Témoins de JEHOVAH VERITE actif


Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Témoins de JEHOVAH VERITE actif

forum des discussions sur la bible ouvert a tous.

Le deal à ne pas rater :
LEGO Icons 10331 – Le martin-pêcheur
35 €
Voir le deal

Vous n'êtes pas connecté. Connectez-vous ou enregistrez-vous

Une liste de 59 médicaments sous surveillance

+2
Mikael
Josué
6 participants

Aller en bas  Message [Page 1 sur 1]

Josué

Josué
Administrateur

LE POINT.FR
Une liste de 59 médicaments sous surveillance, dans le cadre d'une procédure spéciale de suivi d'éventuels effets indésirables appelée "plan de gestion des risques", publiée mercredi par Le Parisien, est disponible sur le site de l'Agence des produits de santé (Afssaps). Cette liste, dont l'Afssaps fait régulièrement état, couvre un spectre très vaste, avec par exemple une pilule du lendemain et des vaccins contre la méningite ou pour prévenir le cancer du col de l'utérus. Elle comprend ainsi des médicaments utiles et d'autres à l'efficacité plus contestée.

De plus, elle ne recouvre pas tous les médicaments sous surveillance, parfois sous d'autres procédures, tel le vasodilatateur buflomédil, commercialisé notamment sous divers noms de marque, dont Fonzylane (laboratoire Cephalon) qui fait partie des médicaments dont la revue médicale Prescrire demande le retrait.

Pour Bruno Toussaint, directeur de la revue Prescrire, qui a contribué à révéler le scandale du Mediator, cette liste regroupe une grande variété de situations. "Certains devraient être retirés du marché (...), d'autres ont une utilité, mais on ne sait pas si la surveillance des risques est efficace", explique-t-il, cité par le quotidien. "Pour l'instant, ce sont les laboratoires qui font les suivis d'effets secondaires, et les transmettent à l'agence. Il faudrait mieux que ce soit fait par des experts indépendants", ajoute-t-il.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Admin a écrit:LE POINT.FR
Une liste de 59 médicaments sous surveillance, dans le cadre d'une procédure spéciale de suivi d'éventuels effets indésirables appelée "plan de gestion des risques", publiée mercredi par Le Parisien, est disponible sur le site de l'Agence des produits de santé (Afssaps). Cette liste, dont l'Afssaps fait régulièrement état, couvre un spectre très vaste, avec par exemple une pilule du lendemain et des vaccins contre la méningite ou pour prévenir le cancer du col de l'utérus. Elle comprend ainsi des médicaments utiles et d'autres à l'efficacité plus contestée.

De plus, elle ne recouvre pas tous les médicaments sous surveillance, parfois sous d'autres procédures, tel le vasodilatateur buflomédil, commercialisé notamment sous divers noms de marque, dont Fonzylane (laboratoire Cephalon) qui fait partie des médicaments dont la revue médicale Prescrire demande le retrait.

Pour Bruno Toussaint, directeur de la revue Prescrire, qui a contribué à révéler le scandale du Mediator, cette liste regroupe une grande variété de situations. "Certains devraient être retirés du marché (...), d'autres ont une utilité, mais on ne sait pas si la surveillance des risques est efficace", explique-t-il, cité par le quotidien. "Pour l'instant, ce sont les laboratoires qui font les suivis d'effets secondaires, et les transmettent à l'agence. Il faudrait mieux que ce soit fait par des experts indépendants", ajoute-t-il.
ce n'est surement pas encore fini.

Josué

Josué
Administrateur

SOURCE REUTERS
Nicolas Sarkozy a annoncé, jeudi, une refonte "en profondeur" de la politique française du médicament, à la suite de l'affaire du Mediator, accusé d'être responsable d'au moins 500 morts. "Il faut tirer toutes les leçons de ce dossier", a déclaré le président de la République lors de ses voeux aux professionnels de la santé.

"Nous allons engager une démarche de refondation en profondeur de notre politique du médicament", a-t-il ajouté. Il a précisé qu'il s'agissait notamment de "resserrer les mailles du filet" du système de pharmacovigilance "au travers de procédures plus réactives et d'autorités publiques plus efficaces" et que des décisions seraient prises à la mi-2011.

Invité


Invité

Que dit la Bible a propos des médicaments ?

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

florence_yvonne a écrit:Que dit la Bible a propos des médicaments ?
rien l'industrie pharmaceutique n'existait pas les gens se soignaient avec les moyens du bord et les plus riches allaient voire un médecin . LUC était médecin.
ils servaient de ce que la nature leur donnait par exemple du baume.

(Jérémie 46:11) 11 “ Monte à Guiléad et prends du baume, ô vierge, fille d’Égypte ! En vain tu as multiplié les remèdes. Il n’y a pas de cicatrisation pour toi [...]
le vin a petite dose était considéré comme un médicament.
(1 Timothée 5:23) 23 Ne bois plus de l’eau, mais fais usage d’un peu de vin à cause de ton estomac et de tes fréquentes maladies.

Josué

Josué
Administrateur

selon un sondage du Dauphiné Libéré du 23 janvier.
avez -vous encore confiance dans les médicaments ?
44% de oui contre 56 de non.

Josué

Josué
Administrateur

SANTÉ - L'Affsaps a demandé le retrait du Fonzylane et du Nizoral en raison des risques qu'ils pourraient entraîner... Lire la suite l'article

PHOTOS/VIDÉOS LIÉES
Deux nouveaux médicaments bientôt interdits
Agrandir la photo
Deux médicaments devraient être sous peu interdits, le Fonzylane ou «buflomédil», déjà sur la sellette, et le Nizoral, un anti-mycosique en comprimés pris par voie orale, selon Le Figaro. Le quotidien fait état d'un vote en ce sens de la commission d'Autorisation de Mise sur le Marché (AMM), dont l'avis est cependant consultatif.

«Plan de gestion des risques»

Le ministre de la Santé, Xavier Bertrand, a indiqué mardi dernier que la liste des 76 médicaments sous surveillance, demandée à l'Afssaps (agence du médicament) à la suite de l'affaire du Mediator, serait rendue publique «dans une semaine au plus tard». Lundi prochain, le Pr Didier Houssin, directeur général de la Santé et Fabienne Bartoli, adjointe du directeur général feront un point sur «la surveillance des médicaments».

Un certain nomdre de ces 76 médicaments devraient faire partie d'une liste déjà connue de 59 médicaments qui sont sous surveillance dans le cadre d'une procédure spéciale de suivi d'éventuels effets indésirables appelée «plan de gestion des risques» établi depuis plusieurs années, et dont l'Afssaps fait régulièrement état. Parmi ces 59 produits, certains sont utiles et d'autres contestables.

