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58 médicaments dangereux : la liste !

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Josué

Josué
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Rappel du premier message :

58 médicaments dangereux : la liste !
Le 13/09/2012 - Marion Guégan, rédactrice santé


Le Pr Bernard Debré et le Pr Philippe Even dévoilent une liste de 58 médicaments jugés "dangereux" pour la santé. Des médicaments bien connus du grand public, largement prescrits et remboursés pour la plupart ! La liste.
Médicaments cardio-vasculaires : 4 vasodilatateurs coronaires et artériels : Adancor (Derono), Ikorel (Sanofi), Vastarel et Trivastal (Servier), 1 anti-insuffisance cardiaque : Procoralan (Servier), 1 antiarythmique : Multas (Sanofi), 3 anticoagulants ou antiagrégants : Ticlid (Sanofi), Pradaxa (Boehringer), Xigris (Lilly).
Pilules contraceptives : Cycleane, Mercilon, Varnoline (Schering Prough), Melodia, Yaz, Diane 35, Jasmine-Jasminelle (Bayer), Carlin, Triafemi, Holgyème (Effik), Minesse (Wyeth), Felixita (Theramex), Lumalia (Pierre Fabre), Evépar (Mylan), Minerva (Biogaran).
Anti-inflammatoires : Indocide (MSD), Nexen (Therabel), Ketum cutané (Ménarini), Celebrex (Pfizer), Arcoxia (MSD).
Antidiabétiques : Byetta (Lilly), Victoza (NovoNordisk), 8 Gliptines : Galvus et Eucrers (Novartis), Januvia et Janumet (MSD), Xanuvia et Velmétia (Pierre Fabre), Trajenta et Onglyzia (Boehringer), 2 glitazines : Actos et Compecta (Takeda).
Antiparkinsonniens : Celance (Lilly), Parlodel (Pfizer, également prescrit pour inhiber la lactation lors de l'allaitement), Requip (GSK) et Tasmar (Madiapharma).
Anti-ostéoporose : Protelos ( Servier).
Médicaments psychiatriques : Ritaline (Novartis), Concerta (Janssen), Tofranil (CSP), Anafranil (Sigma-Tau), Surmontil (Sanofi) et Stablon ( Servier).
Anticrampes musculaires : Hexaquine et Quinine-vitamine C (Goménol) et Okimus (Biacodex).
Stimulant respiratoire : Vectarion (Servier).
Antitabac : Champix (Pfizer) et Zyban (GSK).
Anti-angiogènes en cancérologie : Avastin (Roche).

Source : Le Nouvel Observateur, 13 septembre 2012.


Josué

Josué
Administrateur

Rappel de gélules antibiotiques

antibiotiques,rappel
L'Agence du médicament et le laboratoire Sandoz annoncent le rappel de gélules antibiotiques.
Suite à la découverte d’une "contamination particulaire ponctuelle" dans une gélule d’amoxicilline 500 mg, le laboratoire Sandoz a décidé de procéder au rappel de cette spécialité en France. Cette contamination "pouvant remettre en cause la qualité de la matière première utilisée dans le lot" a précisé l'Agence du médicament dans son communiqué. Pour l'heure, le laboratoire n'a enregistré "aucun cas de pharmacovigilance" lié à cette anomalie.
Médicament rappelé : Amoxicilline Sandoz 500 mg, gélule, boîte de 12 (CIP 3400936796010) lot n°CK0394, péremption 03/2015.
Si vous êtes en possession de ce produit, rapportez-le en pharmacies.

Josué

Josué
Administrateur

Rappel d'un traitement contre les mycoses

mycose,rappel
L'Agence nationale du médicament annonce le rappel de flacons de Pevaryl®, médicament antifongique.
C'est par mesure de précaution que le laboratoire fabricant Johnson&Johnson a décidé de procéder au rappel de flacon de 30ml de Pevaryl® 1%, émulsion fluide pour application locale. Pevaryl® est un médicament qui détruit tous les champignons qui attaquent la peau. "Ce rappel fait suite à l’identification, lors de tests de suivi de stabilité, de résultats non conformes aux spécifications" a indiqué l'Agence dans son communiqué. A cet instant et selon le fabricant "aucun cas de pharmacovigilance relatif à cette anomalie n'a été observé".
Lots concernés : Lot BIB4000 Exp 08/2014, Lot CAB6100 Exp 12/2014. Code CIP 34009 320 225 3 3.Si vous êtes en possession de ce produit, rapportez-le en pharmacies.

Josué

Josué
Administrateur

Rappel d'un médicament prescrit en cas de rhumes et de rhinites
Réagissez !
médicament,rappel,rhume
Le laboratoire Bristol-Myers Squibb et l'Agence du médicament annoncent le rappel de lots de Fervex®.
Indiqués dans le traitement des rhumes, rhinites, rhinopharyngites et états grippaux, les lots de Fervex Adultes Framboise® sont rappelés par leur fabricant, auprès des professionnels de santé. En cause, la mise en évidence de "résultats atypiques" sur des lots non commercialisés lors de tests de routine. "Aucun signal de pharmacovigilance potentiellement lié à cette anomalie n'a été détecté à ce jour" précise l'Agence du médicament dans son communiqué. C'est donc par précaution et dans l'attente des résultats des investigations que le rappel a été fixé.
Lots rappelés : FERVEX ADULTES FRAMBOISE®, granulés pour solution en sachet, boîte de 8 sachets (CIP 34009 498 983 5 0), date de péremption antérieure ou égale à 02/16 (février 2016).

Josué

Josué
Administrateur

appel d'un médicament prescrit en cas de bronchite

bronchite,rappel de médicament
Après avoir procédé au rappel de plusieurs lots de Fervex, le laboratoire Bristol-Myers-Squibb annonce celui de Mucomyst.
Après avoir suspecté le saccharose comme étant à l'origine des résultats atypiques observés lors des tests de routine sur des lots de Fervex, le laboratoire Bristol-Myers-Squibb décide de rappeler des lots de Mucomyst contenant ce même excipient. Le Mucomyst est utilisé pour fluidifier les sécrétions présentes dans les bronches, lors de bronchites aiguës.
Lots rappelés :

- MUCOMYST 200 mg, poudre pour solution buvable en sachet (CIP 34009 340 651 8 7)

- MUCOMYST 200 mg/5 ml, poudre pour suspension buvable – (CIP 34009 326 885 5 5) dont la date de péremption est antérieure ou égale à Février 2015 (02/2015).

A ce jour, le laboratoire précise qu'aucun signal de pharmacovigilance potentiellement lié à l’anomalie détectée n’a été observé.

Josué

Josué
Administrateur

Des antidouleurs responsables de crises cardiaques

AINS,anti-inflammatoires,antidouleur,coeur,crise cardiaque,infarctus,médicament,problèmes cardiovasculaires
Les résultats d'une méta-analyse publiés dans le Lancet mettent en évidence les risques multipliés de crise cardiaque après la prise de certains médicaments contre la douleur, la fièvre et l'inflammation.




Les médicaments accusés sont les AINS (ou Anti Inflammatoires Non Stéroidiens) c'est-à-dire par exemple l'ibuprofène*, le diclofénac** et les coxibs***. D'après l'analyse de l'Université d'Oxford portant sur 639 essais contrôlés randomisés soient plus de 350 000 participants, la prise d'AINS à dose élevée (2400mg d'ibuprofène/jour, 150mg de diclofénac/jour, 1000mg de naproxène/jour) et sur le long terme augmente le risque cardio-vasculaire. Précisément, les chercheurs notent que le risque d'accident vasculaire est majoré de 30% quand on prend des coxibs ou du diclofénac. Sur 1000 sujets prenant un de ces deux traitements pendant 1 an, 3 ont eu une accident vasculaire grave, 1 en est décédé. L'ibuprofène a été, lui, associé à de plus gros risques d'accidents coronariens graves. D'une manière générale, les scientifiques confirment que la prise d'AINS quelqu'ils soient double le risque d'insuffisance cardiaque et majore les complications gastro-intestinales (ulcères à l'estomac...). Néanmoins, malgré tous ces risques, il ne faut pas oublier que ces médicaments ont aussi de gros bénéfices. Il ne faut donc pas arrêter leur prise sans en parler à son médecin traitant.
*Pour exemple, l'ibuprofène entre dans la composition de : Advil®, Anadvil® et Rhinadvil®, Antarène®, Brufen®, Cliptol®, Intralgis®, Nureflex® et Nurofen®, Solufen®, Spedifen®, Upfen®, Vicks Rhume®.

**Pour exemple, le diclofénac entre dans la composition de : Voltarène®, Xenid®, Misoprostol®.

***Pour exemple, le Celebrex® fait partie des coxibs. Anciennement, il y avait le Vioxx® mais il a été retiré du marché en 2004 à cause d'un trop grand risque de complications cardiovasculaires.

Source : The Lancet online May 30 2013 doi:10.1016/S0140-6736(13)60900-9. Vascular and upper gastrointestinal effects of non-steroidal anti-inflammatory drugs: meta-analyses of individual participant data from randomised trials.

Josué

Josué
Administrateur

Par Francetv info avec AFP

Une enquête a été ouverte, samedi 8 juin, après la mort d'un nonagénaire marseillais. Ce dernier aurait absorbé pendant plusieurs jours un somnifère Teva conditionné comme un diurétique. Deux lots de ce médicament fontt l'objet d'une mesure de rappel. La ministre de la Santé, Marisol Touraine, a annoncé, dimanche, qu'une enquête allait être menée par l'Agence du médicament dans l'usine de conditionnement du laboratoire Teva à l'origine de l'erreur. Francetv info récapitule les éléments connus dans cette affaire.

Quels sont les lots de médicaments incriminés ?
Une erreur de conditionnement s'est produite sur la chaîne de fabrication des laboratoires israéliens Teva. Des comprimés de zopiclone 7,5 mg (également appelé Imovane), un hypnotique utilisé pour traiter l'insomnie, ont été conditionnés dans des emballages de furosémide 40 mg, un diurétique.

L'alerte a été donnée par un pharmacien dont une patiente avait constaté des effets de somnolence inhabituels. La vente de ces lots a été bloquée dès vendredi soir. "A la suite d'un problème de conditionnement de boites de Furosémide Teva 40 mg, médicament diurétique, certains comprimés ont pu être remplacés par des comprimés d'un somnifère (Zopiclone également appelé Imovane)", a indiqué l'agence dans un communiqué.

Au total, 190 000 boîtes sont incriminées. Les deux lots en cause sont numérotés Y176 (date d'expiration : 08/2015) et Y175 (date d'expiration : 08/2015).

Que sait-on de la mort du nonégénaire ?
Le vieillard, âgé de 92 ans, est mort à son domicile du 7e arrondissement de Marseille, des suites d'un oedème pulmonaire, selon les premières constatations des pompiers. Un emballage entamé issu d'un des deux lots rappelés ont été retrouvés chez lui. Mais d'autres boîtes conformes ont également été découvertes à son domicile.

