autorités soudanaises ont apporté, ce dimanche en fin de journée, un démenti total à ces affirmations. Selon Khartoum, ces déclarations ont été sorties de leur contexte.
Née d'un père musulman, Meriam Yahia Ibrahim Ishag a été condamnée à mort le 15 mai par une cour criminelle en vertu de la loi islamique en vigueur au Soudan, qui interdit les conversions, provoquant un tollé international. Cette Soudanaise de 27 ans a accouché mardi d'une fille en prison.

Source : AFP

chico.

chico.

La chrétienne soudanaise a de nouveau été arrêtée
Mis à jour il y a 6 minutes
La chrétienne condamnée à mort pour apostasie et libérée lundi a été appréhendée à l'aéroport de Khartoum alors qu'elle essayait de quitter le pays.

La jeune femme avait été libérée lundi. (Photo: Keystone)
Une chrétienne soudanaise a été arrêtée mardi à l'aéroport de Khartoum alors qu'elle s'apprêtait à quitter le pays au lendemain de l'annulation par une cour d'appel de sa condamnation à mort pour apostasie, a annoncé à l'AFP un proche de la jeune femme.

«La sécurité nationale l'a arrêtée avec Daniel», a déclaré la source, en référence à son époux de nationalité américaine.

Le sort de ses deux enfants, dont un nouveau-né, n'était pas connu dans l'immédiat.

(afp)

Josué

Josué
Administrateur

Maryam Yahya Ibrahim, la soudanaise chrétienne condamnée à mort pour apostasie puis libérée le 23 juin, a été de nouveau arrêtée le 24 juin.

Sa libération avait réjoui tout le monde, mais la joie fut de courte durée. Maryam Yahya Ibrahim, la Soudanaise condamnée à mort pour apostasie à la mi-mai puis libérée le 23 juin a été de nouveau arrêtée avec Daniel Wani, son époux de nationalité américaine, et leurs deux enfants. La famille qui se trouvait le 24 juin à l'aéroport de Khartoum s'apprêtait à quitter le Soudan.

Sur le site de la chaine de télévision américaine Nbcnews, son avocat Elshareef Ali Mohammed, présent à l'aéroport avec le couple, affirme que celui-ci a été arrêté à l'issue d'une confrontation tendue avec une cinquantaine de membres des forces de sécurité nationale. «Ils savaient que Maryam avait été acquittée, mais ils l'ont de nouveau arrêtée. Je ne sais pas pourquoi» témoigne-t-il. Selon lui, le couple ainsi que ses deux enfants auraient été emmenés dans un centre de détention.

Selon Hardwired, une ONG de défense des libertés religieuses, citée par le Dailymail, Maryam et Daniel auraient été arrêtés par les redoutés hommes du National intelligence and Security service (NISS). Un service extra-judiciaire qui peut détenir une personne indéfiniment, si le motif de la détention concerne la sécurité nationale. Dans un rapport accablant, Amnesty international surnomme ses membres les «agents de la peur».

Après des semaines de rebondissements et de rumeurs de libération, dont nous nous sommes faits l'écho, la mobilisation en faveur de Maryam avait pourtant fini par payer. Née d’un père musulman, la jeune femme avait été condamnée à 100 coups de fouet pour adultère après s’être mariée à Daniel Wani, un chrétien originaire du Sud Soudan. “Nous vous avons donné trois jours pour abjurer votre foi mais vous avez insisté pour ne pas revenir vers l’islam”, avait déclaré le juge durant le procès. Ce à quoi la jeune femme avait répondu : “Je suis chrétienne et je n’ai jamais fait acte d’apostasie”. Une déclaration qui lui avait valu la peine capitale prononcée par le juge Abbas al Khalifa. Elle avait été emprisonnée avec son petit garçon âgé de 20 mois et avait accouché, 16 jours après sa condamnation à mort, d'une petite fille.

