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RUSSIE: les protestations généralisées à nouveau "Inquisition"
Par Geraldine Fagan, Forum 18 <http://www.forum18.org> Service Nouvelles
protestations à grande échelle par des communautés religieuses de Russie et de défenseurs des droits humains a suivi la nomination d '"anti-sectes" et les savants de l'islam controversé à un organe de l'Etat des pouvoirs étendus pour enquêter sur les organisations religieuses, Forum 18 Nouvelles notes de service. Particulièrement opposition frappante avec le Ministère de la justice du Conseil d'experts pour la conduite religieuse État-analyse des études d'experts est venue de vieux-croyants, un groupe ne sont pas directement menacés. Ils considèrent à nouveau du corps-organisation comme «une menace directe pour les droits constitutionnels des citoyens de la Russie à la liberté de la confession [qui] pourraient servir de catalyseur dangereux pour les conflits inter-confessionnels, un prologue au début de la lutte contre la dissidence religieuse , l'oppression des croyants, le rétablissement de la censure religieuse et l'inquisition. " Les vieux-croyants ont appelé à l'abolition complète du Conseil. Le ministère de la Justice n'a pas réussi à répondre aux questions de Forum 18, y compris pourquoi le Conseil est nécessaire. La position de l'Etat n'est pas favorable à l'unanimité du Conseil, et si les autorités tenir compte des manifestations de grande ampleur de son activité peut être significativement réduite.
La nomination du célèbre "anti-sectes" et les savants de l'islam controversé à un organisme gouvernemental alloué de vastes pouvoirs pour enquêter sur les organisations religieuses a provoqué un tollé sans précédent de nombreux représentants religieux et des défenseurs des droits humains, Forum 18 Nouvelles notes de service.
Particulièrement opposition frappante avec le Ministère de la justice du Conseil d'experts pour la conduite religieuse État-analyse des études d'experts est venue de l'Union du Vieux théologiens Believer, un groupe ne sont pas directement menacés. Les développements sont «une menace directe pour les droits constitutionnels des citoyens de la Russie à la liberté de la confession [qui] pourraient servir de catalyseur dangereux pour les troubles inter-confessionnel, un prologue au début de la lutte contre la dissidence religieuse, l'oppression des croyants, le rétablissement de la censure et l'inquisition religieuse, «ils. «Professer pré-schisme, Old orthodoxie russe (..) Vieux-Croyants eu à vivre des fruits terrible de la violence religieuse comme personne d'autre."
Les vieux-croyants aussi aller plus loin qu'un simple appel pour le retrait de certains membres du Conseil, ils suggèrent que le meilleur plan d'action serait l'abolition complète du Conseil. "Sinon, la vie religieuse de la Russie dépend toujours l'opinion subjective de celui des deux personnes ont fini sur ce corps," disent-ils. "Les questions de l'existence des associations religieuses devraient être réglementés par la loi civile pertinentes, sans ingérence d'aucune« conseils »des« comités »ou« services ».
Le Conseil des membres et les pouvoirs
Les ordonnances signées par le ministre de la Justice de la Russie Konovalov Aleksandr le 18 Février et 3 Mars 2009 a nommé 24 membres - tous, sauf un nouveau - pour le ministère du Conseil d'experts pour la conduite religieuse État-Expert analyse des études. Ils ont aussi considérablement élargi les pouvoirs du Conseil, lui permettant d'enquêter sur l'activité, les doctrines, les décisions de leadership, de la littérature et de culte de toute organisation religieuse enregistrée et recommander des mesures pour le ministère (voir F18News 26 mai 2009 http://www.forum18.org/ archive.php? article_id = 1299 ).
Les personnes nommées sont des chiffres connus pour leur opposition virulente de certains groupes religieux. L'un est l'auteur d'une brochure de liaison avec les adeptes du hare krishna assassiner et la maltraitance des enfants qui a été récemment déclaré extrémistes par un tribunal de l'Extrême-Orient russe. Un autre a exhorté les musulmans à brûler les livres interdits islamiques extrémistes comme - alors même que d'éminents dirigeants musulmans de presse pour un réexamen de ces décisions (voir F18News 27 mai 2009 http://www.forum18.org/Archive.php?article_id=1300 ).