Sans l'affaire du Médiator de Servier, qui serait responsable de 500 à 2.000 morts, ces deux médicaments resteraient encore probablement en vente pour un moment, souligne le Figaro. Le buflomédil est un vasodilatateur commercialisé sous le nom de Fonzylane par la firme américaine Cephalon et comme génériques par une quinzaine de firmes dont Merck, Mylan et Biogaran, la filiale de Servier.

Effets indésirbles cardiaques et neurologiques

L'agence du médicament (Afssafs), dont dépend la commission d'AMM, avait effectivement indiqué début janvier que le processus de réévaluation de ce médicament, dans le collimateur de la revue Prescrire, pourrait aboutir au retrait ou la suspension .

Aude

Aude

Admin a écrit:selon un sondage du Dauphiné Libéré du 23 janvier.
avez -vous encore confiance dans les médicaments ?
44% de oui contre 56 de non.

Suspect Suspect Suspect

On comprend vue que même les médecins sont réticents à prescrire ci ou ça. Mais voilà les lobby pharmaceutiques sont une énorme source de revenu...... No

alpha1



diffiçile de s'y retrouver dans tout cela chacun cherche à se protéger et à garder le monopole de ce que cela rapporte,de plus chaque personne réagit différemment selon le médicament tel personne aura tel effet indésirable une autre autre chose plus ou moins important et une autre rien alors il minimise les problémes jusqu'au moment ou cela devient trés grave et moi j'ai toujours pensé que l'on servait de cobaye mais cela n'engage que moi

Josué

Josué
Administrateur

SANTÉRSS Santé
Le Point.fr - Publié le 31/01/2011 à 06:41 - Modifié le 31/01/2011 à 07:03

MÉDICAMENT - Le buflomédil va disparaître des pharmacies
L'Afssaps a pris cette décision en raison d'effets indésirables cardiaques et neurologiques du médicament, parfois mortels.
http://www.lepoint.fr/sante/medicament-le-buflomedil-va-disparaitre-des-pharmacies-31-01-2011-133691_40.php?xtor=EPR-6-[Newsletter-Quotidienne]-20110131

Aude

Aude

Admin a écrit:SANTÉRSS Santé
Le Point.fr - Publié le 31/01/2011 à 06:41 - Modifié le 31/01/2011 à 07:03

MÉDICAMENT - Le buflomédil va disparaître des pharmacies
L'Afssaps a pris cette décision en raison d'effets indésirables cardiaques et neurologiques du médicament, parfois mortels.
http://www.lepoint.fr/sante/medicament-le-buflomedil-va-disparaitre-des-pharmacies-31-01-2011-133691_40.php?xtor=EPR-6-[Newsletter-Quotidienne]-20110131

Si ça se trouve cette recrudescence de maladies cardiaques dans les pays nantis est autant le fait des médicaments que d'une alimentation trop riche comme on veut nous faire croire....
Qui sait ????

Invité


Invité

Odessa a écrit:
Admin a écrit:SANTÉRSS Santé
Le Point.fr - Publié le 31/01/2011 à 06:41 - Modifié le 31/01/2011 à 07:03

MÉDICAMENT - Le buflomédil va disparaître des pharmacies
L'Afssaps a pris cette décision en raison d'effets indésirables cardiaques et neurologiques du médicament, parfois mortels.
http://www.lepoint.fr/sante/medicament-le-buflomedil-va-disparaitre-des-pharmacies-31-01-2011-133691_40.php?xtor=EPR-6-[Newsletter-Quotidienne]-20110131

Si ça se trouve cette recrudescence de maladies cardiaques dans les pays nantis est autant le fait des médicaments que d'une alimentation trop riche comme on veut nous faire croire....
Qui sait ????

Le problème d'un médicament comme le di-Antalvic, c'est le non respect de la posologie, les gens pensent que parce que le médicament est en vente libre on peut en consommer sans modération, mais il y a une notice, il faut la lire et suivre les recommandations indiquées.

Les médicaments ne sont pas des bonbons

alpha1



le di-antalvic en vente libre?moi je ne pouvais l'avoir que sur ordonnance

Invité


Invité

alpha1 a écrit:le di-antalvic en vente libre?moi je ne pouvais l'avoir que sur ordonnance

En France il est en vente libre

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

les Français sont de grands consommateurs de médicaments.
pourquoi ?

Invité


Invité

Mikael a écrit:les Français sont de grands consommateurs de médicaments.
pourquoi ?

Parce qu'ils sont souvent malade ?

Josué

Josué
Administrateur

florence_yvonne a écrit:
Mikael a écrit:les Français sont de grands consommateurs de médicaments.
pourquoi ?

Parce qu'ils sont souvent malade ?
pourquoi plus que les autres ?

Aude

Aude

En France les médecins ne sont pas tenus juridiquement à un résultat. Ils peuvent détraquer leur patient à volonté avec quantité de pilules.
En France on apprend aux médecins à faire traîner leur patient surtout certaines branches (kiné... ) ou la demande n'est pas très importante.

Invité


Invité

Admin a écrit:
florence_yvonne a écrit:
Mikael a écrit:les Français sont de grands consommateurs de médicaments.
pourquoi ?

Parce qu'ils sont souvent malade ?
pourquoi plus que les autres ?

Parce qu'ils sont plus soucieux de se soigner ?

Josué

Josué
Administrateur

florence_yvonne a écrit:
Admin a écrit:
florence_yvonne a écrit:
Mikael a écrit:les Français sont de grands consommateurs de médicaments.
pourquoi ?

Parce qu'ils sont souvent malade ?
pourquoi plus que les autres ?

Parce qu'ils sont plus soucieux de se soigner ?
disons qu'ils sont plus tendance a être hypocondriaque que les autres pays.

Invité


Invité

Admin a écrit:
florence_yvonne a écrit:
Admin a écrit:
pourquoi plus que les autres ?

Parce qu'ils sont plus soucieux de se soigner ?
disons qu'ils sont plus tendance a être hypocondriaque que les autres pays.

Comment expliques-tu cela, l'air ambiant ? la nourriture ?

Josué

Josué
Administrateur

florence_yvonne a écrit:
Admin a écrit:
florence_yvonne a écrit:
Admin a écrit:
pourquoi plus que les autres ?

Parce qu'ils sont plus soucieux de se soigner ?
disons qu'ils sont plus tendance a être hypocondriaque que les autres pays.

Comment expliques-tu cela, l'air ambiant ? la nourriture ?
mais je n'ais pas d'explication. Sad

Invité


Invité

Admin a écrit:
florence_yvonne a écrit:
Admin a écrit:
disons qu'ils sont plus tendance a être hypocondriaque que les autres pays.