Josué

Josué
Administrateur

Condamnée pour “apostasie” puis acquittée, la soudanaise chrétienne Maryam Yahya Ibrahim a été de nouveau arrêtée avec sa famille mardi 24 juin avant d'être libérée le 26 juin. Pourquoi ces revirements ? L'éclairage de Marc Lavergne directeur de recherche au CNRS et spécialiste du Soudan.

Maryam Yahyia Ibrahim a été condamnée puis libérée, puis de nouveau arrêtée...Il semblerait qu'elle soit libre aujourd'hui. Pourquoi ces revirements ?

Cette femme a été prise en otage entre deux groupes au pouvoir au Soudan. D'un côté, ceux que j'appelle les « barons », soit des businessmen en poste dans les ministères qui fonctionnent un peu comme une mafia, comme en Algérie à la différence que ces hommes-là ont l'ambition de peser à l'échelle africaine et mondiale. Ce sont eux qui arment des groupes qui déstabilisent les pays voisins comme en Centrafrique, où on retrouve aujourd'hui les janjawids qui terrorisaient les populations du Darfour. Les « barons » vont là où il y a de l'argent à prendre -les diamants ou l'ivoire de Centrafrique. Ils investissent ensuite dans le monde entier. Ceux-ci ont dû considérer qu'il ne fallait pas trop fâcher les Américains, que cette affaire allait finir par gêner leur business et ils ont fini par libérer Maryam Yahyia Ibrahim. Et puis de l'autre côté : les hommes du NISS, (National intelligence and Security service), le service qui semble l'avoir arrêtée à l'aéroport, plus idéologique. Celui-ci était dirigé il y a quelques années par un homme ultraviolent mais très intelligent : Salah Gesh. Emprisonné un temps, il est de nouveau libre. Sans doute est-il derrière cette nouvelle arrestation. Le NISS a peut-être profité de l'occasion pour tenter de négocier des privilèges et des avantages. Maryam a sans doute été l'objet de négociations entre ces deux groupes.

Que vient faire la religion dans tout cela ?

Le cas de cette dame n'est pas du tout une affaire religieuse. Depuis le début de cette histoire, il s'agit d'une décision politique très réfléchie. Ce gouvernement n'est pas une autorité religieuse. Il est composé de personnes très « modernes » qui, pour la plupart, ont fait leurs études en Occident. La Sharia n'est pour eux qu'un moyen d'imposer une dictature à la population en se donnant une légitimité. C'est l'islam Fast-food à l'américaine, dont il se sert pour tenter de réunir les musulmans contre l'Occident. Les Soudanais ont un rapport à la religion particulier : des villages entiers se convertissent parfois, comme dans la région de Jazirah en Mésopotamie où on a vu un village habité de travailleurs précaires devenir chrétien sans que le gouvernement ne fasse quoi que ce soit ! Il y a plusieurs raisons à ces conversions : pour protester contre les impôts, contre le fait que l'imam se remplisse les poches, etc... L'islam populaire y est très flexible. C'est un peuple de nomades, rien n'est gravé dans le marbre. Il n'y a pas de débat populaire pour savoir si on a le droit de faire çi ou ça. Le paysage religieux est très composite avec une cinquantaine de confréries religieuses soufis. Les Sud-soudanais pour qui la religion chrétienne est une identité politique, sont très présents dans les faubourg de Khartoum. Les couples mixtes sont nombreux. Les églises sont pleines le dimanche à Khartoum.

Revenons à la condamnation pour apostasie de Maryam Yahyia Ibrahim. Pourquoi elle ? Et pourquoi à ce moment-là ?