Est-ce que les autorités revoient les membres du Conseil et des pouvoirs?
Si l'indignation sans précédent exprimé par de nombreux dirigeants des communautés religieuses de la Russie - adventiste, baptiste, musulmane, vieux-croyant et pentecôtistes - et défenseurs des droits humains sont bien respectées par les autorités, les manifestations peuvent mettre un frein à l'activité du Conseil.
Les développements autour du Conseil causé "un choc" au sein de l'administration présidentielle », comme ils ont essayé de suivre une politique équilibrée il, en appuyant sur la paix et la coexistence entre les confessions», Maksim Shevchenko, un membre de la Commission de la Chambre publique de sur les relations internationales et de la liberté de conscience et journaliste de télévision bien connu, a déclaré à Forum 18 le 20 mai. L'initiative pour le Conseil de la réorganisation provient de ministre de la Justice Konovalov, croit-il.
Un du Conseil de vice-présidents, Roman Silantyev, soutenu que le crédit principal pour la relance du Conseil appartient à Konovalov, le Interfax a rapporté l'agence russe nouvelles le 3 avril.
Parmi les questions écrites Forum 18 est soumis à la Ministère de la Justice avant le début de la journée de travail le 22 mai sont les suivantes: si les deux décrets de nomination de nouveaux membres au Conseil et à élargir ses pouvoirs ont été l'initiative du ministre Konovalov ou le résultat de la consultation avec un autre État organe. Forum 18 a également demandé au ministère le 29 mai pour lesquelles le Conseil existe à tous. Toutefois, le ministère n'a pas répondu à aucune des questions posées par le milieu de la journée de travail à Moscou le 2 Juin.
La position de l'Etat n'est pas favorable à l'unanimité du Conseil. Andrei Sebentsov, chef du département du gouvernement russe pour les relations avec les associations religieuses, a fait remarquer sur le site de Portail-Credo religieux des affaires le 9 avril que le rendez-vous d'Alexandre Dvorkin - "pas un savant religieux d'études et de facto la représentation des intérêts de la Russie Eglise orthodoxe (Patriarcat de Moscou) »- et Silantyev étaient« un fait très étrange qui pourrait avoir de lourdes conséquences ".
Jusqu'à présent, il n'a été fait publiquement par un représentant de l'Etat pour lutter contre les changements au Conseil. Shevchenko déclaré à Forum 18 que sa Commission a pour l'instant aucun audition prévue à la presse la question. "Je ne peux que suggérer des choses pour eux - mais nous suivons de près la situation, dit-il. «En tant que citoyen russe, je ne veux pas ce genre de justice." Shevchenko co-coordonné le 3 Mars Chambre publique audience à laquelle Ravil Gaïnoutdine, président du Conseil des muftis, interrogé interdictions récentes sur la littérature islamique.
Forte opposition au Conseil
En plus des vieux-croyants, il ya eu des réactions inhabituellement fort au Conseil de plusieurs représentants religieux et des défenseurs des droits humains au cours des dernières semaines, tel que rapporté par l'agence Interfax, Portal-Credo et les slaves, basé à Moscou Centre de droit et de justice.
Roman Lunkin, qui dirige l'Institut de religion et de droit au Centre slave, appelé la formation du Conseil "une déclaration de guerre" à des associations religieuses autres que le Patriarcat de Moscou, «à tout le moins, une inquisition." Il a ensuite publié une lettre ouverte au ministre Konovalov - conçu comme une pétition - demandant Dvorkin, Aleksandr Kuzmin, Yevgeny Mukhtarov, le P. Lev Semenov et Andrei Vasilchenko être retiré par le Conseil. Lunkin a également signalé que Igor Yablokov, qui dirige la faculté de philosophie religieuse et de sciences des religions à l'Université de Moscou et est le seul membre du Conseil précédent, voué à sa première réunion du 3 avril qu'il n'assisterait pas à l'avenir car il ne porte pas " même les plus reculées ressemblance à une réunion de savants ".