Le parquet se veut ainsi très prudent sur les causes de la mort. "Une autopsie sera pratiquée demain matin (lundi), ainsi que des examens toxicologiques, afin de déterminer les liens de causalité entre le décès et la prise des médicaments, un lien qui pour l'instant n'est pas établi", a affirmé le procureur de la République de Marseille, Jacques Dallest.

"Le somnifère incriminé n'est en soit pas mortel mais vu le grand âge de la victime, toute faiblesse médicale peut s'avérer grave", a précisé le procureur. L'enquête, ouverte pour "recherches des causes de la mort", a été confiée aux policiers de la Sûreté départementale des Bouches-du-Rhône.

Que faut-il faire si on consomme du Furosémide ?
Le principal risque est un endormissement, qui peut s'avérer dangereux au volant. Un numéro vert, le 0800 513 411, a été mis en place pour les patients concernés.

Ces derniers sont sont appelés à interrompre leur traitement et à ramener les plaquettes dans leur pharmacie. Les pharmaciens le signalent ensuite au laboratoire, comme l'explique ce pharmaciens à France 2 :

Josué

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Administrateur

Une enquête chez Teva, après la mort d'un patient trompé par l'emballage de son diurétique
Deux lots de comprimés de somnifères ont été vendus sous l'emballage d'un diurétique. Un nonagénaire est mort, mais le parquet reste prudent.
Par Francetv info avec AFP
Mis à jour le 09/06/2013 | 19:15 , publié le 09/06/2013 | 08:44

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Une enquête a été ouverte, samedi 8 juin, après la mort d'un nonagénaire marseillais. Ce dernier aurait absorbé pendant plusieurs jours un somnifère Teva conditionné comme un diurétique. Deux lots de ce médicament font l'objet d'une mesure de rappel.

La ministre de la Santé, Marisol Touraine, a annoncé, dimanche, qu'une enquête allait être menée par l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) dans l'usine de conditionnement du laboratoire Teva à l'origine de l'erreur. Francetv info récapitule les éléments connus dans cette affaire.

Quels sont les lots de médicaments incriminés ?
Une erreur de conditionnement s'est produite sur la chaîne de fabrication des laboratoires israéliens Teva. Des comprimés de zopiclone 7,5 mg (également appelé Imovane), un hypnotique utilisé pour traiter l'insomnie, ont été insérés dans des emballages de furosémide 40 mg, un diurétique. L'alerte a été donnée par un pharmacien dont une patiente avait constaté des effets de somnolence inhabituels. La vente de ces lots a été bloquée dès vendredi soir.

Au total, 190 000 boîtes sont incriminées par l'ANSM. Les deux lots en cause sont numérotés Y176 (date d'expiration : 08/2015) et Y175 (date d'expiration : 08/2015). "Quelques dizaines de boîtes ont potentiellement eu ce problème de conditionnement", affirme de son côté un porte-parole de Teva.

Que sait-on de la mort du nonégénaire ?
Le vieillard, âgé de 92 ans, est mort à son domicile du 7e arrondissement de Marseille, des suites d'un oedème pulmonaire, selon les premières constatations des pompiers. Un emballage entamé issu d'un des deux lots rappelés ont été retrouvés chez lui. Mais d'autres boîtes conformes ont également été découvertes à son domicile.

Le parquet se veut très prudent sur les causes de la mort. "Le somnifère incriminé n'est en soit pas mortel mais vu le grand âge de la victime, toute faiblesse médicale peut s'avérer grave", a affirmé le procureur procureur de la République de Marseille, Jacques Dallest. Il précise que "la non-prise du diurétique (Furosémide Teva 40 mg, ndlr) peut être à l'origine de l'œdème pulmonaire aigu."

Que faut-il faire si l'on consomme du Furosémide ?
Attention, inutile d'arrêter la prise du diurétique si vous n'avez pas vérifié qu'ils font partie des lots incriminés. Pour rappel : les lots Y176 et Y175 arrivent à expiration en août 2015. L'arrêt du traitement peut en effet provoquer des complications.

Si vous avez absorbé des médicaments des lots incriminés, le principal risque est un endormissement, qui peut s'avérer dangereux au volant. Un numéro vert, le 0800 513 411, a été mis en place pour les patients concernés. Vous devez ramener les plaquettes suspectes à votre pharmacie, qui le signalera ensuite au laboratoire, comme l'explique ce pharmacien à France 2.

Josué

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Administrateur

L'ANSM demande aux patients qui détiennent du furosémide Teva 40 mg de le rapporter
Après Marseille, deux nouveaux cas, un décès et un cas grave, ont été signalés. Par mesure de précaution, l’Agence nationale de sécurité du médicament demande aux patients de rapporter chez leur pharmacien toutes les boîtes de furosémide Teva 40 mg qui leur auraient été délivrées, peu importe leur numéro de lots.

Josué

Josué
Administrateur

Furosémide : un nouveau décès, tous les lots rappelés
Le Point.fr - Publié le 11/06/2013 à 07:10 - Modifié le 11/06/2013 à 07:19
Un numéro vert a été ouvert par Teva à la demande de l'Agence du médicament. L'inspection du site va se poursuivre durant la journée de mardi.
Deux nouveaux cas, dont un décès, en relation avec l'erreur de conditionnement du diurétique Furosémide Teva, ont été signalés lundi à l'Agence du médicament (ANSM), qui a décidé le rappel de toutes les boîtes de ce médicament par "mesure de précaution". "L'ANSM a reçu lundi matin deux nouveaux signalements de pharmacovigilance" avec "un décès et un cas grave", qui interviennent après le décès, dimanche à Marseille, d'un homme de 91 ans qui prenait le médicament incriminé, selon un communiqué de l'Agence.

Le parquet de Privas a ouvert lundi une enquête après le décès, le 4 juin, dans un hôpital drômois d'une octogénaire qui, selon ses proches, aurait ingéré du Furosémide de Teva. Selon une source proche du dossier, ce dernier cas ne ferait pas partie des trois répertoriés par l'ANSM, ce qui porterait donc lundi soir le nombre total de cas suspects à quatre. "Pour l'un (des deux nouveaux cas annoncés par l'ANSM, NDLR), le patient semble avoir été traité par le produit incriminé retiré de la vente vendredi (lots Y175 ou Y176)", a précisé l'Agence. Mais pour l'autre "des investigations sont encore en cours" pour déterminer le lot administré, a ajouté l'agence, et "d'autres signalements sont actuellement à l'étude".

Enfin, une patiente de 73 ans a été hospitalisée en réanimation au CHRU de Tours pour des complications, à la suite de la prise de Furosémide, a-t-on appris auprès de l'agence régionale de santé. Aucune autre précision n'a été fournie sur les nouveaux cas recensés par l'ANSM, qui a reconnu que des signalements "affluent de toutes parts", avec des cas concernant généralement des personnes âgées.

Précautions

Du coup, à titre de précaution, l'Agence a décidé de rappeler tous les lots de Furosémide 40 mg du fabricant israélien Teva, numéro un mondial des médicaments génériques. "Ce rappel de l'ensemble des lots de Furosémide Teva 40 mg auprès des patients, décidé en accord avec la société Teva, est une mesure de précaution", a souligné l'ANSM dans son communiqué.

Les patients traités avec ce diurétique "doivent se rendre dès que possible à leur pharmacie" pour que les pharmaciens leur remettent du Furosémide non fabriqué par Teva, afin que leur traitement diurétique soit poursuivi. Les pharmaciens sont même invités à entrer en contact avec les patients concernés. L'alerte avait été donnée vendredi par un pharmacien dont une patiente prenant le médicament avait signalé des somnolences inhabituelles.

L'enquête a déterminé que certains comprimés du diurétique avaient été remplacés par des somnifères sur deux lots (Y175 et Y176), comptant 190 000 boîtes, retirées du marché à partir de vendredi soir.

L'ANSM a entamé lundi après-midi une inspection sur le site du laboratoire Teva à Sens, dans l'Yonne, pour "trouver l'origine" de cette erreur de conditionnement. Les inspecteurs de l'ANSM "resteront le temps nécessaire pour trouver l'origine du problème", a expliqué une porte-parole de l'Agence. Le président de Teva France, Erick Roche, a annoncé lundi soir à la presse que l'inspection menée par l'ANSM se poursuivrait mardi.

Dans un court communiqué, Erick Roche a indiqué qu'il ne pouvait, à cette heure (lundi soir, NDLR), "communiquer aucun élément sur l'inspection et les conclusions de l'enquête" qui "se poursuivra demain".

Examens toxicologiques

À Marseille, une enquête a été ouverte samedi après le décès d'un homme de 91 ans chez qui a été retrouvée une boîte entamée provenant d'un des lots mal conditionnés et pouvant contenir un somnifère. L'une des filles du nonagénaire marseillais a raconté s'être inquiétée de voir que son père "n'arrêtait pas de dormir" depuis une semaine. Des examens toxicologiques seront pratiqués dans les prochains jours dans le cadre de l'enquête ouverte pour "recherche des causes de la mort" par le pôle santé publique du parquet de Marseille.

Les diurétiques, tel le Furosémide de Teva, sont en général prescrits dans des cas d'hypertension artérielle et d'oedèmes d'origine cardiaque, rénale ou hépatique.

Selon Teva, l'erreur de conditionnement ne concernerait que "quelques dizaines de boîtes" sur les dizaines de milliers concernées par le rappel. La malveillance est une "hypothèse possible" pour expliquer la présence du somnifère dans certaines boîtes du diurétique, a estimé le Pr François Chast, expert en pharmacie.

Dans un communiqué, le laboratoire Teva a indiqué n'exclure "aucune piste" et a souligné que les deux médicaments avaient été "conditionnés sur des lignes différentes à plusieurs semaines d'intervalle". Un numéro vert a été ouvert par Teva à la demande de l'ANSM : 0800 51 34 11. Il est ouvert au public 24 heures sur 24.

Josué

Josué
Administrateur

Furosémide : décès suspect à Saint-Nazaire
Le Point.fr - Publié le 15/06/2013 à 12:17 - Modifié le 15/06/2013 à 12:23
L'octogénaire, soignée pour un oedème à la jambe avec du Furosémide, pourrait avoir consommé des médicaments venant d'un des deux lots incriminés.
Une enquête pour recherche des causes de la mort a été ouverte à Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) après le décès d'une octogénaire qui prenait du diurétique Furosémide du laboratoire Teva dont certaines boîtes ont fait l'objet d'un mauvais conditionnement, a-t-on appris samedi de source judiciaire. Cette femme, âgée de 83 ans, a été soignée pour un oedème à la jambe avec du Furosémide, les médicaments faisant partie d'un des deux lots incriminés, le Y176, date de péremption août 2015, a constaté une correspondante de l'AFP.

"On a la boîte, il est assez facile de voir qu'il s'agit bien du lot incriminé", a indiqué la procureur de la République de Saint-Nazaire, Florence Lecoq, auprès de l'AFP. Certaines boîtes de Furosémide vendues en France pourraient avoir fait l'objet d'un mauvais conditionnement et contenir des somnifères à la place des diurétiques, ce qui pourrait avoir causé plusieurs décès en France. 