Comment expliques-tu cela, l'air ambiant ? la nourriture ?
mais je n'ais pas d'explication. Sad

Donc, quand tu poses cette question

les Français sont de grands consommateurs de médicaments.
pourquoi ?

Tu attends l'explication que tu n'as pas ? mais que tu penses que nous avons ?

Aude

Aude

Les Français ne sont pas hypocondriaques, on les rend hypocondriaques en ne les assistant pas correctement:

En France les médecins ne sont pas tenus juridiquement à un résultat. Ils peuvent détraquer leur patient à volonté avec quantité de pilules.
En France on apprend aux médecins à faire traîner leur patient surtout certaines branches (kiné... ) ou la demande n'est pas très importante.

Perso j'ai eu la chance de faire connaissance avec la médecine Belges, Allemande et Suisse lors de mes déplacements et après ça je peux garantir qu'on a peur des toubib français.....

Invité


Invité

Odessa a écrit:Les Français ne sont pas hypocondriaques, on les rend hypocondriaques en ne les assistant pas correctement:

En France les médecins ne sont pas tenus juridiquement à un résultat. Ils peuvent détraquer leur patient à volonté avec quantité de pilules.
En France on apprend aux médecins à faire traîner leur patient surtout certaines branches (kiné... ) ou la demande n'est pas très importante.

Perso j'ai eu la chance de faire connaissance avec la médecine Belges, Allemande et Suisse lors de mes déplacements et après ça je peux garantir qu'on a peur des toubib français.....

En France, il est vrai que l'on sort rarement d'un cabinet médical sans un ordonnance.

Aude

Aude

Le problème c'est qu'ils prescrivent des ordonnances sur la base de rien. Aucune recherche c'est rare, ou alors recherches banales et succinctes. Voir recherches minables du genre prise de sang faîte dans la libre circulation, au lieu d'analyser dans la cellule directe.

Tu arrives en Belgique ou en Suisse tu es bombardé d'exam. Jamais tu n'entends un médecin dire le traditionnel " c'est nerveux " ou " c'est psychique " comme on te colle à tour de bras en France.

Ensuite pas besoin de tatonner avec quantité de pilules, ou peu le médecin sait ou il va, en tout cas il a une piste à exploiter, une vraie.

D'ailleurs tu arrives en Belgique ou en Suisse et tu dis que tu es Français, soit ça jette un froid, soit ils ont le sourire en coin ...

Invité


Invité

En France, il faut 10 ans de tests avant qu'un médicament ai l'autorisation de mise sur le marché

Les médecins doivent connaitre sur le bout des doigts les médicaments qu'ils prescrivent et en cas de doute, ils ont le Vidal

Aude

Aude

Je parle de la recherche sur les trouble du patient. Bilan de santé complet du patient.

Invité


Invité

Odessa a écrit:Je parle de la recherche sur les trouble du patient. Bilan de santé complet du patient.

C'est pas faux

Josué

Josué
Administrateur

L'UE renforce sa législation contre les médicaments contrefaits.
STRASBOURG (Reuters) - Les médicaments vendus dans l'Union européenne seront pourvus dans quelques années d'un dispositif de sécurité permettant de vérifier leur origine et leur authenticité pour lutter contre la contrefaçon.

Cette disposition, qui ne concernera, sauf exception, que les médicaments soumis à prescription, fait partie d'une nouvelle législation adoptée mercredi par le Parlement européen.

Un logo européen, dont l'authenticité devra être vérifiable, sera affiché sur les sites légaux de vente sur internet où le phénomène de la contrefaçon a pris une ampleur jugée inquiétante par l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

Plus de 50% des médicaments vendus par des sites illégaux seraient contrefaits, soit qu'il s'agisse de copies, soit qu'ils se révèlent inefficaces, voire dangereux.

Les Etats membres seront également tenus d'appliquer des sanctions dissuasives contre les fabricants ou distributeurs de médicaments falsifiés, y compris par le biais d'internet.

Chaque maillon de la chaîne devra s'assurer de l'authenticité des produits qu'il acquiert.

Si l'apparition d'un logo européen du médicament sur internet est attendue pour 2014, il faudra une dizaine d'années pour mettre en place un système de traçabilité européen.

La Commission européenne doit proposer une solution technique de type code-barres ou autre d'ici 2013. Les Etats qui n'imposent actuellement aucun système de sécurité auront trois ans pour l'adopter, les autres, comme la France, bénéficieront d'un délai de six ans pour s'adapter.

"C'est une étape, même si nous ne sommes pas allés assez loin", a estimé, au nom du Parti populaire européen, l'eurodéputée française de l'UMP Françoise Grossetête.

Elle a regretté que les médicaments vendus sans ordonnance dont certains, comme les antalgiques, réalisent de très grosses ventes, ne soient pas automatiquement concernés par le dispositif de traçabilité.

Elle regrette également que le reconditionnement de médicaments, pratiqué par certains courtiers qui achètent dans un pays à bas coûts pour revendre dans un autre, n'ait pas été interdit par la directive.

L'OMS estime que les médicaments contrefaits représentent environ 1% du marché, en valeur, dans les pays développés, mais plus de 30% dans les pays les plus pauvres et entre 10 et 20% au sein des économies émergentes.

En 2009, la Commission européenne avait annoncé la saisie par les douanes de 34 millions de comprimés contrefaits en l'espace de deux mois, lors de contrôles ciblés menés dans tous les Etats membres.

Gilbert Reilhac, édité par Yves Clarisse

samuel

samuel
Administrateur

il y aura toujours des magouilles car ça génèrent beaucoup de profits.

Invité


Invité

Les médicaments sont un mal nécessaire

Josué

Josué
Administrateur

florence_yvonne a écrit:Les médicaments sont un mal nécessaire
qui gère des milliards d'euros et enrichie certains.

Invité


Invité

Admin a écrit:
florence_yvonne a écrit:Les médicaments sont un mal nécessaire
qui gère des milliards d'euros et enrichie certains.

Et qui guérissent des millions de gens et qui leur sauvent la vie.

Josué

Josué
Administrateur

florence_yvonne a écrit:
Admin a écrit:
florence_yvonne a écrit:Les médicaments sont un mal nécessaire
qui gère des milliards d'euros et enrichie certains.

Et qui guérissent des millions de gens et qui leur sauvent la vie.
et en tuent en même temps il faut pas le sous estimé non plus.

Invité


Invité

Admin a écrit:
florence_yvonne a écrit:
Admin a écrit:
qui gère des milliards d'euros et enrichie certains.

Et qui guérissent des millions de gens et qui leur sauvent la vie.
et en tuent en même temps il faut pas le sous estimé non plus.

