Jéhovah n'en a pas fini avec toi!
Cette brève histoire illustre ce qu'il arrive si nous persévérons à faire ce qui est juste, même s'il nous semble que notre travail est (apparemment) sans résultat. Il s'agit d'une sœur de Londres, Angleterre, qui est confinée dans une chaise roulante depuis longtemps, bien avant même d’avoir connu la Vérité. Chaque jour pendant 10 ans elle n’a cessé de rendre témoignage par courrier sans jamais recevoir de réponse de personne, pour aucune de ses lettres.
Quand le surveillant de circonscription visita alors sa congrégation, elle demanda à lui parler.
Elle lui dit ceci : « Je vais cesser d’écrire des lettres, parce que personne ne m’a jamais répondu. Jéhovah ne veut pas de moi…J’abandonne ! » Le surveillant de circonscription lui dit alors : « Tu ne peux pas faire cela. Rappelle-toi le jour de ton baptême, tu as dis que tu étais volontaire pour faire n’importe quoi pour Jéhovah. Tu ignores quels bienfaits tes lettres ont pu produire. Tu ne peux pas laisser tomber, Jéhovah n’en a pas encore fini avec toi ! Tu ne peux pas abandonner. Il quitta notre sœur un peu insatisfaite.
Celle-ci avait un programme de radio favori qu’elle se plaisait à écouter chaque semaine. La semaine qui suivit cette discussion avec le surveillant de circonscription, elle se brancha sur ce programme.
Le commentateur commença par expliquer qu’il avait dû s’absenter parce que sa mère venait de mourir soudainement, et que bien qu’étant encore sous le coup de l’émotion, il avait besoin de se remettre au travail. Notre sœur commença à repenser à ce que le surveillant lui avait dit et se décida à écrire une lettre de plus. Dans celle-ci, elle expliqua à ce commentateur combien elle appréciait son programme radio, et ensuite lui donna le témoignage à propos de l’espérance de la résurrection. La semaine suivante, quand elle se mit à l’écoute du programme, le commentateur débuta en disant qu’il remerciait tous les auditeurs pour les lettres de condoléances qu’il avait reçues durant la semaine. Et alors, il ajouta : « Mais une lettre a particulièrement touché mon coeur , aussi je voudrais vous la lire ». C’est alors qu’il lut la lettre de la sœur sur les ondes !
Elle en fut si heureuse qu’elle se mit à repenser encore à ce que le surveillant de circonscription lui avait dit : « Jéhovah n’en n’a pas encore fini avec toi ». Elle se remit immédiatement à écrire une autre lettre expliquant l’espoir du paradis. Un jour de la semaine suivante alors qu’elle était entrain de manger son repas de midi, quelqu’un frappa à sa porte. Quand elle alla ouvrir, un homme se tenait là debout et lui dit : « Je sais que vous ne connaissez pas mon visage, mais veuillez fermer les yeux ; peut-être reconnaîtrez-vous ma voix. Il fallait que je rencontre, dit-il, la personne qui m’écrit d’aussi belles lettres. Aussi, dois-je vous dire que je désire vraiment revoir ma mère, c’est pourquoi j’ai besoin d’en apprendre plus. J’aimerais savoir si en venant vous visiter une fois par semaine, vous voudriez m’enseigner davantage concernant le paradis terrestre ?» Une fois de plus notre soeur se rappela (la phrase) :« Jéhovah n’en n’a pas encore fini avec toi ». Ainsi, l’homme et son épouse vinrent au logement de la sœur et sans tarder acceptèrent la vérité et se firent baptiser.
Puis un jour, toute la famille (de cet homme) vint voir la sœur et ils lui dit : « Nous avons eu une réunion de famille et nous voudrions [te] poser une question. Nous savons certes que nous reverrons Maman à la résurrection, mais nous voudrions que tu sois notre Maman en attendant.
Accepterais-tu de venir vivre avec nous ? ».