Sa santé s'est dégradée

L'Agence du médicament (ANSM) a décidé le 10 juin le rappel de tous les lots du Furosémide 40 mg du laboratoire Teva par "mesure de précaution". Thérèse Rabillier a commencé son traitement le 30 mai, a été admise aux urgences de l'hôpital de Saint-Nazaire le 4 juin et est décédée d'une insuffisance cardiaque le 8 juin, selon le témoignage de la famille auprès d'une correspondante de l'AFP, confirmant une information de Presse Océan.

Selon la famille, Mme Rabillier était une femme "autonome, qui se débrouillait toute seule, qui faisait son ménage et mangeait très bien", et qui du jour au lendemain "ne mangeait pas, ne buvait pas et était tout le temps fatiguée, tout le temps essoufflée".

"Il va falloir voir si la prise de médicaments a un lien avec le décès", a déclaré le procureur, "sur quelle période le médicament a été pris, apparemment une période assez brève, et s'il y a un lien avec le décès", a insisté Mme Lecoq.

Josué

Josué
Administrateur

Ostéoporose : le Protelos associé à un risque d'infarctus
Réagissez !
ostéoporose
Déjà sur la sellette depuis plusieurs mois, le Protelos® est aujourd'hui associé à un risque augmenté d'infarctusdu myocarde. 
L'Agence du médicament a ainsi décidé de restreindre encore son utilisation.

58 médicaments dangereux : la liste ! - Page 2 240-protelos(2)
C'est dans un communiqué publié le 11 juin que l'Agence du médicament fait part d'essais cliniques mettant en évidence une augmentation du risque d'infarctus du myocarde associé à la prise de Protelos® (ranélate de sodium) et annonce le réexamen du médicament au niveau européen. La balance bénéfice/risque du Protelos® avait déjà été revu en 2011 et avait été jugée positive par les autorités de santé. Aujourd'hui, après un deuxième examen, on peut se demander si le médicament ne sera pas prochainement retiré du marché.

Uniquement en cas d'ostéoporose sévère
En attendant la nouvelle évaluation, l'ANSM a émis de nouvelles restrictions d'utilisation du Protelos® : le réserver aux patients présentant une ostéoporose sévère ou un risque élevé de fracture, et ne pas l'utiliser chez ceux ayant un facteur de risque cardiovasculaire. Le Protelos® est désormais contre-indiqué en cas d'antécédents de pathologie cardiaque ischémique, d'artériopathie périphérique et/ou de pathologie vasculaire cérébrale, et d'hypertension artérielle non contrôlée.

Josué

Josué
Administrateur

INFO FRANCE 3. Furosémide : le pharmacien à l'origine de l'affaire s'exprime pour la première fois
Douze jours après le rappel des boîtes de diurétique des laboratoires Teva, les enquêtes se poursuivent à la suite des décès suspects de sept personnes âgées.
http://www.francetvinfo.fr/info-france-3-furosemide-le-pharmacien-a-l-origine-de-l-affaire-s-exprime-pour-la-premiere-fois_351584.html#xtor=EPR-51-[alerteinfo]-20130619-[bouton]-[]

Josué

Josué
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Furosémide : "Les malades peuvent reprendre le traitement"
Le directeur de l'Agence du médicament, Dominique Maraninchi, l'a annoncé jeudi sur Europe 1.

Josué

Josué
Administrateur

L'affaire s'est progressivement dégonflée. Mercredi 26 juin, le parquet de Marseille a annoncé que les analyses effectuées sur l'homme qui prenait du diurétique furosémide, du laboratoire Teva, mort le 8 juin dans des circonstances troubles, ne révèlent pas de traces de somnifères. Elles démontrent que le nonagénaire est mort des suites d'un oedème pulmonaire aigu.

Alors que des boîtes de furosémide auraient contenu des somnifères après un mauvais conditionnement, les analyses toxicologiques effectuées sur le nonagénaire n'ont pas révélé la présence de somnifère zopiclone."Les résultats toxicologiques complémentaires établissent que le défunt ne présentait pas de zopiclone dans les échantillons biologiques (sang et urine) alors que du furosémide a bien été identifié. Ces résultats valent pour les quelques heures ayant précédé le décès", a indiqué le procureur de la République, Jacques Dallest, dans un communiqué.

Josué

Josué
Administrateur

Pommades et crèmes au menthol: attention au risque de brûlures
Certaines crèmes et pommades à base de menthol utilisées pour soulager des douleurs musculaires ou articulaires peuvent provoquer des brûlures parfois graves, avertit la revue médicale Prescrire dans son dernier numéro.

La revue indépendante précise que les brûlures les plus graves (2e et 3e degrés) ont été observées après application de pommades, lotions, crèmes ou patch contenant du menthol, associé ou non avec du salicylate de méthyle, utilisé pour ses propriétés analgésiques.

L'avertissement de la revue Prescrire intervient après la mise en garde lancée en septembre dernier par l'agence américaine du médicament FDA, après 43 observations de brûlures aux États-Unis entre 1969 et 2011.

Parmi les crèmes ou pommades présentant des concentrations de produits proches de celles qui ont posé problème aux États-Unis, la revue Prescrire cite trois produits commercialisés en France, le Baume Aroma, Lumbalgine et le Baume Saint Bernard, qui contiennent au moins l'une des deux substances incriminées. En plus du menthol et du salicylate, le Baume Saint Bernard contient également de la capsaïcine (un composant actif du piment). Les trois médicaments sont en vente libre dans les pharmacies.

Parmi les effets indésirables fréquents de la capsaïcine, observés au cours d'essais cliniques, figurent des troubles cutanés, de type rougeur sur le site d'application.

Plutôt que d'utiliser ces produits, Prescrire conseille de revenir aux bonnes vieilles méthodes: bouillotte, application d'un linge humide, voire d'un sac de glaçons.

"Mieux vaut choisir ces options, en maîtrisant leur température, plutôt que de s'exposer à des effets indésirables graves imprévisibles", conclut la revue.

Le 01/07/2013 - AFP

Josué

Josué
Administrateur

Le Myolastan® et ses génériques retirés du marché
L'Agence nationale du médicament annonce la suspension des autorisations de mise sur le marché des médicaments à base de tétrazepam (Myolastan® et ses génériques), substance indiquée dans le traitement des contractures douloureuses en rhumatologie.
En raison de risques de réactions cutanées rares mais très graves et parfois mortelles, l'ANSM annonce dans un communiqué sa décision de suspendre la vente des médicaments à base de tétrazepam. Le rapport bénéfice/risque de ces traitements est désormais défavorable. En France, la suspension sera effective le 8 juillet 2013. A cette date, toutes les boîtes disponibles sur le marché seront rappelées.
Si vous suivez actuellement un traitement à base de tétrazepam, prenez rendez-vous chez votre médecin traitant afin qu'il vous oriente vers une autre alternative thérapeutique.

Le Myolastan® et ses génériques appartiennent à la famille des benzodiazépines. Ils sont commercialisés depuis 1969, pour soigner les contractures douloureuses en rhumatologie.

Josué

Josué
Administrateur

Allaitement : le Parlodel, c'est fini !
allaitement
Médicament autorisé pour stopper la lactation après l'accouchement ou l'arrêter après un allaitement, la bromocriptine (Parlodel® et Bromocriptine Zentiva®) ne doit plus être prescrit dans cette indication, selon une décision publiée par l'Agence du médicament le 25 juillet.
allaitement parlodel
Beaucoup de femmes se sont vus prescrire de la bromocriptine pour prévenir ou arrêter la lactation. Or, aujourd'hui, ce médicament est associé à un trop grand nombre d'effets indésirables graves pour continuer d'être utilisé dans cette indication. Dans un communiqué du 25 juillet 2013, l'Agence du médicament annonce cette décision estimant "que le rapport bénéfice/risque de ces médicaments n'est plus favorable".
Des conséquences trop graves

Comme l'explique l'Agence du médicament, "l’utilisation de la bromocriptine a été associée à la survenue d’effets indésirables rares mais parfois graves, cardiovasculaires (notamment accident vasculaire cérébral, infarctus du myocarde et hypertension artérielle), neurologiques (principalement convulsions) et psychiatriques (hallucinations, confusion mentale), chez des femmes prenant ces médicaments pour prévenir ou interrompre la montée laiteuse après un accouchement ou une interruption de grossesse". Ces effets indésirables sont connus et mentionnés dans le résumé des caractéristiques du produit (RCP) depuis 1994 en France mais persistent en trop grand nombre. L'ANSM demande une réévaluation au niveau européen du médicament dans cette indication.

Que prendre à la place ?

L’ANSM rappelle que l’utilisation d’un médicament inhibant la lactation doit être réservée aux situations où l’inhibition de la lactation est souhaitée pour raison médicale. La prise systématique d’un médicament inhibant la lactation pour prévenir ou traiter l’inconfort ou l’engorgement pouvant survenir lors de la montée laiteuse n’est pas recommandée. "Il n’y a pas de justification à utiliser des médicaments dans le sevrage de l’allaitement au-delà de un mois après l’accouchement" ajoute l'Agence. Pour cause, la glande mammaire devient progressivement autonome et le taux de prolactine retourne à son niveau de base.

Lorsque l’inhibition médicamenteuse de la lactation est souhaitée, d’autres spécialités sont autorisées dans cette indication : le lisuride (Arolac® 0,2 mg, comprimé sécable) et la cabergoline (Cabergoline Sandoz® 0,5 mg, comprimé sécable, non encore commercialisée). Jusqu'à ce jour, ces médicaments qui sont des agonistes dopaminergiques (comme la bromocriptine) n'ont pas montré d'effets indésirables graves. Si la montée laiteuse occasionne un inconfort trop important, il est possible d’utiliser un antalgique comme le paracétamol.

Ce qu'il faut éviter pour arrêter la lactation : la dihydroergocryptine (Vasobral®) utilisée hors AMM, les diurétiques, le bandage des seins (l’inconfort engendré peut être plus important que celui lié à la montée laiteuse).

A noter : Le rapport bénéfice risque n’a été jugé défavorable que dans l’indication de l’inhibition ou de la prévention de la lactation. Les bénéfices attendus dans ses autres indications, notamment dans le traitement de la maladie de Parkinson, restent toujours supérieurs aux risques.

Le 30/07/2013 - Aurélie Blaize, journaliste santé

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Paracétamol : n'oubliez pas qu'il peut provoquer de graves réactions cutanées !