Beaucoup de maladies sont quasiment éradiquées dans les pays qui ont accès aux vaccins et au médicaments, alors que dans les pays du tiers monde elles font toujours des ravages, je pense à la peste, au choléra, la variole, le typhus, la lèpre, la poliomyélite et j'en oublie

Josué

Josué
Administrateur

e Di-Antalvic est retiré du marché ce mardi 1er mars. Certains aficionados de l'anti-douleur font des stocks en prévision de cette fin programmée. Reportage.

"Je prends du Di-Antalvic depuis 20 ans car c'est le seul médicament qui soulage mes douleurs." Comme Andrée, 63 ans, de nombreux patients redoutent le 1er mars, date du retrait du Di-Antalvic du marché français.
Vendu depuis plus de quarante ans par Sanofi-Aventis, le Di-Antalvic présente des risques de surdosage, fréquents en cas de douleurs aiguës ou chroniques, qui peuvent être lourds: du trouble psychiatrique et cardiovasculaire... à l'arrêt cardiaque. Des effets secondaires qui ont poussé l'Afssaps à ordonner son retrait des rayons des pharmacies. Mais tous les aficionados de l'anti-douleur ne sont pas prêts à mettre un terme à leur consommation.
En prévision de la fin programmée du Di-Antalvic, certains malades font des provisions. "J'en ai suffisamment pour me soigner ces trois prochains mois. Mais comment ferais-je après?", s'interroge Andrée qui a fait le plein de boîtes.
"Depuis janvier, confie un pharmacien parisien, les adeptes du Di-Antalvic viennent s'en procurer dans la limite des doses permises." Plusieurs pharmacies auraient même été dévalisées et seraient en rupture de stock depuis une dizaine de jours.
Complément
Comment se soigner sans Di-Antalvic
"J'ai pris du Di-Antalvic et Propofan pendant 10 ans pour calmer mes migraines. Je viens d'arrêter à contre-coeur après les révélations sur leurs effets secondaires. Mais je crains de ne pouvoir trouver des médicaments aussi efficaces", s'inquiète Lisa, 29 ans, qui n'a pas fait de réserves.
Pour Sandra, 48 ans, pas question de céder à la panique. "Je suis convaincue que le Doliprane ou le paracétamal sauront tout autant soulager mes douleurs musculaires." "Le scandale du Mediator, confie Sylvie, employée d'une officine parisienne, a incité de nombreux patients à se montrer vigilants et à changer de médicaments." Le sort du Di-Antalvic étant scellé depuis un an, d'autres adeptes "ont déjà commencé à se soigner autrement", confirme Catherine, également pharmacienne.
http://www.lexpress.fr/actualite/sciences/sante/razzia-sur-le-di-antalvic_966480.html?xtor=EPR-181

Josué

Josué
Administrateur

L'autorisation de mise sur le marché est retirée au Di-Antalvic et au Propofan (ainsi qu'aux génériques), à compter du 1er mars 2011.
Dans le cadre de la procédure européenne de réévaluation du rapport bénéfice / risque pour tous les médicaments contenant du Dextropropoxyphène (DXP), la Commission européenne avait demandé, dans une décision du 14 juin 2010, le retrait au sein de l'Union européenne de toutes les spécialités en contenant dans un délai maximum de 15 mois. Les preuves d'efficacité thérapeutique (...)

Josué

Josué
Administrateur

De la liste des 77 médicaments sous surveillance renforcée de l'Afssaps, l'organisation de consommateurs a extrait 31 médicaments dont 8 à retirer du marché sans attendre.

L'UFC-Que Choisir a analysé la liste des 77 médicaments placés sous surveillance renforcée et en a extrait une liste de 31 d'entre eux "à éviter", en s'appuyant sur le travail de la revue indépendante Prescrire.
"31 d'entre eux sont à éviter, dont 8 particulièrement dangereux, sont à retirer du marché sans attendre : Actos (diabète), Arcoxia (arthrose, rhumatologie), Equanil (sevrage alcoolique), Hexaquine (crampes), Nexen (douleur), Valdoxan (dépression), Vastarel (angine de poitrine, vertige, acouphènes) et Zyban (sevrage tabagique)" assène l'organisation de consommateurs.
"Plusieurs de ces médicaments sont d'ailleurs d'ores et déjà interdits à l'étranger", souligne la revue Que Choisir Santé, dans son numéro d'avril, qui juge qu'il y a encore "trop de médicaments inutiles ou dangereux en circulation".
Retrouvez la liste des 77 médicaments sous surveillance renforcée classés par catégorie: cancer, diabète, douleur...
Elle déplore par ailleurs dans ce même numéro, que certains médicaments utiles soient seulement remboursés à 15% (vignette orange) et en publie une liste qui trie le bon grain de l'ivraie, assortie d'explications pratiques.
L'UFC-Que Choisir réclame "une action sans délai des pouvoirs publics", passant concrètement par "le retrait du marché des huit médicaments" précités "dangereux pour la santé" et "le déremboursement des médicaments inefficaces, qui grèvent inutilement les finances publiques et contribuent à l'augmentation des primes d'assurances complémentaires santé".
Une version plus digeste de la liste de l'Afssaps
Les autres médicaments à éviter sont le Procoralan (angine de poitrine instable) l'Intrinsa (testostérone pour la baisse du désir féminin), le Ferrisat (carence en fer) le buflomédil (Fonzylane et génériques retirés du marché en février, rappelle la revue), le Cymbalta (dépression), le Protopic (dermite atopique), Victoza, Eucréas et Galvus (diabète) , Multaq (fibrillation auriculaire, un trouble du rythme cardiaque), Praxinor (hypotension), Mépronizine, Rohypnol et Noctran (insomnie), Celance (Parkinson), Alli (obésité), Protelos (ostéoporose postménopause), Arixtra et Xarelto (prévention des thrombo-embolies veineuses), Zypadhera (schizophrénie, récidive de trouble bipolaire), Tysabri (sclérose en plaques), Champix (sevrage tabagique) Ketum gel (tendinites superficielles).
La liste des 77 médicaments publiée par l'agence du médicament (Afssaps), mélangeant des médicaments dangereux à d'autres utiles, bien qu'à surveiller, avait semé le trouble chez de nombreux patients et a accru la défiance des Français vis-à-vis des médicaments, selon l'UFC Que Choisir. L'Afssaps vient de mettre en ligne une version plus digeste de sa liste.