Le chef de l'Union baptiste, Yuri Sipko soutenu que les changements au Conseil a cherché à réduire la liberté religieuse à un niveau où «tout est contrôlé et subordonné à une idéologie unique et la liberté elle-même est interdit (..) cela met en évidence que l'impuissance de nos autorités de l'Etat, qui, au lieu de suivre les principes constitutionnels de la liberté - y compris la liberté religieuse - se sentent constamment à la tentation de limiter ces libertés ". Dans une déclaration plus tard sur son site Internet de l'Union, a fait valoir que Sipko considérant que le président Dmitri Medvedev a critiqué "nihilisme juridique", il avait nommé un ministre de la Justice "qui ne comprend manifestement pas l'essence du droit."
Apparemment, en réponse aux critiques ministre Konovalov de l'inquiétude sur le nouveau Conseil, Sipko également insisté pour que les autorités ne devraient pas évaluer les actions de "citoyens de la douleur, et qui souhaitent parler de leur douleur» que les actions contre les autorités. «C'est le même que si un médecin a été d'évaluer les actions d'un patient qui se plaint de son indisposition que des actions contre son autorité en tant que médecin (..) seuls les fonctionnaires sans talent d'évaluer les protestations que les actions dirigées contre les autorités. La voix de citoyens est l'expression d'une autorité supérieure, qui est derrière la voix de Dieu. "
Pentecôtistes évêque Sergei Ryakhovsky fait remarquer que la nomination de Dvorkin - "une personnalité bien odieux en russe cercles religieux» - a été "une provocation énorme par le ministère de la Justice." Il a ensuite déclaré à la chaîne de télévision TBN protestante qu'il s'attendait à "des actions très désagréable" du nouveau Conseil et a demandé instamment à démissionner Konovalov.
En réponse, le vice-président du Conseil a suggéré que Silantyev Ryakhovsky ne doit pas faire "éruption déclarations offensantes". Le Conseil n'était «pas pour flatter le regard du Département d'Etat américain, at-il poursuivi, affirmant que les recommandations du Conseil serait plutôt être pris au sérieux par les organes importants du gouvernement. "Le fait qu'ils n'auront pas d'autorité avec Sergei et Ravil Gaïnoutdine Ryakhovsky ne nuira pas aux travaux du Conseil en aucune façon", Silantyev maintenu. Dvorkin interprété appel Ryakhovsky pour Konovalov de démissionner en tant que "son désir d'accéder au pouvoir, douloureusement rappelle les événements de la« révolution orange », lorsque le même néo-pentecôtistes en Ukraine est sorti [de démontrer] sur Maidan [Place de l'Indépendance] dans Kiev. "
Dans une lettre ouverte au ministre Konovalov, Viktor Vitko, vice-président de l'adventiste du septième jour Église Euro-Division de l'Asie, a soutenu l'appel Lunkin pour les membres du Conseil doit être retiré, et a suggéré que l'attribution du droit de faire des recommandations au nom de l'État à «personnalités reconnues pour leur lutte contre les organisations non-orthodoxes et des mouvements en Russie" aboutirait inévitablement à des conflits futurs et les affaires judiciaires.
Ravil Gaïnoutdine Mufti a soutenu que le nouveau Conseil ne contient pas de spécialistes de l'islam capable de donner une évaluation objective de la littérature islamique, alors que les musulmans «à peine attention à cause de ses conclusions, encore moins de les suivre." Co-président du Conseil des muftis et chef de la Direction Volga spirituel des musulmans, Mukadas Bibarsov décrit le développement comme "soit une mauvaise plaisanterie ou dérision positive des sentiments religieux et les droits civils des croyants de Russie."