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On a tendance à l'oublier (ou parfois à ne pas le savoir) mais la prise de paracétamol (aussi appelé "acétaminophène) peut entraîner de graves réactions cutanées, potentiellement mortelles.
paracetamol peau
Eruptions cutanées, cloques... L'Agence américaine du médicament (FDA) rappelle aux consommateurs de paracétamol que cet analgésique banalisé n'est pas dénué de risques, notamment au niveau de la peau. "Il est extrêment important que les gens reconnaissent et réagissent rapidement aux premiers symptômes de ces effets secondaires rares mais graves, et potentiellement mortels" a déclaré le Dr Sharon Hertz, directeur adjoint du département Anesthésie, Analgésie et Addiction de la FDA. La FDA recommande aux personnes observant la moindre réaction d'arrêter le traitement et de consulter rapidement un médecin.
107 réactions cutanées, 67 hospitalisations, 12 décès

Rhume, fièvre, mal de tête... Le paracétamol est un antidouleur présent dans un très grand nombre de médicaments vendus sans ordonnance. Si la FDA veut aujourd'hui rappeler aux utilisateurs ses risques cutanés c'est parce qu'elle a enregistré 107 réactions de ce type entre 1969 et 2012, aboutissant sur 67 hospitalisations et 12 décès. La réaction peut survenir à n'importe quel moment, même si on en a déjà pris avant et qu'il n'y a eu aucun problème. Il n'existe actuellement aucun moyen de prédire qui pourraient être plus à risque. Dans son communiqué, la FDA a souligné qu'elle considère toujours les avantages de la molécule supérieurs aux inconvénients.

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Dompéridone (Motilium®) : un traitement dangereux à oublier ?
Dans son édition de septembre, la revue médicale Prescrire alerte sur les dangers du dompéridone, molécule active du Motilium®. Responsable de graves troubles cardiaques, ce neuroleptique pourrait être sur la touche.

domperidone_petit©Fotolia.com
Commercialisé depuis 1980, la Dompéridone (Motilium® ou autres génériques) est un neuroleptique préconisé notamment dans le traitement des troubles digestifs, comme les nausées ou vomissements. Mais son efficacité est surtout établie comme placebo et, pire, cela fait longtemps que l’on connaît ses possibles effets indésirables cardiaques très graves. En 2011, suite à l’examen de nouvelles données d’utilisation, l’Agence française des produits de santé (ANSM) informait ainsi les soignants de l’augmentation du risque d’arythmies ventriculaires graves et de mort subite lié à la dompéridone. La substance est de plus parfois utilisée hors indication officielle pour stimuler la lactation lors de l’allaitement et peut alors avoir des conséquences néfastes sur la santé cardiaque des nouveaux-nés. Aujourd’hui, dans son édition de septembre, la revue médicale Prescrire estime que "le retrait du marché des médicaments à base de dompéridone orale (qui) représente une action décisive de protection des patients". Et recommande d’éviter ce neuroleptique "plus dangereux qu'utile".

Source : "Dompéridone et troubles cardiaques : réévaluation européenne en cours, mais à écarter sans attendre" Rev Prescrire, 2013

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Les statines pourraient-elles faire perdre la vue ?

Célèbres médicaments anticholestérol, les statines pourraient augmenter de 27% le risque de développer une cataracte. Telles sont les conclusions de recherches menées aux Etats-Unis sur 14 000 personnes.

© Alexander Demyanenko - Fotolia.com

Bonnes ou mauvaises ? Le débat reste entier sur les statines. S'il est clair que leur prise a démontré une réduction du risque cardio-vasculaire, les scientifiques avancent toujours de nouveaux effets indésirables. Dernièrement, des chercheurs américains ont constaté une augmentation de 27% du risque de cataracte chez des personnes ayant pris des statines pendant au moins 3 mois, en comparaison à d'autres n'ayant jamais pris de tels traitements. Ils ont également remarqué que le risque de cataracte augmentait avec la durée de prise du médicament. Cependant, l'équipe du Dr Ishak Mansi n'a pas pu expliquer comment les statines pouvaient favoriser le développement de cataracte. Ce qu'ils espèrent c'est que leurs résultats encouragent les gens à améliorer leur taux de cholestérol en changeant leur style de vie... pour éviter peut-être une médication. "Arrêter de fumer, manger sainement et être actif peut éviter au médecin de vous prescrire un comprimé qui peut avoir des effets secondaires" a souligné Dr Mansi. Pensez-y !

L'étude a été menée sur les dossier médicaux de 14 000 personnes âgés de 30 à 85 ans.

Source : JAMA Ophthalmology, September 19, 2013.

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Anticoagulant Pradaxa® : plainte de plusieurs familles après le décès de 4 personnes

Depuis 2012, le Pradaxa® est un anticoagulant sur la sellette parce qu'il est associé à de lourds effets indésirables. Aujourd'hui, les familles de quatres personnes qui en prenaient et sont décédées cette année, portent plainte contre le laboratoire allemand Boehringer Ingelheim.


Le Pradaxa® disparaîtra peut-être bientôt des pharmacies françaises. Les familles de quatre personnes prenant cet anticoagulant oral décédées début 2013, viennent de porter plainte contre Boehringer Ingelheim, le laboratoire allemand fabricant ce médicament. Les victimes, âgées de 78 à 84 ans, étaient originaires des régions de Lille, Strasbourg, Paris et Grenoble. Les plaignants reprochent également à l'Agence de sécurité des médicaments en France (ANSM), d'avoir méconnu les principes de précaution et de prévention. Selon leur plainte, la molécule "n'a pas été assez étudiée, notamment chez les patients les plus fragiles" (les personnes âgées). Leur avocat, Me Courtois, estime qu'ils ne devraient pas prendre ce traitement.

Un médicament sur la sellette depuis 2012

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Suspension européenne demandée pour l'anti-inflammatoire diacéréine
Publié par AFP le Vendredi 08 Novembre 2013 à 21h52

L'Agence européenne du médicament (EMA) a annoncé vendredi que son comité spécialisé Prac avait recommandé la suspension de l'anti-inflammatoire diacéréine, produit largement génériqué et utilisé pour traiter l'arthrose du genou et de la hanche.

Des enseignes lumineuses de pharmacieDes enseignes lumineuses de pharmacie - Philippe

L'Agence européenne du médicament (EMA) a annoncé vendredi que son comité spécialisé Prac avait recommandé la suspension de l'anti-inflammatoire diacéréine, produit largement générique et utilisé pour traiter l'arthrose du genou et de la hanche.

"Le Comité pour l'évaluation des risques en matière de pharmacovigilance (Prac) a recommandé la suspension des médicaments contenant de la diacéréine dans l'Union européenne" indique dans un communiqué l'Agence.

Le Prac a estimé "que les avantages de la diacéréine, utilisé pour traiter les symptômes de l'arthrose et autres maladies dégénératives des articulations, n'étaient pas supérieurs aux risques, notamment le risque de diarrhée sévère et les effets potentiellement néfastes sur le foie" selon le communiqué.

C'est l'Agence française du médicament (ANSM) qui est à l'origine de cette révision. L'ANSM avait fait part de ses préoccupations au sujet de la fréquence et gravité des effets secondaires gastro-intestinaux.

En outre, "l'efficacité sur la douleur et l'amélioration fonctionnelle de l'arthrose ne sont que faiblement démontrées" pour ce produit, avait indiqué l'ANSM lors de la saisine de l'organisme européen.

Une autre instance, la Haute autorité de santé (HAS) française avait rendu, en tout début d'année, un avis défavorable pour le remboursement d'un médicament contenant de la diacéréine par la Sécurité sociale en raison d'un "service médical rendu insuffisant".

La recommandation de suspension du Prac sera examiné vers la mi-décembre par l'instance qui représente les différentes agences nationales du médicament dans les pays de l'UE, pour un avis définitif.

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Pharmacie : 539 médicaments absents des rayons
Inquiétant. La présidente de l'Ordre des pharmaciens a indiqué aujourd'hui que 539 médicaments étaient absents des rayons des pharmacies en septembre.

Les médicaments que vous prenez au quotidien seront-ils encore disponibles demain ? A en croire l'Ordre des pharmaciens, la réponse n'est pas certaine. Si l'Agence nationale du médicament (ANSM) indique que 45 médicaments risquent de manquer à l'appel dans les semaines à venir, la présidente de l'Ordre, Isabelle Adenot révèle que "sur le mois de septembre" 539 médicaments ont été comptabilisés comme manquants lors d'une expérience pilote menée sur 200 pharmacies.

Pourquoi ?

Selon Isabelle Adenot, la pénurie de médicaments grandit en France par "la mondialisation de la fabrication" de ces traitements. Une grande majorité est produit en Chine ou en Inde. En cas de problème, tout le système mondial est pénalisé.

> Voir la liste des médicaments en rupture de stock selon l'ANSM

VENT

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Josué a écrit:Suspension européenne demandée pour l'anti-inflammatoire diacéréine
Publié par AFP le Vendredi 08 Novembre 2013 à 21h52

L'Agence européenne du médicament (EMA) a annoncé vendredi que son comité spécialisé Prac avait recommandé la suspension de l'anti-inflammatoire diacéréine, produit largement génériqué et utilisé pour traiter l'arthrose du genou et de la hanche.

Quoi !  la diacéréine va être interdite !

Alors on va nous donner quoi à la place ? du doliprane avec les encouragements du toubib ? mais de qui se moque t'on ?

J'ai justement changé de médecin parce qu'il ne me prescrivait pas de traitement de mon arthrose (pas seulement du genoux et des hanches, mais de la tête aux pieds), a part m'envoyer faire des radios et conclure qu'il me promet une vieillesse longue et douloureuse je ne vois pas à quoi il sert.  Le nouveau ma prescrit la diacéréine que je ne connaissais pas et qui m'a apporté un soulagement considérable non seulement de la douleur mais aussi cela a diminué mon invalidité, je m'en fou que ça provoque des diarrhée ! ça montre qu'on est pas constipé ! MDR Razz 

Code:
En outre, "l'efficacité sur la douleur et l'amélioration fonctionnelle de l'arthrose ne sont que faiblement démontrées" pour ce produit, avait indiqué l'ANSM lors de la saisine de l'organisme européen.
Mais qui sont c'est gens pour parler à la place des malades ?  Ils connaissent la souffrance que provoque l'arthrose ? ils en prennent eux de la diacéréine ? non bien sûr ! où alors ils en prennent sans avoir d'arthrose, c'est sûr qu'ils ne risque pas de voir la différence Razz 

Code:
Une autre instance, la Haute autorité de santé (HAS) française avait rendu, en tout début d'année, un avis défavorable pour le remboursement d'un médicament contenant de la diacéréine par la Sécurité sociale en raison d'un "service médical rendu insuffisant".
En effet ce n'est pas remboursé par la sécurité social et j'ai pensé que ce médicament ne serait pas efficace malgré son coût élevé (12,25 € la boite de 30 gélules), je l'ai essayé par dépit puisqu'on ne ma rien proposé d'autre, et je me suis vite aperçu du résultat bénéfique. Alors faut pas se moquer du monde en disant que ce médicament n'est pas efficace, je pense plutôt qu'ils veulent arrêter la fabrication parce que la sécurité sociale ne le rembourse plus et qu'elle doit subir des critiques sur sa politique de déremboursement des médicaments, alors ils leur suffit de dire que ce médicament n'est pas efficace pour le retirer du marché et avoir bonne conscience, c'est clair !

C'est bizarre comment de nombreux médicaments sont devenu inefficace du jour au lendemain depuis la politique de déremboursement des médicaments de la sécurité social ...

Ce sont les chercheurs qui doivent être content d'avoir élaboré un médicament pour soulagé les malades, et voir le fruit de le travaux passer à la trappe.