Josué

Josué
Administrateur

Professeur Giroud : "Il est plus difficile de trouver le bon médicament que de gagner au tiercé"
Le Point.fr - Publié le 28/04/2011 à 17:24 - Modifié le 28/04/2011 à 17:25
Dans son dernier livre, le pharmacologue classe les produits disponibles en automédication selon leur efficacité et leur tolérance.
la suite ici.
http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/anne-jeanblanc/professeur-giroud-il-est-plus-difficile-de-trouver-le-bon-medicament-que-de-gagner-au-tierce-28-04-2011-1324503_57.php?xtor=EPR-6-[Newsletter-Quotidienne]-20110429

Josué

Josué
Administrateur

Dans un communiqué du mercredi 4 mai 2011, l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) indique que les médicaments antitussifs contenant de la pholcodine sont désormais soumis à prescription médicale obligatoire.
Délivrés auparavant sans ordonnance dans les pharmacies, ces 23 sirops à base de pholcodine (biocalyptol, broncalene, codotussyl, dimétane, hexapneumine, humex, respilène, rhinatiol...) sont utilisés en France depuis la fin des années 1960 dans le traitement de (...)

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Médicaments : les antibiotiques, trop automatiques, menacent la santé mondiale[/size]


Corrélé à l'augmentation du PIB, le niveau de consommation d'antibiotiques a particulièrement augmenté dans les pays à revenu intermédiaire ou faible.


SOURCE AFP
Publié le 28/03/2018 à 07:21 | Le Point.fr



Dans les 76 pays étudiés, l'absorption d'antibiotiques est passée de 21,1 milliards de doses quotidiennes déterminées en 2000 à 34,8 milliards en 
« Les antibiotiques, c'est pas automatique. » Dans le monde, beaucoup d'utilisateurs semblent avoir oublié cette recommandation. Entre 2000 et 2015, la consommation mondiale d'antibiotiques a augmenté de 65 %, dopée par une utilisation qui explose dans les pays à revenu intermédiaire et faible mais qui représente une menace pour la santé mondiale, ont rapporté des chercheurs. En effet, ces experts rappellent dès le début de leur rapport que « la résistance aux antibiotiques, entraînée par la consommation d'antibiotiques, est une menace croissante pour la santé mondiale ».
Lire aussi : Attention, les antibiotiques font grossir les bébés
Publiée lundi dans la revue américaine Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS), cette étude, fondée en partie sur des projections, donne le tournis : « La consommation globale totale d'antibiotiques en 2015 était estimée à 42,3 milliards de doses quotidiennes déterminées. » Dans les 76 pays étudiés, l'absorption d'antibiotiques est passée de 21,1 milliards de doses quotidiennes déterminées en 2000 à 34,8 milliards en 2015. Corrélé à l'augmentation de leur Produit intérieur brut (PIB), le niveau de consommation d'antibiotiques a particulièrement augmenté dans les pays à revenu intermédiaire ou faible (LMIC) : + 114 % en 16 ans, pour atteindre 24,5 milliards de doses quotidiennes déterminées.

700 000 morts par an


Pour Eili Klein, chercheur au Center for Disease Dynamics, Economics & Policy et l'un des auteurs de l'étude, cette augmentation signifie « un meilleur accès à des médicaments nécessaires dans des pays avec beaucoup de maladies qui peuvent être traitées efficacement avec des antibiotiques ». Mais le chercheur avertit : « Alors que de plus en plus de pays obtiennent l'accès à ces médicaments, ces taux [de consommation] augmenteront [...], ce qui conduira à des taux plus élevés de résistance » aux antibiotiques. Or, cette résistance des bactéries est responsable de 700 000 morts par an dans le monde, selon un groupe d'experts internationaux formé en 2014 au Royaume-Uni.
La consommation est plus faible pour les pays à haut revenu (HIC), avec 10,3 milliards de doses quotidiennes. Et entre 2000 et 2015, la hausse n'a été que de 6 %. Le taux de consommation pour 1 000 habitants et par an reste bien plus élevé dans les pays à haut revenu. Mais en 16 ans, ce taux a augmenté de 77 % pour les pays à revenu intermédiaire ou faible, tandis qu'il a diminué de 4 % pour les pays riches. Et certains pays LMIC ont dépassé le taux de consommation d'antibiotiques de pays à haut revenu.

Mise en garde


En 2015, la Turquie, la Tunisie, l'Algérie et la Roumanie faisaient ainsi partie des six pays aux taux de consommation d'antibiotiques les plus élevés, alors qu'en 2000, les cinq premiers appartenaient tous à la catégorie des pays à haut revenu. Autre exemple, en 16 ans, la consommation d'antibiotiques a doublé en Inde, a augmenté de 79 % en Chine et de 65 % au Pakistan. Ces trois pays sont les plus gros utilisateurs d'antibiotiques parmi les pays LMIC. Au contraire, la hausse n'a été que marginale dans les trois pays leaders de la consommation dans les nations à haut revenu, les États-Unis, la France et l'Italie, explique l'étude.
Les chercheurs tirent la sonnette d'alarme pour l'avenir : « Les projections de la consommation globale d'antibiotiques en 2030, présumant aucun changement de politique, sont jusqu'à 200 % supérieures aux 42 milliards de doses quotidiennes déterminées en 2015. » « Éliminer cette utilisation inutile [des antibiotiques] devrait être une première étape et une priorité pour chaque pays », confie à l'AFP Eili Klein. « Trente pour cent de l'utilisation dans les pays à haut revenu est inappropriée », renchérit-il, ajoutant que la consommation considérable d'antibiotiques chez certains pays LMIC suggère également qu'un usage inadéquat y en est fait. La résistance aux antibiotiques pourrait causer dix millions de décès par an d'ici à 2050, rapportait une récente étude britannique. Le salut de l'humanité pourrait alors peut-être venir des ornithorynques. Cet animal, qui vit en Australie, est un des rares mammifères qui pond des œufs. Une équipe australienne a récemment découvert qu'une protéine contenue dans le lait maternel de l'ornithorynque pouvait avoir des vertus thérapeutiques pour l'humain.

papy

papy

[size=48]Plainte d'Anticor contre des experts du cholestérol
Par François Koch,publié le 18/10/2018 à 16:51 , mis à jour à 20:01[/size] Une liste de 59 médicaments sous surveillance Les-francais-consomment-toujours-trop-de-ces-medicaments-malgre-des-annees-de-sensibilisation-au-risque-de-rendre-certaines-bacteries-resistantes-souligne-l-ocde-dans-son-panorama-de-la-sante-2017_5974542

Selon la présidente de la Haute Autorité de Santé, "les liens d'intérêts des membres du groupe de travail ont (...) été analysés et gérés conformément aux règles et procédures en vigueur".
 
afp.com/PHILIPPE HUGUEN


L'association anticorruption saisit la justice sur les liens entre des médecins et des laboratoires pharmaceutiques.