Cependant, l'Eglise orthodoxe russe a exprimé son soutien pour le Conseil. P. Vsevolod Chaplin, qui dirige le Département du Patriarcat de Moscou pour les relations entre l'Eglise et la société, a défendu le nouveau Conseil, affirmant que il est évident qu'elle contient maintenant "spécialistes à un niveau grave, active, bien connu dans la société." (FIN)
RUSSIE: les protestations généralisées à nouveau "Inquisition"
Par Geraldine Fagan, Forum 18 <http://www.forum18.org> Service Nouvelles
protestations à grande échelle par des communautés religieuses de Russie et de défenseurs des droits humains a suivi la nomination d '"anti-sectes" et les savants de l'islam controversé à un organe de l'Etat des pouvoirs étendus pour enquêter sur les organisations religieuses, Forum 18 Nouvelles notes de service. Particulièrement opposition frappante avec le Ministère de la justice du Conseil d'experts pour la conduite religieuse État-analyse des études d'experts est venue de vieux-croyants, un groupe ne sont pas directement menacés. Ils considèrent à nouveau du corps-organisation comme «une menace directe pour les droits constitutionnels des citoyens de la Russie à la liberté de la confession [qui] pourraient servir de catalyseur dangereux pour les conflits inter-confessionnels, un prologue au début de la lutte contre la dissidence religieuse , l'oppression des croyants, le rétablissement de la censure religieuse et l'inquisition. " Les vieux-croyants ont appelé à l'abolition complète du Conseil. Le ministère de la Justice n'a pas réussi à répondre aux questions de Forum 18, y compris pourquoi le Conseil est nécessaire. La position de l'Etat n'est pas favorable à l'unanimité du Conseil, et si les autorités tenir compte des manifestations de grande ampleur de son activité peut être significativement réduite.
La nomination du célèbre "anti-sectes" et les savants de l'islam controversé à un organisme gouvernemental alloué de vastes pouvoirs pour enquêter sur les organisations religieuses a provoqué un tollé sans précédent de nombreux représentants religieux et des défenseurs des droits humains, Forum 18 Nouvelles notes de service.
Particulièrement opposition frappante avec le Ministère de la justice du Conseil d'experts pour la conduite religieuse État-analyse des études d'experts est venue de l'Union du Vieux théologiens Believer, un groupe ne sont pas directement menacés. Les développements sont «une menace directe pour les droits constitutionnels des citoyens de la Russie à la liberté de la confession [qui] pourraient servir de catalyseur dangereux pour les troubles inter-confessionnel, un prologue au début de la lutte contre la dissidence religieuse, l'oppression des croyants, le rétablissement de la censure et l'inquisition religieuse, «ils. «Professer pré-schisme, Old orthodoxie russe (..) Vieux-Croyants eu à vivre des fruits terrible de la violence religieuse comme personne d'autre."
Les vieux-croyants aussi aller plus loin qu'un simple appel pour le retrait de certains membres du Conseil, ils suggèrent que le meilleur plan d'action serait l'abolition complète du Conseil. "Sinon, la vie religieuse de la Russie dépend toujours l'opinion subjective de celui des deux personnes ont fini sur ce corps," disent-ils. "Les questions de l'existence des associations religieuses devraient être réglementés par la loi civile pertinentes, sans ingérence d'aucune« conseils »des« comités »ou« services ».
Le Conseil des membres et les pouvoirs
Les ordonnances signées par le ministre de la Justice de la Russie Konovalov Aleksandr le 18 Février et 3 Mars 2009 a nommé 24 membres - tous, sauf un nouveau - pour le ministère du Conseil d'experts pour la conduite religieuse État-Expert analyse des études. Ils ont aussi considérablement élargi les pouvoirs du Conseil, lui permettant d'enquêter sur l'activité, les doctrines, les décisions de leadership, de la littérature et de culte de toute organisation religieuse enregistrée et recommander des mesures pour le ministère (voir F18News 26 mai 2009 http://www.forum18.org/ archive.php? article_id = 1299 ).
Les personnes nommées sont des chiffres connus pour leur opposition virulente de certains groupes religieux. L'un est l'auteur d'une brochure de liaison avec les adeptes du hare krishna assassiner et la maltraitance des enfants qui a été récemment déclaré extrémistes par un tribunal de l'Extrême-Orient russe. Un autre a exhorté les musulmans à brûler les livres interdits islamiques extrémistes comme - alors même que d'éminents dirigeants musulmans de presse pour un réexamen de ces décisions (voir F18News 27 mai 2009 http://www.forum18.org/Archive.php?article_id=1300 ).