Il s'agissait de faire un exemple. Nous assistons à un affaiblissement du pouvoir au Soudan. Avec l'indépendance du Soudan du Sud en 2011, les Soudanais ont perdu une bonne partie de leur territoire, de ce qu'ils considèrent comme la « Nation arabe ». C'est vécu comme une honte devant les musulmans du monde. Mais c'est aussi une perte économique importante puisque les principales ressources énergétiques du pays se trouvaient au Sud. Ces derniers mois, le gouvernement a été mis sur la sellette. Il y a eu l'été dernier des manifestations de rue, menée par la jeunesse qui réclamait du pain, du sucre. Ca a duré longtemps. Il faut être déterminé pour manifester sous 50 degrés... Le régime fait face aussi aux révoltes des habitants des monts Nuba et au Darfour où rien n'est vraiment réglé encore aujourd'hui. Surtout, cette condamnation était une façon de rappeler à la communauté islamique mondiale que le Soudan se bat aussi contre les ennemis, les Occidentaux, symbolisés par les chrétiens. Un message à l'Arabie saoudite. Cela ressemble aussi à une vengeance : les Soudanais, qui ont accueilli Ben Laden avant le 11 septembre ont ensuite collaboré avec la CIA pour aider les Américains à le retrouver. En échange, ils espéraient un allègement ou une levée des sanctions économiques américaines (instaurées en 1997, ndlr). Mais les Américains n'ont pas tenu leur promesse. Pire, les Etats-Unis veulent aujourd'hui sanctionner la BNP pour avoir traité avec l'Iran, Cuba, certes, mais aussi avec le Soudan... La sanction américaine est un signal aux autres banques qui dit « ne traitez pas avec les Soudanais ». Les Soudanais ressentent cela comme une humiliation. Et une menace pour leurs activités de blanchissement d'argent.
http://www.lavie.fr/actualite/monde/les-dessous-de-l-affaire-maryam-yahya-ibrahim-26-06-2014-54422_5.php

chico.

chico.

Mais c'est quoi cette histoire .elle est condamnée après libre .c'est une histoire sans fin.

Josué

Josué
Administrateur

tien voilà un lien
Les dessous de l'affaire Maryam Yahya Ibrahim
http://www.lavie.fr/actualite/monde/les-dessous-de-l-affaire-maryam-yahya-ibrahim-26-06-2014-54422_5.php

chico.

chico.

La chrétienne condamnée s'est réfugiée à l'ambassade US
Mis à jour le 26.06.14
Selon l'avocat de la jeune femme, la chrétienne soudanaise dont la condamnation à mort avait été annulée a trouvé refuge à l'ambassade américaine de Khartoum.

La chrétienne soudanaise dont la condamnation à mort avait été annulée a trouvé refuge à l'ambassade à Khartoum, a déclaré son avocat jeudi. Elle avait été arrêtée mardi en tentant de quitter le pays.

«Elle est à l'ambassade américaine en ce moment», selon Me. Mohanad Mustafa, sans plus de précisions. Interrogé, un porte-parole de la mission diplomatique n'a pas fait de commentaires. «Elle et son mari pensent qu'il s'agit d'un endroit sûr pour eux», a ajouté l'avocat.

Libre, sous le contrôle d'un garant

Meriem Yahia Ibrahim Ishag, 26 ans, avait été arrêtée mardi à l'aéroport alors qu'elle tentait de quitter le Soudan avec son mari et leur deux enfants, puis inculpée d'usage de faux, Khartoum l'accusant d'avoir présenté un faux document et fourni de fausses informations pour partir.

Le procureur avait décidé de la laisser rentrer chez elle sous le contrôle d'un garant, avait déclaré plus tôt dans la journée Me Mohanad Mustafa, ajoutant qu'elle ne pourrait pas quitter le pays.

Meriem Yahia Ibrahim Ishag a pu quitter le commissariat après que ses avocats et les autorités sont tombés d'accord sur un garant qui a donné des gages qu'elle se présenterait à la justice en cas de convocation. Le nom de cette personne n'a pas été dévoilé.

Partir «le plus vite possible»

Le cas de cette jeune femme, qui met au jour la question de la liberté de culte au Soudan, et sa condamnation à la peine de mort le 15 mai ont suscité l'indignation de gouvernements occidentaux et de groupes de défense des droits de l'homme.

Une cour d'appel a décidé lundi de sa libération de prison, où elle était détenue avec ses enfants, mais menacée de mort, elle a dû se cacher dès sa sortie. Elle s'est ensuite rendue à l'aéroport de Khartoum avec son mari et leurs enfants, pour quitter le Soudan.