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que veux avant tout c'un un commerce maintenant les médicaments. il faut que se soit rentable.

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Rappel d'un médicament prescrit en cas de bronchite

L'Agence du médicament annonce le rappel d'un lot d'Ambroxol®, un fluidifiant bronchique.



Dans un communiqué du 27 novembre, l'Agence nationale du médicament (ANSM) annonce le rappel d'un lot d'Ambroxol Sandoz Conseil®. En cause, "l'identification, lors de tests de suivi de stabilité, d'un résultat hors spécifications". Selon le laboratoire, il n'y aurait pas de risque identifié à ce jour pour les patients. Néanmoins, celui-ci se doit désormais de rechercher les causes de la non-conformité du produit et les éventuels risques liés à son utilisation.

Le médicament est indiqué lors des troubles de la sécrétion bronchique de l'adulte, notamment au cours des affections bronchiques aiguës et des épisodes aigus des bronchopneumopathies chroniques. Expectorant, il facilite l'évacuation par la toux des sécrétions bronchiques.

Lot concerné : JW0027 :
- péremption 04/2015 de la spécialité AMBROXOL SANDOZ CONSEIL® 0,6 % SANS SUCRE, solution buvable édulcorée à la saccharine sodique
- code CIP 3400937711524 .

Si vous avez ce médicament, rapportez-le en pharmacie.

Josué

Josué
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Ces médicaments qui abîment vos cheveux

Certains médicaments peuvent faire tomber les cheveux, changer leur couleur ou encore leur texture. Mieux vaut le savoir avant ! Voici la liste.



La plupart des médicaments "antimitotiques", administrés lors des séances de chimiothérapies, ont des effets sur les cheveux. Certains les font systématiquement tomber comme les Taxanes dans le cancer du sein. "Les alopécies sont plus fréquentes et plus sévères. Même la repousse peut être difficile" confirme le Dr Pascal Reygagne, Directeur du Centre Sabouraud de l’hôpital Saint-Louis. Ou le Busulfan employé dans certaines tumeurs du cerveau ou du cervelet chez l’enfant. "Dans 1 à 2% des cas, il peut y avoir des absences de repousse ou des repousses de mauvaise qualité" précise notre interlocuteur.
D’autres traitements de chimiothérapies peuvent entraîner une chute limitée des cheveux avec des effets réversibles quand les séances cessent.
Pourquoi les cheveux tombent ? Les cellules cancéreuses ont tendance à se diviser plus que les autres. Les cellules du bulbe pileux se divisent aussi beaucoup, ce qui entraîne souvent leur destruction en cas de chimiothérapie et la chute des cheveux (et de tous les poils).

chico.

chico.

MÉDICAMENTS CONTREFAITS: PLUS DE 1.300 SUSPECTS ARRÊTÉS EN CHINE
il y a 1 heure 55 minutes 55 secondes
PEKIN (Reuters) - Plus de 1.300 personnes ont été arrêtées en Chine dans le cadre d'une opération menée à l'échelle nationale contre la contrefaçon dans le secteur pharmaceutique, rapporte dimanche l'agence de presse Chine nouvelle. Les médicaments contrefaits et les neuf tonnes de matières premières saisis dans le cadre de cette opération représentent 2,2 milliards de yuans (263 millions d'euros), précise-t-elle, citant le ministère de la Sécurité publique. Depuis juin, 140 sites internet illégaux et pharmacies en ligne ont été fermées, ajoute Chine nouvelle sans plus de précisions. ...

Josué

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Un médicament anti cancer responsable de graves réactions cutanées
Réagissez !
L'Agence nationale du médicament tire la sonnette d'alarme pour les consommateurs du Xeloda®. Un médicament utilisé en chimiothérapie orale qui pourrait causer des réactions cutanées graves.


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Vendu en France depuis 2005, le Xeloda® (capécitabine) est prescrit lors de chimiothérapie orale du cancer du côlon, de l'estomac et du sein. Selon l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), les patients doivent être informés des risques de réactions cutanées sévères pouvant être fatales suite à la prise de ce traitement et ses génériques. Certains cas de syndrôme Stevens-Johnson et de nécrolyse épidermique toxique ont en effet été rapportés. Ces maladies cutanées graves peuvent commencer par de la fièvre, une conjonctivite, des maux de gorge et une éruption cutanée qui s'aggrave rapidement par la suite. Ensuite on constate l'apparition de cloques sur la peau et les muqueuses. Dans ce cas, l'arrêt total du médicament après l'apparition des premiers symptômes peut diminuer l'évolution des réactions. En cas de constatation d'un des symptômes, l'ANSM conseille aux consommateurs de Xeloda® d'avertir immédiatement leur médecin.

Source : XELODA (Capécitabine) et génériques : des réactions cutanées sévères sont possibles - Point d'Information, ANSM, 19 décembre 2013.

Josué

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Hormone de croissance : les proches vont pouvoir réclamer une indemnisation
Le Point.fr - Publié le 07/01/2014 à 12:42
La Cour de cassation a renvoyé mardi devant la cour d'appel de Paris les deux dernières personnes poursuivies dans l'affaire de l'hormone de croissance.
La Cour de cassation a renvoyé mardi devant la cour d'appel de Paris les deux dernières personnes poursuivies dans l'affaire de l'hormone de croissance, ouvrant de nouveau la possibilité aux proches des victimes de réclamer des dommages et intérêts. La cassation ne concerne que les intérêts civils et pas le volet pénal, qui a, lui, été jugé définitivement. En mai 2011, la cour d'appel avait ainsi relaxé le professeur Fernand Dray (91 ans), qui dirigeait le laboratoire Uria, rattaché à l'Institut Pasteur et chargé d'élaborer la poudre d'hypophyse (la glande qui produit l'hormone de croissance), et Élisabeth Mugnier (64 ans), qui assurait, elle, la collecte des hypophyses sur des cadavres.

Après 22 années de procédure, les 21 parties civiles encore impliquées vont devoir patienter encore plusieurs mois avant d'être définitivement fixées. "Ils y sont prêts", a commenté l'avocat de la majorité de ces proches de victimes, Me Bernard Fau, qui venait de recueillir la réaction de plusieurs d'entre eux. Pour casser l'arrêt de la cour d'appel, la Cour de cassation a considéré que l'extraction et la purification de l'hormone de croissance d'origine humaine "entraient dans la préparation" d'un produit pouvant être administré à l'homme.

Dès lors, ces opérations "relevaient (...) du monopole pharmaceutique" et n'auraient donc dû être pratiquées que par un établissement pharmaceutique, ce que n'était pas le laboratoire Uria. Entre 1983 et 1985, 1 698 enfants en insuffisance hormonale ont été traités par injection à partir de prélèvements sur des cadavres humains. Plusieurs de ces cadavres étaient infectés par la maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ), qui a été transmise à plusieurs dizaines d'enfants, dont 120 sont morts au terme de longues souffrances.

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Allergie à l'ibuprofène : il subit un décollement cutané

Coma, cloques géantes... Jason Ryan, un Américain de 28 ans, a été victime d'une grave allergie suite à la prise de fortes doses d'ibuprofène.



"On aurait dit que je sortais d'un film d'horreur", a déclaré Jason Ryan, 28 ans, au site britannique DailyMail. Ce père de famille américain a fait une réaction allergique qui aurait pu lui être fatale après avoir pris de l'ibuprofène pour soigner une grippe. Cette réaction très rare, causée par certains médicaments, est appelée "syndrome de Steven-Johnson". Elle se caractérise par un décollement de la peau ainsi qu'une atteinte cutanéo-muqueuse (oculaire, buccale, génitale). Les médecins pensent que cela aurait été provoquée par une trop forte prise du médicament. "Il a pris son traitement et lendemain, il avait des cloques sur les pieds de la taille d'une balle de tennis" raconte sa femme.

"Il est resté dans le coma pendant 9 jours"
A l'hôpital, les médecins expliquent au couple qu'il n'y a pas de traitement. Il faut juste attendre que les symptômes disparaissent. Seulement une personne sur trois peut en mourir. "On nous a dit que cela durerait 14 jours, il est resté dans le coma pendant 9 jours, c'était le pire moment de ma vie", ajoute son épouse. A son réveil, Jason Ryan avait perdu 22 kilos. Aujourd'hui, toujours alité, il est rentré chez lui. Le rétablissement sera long et difficile et la maladie pourrait réapparaître. "Il a subi un stress post-traumatique mais il se remet, c'est toujours mon Jason", conclut sa femme.

Publié par Bénédicte Demmer, rédactrice santé le Mardi 21 Janvier 2014 à 12h41
médicamentallergiepeaucoma

chico.

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Alerte : des compléments alimentaires minceur dangereux pour le foie
Dans un communiqué du 23 janvier, la DGCCRF met en garde contre la consommation de compléments alimentaires utilisés pour la perte de poids ou le renforcement musculaire associés à de graves hépatites et un décès.
58 médicaments dangereux : la liste ! - Page 2 1643075-inline-310x207

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OxyElite Pro et Versa-1. Voilà le nom des deuxcompléments alimentaires que la DGS* et la DGCCRF** recommandent de ne pas acheter et ne pas consommer. "75 cas confirmés d’hépatites aigues non-virales ont été signalés via le réseau Infosan dans plusieurs pays du monde (États Unis, Irlande, Nouvelle-Zélande, Japon), dont un décès aux Etats-Unis" indiquent-ils dans leur communiqué. Les cas sont survenus chez des personnes ayant toutes consommé les produits cités ci-dessus. En France, aucun cas n'aurait été diagnostiqué en lien avec la consommation de ces produits. Selon les investigations de la FDA (Agence américaine du médicament), l'aegeline que l'on trouve dans ces produits mais qui n'est pas autorisée aux Etats-Unis et en Europe pourrait être responsable des cas d'hépatite. Des symptômes digestifs, cardiovasculaires et neurosensoriels ont également été mis en évidence.
Les 5 produits à risque à ne pas consommer :
- OxyELITE Pro Super Thermo capsules
- OxyELITE Pro Super Thermo Genic capsules

Josué

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Rappel de lots d'un traitement anti fatigue

Les laboratoires Servier rappellent deux lots de Vitathion®, traitement d'appoint anti fatigue.



Si vous prenez des vitamines, lisez attentivement ce qui suit. Dans un communiqué du 4 février, l'Agence nationale du médicament annonce, en accord avec les laboratoires Servier, le rappel de lots de Vitathion® granulé effervescent en sachet-dose. "Cette décision fait suite à l'identification [...] d'un sous-titrage en principes actifs (vitamines C et B1) et d'une coloration des granulés, observés avant péremption du lot" indique l'Agence. Ce médicament est un antiasthénique contenant des vitamines et du calcium, utilisé dans le traitement d'appoint de la fatigue non liée à une maladie.

Lots à rapporter en pharmacies : VITATHION® granulé effervescent en sachet-dose (boîtes de 20 sachets CIP 3114715/3400931147152), Lot 894489 (péremption Mai 2015) et Lot 894491 (péremption Mai 2015).