Le 3 octobre 2018, l'association Anticor a déposé plainte au tribunal de grande instance de Bobigny pour prise illégale d'intérêt contre une série d'experts de la Haute autorité de santé (HAS). L'association spécialiste de la lutte anticorruption accuse ces derniers, qui ont rédigé une recommandation publiée en 2017 sur les dyslipidémies (cholestérol, triglycérides...), d'accroître l'incitation à la prescription de médicaments, alors qu'une majorité de ces spécialistes ont des liens financiers avec les laboratoires pharmaceutiques qui les fabriquent. De quoi s'interroger sur la valeur scientifique de leurs conclusions. 
La Haute autorité de santé, une autorité publique indépendante, doit pourtant veiller à ce que l'on ne puisse pas mettre en doute ni l'intégrité ni l'impartialité de ses experts. Autrement dit vérifier que ces derniers n'acceptent pas de missions rémunérées, qu'il s'agisse de recherches cliniques, de rédaction d'articles ou de participation à des colloques tous frais payés, de la part de l'industrie du médicament. La loi aurait été violée puisque six des neuf experts du "groupe dyslipidémies" de la Haute autorité avaient "des liens d'intérêt directs ou indirects majeurs avec les laboratoires intéressés par la recommandation", peut-on lire dans la plainte d'Anticor que L'Express a pu consulter. 


Le double refus de la HAS


Sont particulièrement visés deux des six experts mis en cause, qui illustrent les doutes que l'on peut avoir sur l'impartialité d'une recommandation. Le professeur Bruno Vergès, chef de service au CHU de Dijon, a ainsi perçu 65.088 euros d'avantages et 36.940 euros de rémunérations, de 2013 à 2017. Les payeurs étant notamment les laboratoires pharmaceutiques MSD, Pfizer, Astrazeneca, Novartis, Sanofi Aventis et Amgen. Le docteur Jean-Michel Lecerf, chef de service à l'Institut Pasteur de Lille, a lui reçu 25.268 euros de rémunérations en particulier des laboratoires MSD et Sanofi-Aventis/Regeneron. 
La plainte d'Anticor ne vient pas de nulle part, même si cette organisation spécialisée dans les infractions politicofinancières porte le fer pour la première fois dans le monde de la santé. Elle s'est appuyée sur l'expertise et l'action de l'association pour une formation et une information médicale indépendante, dite Formindep. Cette dernière a écrit le 1er juin 2018 au professeur Dominique Le Guludec, la présidente de la HAS, pour dénoncer les conflits d'intérêts d'experts ayant rédigé la fiche mémo "Principales dyslipidémies: stratégie de prise en charge", en visant nommément les docteurs Bruno Vergès et Jean-Michel Lecerf. Dans son courrier, le Formindep demande à la fois le retrait de la "fiche mémo" mais aussi que les infractions soient signalées à la justice. Dans sa réponse du 29 juin, la présidente de la HAS oppose un double refus au Formindep : "Les liens d'intérêts des membres du groupe de travail ont, avant le démarrage des travaux de celui-ci, été analysés et gérés conformément aux règles et procédures en vigueur". 

Lecerf: "Je ne suis à la solde de personne"



Du coup, le 28 août, le Formindep dépose une requête en annulation de la décision de la HAS auprès de la section du contentieux du Conseil d'Etat. Pourquoi ? "La HAS prétend que les règles sur les conflits d'intérêts ont été respectées alors qu'elle se base sur des déclarations mensongères de certains experts", affirme Jean-Sébastien Borde, vice-président du Formindep. Cette accusation est fondée sur la comparaison entre, d'une part, les déclarations publiques d'intérêts déposées à la HAS et, d'autre part, les informations publiées par les laboratoires sur la base transparence.sante.gouv.fr, les divulgations de dons diffusées par la HAS, les déclarations d'intérêts des experts mentionnées à la fin de leurs publications scientifiques et le registre européen des essais cliniques. Un travail de fourmis que ne ferait pas l'autorité publique indépendante, selon Formindep, qui a pourtant déjà tiré la sonnette d'alarme dans le passé en obtenant de la justice administrative l'annulation de plusieurs recommandations de la HAS. Notamment, en 2011, celle sur la maladie d'Alzheimer. 
Contactés par L'Express, le docteur Jean-Michel Lecerf reconnaît que ses "déclarations d'intérêts à la HAS ne sont pas toujours à jour" alors que le professeur Bruno Vergès assure que "la HAS a donné son accord à sa participation après avoir analysé les conflits d'intérêts". La présidente de la Haute autorité de Santé nous a fait savoir de son côté qu'elle ne souhaite pas s'exprimer en raison du contentieux en cours devant le Conseil d'État. "Je ne suis à la solde de personne, ajoute le docteur Lecerf. Si l'on se prive de l'avis des experts qui font des recherches cliniques avec les laboratoires, on se limitera à celui de ceux qui ne connaissent rien à rien."  

LIRE NOTRE DOSSIER COMPLET

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Levothyrox: l’ancienne formule sera encore disponible en 2019, sur fond de polémique[/size]