C'est là, selon son époux, Daniel Wani, qui a la double nationalité américaine et sud-soudanaise, qu'elle a été retenue par des agents de la sécurité nationale alors qu'elle était escortée par des diplomates de l'ambassade américaine. La famille voulait se rendre aux Etats-Unis.

«Nous sommes inquiets. C'est pour cela que nous voulons partir d'ici aussi vite que possible», a expliqué Daniel Wani, assurant que tous les documents étaient en règle.

Père musulman, mère chrétienne

Le ministre soudanais de l'Information, Ahmed Bilal Osmane, a expliqué que la jeune femme aurait dû utiliser un passeport soudanais, mais son avocat a expliqué qu'elle n'en avait pas.

«C'est là tout le problème. Elle a pris un document étranger pour voyager. Ce qu'elle a fait est illégal», a insisté Ahmed Bilal Osmane, tout en assurant que la situation pouvait être résolue. «Je suis sûr qu'elle va s'expliquer, obtenir le passeport et qu'elle pourra voyager. Pas de problème», a-t-il déclaré.

Meriam Yahia Ibrahim Ishag est née d'un père musulman et d'une mère chrétienne orthodoxe, qui l'a élevée dans sa confession après le départ du père quand l'enfant avait cinq ans.

Selon l'archevêché catholique de Khartoum, elle s'est convertie à la confession catholique juste avant d'épouser Daniel Wani fin 2011. Ce sont des hommes «qui disaient être» de sa famille paternelle qui ont engagé les poursuites pour apostasie.

(ats)

Josué

Josué
Administrateur

Maryam Yahyia Ibrahim a été condamnée puis libérée, puis de nouveau arrêtée...Il semblerait qu'elle soit libre aujourd'hui. Pourquoi ces revirements ?

Cette femme a été prise en otage entre deux groupes au pouvoir au Soudan. D'un côté, ceux que j'appelle les « barons », soit des businessmen en poste dans les ministères qui fonctionnent un peu comme une mafia, comme en Algérie à la différence que ces hommes-là ont l'ambition de peser à l'échelle africaine et mondiale. Ce sont eux qui arment des groupes qui déstabilisent les pays voisins comme en Centrafrique, où on retrouve aujourd'hui les janjawids qui terrorisaient les populations du Darfour. Les « barons » vont là où il y a de l'argent à prendre -les diamants ou l'ivoire de Centrafrique. Ils investissent ensuite dans le monde entier. Ceux-ci ont dû considérer qu'il ne fallait pas trop fâcher les Américains, que cette affaire allait finir par gêner leur business et ils ont fini par libérer Maryam Yahyia Ibrahim. Et puis de l'autre côté : les hommes du NISS, (National intelligence and Security service), le service qui semble l'avoir arrêtée à l'aéroport, plus idéologique. Celui-ci était dirigé il y a quelques années par un homme ultraviolent mais très intelligent : Salah Gesh. Emprisonné un temps, il est de nouveau libre. Sans doute est-il derrière cette nouvelle arrestation. Le NISS a peut-être profité de l'occasion pour tenter de négocier des privilèges et des avantages. Maryam a sans doute été l'objet de négociations entre ces deux groupes.

Que vient faire la religion dans tout cela ?

Le cas de cette dame n'est pas du tout une affaire religieuse. Depuis le début de cette histoire, il s'agit d'une décision politique très réfléchie. Ce gouvernement n'est pas une autorité religieuse. Il est composé de personnes très « modernes » qui, pour la plupart, ont fait leurs études en Occident. La Sharia n'est pour eux qu'un moyen d'imposer une dictature à la population en se donnant une légitimité. C'est l'islam Fast-food à l'américaine, dont il se sert pour tenter de réunir les musulmans contre l'Occident. Les Soudanais ont un rapport à la religion particulier : des villages entiers se convertissent parfois, comme dans la région de Jazirah en Mésopotamie où on a vu un village habité de travailleurs précaires devenir chrétien sans que le gouvernement ne fasse quoi que ce soit ! Il y a plusieurs raisons à ces conversions : pour protester contre les impôts, contre le fait que l'imam se remplisse les poches, etc... L'islam populaire y est très flexible. C'est un peuple de nomades, rien n'est gravé dans le marbre. Il n'y a pas de débat populaire pour savoir si on a le droit de faire çi ou ça. Le paysage religieux est très composite avec une cinquantaine de confréries religieuses soufis. Les Sud-soudanais pour qui la religion chrétienne est une identité politique, sont très présents dans les faubourg de Khartoum. Les couples mixtes sont nombreux. Les églises sont pleines le dimanche à Khartoum.