Est-ce que les autorités revoient les membres du Conseil et des pouvoirs?
Si l'indignation sans précédent exprimé par de nombreux dirigeants des communautés religieuses de la Russie - adventiste, baptiste, musulmane, vieux-croyant et pentecôtistes - et défenseurs des droits humains sont bien respectées par les autorités, les manifestations peuvent mettre un frein à l'activité du Conseil.
Les développements autour du Conseil causé "un choc" au sein de l'administration présidentielle », comme ils ont essayé de suivre une politique équilibrée il, en appuyant sur la paix et la coexistence entre les confessions», Maksim Shevchenko, un membre de la Commission de la Chambre publique de sur les relations internationales et de la liberté de conscience et journaliste de télévision bien connu, a déclaré à Forum 18 le 20 mai. L'initiative pour le Conseil de la réorganisation provient de ministre de la Justice Konovalov, croit-il.
Un du Conseil de vice-présidents, Roman Silantyev, soutenu que le crédit principal pour la relance du Conseil appartient à Konovalov, le Interfax a rapporté l'agence russe nouvelles le 3 avril.
Parmi les questions écrites Forum 18 est soumis à la Ministère de la Justice avant le début de la journée de travail le 22 mai sont les suivantes: si les deux décrets de nomination de nouveaux membres au Conseil et à élargir ses pouvoirs ont été l'initiative du ministre Konovalov ou le résultat de la consultation avec un autre État organe. Forum 18 a également demandé au ministère le 29 mai pour lesquelles le Conseil existe à tous. Toutefois, le ministère n'a pas répondu à aucune des questions posées par le milieu de la journée de travail à Moscou le 2 Juin.
La position de l'Etat n'est pas favorable à l'unanimité du Conseil. Andrei Sebentsov, chef du département du gouvernement russe pour les relations avec les associations religieuses, a fait remarquer sur le site de Portail-Credo religieux des affaires le 9 avril que le rendez-vous d'Alexandre Dvorkin - "pas un savant religieux d'études et de facto la représentation des intérêts de la Russie Eglise orthodoxe (Patriarcat de Moscou) »- et Silantyev étaient« un fait très étrange qui pourrait avoir de lourdes conséquences ".
Jusqu'à présent, il n'a été fait publiquement par un représentant de l'Etat pour lutter contre les changements au Conseil. Shevchenko déclaré à Forum 18 que sa Commission a pour l'instant aucun audition prévue à la presse la question. "Je ne peux que suggérer des choses pour eux - mais nous suivons de près la situation, dit-il. «En tant que citoyen russe, je ne veux pas ce genre de justice." Shevchenko co-coordonné le 3 Mars Chambre publique audience à laquelle Ravil Gaïnoutdine, président du Conseil des muftis, interrogé interdictions récentes sur la littérature islamique.
Forte opposition au Conseil
En plus des vieux-croyants, il ya eu des réactions inhabituellement fort au Conseil de plusieurs représentants religieux et des défenseurs des droits humains au cours des dernières semaines, tel que rapporté par l'agence Interfax, Portal-Credo et les slaves, basé à Moscou Centre de droit et de justice.
Roman Lunkin, qui dirige l'Institut de religion et de droit au Centre slave, appelé la formation du Conseil "une déclaration de guerre" à des associations religieuses autres que le Patriarcat de Moscou, «à tout le moins, une inquisition." Il a ensuite publié une lettre ouverte au ministre Konovalov - conçu comme une pétition - demandant Dvorkin, Aleksandr Kuzmin, Yevgeny Mukhtarov, le P. Lev Semenov et Andrei Vasilchenko être retiré par le Conseil. Lunkin a également signalé que Igor Yablokov, qui dirige la faculté de philosophie religieuse et de sciences des religions à l'Université de Moscou et est le seul membre du Conseil précédent, voué à sa première réunion du 3 avril qu'il n'assisterait pas à l'avenir car il ne porte pas " même les plus reculées ressemblance à une réunion de savants ".