Josué

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Anticoagulant Pradaxa : une étude aurait été volontairement cachée par son fabricant

Le laboratoire allemand Boehringer Ingelheim, fabricant de l'anticoagulant Pradaxa®, aurait volontairement caché une étude remettant en cause l'intérêt de ce médicament. L'impact commercial aurait été "problématique".


Nouveau scandale en vue dans la sphère pharmaceutique ? Selon un article publié le 5 février dans le New York Times et relayé par Le Monde, le laboratoire allemand Boehringer Ingelheim aurait essayé d'empêcher la publication d'une étude, début 2013, remettant en cause son anticoagulant Pradaxa®. Pourquoi ? La fameuse étude menée par le Dr Paul Reilly soulignait la nécessité d'un contrôle sanguin pour certains patients prenant ce médicament. Or, le laboratoire avait réussi à le lancer sur le marché américain en 2010 en prônant l'intérêt de ne pas avoir besoin de recourir à ce type de contrôles au quotidien. Dans des mails publiés par le New York Times, des collaborateurs de Boehringer Ingelheim s'interrogeaient sur la publication de ladite étude. "Cela ruinerait tous les efforts que nous avons fait pour faire face à la concurrence des autres NACO (nouveaux anticoagulants oraux)" a écrit le Dr Jutta Heinrich-Nols en charge du dossier Pradaxa® dans un mail daté du 4 février 2013. Pour elle, les retombées commerciales pouvaient être "problématiques". Les ventes du Pradaxa® s'élèvent à plus d'un milliard de dollars (0.737 milliard d'euros). Or, deux nouveaux concurrents sont arrivés récemment : le Xarelto® en 2011 (allemand) et l'Eliquis® en 2013 (USA). En France, Nathalie Chevallon, directrice de la communication Boehringer tempère : "Les documents publiés par le juge de l'Illinois représentent 85 pages sur les 30 millions du dossier Pradaxa®. Et malgré cet échange de mails, l'étude a bien été publiée." Effectivement, en septembre 2013 alors qu'elle était citée dès décembre 2011 dans d'autres mails.

Un médicament très critiqué en France

En France, le Pradaxa® est sous la surveillance renforcée des autorités sanitaires. En septembre 2012, les Pr Bernard Debré et Philippe Even pointaient du doigt le Pradaxa® dans une liste de 58 médicaments jugés "dangereux" pour la santé. Un mois plus tard, la revue Prescrire alertait sur le risque d'hémorragies mortelles lié à la prise du dabigatran (Pradaxa®). Elle rappelait alors que 256 décès par hémorragie liés au dabigatran avaient été enregistrés en Europe et près de 800 hémorragies graves en Australie, Canada, Japon, Nouvelle-Zélande et aux États-Unis d'Amérique (dont plusieurs centaines de morts au total). En octobre 2013, les familles de quatre personnes qui en prenaient et sont décédées ont porté plainte contre Boehringer Ingelheim.

christelle

christelle

Josué a écrit:Des antidouleurs responsables de crises cardiaques

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Les résultats d'une méta-analyse publiés dans le Lancet mettent en évidence les risques multipliés de crise cardiaque après la prise de certains médicaments contre la douleur, la fièvre et l'inflammation.




Les médicaments accusés sont les AINS (ou Anti Inflammatoires Non Stéroidiens) c'est-à-dire par exemple l'ibuprofène*, le diclofénac** et les coxibs***. D'après l'analyse de l'Université d'Oxford portant sur 639 essais contrôlés randomisés soient plus de 350 000 participants, la prise d'AINS à dose élevée (2400mg d'ibuprofène/jour, 150mg de diclofénac/jour, 1000mg de naproxène/jour) et sur le long terme augmente le risque cardio-vasculaire. Précisément, les chercheurs notent que le risque d'accident vasculaire est majoré de 30% quand on prend des coxibs ou du diclofénac. Sur 1000 sujets prenant un de ces deux traitements pendant 1 an, 3 ont eu une accident vasculaire grave, 1 en est décédé. L'ibuprofène a été, lui, associé à de plus gros risques d'accidents coronariens graves. D'une manière générale, les scientifiques confirment que la prise d'AINS quelqu'ils soient double le risque d'insuffisance cardiaque et majore les complications gastro-intestinales (ulcères à l'estomac...). Néanmoins, malgré tous ces risques, il ne faut pas oublier que ces médicaments ont aussi de gros bénéfices. Il ne faut donc pas arrêter leur prise sans en parler à son médecin traitant.
*Pour exemple, l'ibuprofène entre dans la composition de : Advil®, Anadvil® et Rhinadvil®, Antarène®, Brufen®, Cliptol®, Intralgis®, Nureflex® et Nurofen®, Solufen®, Spedifen®, Upfen®, Vicks Rhume®.

**Pour exemple, le diclofénac entre dans la composition de : Voltarène®, Xenid®, Misoprostol®.

***Pour exemple, le Celebrex® fait partie des coxibs. Anciennement, il y avait le Vioxx® mais il a été retiré du marché en 2004 à cause d'un trop grand risque de complications cardiovasculaires.

Source : The Lancet online May 30 2013 doi:10.1016/S0140-6736(13)60900-9. Vascular and upper gastrointestinal effects of non-steroidal anti-inflammatory drugs: meta-analyses of individual participant data from randomised trials.

Moi qui donnait du vicks et qui en prenait aussi. Il va falloir que je trouve quelque chose de naturel. Plus rien n'est bon

Josué

Josué
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Nausée et vomissement : des lots de Primperan retirés du marché

Leur rapport bénéfice/risque étant désormais défavorable, l'Agence nationale du médicament a décidé de retirer des lots fortement dosés en métoclopramide, substance active du célèbre Primperan®.



Pouvant être responsables d'effets indésirables neurologiques (symptômes extrapyramidaux aigus et dyskinésie tardive irréversible) et cardiovasculaires, les médicaments fortement dosés en métoclopramide sont désormais interdits sur le marché français. Dans un communiqué daté du 12 février, l'ANSM explique que sa balance bénéfice/risque est désormais considérée comme défavorable.

Quels sont les médicaments concernés par le retrait ?

Trois spécialités : PRIMPERAN 20 mg, suppositoire (boîte de 10 suppositoires / CIP 34009 323 1800 1), PRIMPERAN 100 mg, solution injectable (boîte de 6 ampoules / CIP 34009 327 9161 3) et CHLORHYDRATE DE METOCLOPRAMIDE RENAUDIN 20 mg/ml, solution injectable, ampoules de 5 ml ((100mg - 5 ml) – boite de 10 ampoules CIP 34009 362 842 03). Le Primperan est utilisé dans le traitement symptomatique des nausées et vomissements induits par certains médicaments, chez l'adulte et l'enfant. Il reste autorisé dans les autres formes, notamment orale.

Josué

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Rappel d'un traitement pour la grippe
L'Agence nationale du médicament annonce le retrait d'un lot de Tamiflu, médicament prescrit pour soigner la grippe.

Dans un communiqué du 18 février, l'Agence nationale du médicament et le laboratoire Roche annoncent le retrait d'un lot de Tamiflu 6 mg/ml "suite à la constatation d'une erreur de graduation de la seringue présente dans le conditionnement du lot". Le risque : un sous-dosage du produit, donc une moindre efficacité.

Le Tamiflu 6 mg/ml, poudre pour suspension buvable, est un traitement de la grippe pouvant être prescrit à des nourrissons de moins d'un an en cas de pandémie grippale, et chez les autres patients de plus d'un an présentant les symptômes grippaux. Il peut aussi être indiqué en prévention.

Lot rappelé : B8010G01 (péremption 09/2015) de la spécialité dénommée Tamiflu 6 mg/ml, poudre pour suspension buvable (boîte de 1 flacon) code CIP 34009 220 690 6 7.

Publié par Aurélie Blaize, journaliste santé le Mercredi 19 Février 2014 à 09h14

chico.

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Le Motilium mis en cause pour des risques cardiaquesINDUSTRIE-SERVICES | 21/02/2014 - 2:00 | mis à jour à 17:29 | Denis FAINSILBERUne molécule très utilisée en France augmente les risques de trouble du rythme cardiaque.



Alerte sur la dompéridone. Cette molécule, prescrite sur ordonnance contre les nausées, les vomissements et autres troubles gastriques, est mise en cause par la revue « Prescrire », qui estime qu’elle est à l’origine de 25 à 123 morts subites en France, uniquement pendant l’année 2012. Sans compter avec les risques de troubles cardiaques (arythmies ventriculaires graves), susceptibles de toucher plus de patients.
La balle est à présent dans le camp de l’Europe, qui a donné son autorisation de mise sur le marché. L’Agence européenne du médicament, via le comité de pharmaco­vigilance doit rendre une recommandation en mars, mais une interdiction n’est pas la seule option : une autre solution serait de réduire le dosage et la durée de prescription pour les médecins.
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Josué

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Certains médicaments, parmi les plus consommés, peuvent rendre agressifs, maniaques, impulsifs... parfois même être responsables d’homicides. Voici la liste de ceux qu'il faut prendre avec précautions !
Corticoïdes : ils peuvent rendre maniaque !

Fabriqués à base de corticoïdes, une hormone naturelle, les anti-inflammatoires dits "stéroïdiens" sont les plus puissants. Ils sont prescrits en cas d’asthme, d'allergies, ou d'œdèmes de Quincke par exemple. On ne le sait pas toujours mais ils peuvent avoir de lourdes répercussions psychologiques sur l'organisme : "J’ai déjà vu des patients devenir maniaque après avoir pris des anti-inflammatoires contenant des corticoïdes. Et pas besoin d’une grosse quantité pour obtenir ce genre d’effets secondaires" prévient ainsi le Dr Vincent Dodin, psychiatre. Il ajoute qu'ils peuvent aussi entraîner un manque de sommeil poussant le patient à devenir agressif.

Josué

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Anomalie chromosomique : un myorelaxant à risque
Dans une lettre adressée aux professionnels de santé, l'Agence nationale du médicament liste les restrictions d'utilisation des traitements à base de thiocolchicoside (substance active du Coltramyl® par exemple). En cause, un risque d'altération  du génome du patient.

Myorelaxant disponible en France sous forme orale et injectable, le thiocolchicoside comporte plusieurs risques pour santé qui a poussé l'Agence européenne du médicament (EMA) a restreindre ses utilisations.

Ce que recommande désormais les Agences européennes et françaises du médicament :

- Le thiocolchicoside doit uniquement être utilisé dans le traitement d'appoint des contractures musculaires douloureuses en cas de pathologies rachidiennes aiguës chez les adultes et les adolescents à partir de 16 ans.

- Le thiocolchicoside ne doit plus être utilisé au long cours en cas de pathologies chroniques.

- La posologie et la durée de traitement sont désormais limitées et le doivent pas être dépassées : la durée du traitement est limitée à 7 jours consécutifs pour la voie orale, avec une dose maximale recommandée de 8 mg toutes les 12 heures, soit 16 mg par jour. La durée du traitement est limitée à 5 jours consécutifs pour la voie injectable (IM), avec une dose maximale recommandée de 4 mg toutes les 12 heures, soit 8 mg au total par jour.