Josué

Josué
Administrateur

Après plus de deux mois de calvaire, la jeune soudanaise et sa famille sont arrivées saines et sauves en Italie jeudi 24 juillet au matin. Elle a rencontré le pape qui l'a remercié de son"témoignage de foi".


C'est la fin du calvaire pour Maryam Yahya Ibrahim. La jeune soudanaise de 27 ans est arrivée en Italie jeudi 24 juillet au matin, à bord d'un avion du gouvernement italien, accompagnée de sa famille et du vice-ministre des affaires étrangères italien, Lapo Pistelli. Cette arrivée met un terme au véritable feuilleton tragique qu'a vécu la jeune femme depuis plus de deux mois.
Tout commence quand elle est condamnée à 100 coups de fouet pour adultère (selon l'interprétation soudanaise de la charia, toute union entre une musulmane et un non-musulman est considérée comme un adultère) après s’être mariée à Daniel Wani, un chrétien originaire du Sud Soudan et de nationalité américaine. Née d'un père musulman et d'une mère chrétienne orthodoxe, Maryam Yahya Ibrahim s'était convertie au catholicisme juste avant d'épouser son mari fin 2011.
Le 15 mai, elle est condamnée à mort pour apostasie (rejet de la religion musulmane) et emprisonnée avec son fils de 20 mois, alors qu'elle est enceinte de 8 mois (elle donnera d'ailleurs naissance à sa fille 12 jours après son emprisonnement). Cette condamnation fait le tour du monde et la mobilisation en faveur de Maryam est très forte : un million de personnes signent une pétition sur le site Change.org.
> Relire l'entretien sur les dessous de l'affaire Maryam Yahya
 
Si sa condamnation est finalement annulée par la cour d'appel et qu'elle est libérée le 23 juin, le cauchemar est loin d'être fini pour la Soudanaise : elle est de nouveau arrêtée le lendemain, avec son époux et leurs deux enfants, à l'aéroport de Khartoum alors qu'ils s'apprêtaient à quitter le Soudan. Elle est finalement libérée définitivement le 26 juin et se réfugie à l'ambassade américaine pour éviter d'être à nouveau arrêtée.
Accueillie sur le tarmac de l'aéroport de Rome jeudi matin par le premier ministre italien Matteo Renzi et la ministre des Affaires étrangères Federica Mogherini, elle a rencontré le pape François aujourd'hui. 
Selon l'agence Imediale pape, qui a rencontré la jeune femme et son mari pendant près d’une demi-heure, les a “remerciés pour leur témoignage de foi“.  Le ‘porte-parole’ du Vatican a précisé que cette conversation “très affectueuse“ avait également été l’occasion de signes de “tendresse“du pape à l’égard des 2 jeunes enfants du couple. Cette rencontre, a encore assuré le père Lombardi, est “un signe de proximité et de solidarité envers tous ceux qui souffrent pour leur foi“.

Talab-al-ilm

Talab-al-ilm

Au nom d'Allah, l'infiniment Miséricordieux, Le Très Miséricordieux. Que la prière et bénédictions soient sur le Prophète Mohammad, le dernier maillon de la chaîne prophétique. Amine

Bonjour   Josué

Tous vos articles ont convergent vers un seul point commun, ils proviennent des medias de propagantistes israëliennes. Vous avez du chemin à faire pour trouver quelque chose de plus solide pour démentir l'Islam. Je vous souhaite bonne chance pour trouver mieux que des balivernes contruitent sur du cartons.