  • Par   Une liste de 59 médicaments sous surveillance Svg+xml;base64,<?xml version="1.0" encoding="UTF-8" standalone="no"?>
<svg width="14px" height="14px" viewBox="0 0 14 14" version="1.1" xmlns="http://www.w3.org/2000/svg" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink">
    <!-- Generator: sketchtool 3.8.1 (29687) - http://www.bohemiancoding.com/sketch -->
    <title>9BA324DB-27A2-48A7-A016-AAC8D469325A</title>
    <desc>Created with sketchtool.</desc>
    <defs></defs>
    <g id="Article" stroke="none" stroke-width="1" fill="none" fill-rule="evenodd">
        <g id="ARTICLE" transform="translate(-230.000000, -490.000000)">
            <g id="auteur" transform="translate(230.000000, 488.000000)">
                <g id="icon-mini-figaro" transform="translate(0.000000, 2.000000)">
                    <g id="fplume">
                        <path d="M14,11.8996 C14,13.0595725 13.0592968,14 11.899576,14 L2.09994401,14 C0.940543258,14 0,13.0595725 0,11.8996 L0,0 L11.899576,0 C13.0592968,0 14,0.940267459 14,2.10024003 L14,11.8996" id="Fill-1" fill="#3775CA"></path>
                        <path d="M8.98235294,9 L8.96698292,8.99192957 C8.96375712,8.98826119 8.6540797,8.6334067 8.00910816,8.05918317 L8,8.02567865 L8.02144213,8.00440205 L8.12125237,8 L8.13529412,8.00538029 C8.48235294,8.31548056 8.64516129,8.51504035 8.87001898,8.79139154 C8.91081594,8.84030325 8.95294118,8.89214967 8.99867173,8.94741991 L9,8.98972854 L8.98235294,9 M8.62590975,8 L8,8 L8,8.29698734 C8.40101892,8.47364668 8.59505095,8.61857508 8.59679767,8.62000119 C8.60232897,8.62374473 9.24949054,9.04248618 9.78020378,9.63806524 C9.97016012,9.85073385 10.1053857,9.98336205 10.2247453,10.1004813 C10.4334789,10.3051281 10.6148472,10.4826787 11,11 C10.6812227,10.4775091 10.2355167,9.91134351 9.56870451,9.17547091 C9.26200873,8.8365916 8.91979622,8.41036306 8.62590975,8" id="Fill-2" fill="#999999"></path>
                        <path d="M10.6843328,9.55518041 C10.116149,9.08335013 9.40411254,8.48105221 8.93555881,8.00650071 L8.91938398,8 L8.77828444,8 L8.75918438,8.01103608 L8.76245376,8.03099174 C9.11640712,8.38777464 9.533167,8.76133844 9.90570421,9.05659141 C10.6939689,9.68065914 11.2208552,10.1608043 11.5976942,10.6039105 C11.1423901,10.1651885 10.9279876,10.014614 10.6812355,9.84106027 C10.5401359,9.74173554 10.3802805,9.62925821 10.1557257,9.44890143 C9.52834896,8.94381173 8.76331412,8.5886918 8.75677536,8.58551703 C8.75453842,8.5843076 8.51793857,8.45746825 8.02839198,8.30432373 L8.0087757,8.30689377 L8,8.32216287 L8,8.52126587 L8.01376581,8.53895384 C8.66299578,8.74485991 8.96240213,8.89377142 8.96532737,8.89528321 C8.97479136,8.89981858 9.93650521,9.37996372 10.637357,9.9716791 C11.2284264,10.4716287 11.3734836,10.6092018 11.5312742,10.7643116 C11.5431472,10.7715682 11.8291319,10.9467849 11.9722963,10.9986394 L11.9803837,11 L11.995354,10.9947087 L12,10.9742995 C11.997591,10.9693106 11.7391379,10.4299032 10.6843328,9.55518041" id="Fill-3" fill="#999999"></path>
                        <path d="M8.12125237,8 L8.02144213,8.00440205 L8,8.02567865 L8.00910816,8.05918317 C8.6540797,8.6334067 8.96375712,8.98826119 8.96698292,8.99192957 L8.98235294,9 L9,8.98972854 L8.99867173,8.94741991 C8.95294118,8.89214967 8.91081594,8.84030325 8.87001898,8.79139154 C8.64516129,8.51504035 8.48235294,8.31548056 8.13529412,8.00538029 L8.12125237,8" id="Fill-4" fill="#999999"></path>
                        <path d="M4,4 L12,4 L12,6.24902942 L10.0433531,6.24902942 L10.0433531,5.86683423 C10.0433531,5.66324813 9.90872142,5.49060838 9.6084674,5.49060838 L7.83657917,5.49060838 L7.83657917,6.75312493 L9.47705334,6.75312493 L9.47705334,8.11052265 L7.83657917,8.11052265 L7.83657917,9.12248379 C7.83657917,9.40100088 7.96629975,9.51567514 8.35800169,9.51567514 L8.97933954,9.51567514 L8.97933954,11 L4,11 L4,9.51567514 L4.65842506,9.51567514 C4.84843353,9.51567514 4.98154107,9.39644532 4.98154107,9.22019255 L4.98154107,5.85678059 C4.98154107,5.6453401 4.94360711,5.49060838 4.62980525,5.49060838 L4,5.49060838 L4,4" id="Fill-5" fill="#FFFFFF"></path>
                        <path d="M2.02794884,3 C2.0517922,3.66985421 2.26275067,4.39974918 2.26275067,4.39974918 C2.26022422,4.39849506 2.25785568,4.39724095 2.25548713,4.39598683 C2.2591189,4.40962533 2.26275067,4.4234206 2.26638244,4.43721586 L2.26054003,4.45634112 L2.24127586,4.46041699 C2.23669667,4.45884935 2.14227065,4.42577206 2,4.29738203 C2.01279015,4.34268694 2.0258961,4.38705126 2.03963366,4.43063176 C2.23211748,4.91675811 2.74988157,6.04499138 3.53750197,6.43580499 L3.54776567,6.45759523 L3.5286594,6.47233109 C3.51476393,6.47233109 3.22216959,6.46950933 2.94157587,6.35710926 C3.12916469,6.53582066 3.39807358,6.73099232 3.67250908,6.91189842 C3.96620875,7.09985891 4.36080846,7.32951873 4.88757303,7.59962377 L4.89799463,7.61765167 L4.88567819,7.63473899 C4.88330965,7.63583634 4.82220117,7.65982129 4.68829938,7.65982129 C4.59229433,7.65982129 4.48428865,7.64775043 4.36617717,7.62392224 C4.45018159,7.67847625 4.53292279,7.73052203 4.61408495,7.77990281 C4.72461709,7.84543032 4.85583452,7.92099075 5,8 L5,6.50932748 C5,6.29832262 4.96462972,6.1439097 4.67203537,6.1439097 L4.08479394,6.1439097 L4.08479394,5.71798087 C3.20085268,5.08825835 2.53118585,3.85765794 2.3315964,3.31133406 C2.19295752,3.1804358 2.09063635,3.07258191 2.02794884,3" id="Fill-6" fill="#999999"></path>