- Le thiocolchicoside est contre-indiqué pendant la grossesse, au cours de l'allaitement, ou chez les femmes en âge de procréer sans contraception efficace.

Quels sont les risques ?

"Des études chez l’animal, réalisées à des concentrations proches de celles observées chez l’homme [...]  ont montré que l’un de ses métabolites (SL59.0955 aussi appelé M2 ou 3-déméthylthiocolchicine) induit une aneuploïdie, soit un nombre inégal de chromosomes après division cellulaire" indique la lettre adressée aux professionnels de santé par l'ANSM. L'aneuploïdie correspond à une anomalie chromosomique au sein d'une cellule. C'est un facteur de risque d’embryotoxicité, d’avortement spontané, d’altération de la fertilité masculine, et de cancer.

Liste des spécialités :

THIOCOLCHICOSIDE ACTAVIS® 4 mg, comprimé

THIOCOLCHICOSIDE ALMUS® 4 mg, comprimé

THIOCOLCHICOSIDE ALTER® 4 mg, comprimé

THIOCOLCHICOSIDE ARROW® 4 mg, comprimé

THIOCOLCHICOSIDE BIOGARAN® 4 mg, comprimé

THIOCOLCHICOSIDE CRISTERS® 4 mg, comprimé

MIOREL® 4 mg, gélule

MIOREL® 4 mg/2 ml, solution injectable (IM) en ampoule

THIOCOLCHICOSIDE EG® 4 mg, comprimé sécable

COLTHIOZID® 4 mg/2 ml, solution injectable

THIOCOLCHICOSIDE MYLAN® 4 mg, comprimé

THIOCOLCHICOSIDE SANDOZ® 4 mg, comprimé

COLTRAMYL® 4 mg, comprimé

THIOCOLCHICOSIDE ZENTIVA® 4 mg, comprimé

THIOCOLCHICOSIDE TEVA® 4 mg, comprimé

samuel

samuel
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Les médicaments contrefaits, une filière très lucrative pour les trafiquants
Après la saisie record de 2,4 millions de faux médicaments au port du Havre, les consommateurs français doivent-ils s'inquiéter ? Francetv info revient sur le phénomène.


En 2013, les médicaments représentaient les principaux produits contrefaits saisis par les douanes françaises, avec plus de 1,3 million d'unités. (ANA GASSENT / FLICKR OPEN / GETTY IMAGES)
Par Mathieu Dehlinger
Mis à jour le 12/04/2014 | 09:45 , publié le 12/04/2014 | 07
Les cartons devaient renfermer du thé de Chine : ils abritaient en réalité de l'aspirine, des antidiarrhéiques en sachets solubles et des pilules bleues et jaunes contre les troubles de l'érection. Les douanes ont annoncé, jeudi 10 avril, avoir saisi 2,4 millions de faux médicaments au port du Havre (Seine-Maritime), un record en Europe.

D'où viennent ce type de contrefaçons ? A qui sont-elles destinées ? Faut-il avoir peur de ces faux médicaments ? Francetv info vous en dit plus sur ce commerce très lucratif pour les trafiquants.

Où sont-ils fabriqués ?
Les médicaments contrefaits sont fabriqués pour certains en Russie et dans les ex-pays de l'Union soviétique, mais majoritairement en Asie, explique à francetv info Bernard Leroy, président de l'Institut de recherche contre les médicaments contrefaits (Iracm), une initiative du laboratoire Sanofi. Arrivés en février dernier sur les quais du port du Havre, les deux conteneurs saisis par les douanes étaient ainsi partis de Shanghaï, rapporte France 3.

Bernard Leroy pointe la responsabilité de la "criminalité organisée en Chine" dans ce trafic. "La majorité des matières premières des médicaments sont fabriquées là-bas", complète Eric Przyswa, chercheur au centre de recherche sur les risques et les crises de Mines ParisTech et auteur d'une étude sur le sujet (PDF) pour l'Iracm.

La France est parfois un lieu de transit de ces médicaments : la précédente saisie record en Europe avait déjà été réalisée au Havre, en mai 2013, avec plus de 1,2 million de faux sachets d'aspirine. Le premier port de commerce français voit défiler chaque année des dizaines de milliers de produits contrefaits en tout genre. Les marchandises, dont la saisie a été annoncée jeudi, devaient ensuite se diriger vers la Belgique, mais il n'y a aucune certitude en ce qui concerne leur destination finale, précisent les douanes.

Quels sont les médicaments concernés ?
De l'avis des spécialistes, les trafiquants ont un objectif simple : toucher le plus large public possible. "Leur but, c'est de vendre facilement", décrypte Gaël Guillaume, responsable des opérations douanières en Normandie, contacté par francetv info. "Soit des médicaments ciblés à haute valeur ajoutée, comme le Viagra, soit des médicaments dont la consommation est très courante."

En Afrique, ce sont donc les remèdes contre le paludisme, le sida ou la tuberculose qui sont les plus fréquemment touchés, estime l'Iracm. Pour la clientèle occidentale, les trafiquants ciblent plutôt les médicaments contre les troubles érectiles, les produits amaigrissants ou les anabolisants.

Le phénomène est-il important ?
La saisie de février a beau être exceptionnelle, les douaniers commencent à s'habituer à découvrir de faux médicaments au cours de leurs inspections. En 2013, il s'agissait du premier secteur touché par la contrefaçon, selon les chiffres officiels des autorités françaises : les 1 354 705 unités saisies représentaient 18% du total, devant les vêtements (14%).

Pourquoi autant ? Tout simplement parce que ça rapporte : 55 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2010 dans le monde, selon des chiffres de l'organisme américain Center for Medicine in the Public Interest. C'est plus que les stupéfiants : "La filière de la contrefaçon de médicaments est bien plus rentable que celle de la drogue, assure Gaël Guillaume. Pour 1 euro investi, cela rapporte 450 euros aux trafiquants."

Qu'est-ce que je risque si je prends un faux médicament ?
Les faux médicaments saisis au Havre ne contenaient pour la plupart que du glucose, précise Gaël Guillaume. Autrement dit, un placebo, avec uniquement du sucre. A moins d'être diabétique, pas de quoi vous faire du mal. Mais ça ne vous soignera pas non plus vos maux.

Une autre partie contenait bien du principe actif, mais en très faible quantité, ajoute Gaël Guillaume. Pas suffisant pour que le produit agisse réellement. "Mais l'inverse peut aussi être vrai, affirme Isabelle Adenot, présidente de l'Ordre des pharmaciens. Nous avons eu connaissance du cas d'un homme qui a acheté du Viagra surdosé sur internet, ce qui a provoqué chez lui un AVC. Cela peut être gravissime."

D'autant que certaines contrefaçons peuvent aussi contenir des ingrédients dangereux. Début 2009, au moins 84 enfants sont morts au Nigeria, victimes d'un sirop antidouleur frelaté. Le médicament était coupé avec du diethylène glycol, produit chimique utilisé entre autres dans le liquide de frein.

Les médicaments vendus chez votre pharmacien peuvent-ils être des faux ?
Pas de panique, a priori, vous ne devriez pas tomber sur ces faux médicaments en allant retirer votre prescription à la pharmacie. "Les pharmaciens ont l'obligation de se fournir en médicaments auprès d'entreprises autorisées, inspectées. De la fabrication à la distribution, le système est très surveillé", assène Isabelle Adenot.

Pour les spécialistes, le danger vient d'internet et des sites frauduleux. Selon l'Organisation mondiale de la santé, plus de 50% des médicaments vendus en ligne seraient des faux. Pour éviter toute mauvaise surprise, l'Ordre des pharmaciens a publié sur son site la liste des officines autorisées à faire du commerce sur le web.

chico.

chico.

Médicament : Circulation d'un anticancéreux contrefait sur le marché européen
Selon l'Agence européenne du médicament (EMA) des contrefaçons du médicament anticancer Herceptin® circuleraient actuellement en Europe.

Le 16 avril dernier, l'ANSM a annoncé "avoir été informée d'un médicament anticancéreux Herceptin® 150mg contrefait sur une partie du territoire européen". Les contrefacteurs auraient volé des flacons du médicament prescrit en cas de cancer du sein ou de l'estomac dans des hôpitaux italiens. Pour identifier les contrefaçons, l'EMA précise que :
- Les dates de péremption des flacons ne correspondent pas à celles écrites sur la boîte.
- Dans certaines contrefaçons la poudre blanche ou jaune est mélangée à du liquide et ne devrait pas l'être.
- Il est écrit dessus "Italien Herceptin® 150mg".

La France pas encore touchée
"Ce produit fait l'objet d'une distribution parallèle dans certains pays européens, ce qui n'est pas le cas de la France", rassure l'ANSM. "Les numéros de lot utilisés par les contrefacteurs ((H4311B07, H4329B01, H4284B04, H4319B02, H4324B03, H4196B01, H4271B01, H4301B09 et H4303B01) ne correspondent pas à des lots distribués sur le territoire français par le laboratoire Roche", ajoute l'ANSM. Sur ses gardes, l'Agence appelle les praticiens à être vigilants au moindre produits suspects.

Source : Identification d’Herceptin (trastuzumab) contrefait dans certains pays européens : la France n’est pas concernée à ce stade - Point d'Information, ANSM.

European Medicines Agency alerts EU healthcare professionals after vials of falsified Herceptin identified, European Medicine Agency

Josué

Josué
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Après la contrefaçon de l'Herceptin® 150mg, un anticancéreux volé dans un hôpital italien, l'ANSM annonce que deux autres médicaments sont concernés par ce vol.

Le 11 avril 2014, l'ANSM annonçait la possible circulation d'un anticancéreux, l'Herceptin 150mg®, falsifié à la suite d'un vol de l'original dans un hôpital italien. Mardi matin dernier, l' ANSM a été mise au courant de deux autres anticancéreux volés : Remicade (pemetrexed)® et Alimta (infliximab)®. "Aucune falsification les concernant n'a été mise en évidence à ce jour dans les services où sont administrés ces traitements aux patients", déclare l'ANSM dans un communiqué. Les auteurs ont tenu à rappeler qu'acheter des médicaments en dehors du circuit légal pharmaceutique comporte de nombreux risques pour la santé des patients.

Même s'il est peu probable que des contrefaçons circulent en France, l'ANSM préfère communiquer les numéros de lots concernés par le vol :
Pour Alimta® : C134092E, C021161E et C160908C, pour REMICADE : 3RMA66304, 3RMA67102, 3RMA68106 et 3RMA67602.

De plus de nouveaux numéros de lots d'Herceptin 150mg eux contrefaits ont été identifiés :
H4105B01, H4136B02, H4150B01, H4152B04, H4168B02, H4169B01, H4171B01, H4179B02, H4184B01, H4185B02, H4194B01, H4195B01, H4261B01, H4263B02, H4279B01, N1001B01, N1002B02, N1002B03.