Fraternellement Talab al ilm

Wa Salam

.

http://www.aimer-jesus.com

Psalmiste

Psalmiste

Bonjour Talab-al-ilm,

Donc pour toi les articles se trouvant ci-dessus sont faux, c'est bien ça ?

Peux tu stp nous le prouver ?

Merci d'avance !

13Condamnation d'une musulmane convertie. Empty Comprendre l'Islam Mar 29 Juil - 4:07

Talab-al-ilm

Talab-al-ilm

Au nom d'Allah, l'infiniment Miséricordieux, Le Très Miséricordieux. Que la prière et bénédictions soient sur le Prophète Mohammad, le dernier maillon de la chaîne prophétique. Amine

Bonjour  Psalmiste

Pour connaître l'Islam dans son authenticité, il suffit de lire le Coran et la sounnah. La religion ne s'apprend pas dans les medias.

Fraternellement Talab al ilm

Wa salam

.

http://www.aimer-jesus.com

Psalmiste

Psalmiste

Bonjour,

Je ne te parle pas de connaitre l'islam, je te demande si OUI ou NON les articles ci-dessus sont faux !

Et s'ils sont faux, je te demande de nous le prouver !

Josué

Josué
Administrateur

Psalmiste a écrit:Bonjour,

Je ne te parle pas de connaitre l'islam, je te demande si OUI ou NON les articles ci-dessus sont faux !

Et s'ils sont faux, je te demande de nous le prouver !
Quand ça ne va pas dans son sens tous les articles sont faux.c'est la politique de l'autruche.

Psalmiste

Psalmiste

Oui mais c'est un peu facile de dire qu'un article est faux !!!

Si c'est faut, alors qu'il apporte la preuve de ce qu'il dit !!!

Josué

Josué
Administrateur

Psalmiste a écrit:Oui mais c'est un peu facile de dire qu'un article est faux !!!

Si c'est faut, alors qu'il apporte la preuve de ce qu'il dit !!!
Mais je suis d'accord avec toi.il faut des preuves.

18Condamnation d'une musulmane convertie. Empty Comprendre l'Islam Mer 30 Juil - 3:50

Talab-al-ilm

Talab-al-ilm

Au nom d'Allah, l'infiniment Miséricordieux, Le Très Miséricordieux. Que la prière et bénédictions soient sur le Prophète Mohammad, le dernier maillon de la chaîne prophétique. Amine

Bonjour  Psalmiste

Le Coran et la sounnah sont des preuves indéniables et indéstructibles.

Fraternellement Talab al ilm

Wa salam

.

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Josué

Josué
Administrateur

mais nous parlons pas sur le coran mais d'une condamnation d'un femme.

samuel

samuel
Administrateur

Oui il est question d'une condamnation d'une femme musulmane car convertie au christianisme .
Ce que le coran interdit fortement.

Talab-al-ilm

Talab-al-ilm

Au nom d'Allah, l'infiniment Miséricordieux, Le Très Miséricordieux. Que la prière et bénédiction soient sur son messager, Mohammad, le dernier des prophètes. Amine

Bonjour   samuel

Néanmoins, l’exécution de l’apostat n’a pas été exprimée par un texte coranique et n’est supportée que par un seul hadith. Les juristes ont émis divers avis : les uns s’opposent à l’exécution de l’apostat, les autres invitent à ce qu’on demande à l’apostat de se repentir, pendant un certain nombre de jours selon les uns, pendant un certain nombre de mois selon certains, jusqu’à sa mort naturelle selon d’autres. Ceux qui s’opposent à l’exécution de l’apostat soutiennent en effet que la Communauté ne perdra pas grand chose avec l’apostasie de l’un de ses membres. C’est lui seul qui se perdra dans sa vie d’ici-bas et dans l’au-delà. Le Coran indique qu’il faut négliger le sort de l’apostat, en ce sens que Dieu dédommagera la Communauté de la perte de cet apostat et de ses semblables.