Notre sœur, les larmes aux yeux, accepta l’offre et cette fois encore se souvint des paroles du surveillant de circonscription : « Jéhovah n’en n’a pas encore fini avec toi ».
avec amour
Cette brève histoire illustre ce qu'il arrive si nous persévérons à faire ce qui est juste, même s'il nous semble que notre travail est (apparemment) sans résultat. Il s'agit d'une sœur de Londres, Angleterre, qui est confinée dans une chaise roulante depuis longtemps, bien avant même d’avoir connu la Vérité. Chaque jour pendant 10 ans elle n’a cessé de rendre témoignage par courrier sans jamais recevoir de réponse de personne, pour aucune de ses lettres.
Quand le surveillant de circonscription visita alors sa congrégation, elle demanda à lui parler.
Elle lui dit ceci : « Je vais cesser d’écrire des lettres, parce que personne ne m’a jamais répondu. Jéhovah ne veut pas de moi…J’abandonne ! » Le surveillant de circonscription lui dit alors : « Tu ne peux pas faire cela. Rappelle-toi le jour de ton baptême, tu as dis que tu étais volontaire pour faire n’importe quoi pour Jéhovah. Tu ignores quels bienfaits tes lettres ont pu produire. Tu ne peux pas laisser tomber, Jéhovah n’en a pas encore fini avec toi ! Tu ne peux pas abandonner. Il quitta notre sœur un peu insatisfaite.
Celle-ci avait un programme de radio favori qu’elle se plaisait à écouter chaque semaine. La semaine qui suivit cette discussion avec le surveillant de circonscription, elle se brancha sur ce programme.
Le commentateur commença par expliquer qu’il avait dû s’absenter parce que sa mère venait de mourir soudainement, et que bien qu’étant encore sous le coup de l’émotion, il avait besoin de se remettre au travail. Notre sœur commença à repenser à ce que le surveillant lui avait dit et se décida à écrire une lettre de plus. Dans celle-ci, elle expliqua à ce commentateur combien elle appréciait son programme radio, et ensuite lui donna le témoignage à propos de l’espérance de la résurrection. La semaine suivante, quand elle se mit à l’écoute du programme, le commentateur débuta en disant qu’il remerciait tous les auditeurs pour les lettres de condoléances qu’il avait reçues durant la semaine. Et alors, il ajouta : « Mais une lettre a particulièrement touché mon coeur , aussi je voudrais vous la lire ». C’est alors qu’il lut la lettre de la sœur sur les ondes !
Elle en fut si heureuse qu’elle se mit à repenser encore à ce que le surveillant de circonscription lui avait dit : « Jéhovah n’en n’a pas encore fini avec toi ». Elle se remit immédiatement à écrire une autre lettre expliquant l’espoir du paradis. Un jour de la semaine suivante alors qu’elle était entrain de manger son repas de midi, quelqu’un frappa à sa porte. Quand elle alla ouvrir, un homme se tenait là debout et lui dit : « Je sais que vous ne connaissez pas mon visage, mais veuillez fermer les yeux ; peut-être reconnaîtrez-vous ma voix. Il fallait que je rencontre, dit-il, la personne qui m’écrit d’aussi belles lettres. Aussi, dois-je vous dire que je désire vraiment revoir ma mère, c’est pourquoi j’ai besoin d’en apprendre plus. J’aimerais savoir si en venant vous visiter une fois par semaine, vous voudriez m’enseigner davantage concernant le paradis terrestre ?» Une fois de plus notre soeur se rappela (la phrase) :« Jéhovah n’en n’a pas encore fini avec toi ». Ainsi, l’homme et son épouse vinrent au logement de la sœur et sans tarder acceptèrent la vérité et se firent baptiser.
Puis un jour, toute la famille (de cet homme) vint voir la sœur et ils lui dit : « Nous avons eu une réunion de famille et nous voudrions [te] poser une question. Nous savons certes que nous reverrons Maman à la résurrection, mais nous voudrions que tu sois notre Maman en attendant.
Accepterais-tu de venir vivre avec nous ? ».
Notre sœur, les larmes aux yeux, accepta l’offre et cette fois encore se souvint des paroles du surveillant de circonscription : « Jéhovah n’en n’a pas encore fini avec toi ».
avec amour