Les précédents ayant déjà été annoncés sont les lots : H4311B07, H4329B01, H4284B04, H4319B02, H4324B03, H4196B01, H4271B01, H4301B09 et H4303B01).

Source : Vol d’Herceptin en Italie : l’EMA précise que deux autres médicaments sont concernés (Alimta et Remicade) - Point d'Information, 21 avril 2014 , ANSM

Josué

Josué
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L’ibuprofène responsable de maladies intestinales
La molécule d’ibuprofène présente dans de nombreux traitements anti-inflammatoires pourrait être responsable d’affections de l’intestin, telles que la maladie cœliaque.
Un petit mal de tête, et hop direction l’armoire à pharmacie pour prendre un analgésique. Ce geste, devenu un véritable réflexe, pourrait pourtant nuire à notre santé. En effet, l’ibuprofène aurait des effets néfastes sur notre système digestif. Déjà connu pour irriter l’intestin et potentiel cause d’ulcère de l’estomac, la molécule pourrait également être à l’origine de maladie cœliaque, ou intolérance au gluten.

Une plus grande perméabilité de l’intestin

C’est en analysant les résultats d’études réalisés ces 20 dernières années sur les anti-inflammatoires non-stéroïdiens (AINS), tels que l’ibuprofène, que des chercheurs ont constaté les risques. Les médicaments en contenant entraîneraient une plus grande perméabilité des parois de l’intestin, permettant ainsi à des substances toxiques de s’infiltrer dans la circulation sanguine. Une réaction auto-immune se déclencherait alors afin d’empêcher la digestion et l’absorption efficace des nutriments.

Cette perméabilité plus importante permettrait également une assimilation plus importante du gluten par l’organisme. "Si vous augmentez le passage du gluten et si vous êtes génétiquement prédisposé, vous pouvez alors développer une maladie coeliaque ou intolérance au gluten", a déclaré le Dr Alessio Fasano, directeur du Center for Coeliac Research de l’hôpital général du Massachussetts (USA) au site DailyBeast.com.

Josué

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Ces médicaments qui abîment vos ongles
Certains médicaments peuvent abîmer les ongles, en modifier la couleur, la forme, voire même les faire tomber. Revue de détails avec le Dr Philippe Abimelec, dermatologue spécialiste des cheveux et des ongles.

Les tétracyclines les sensibilisent aux UV

© Sandor Jackal - Fotolia.comLesquels : Les tétracyclines, utilisées pour le traitement de l'acné et de certaines infections (infections bronchopulmonaires, brucellose...).

Leur action sur les ongles : "Elles augmentent la sensibilité de la peau aux ultraviolets du rayonnement solaire. Les ongles touchés deviennent blancs et se décollent. L'onycholyse toxique (décollement de l'ongle) reste cependant un effet secondaire rare du traitement", explique le Dr Abimelec.

Que faire : Utiliser un vernis foncé, se protéger des rayons solaires et éviter les bains de soleil !

Josué

Josué
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Ces médicaments qui abîment vos cheveux
Certains médicaments peuvent faire tomber les cheveux, changer leur couleur ou encore leur texture. Mieux vaut le savoir avant ! Voici la liste.

Les médicaments contre le cancer

La plupart des médicaments "antimitotiques", administrés lors des séances de chimiothérapies, ont des effets sur les cheveux. Certains les font systématiquement tomber comme les Taxanes dans le cancer du sein. "Les alopécies sont plus fréquentes et plus sévères. Même la repousse peut être difficile" confirme le Dr Pascal Reygagne, Directeur du Centre Sabouraud de l’hôpital Saint-Louis. Ou le Busulfan employé dans certaines tumeurs du cerveau ou du cervelet chez l’enfant. "Dans 1 à 2% des cas, il peut y avoir des absences de repousse ou des repousses de mauvaise qualité" précise notre interlocuteur.
D’autres traitements de chimiothérapies peuvent entraîner une chute limitée des cheveux avec des effets réversibles quand les séances cessent.
Pourquoi les cheveux tombent ? Les cellules cancéreuses ont tendance à se diviser plus que les autres. Les cellules du bulbe pileux se divisent aussi beaucoup, ce qui entraîne souvent leur destruction en cas de chimiothérapie et la chute des cheveux (et de tous les poils).

Josué

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Risque de décès : un médicament pour le coeur mis sous surveillance
Suite à la mise en évidence d'un risque de décès cardiovasculaire, l'Agence européenne du médicament (EMA) annonce la réévaluation de la balance bénéfice/risque d'un traitement pour le coeur.

cœur, médicament, procoralan, ivabradine, angine de poitrine
Une étude fournie à l'Agence européenne du médicament (EMA) a montré que les patients sous Ivabradine (Procoralan®) pouvaient être exposés à des risques de décès cardiovasculaires. En réaction, l'Agence a décidé de réévaluer sa balance bénéfice/risque.

Un risque d'infarctus du myocarde ?
Prescrit en cas de problèmes de cœur comme l'insuffisance cardiaque chronique ou la maladie coronaire, l'Ivabradine serait plus risqué chez les patients souffrant d'angine de poitrine. L'étude reçue par l'EMA avait séparé des patients souffrant d'une angine de poitrine en deux groupes. Le premier avait reçu 10mg d'Ivabradine par jour, le deuxième un simple placebo. Résultat ? Avec le placebo aucune anomalie. Avec l'Ivabradine, l'ANSM rapporte "une augmentation modeste mais significative du risque combiné de décès cardiovasculaire et d'infarctus du myocarde".

L'arrêt de la prescription recommandé

En attendant la réévaluation de la balance bénéfice/risque du traitement, l'ANSM demande aux professionnels de santé de ne plus en prescrire. Pour les patients qui en prennent déjà, l'Agence conseille la reconsidération du traitement lors des prochaines consultations.

Source : Procoralan (ivabradine) : réévaluation européenne du rapport bénéfice/risque suite à de nouvelles données de sécurité - Point d'Information, ANSM, Communiqué du 11 juin 2014

Josué

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[size=30]Un traitement de l'anxiété rappelé "par précaution-20140730#comment-form]Le laboratoire Biogaran rappelle des lots de Lorazepam®, par mesure de précaution.[/size]
58 médicaments dangereux : la liste ! - Page 2 1806934-inline-310x206
© JanMika - IstockPhotos
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Délivré uniquement sur ordonnance, le Lorazepam® est un traitement de l'anxiété. Le laboratoire Biogaran qui en fabrique annonce qu'il rappelle plusieurs lots "suite à l'identification d'une baisse potentielle de la teneur en principe actif au cours du temps". Pour l'heure, ce dernier indique qu'aucun effet indésirable ni cas d'inefficacité imputable à ce phénomène n'a été rapporté. C'est donc par mesure de précaution qu'il retire de la vente les boîtes deLorazepam® 1 mg, comprimé sécable par 30 (code CIP 34009 269 240 4 1).
Les lots rappelés sont :
318845 (exp 05/2015)

samuel

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Des médicaments anti-allaitement pointés du doigt par l'Europe
Mots clés : allaitement, Bromocriptine
Par 58 médicaments dangereux : la liste ! - Page 2 Ico-flefigaro.fr58 médicaments dangereux : la liste ! - Page 2 Ico-fAFP agence - le 22/08/2014
L'agence européenne du médicament (EMA) déconseille l'usage d'un médicament qui stoppe la montée de lait après l'accouchement.

L'Agence européenne du médicament (EMA) a recommandé jeudi de restreindre fortement l'utilisation des médicaments à base de bromocriptine, encore couramment prescrits en Europe pour stopper la montée de lait après l'accouchement, en raison d'un petit risque d'effets indésirables graves.
Notamment commercialisée sous la marque Parlodel (Meda Pharma) et sous forme de génériques, la bromocriptine est une substance active qui agit sur les circuits nerveux de la dopamine. Elle estutilisée chez des malades atteints de la maladie de Parkinson, mais elle est surtout prescrite aux femmes qui viennent d'accoucher et ne souhaitent pas allaiter.
«La bromocriptine ne doit pas être utilisée de manière systématique pour prévenir ou stopper la lactation», indique une recommandation approuvée par le comité européen de coordination (CMDh), qui est l'entité européenne représentant les différentes agences nationales du médicament. Les médicaments contenant cette substance ne devraient plus désormais, selon le CMDh, être prescrits que lorsqu'il existe des «raisons impérieuses» d'arrêter la lactation, comme l'infection par le virus du sida ou «pour éviter tout stress supplémentaire après la perte d'un bébé pendant ou juste après l'accouchement».
Des effets secondaires «rares, mais parfois graves»
La réévaluation de la bromocriptine avait été demandée l'an dernier par l'agence française du médicament ANSM qui avait fait état d'effets secondaires «rares, mais parfois graves», principalement cardiovasculaires (accident vasculaire cérébral, infarctus et hypertension artérielle) mais aussi neurologiques (convulsions) et psychiatriques (hallucinations). Les premiers signalements d'effets indésirables graves étaient survenus dès les années 90, notamment aux Etats-Unis, et avaient conduit à renforcer l'information sur les précautions d'emploi, notamment chez les femmes présentant des risques cardiovasculaires.
Mais la posologie et les mises en garde étaient mal respectées, selon l'ANSM, qui rappelle que la montée laiteuse est un «processus physiologique». «Si la femme n'allaite pas, la lactation s'interrompt d'elle-même en une à deux semaines» ajoute-t-elle sur son site, tout en précisant qu'il existe des alternatives thérapeutiques à la bromocriptine dans le cas où la lactation doit être stoppée pour des raisons médicales.
Le CMDh souligne pour sa part que la bromocriptine est disponible dans les pays de l'Union européenne depuis 1973 et que le nombre absolu d'effets secondaires graves rapportés aux autorités est très bas, avec un taux d'incidence estimé entre 0,005% à 0,4%. Les autres indications de la bromocriptine (Parkinson...) ne sont pas concernées par la recommandation de la CMDh. Cette dernière devrait désormais être entérinée par la Commission européenne qui prend la décision finale, laquelle devra ensuite être suivie par les Etats membres.

Josué

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[size=30]Retrait définitif du neuroleptique Prazinil[/size]

A partir du 2 septembre 2014, le médicament Prazinil® ne pourra plus être vendu en France. Sa balance bénéfice/risque étant devenue défavorable.
58 médicaments dangereux : la liste ! - Page 2 1830833-inline-310x205
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Annoncé en mai 2014, le retrait du marché duPrazinil® (carpipramine) prend effet le 2 septembre 2014, rappelle l'Agence nationale du médicament (ANSM) dans un communiqué. Ce neuroleptique indiqué dans le traitement des "psychosesschizophréniques à symptomatologie déficitaireniques" et de l'"inhibition au cours des états anxieux" serait associé à des risques de toxicité cardiovasculaire potentiellement grave, d'après la lettre envoyée par son fabricant, le laboratoire Pierre Fabre, aux professionnels de santé en avril 2014. Désormais "les professionnels de santé ne doivent plus instaurer de nouveau traitement par Prazinil® [...] et envisager une alternative thérapeutique appropriée chez les patients actuellement traités par Prazinil®" indique l'ANSM.[/size][/size]

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