Dieu dit en effet : « Ô les Croyants ! Quiconque parmi vous apostasie de sa religion... Dieu fera venir un peuple qu’Il aime et qui L’aime, modeste envers les croyants et fier et puissant envers les mécréants, qui lutte dans le sentier de Dieu, ne craignant le blâme d’aucun blâmeur. Telle est la grâce de Dieu. Il la donne à qui Il veut. Dieu est Immense et Omniscient. » Sourate 5 intitulée la Table servie, Al-Mâ’idah, verset 54.

À la lumière de cette directive coranique appelant à négliger le sort de l’apostat, nous voulons indiquer que cela prive en outre les apostats de ce à quoi aspire un grand nombre d’entre eux, à savoir la renommée et la célébrité. Ainsi, la directive coranique à la négligence qu’il faut leur témoigner fait partie de la politique légale, qui les abandonne ainsi dans les vallées de l’oubli, sans personne pour les regretter.  

Source : http://www.islamophile.org/spip/La-liberte-de-conscience-en-Islam.html

Fraternellement Talab al ilm

Wa Salam

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samuel

samuel
Administrateur

Mais pour vous un hadith mais pour vous un hadiht à autant de Valérie que le coran.
Donc ça revient à la même chose. Il faut appelé un chat un chat et ergoter sur les mots.
L'Islam condamne les apostats .point.

samuel

samuel
Administrateur

La Soudanaise condamnée à mort est arrivée aux USA
Mis à jour le 1.08.14
Après un passage en Italie où elle a rencontrée le Pape, Meriam Ishag, condamnée au Soudan pour apostasie, est désormais aux Etats-Unis.


Condamnation d'une musulmane convertie. Image_big_ipad_http___files2.newsnetz.ch_story_1_4_9_14921404_3_topelement


Le maire de la ville lui a remis un modèle de la Liberty Bell - la «Cloche de la liberté» . (Photo: Twitter)
La Soudanaise chrétienne condamnée à mort pour avoir refusé de se convertir à l'islam puis acquittée après une mobilisation internationale, est arrivée jeudi aux Etats-Unis accompagnée de ses deux enfants et de son mari.
A son arrivée à Philadelphie sur la côte est, Meriam Ibrahim Tehya Ishag a été saluée par le maire comme une «combattante de la liberté dans le monde», ont rapporté les médias.
Le maire de la ville lui a remis un modèle de la Liberty Bell - la «Cloche de la liberté» -, symbole de l'indépendance des États-Unis.

Passage en Italie
La jeune femme de 26 ans, ses deux enfants en bas âge et son mari Daniel Wani, citoyen américain, ont rejoint ensuite Manchester, dans l'Etat du New Hampshire (nord-est des Etats-Unis), où réside le frère de M. Wani.
Après avoir quitté le Soudan la semaine dernière avec l'aide du gouvernement italien, la famille a passé huit jours à Rome, où Ishag a rencontré le pape François, visité le Colisée, fait du shopping et «appris à vivre à nouveau», a-t-elle dit.
Depuis fin juin, Mme Ishag et sa famille étaient réfugiées à l'ambassade de Etats-Unis au Soudan, après avoir tenté de rejoindre ce pays.
Condamnée au Soudan
Née d'un père musulman et d'une mère chrétienne orthodoxe, qui l'a élevée dans sa confession après le départ du père quand elle avait cinq ans, Mme Ishag s'est convertie au catholicisme juste avant d'épouser son mari chrétien fin 2011, selon l'archevêché catholique de Khartoum.
Elle a refusé d'abjurer sa foi chrétienne au profit de l'islam devant la cour qui l'a condamnée à mort le 15 mai.
Cette condamnation, prononcée en vertu de la loi islamique en vigueur au Soudan qui interdit les conversions, avait finalement été annulée en appel le 23 juin, après que l'affaire eut provoqué un tollé international.
Elle a également été condamnée à cent coups de fouet pour «adultère» car, selon l'interprétation soudanaise de la charia, toute union entre une musulmane et un non-musulman est considérée comme un «adultère».
(afp)

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