Le chef de l'Union baptiste, Yuri Sipko soutenu que les changements au Conseil a cherché à réduire la liberté religieuse à un niveau où «tout est contrôlé et subordonné à une idéologie unique et la liberté elle-même est interdit (..) cela met en évidence que l'impuissance de nos autorités de l'Etat, qui, au lieu de suivre les principes constitutionnels de la liberté - y compris la liberté religieuse - se sentent constamment à la tentation de limiter ces libertés ". Dans une déclaration plus tard sur son site Internet de l'Union, a fait valoir que Sipko considérant que le président Dmitri Medvedev a critiqué "nihilisme juridique", il avait nommé un ministre de la Justice "qui ne comprend manifestement pas l'essence du droit."
Apparemment, en réponse aux critiques ministre Konovalov de l'inquiétude sur le nouveau Conseil, Sipko également insisté pour que les autorités ne devraient pas évaluer les actions de "citoyens de la douleur, et qui souhaitent parler de leur douleur» que les actions contre les autorités. «C'est le même que si un médecin a été d'évaluer les actions d'un patient qui se plaint de son indisposition que des actions contre son autorité en tant que médecin (..) seuls les fonctionnaires sans talent d'évaluer les protestations que les actions dirigées contre les autorités. La voix de citoyens est l'expression d'une autorité supérieure, qui est derrière la voix de Dieu. "
Pentecôtistes évêque Sergei Ryakhovsky fait remarquer que la nomination de Dvorkin - "une personnalité bien odieux en russe cercles religieux» - a été "une provocation énorme par le ministère de la Justice." Il a ensuite déclaré à la chaîne de télévision TBN protestante qu'il s'attendait à "des actions très désagréable" du nouveau Conseil et a demandé instamment à démissionner Konovalov.
En réponse, le vice-président du Conseil a suggéré que Silantyev Ryakhovsky ne doit pas faire "éruption déclarations offensantes". Le Conseil n'était «pas pour flatter le regard du Département d'Etat américain, at-il poursuivi, affirmant que les recommandations du Conseil serait plutôt être pris au sérieux par les organes importants du gouvernement. "Le fait qu'ils n'auront pas d'autorité avec Sergei et Ravil Gaïnoutdine Ryakhovsky ne nuira pas aux travaux du Conseil en aucune façon", Silantyev maintenu. Dvorkin interprété appel Ryakhovsky pour Konovalov de démissionner en tant que "son désir d'accéder au pouvoir, douloureusement rappelle les événements de la« révolution orange », lorsque le même néo-pentecôtistes en Ukraine est sorti [de démontrer] sur Maidan [Place de l'Indépendance] dans Kiev. "
Dans une lettre ouverte au ministre Konovalov, Viktor Vitko, vice-président de l'adventiste du septième jour Église Euro-Division de l'Asie, a soutenu l'appel Lunkin pour les membres du Conseil doit être retiré, et a suggéré que l'attribution du droit de faire des recommandations au nom de l'État à «personnalités reconnues pour leur lutte contre les organisations non-orthodoxes et des mouvements en Russie" aboutirait inévitablement à des conflits futurs et les affaires judiciaires.
Ravil Gaïnoutdine Mufti a soutenu que le nouveau Conseil ne contient pas de spécialistes de l'islam capable de donner une évaluation objective de la littérature islamique, alors que les musulmans «à peine attention à cause de ses conclusions, encore moins de les suivre." Co-président du Conseil des muftis et chef de la Direction Volga spirituel des musulmans, Mukadas Bibarsov décrit le développement comme "soit une mauvaise plaisanterie ou dérision positive des sentiments religieux et les droits civils des croyants de Russie."
Cependant, l'Eglise orthodoxe russe a exprimé son soutien pour le Conseil. P. Vsevolod Chaplin, qui dirige le Département du Patriarcat de Moscou pour les relations entre l'Eglise et la société, a défendu le nouveau Conseil, affirmant que il est évident qu'elle contient maintenant "spécialistes à un niveau grave, active, bien connu dans la société." (FIN)