                        <path d="M4,5 L4,5.43381766 L4.69057935,5.43381766 C5.03466205,5.43381766 5.0762565,5.59109053 5.0762565,5.80600351 L5.0762565,7.32428549 C5.22926467,7.39693438 5.39471404,7.47229762 5.56629116,7.54558518 C6.04796979,7.74660706 6.43680366,7.86891266 6.68748453,7.93772952 C6.79555583,7.96423439 6.90028472,7.98547022 7,8 L6.99442931,5.77199425 C6.99442931,5.77199425 6.94355038,5.66549577 6.83473632,5.49992017 L6.83752166,5.53361009 L6.84792028,5.53281175 L6.97121812,6.76512853 L6.97827433,6.77295226 L6.98254518,6.78333067 L6.99034414,6.88727447 L6.97456053,6.90755229 L6.96769002,6.9085103 L6.94800693,6.89893023 C6.89322852,6.8214913 6.35435751,6.11512055 4.32495667,5.17547501 C4.21410002,5.12422162 4.10584303,5.06530417 4,5" id="Fill-7" fill="#FFFFFF"></path>
                        <path d="M4,4 L4.0551116,4.46365693 C4.11766327,4.52060588 4.18476164,4.57755483 4.25558005,4.63371693 L4.1935795,4.12324186 L4.22747313,4.121078 L4.29319372,4.66371594 C4.35546983,4.71171437 4.42091485,4.75892594 4.48925324,4.80495721 L4.42022596,4.24038556 L4.45398181,4.2382217 L4.52645357,4.82944821 C4.58721411,4.86918462 4.65004133,4.90764237 4.71534858,4.94472312 L4.64425462,4.33451362 L4.67814825,4.33234976 L4.7519978,4.96577161 C4.7729402,4.97737779 4.79415817,4.98878725 4.81551392,5 L4.81551392,4.41880594 L5,4.41880594 C4.79195371,4.3546769 4.52672913,4.26094226 4.26646459,4.1356349 C4.17249931,4.08970198 4.08404519,4.04455592 4,4 M4,3 L3.98329545,3.63329764 C3.95795455,3.75321199 3.93017045,3.87633833 3.9,4 L3.92142045,3.208601 L3.91409091,3.20681656 C3.94414773,3.13650964 3.973125,3.06727338 4,3 M3,3 L2.99230769,3.43918919 C2.96600496,3.61193694 2.93523573,3.8018018 2.9,4 L2.91705955,3.24887387 C2.94646402,3.16283784 2.97419355,3.07995495 3,3 M3,3 C2.98052239,2.97811935 2.94738806,2.94307414 2.9,2.9 L2.90783582,2.96007233 C2.94141791,2.97417722 2.9719403,2.9874141 3,3" id="Fill-8" fill="#999999"></path>
                        <path d="M7,5 L6.96747851,6.66484899 C6.94159503,6.78041107 6.91905444,6.89282718 6.9,7 L6.92965616,5.4880453 L6.93190067,5.4840604 C6.94312321,5.39324664 6.96666667,5.21308725 7,5 M6,5 L5.96457462,6.7394551 C5.94146908,6.82724521 5.91994421,6.91402624 5.9,7 L5.93221757,5.37214934 C5.95178987,5.25247225 5.97447699,5.1271443 6,5 M4.21631664,4 L4,4 L4,4.84048076 C4.04862682,4.87191523 4.09854604,4.90235403 4.14927302,4.93193941 L4.06219709,4.00668516 L4.10177706,4.00398265 L4.19159935,4.9573999 C4.26268174,4.99736861 4.33570275,5.03491928 4.41050081,5.07062087 L4.32164782,4.12730247 L4.36155089,4.12445772 L4.45266559,5.09110305 L4.46946688,5.09906835 C4.5368336,5.12979162 4.60403877,5.16179504 4.67108239,5.19450964 L4.57576737,4.2126449 L4.61550889,4.20951568 L4.71308562,5.21541853 C4.78820679,5.25240026 4.8628433,5.29094659 4.9368336,5.3297774 L4.82084006,4.14010383 L4.86058158,4.13711685 L4.97899838,5.35225091 C5.053958,5.39264633 5.1276252,5.43417965 5.20048465,5.47571296 L5.0819063,4.25887206 L5.12164782,4.25588507 L5.24297254,5.50032003 C5.31793215,5.54412915 5.3914378,5.58822274 5.46300485,5.63288529 L5.34458805,4.4028163 L5.38449111,4.39968708 L5.50581583,5.66005263 C5.5812601,5.70770215 5.65541195,5.75577839 5.7266559,5.80442358 L5.60775444,4.5720788 L5.64781906,4.56937629 L5.76962843,5.8341512 C5.84943457,5.88948154 5.926979,5.94481189 6,6 L5.88029079,4.80605931 L5.91631664,4.8033568 C5.78756058,4.6736363 5.64071082,4.54548041 5.47495961,4.43837565 C4.95121163,4.1015575 4.74862682,4.02218903 4.68432956,4.00398265 L4.70710824,4.13569447 L4.70016155,4.15134059 L4.68174475,4.15503876 C4.67819063,4.1540431 4.48901454,4.10369106 4.21631664,4" id="Fill-9" fill="#FFFFFF"></path>
                        <path d="M4.99426798,4 L4.9992333,3.99745426 L5,3.98647574 L4.98006572,3.9 L4.96020445,3.9 C4.9611172,3.91344471 4.96126323,3.9239459 4.95870756,3.9239459 C4.9584885,3.9239459 4.95823293,3.92386635 4.95797736,3.92370724 C4.94954363,3.91607001 4.94125593,3.90811456 4.93311428,3.9 L4.9,3.9 C4.95659,3.96690533 4.99364732,3.99936356 4.99426798,4 M2.1038496,2 L2.09191286,2.01590668 C2.0519248,2.49826205 2.23202029,3.198156 2.28155774,3.37946271 C2.17711131,3.30493696 2.0341689,3.11965359 2.0325276,3.11759161 L2.00999702,3.11243667 L2,3.13290916 C2.32363474,4.4712796 3.0601313,5.12860846 3.29036109,5.30638035 C3.17218741,5.27427242 2.95628171,5.20283964 2.80528201,5.15070107 L2.78439272,5.15718157 L2.78439272,5.17853776 C3.20173083,5.75721692 4.26126529,6.28523035 4.58012534,6.43516555 C4.38660101,6.41218923 4.06684572,6.34517497 4.06296628,6.34429127 L4.04267383,6.35460115 L4.04789615,6.3763992 C4.37033721,6.62707671 4.69516562,6.83268528 5,7 L5,6.86994816 C4.88287078,6.80617415 4.76111608,6.73650878 4.63533274,6.66036291 C4.53178156,6.5993873 4.44747836,6.54769059 4.38928678,6.5114587 C4.39316622,6.51219512 4.39719487,6.51307883 4.40107431,6.51381525 C4.34079379,6.47493225 4.27991644,6.43457641 4.21829305,6.39289502 C4.21829305,6.39289502 4.65070128,6.46668434 4.79886601,6.46668434 C4.79886601,6.46668434 4.2614145,6.18257335 3.74559833,5.84485095 C3.33407938,5.58283257 3.13264697,5.40682809 3.04461355,5.31948863 C3.04804536,5.32096147 3.05147717,5.32228703 3.05490898,5.32361258 C3.01387645,5.28487687 2.97702178,5.24702486 2.94509102,5.21035113 C2.94509102,5.21035113 3.22843927,5.33112407 3.55162638,5.37044892 C3.55162638,5.37044892 2.63040883,4.86865206 2.20262608,3.51363851 C2.18009549,3.45693413 2.16219039,3.40950866 2.14920919,3.37386591 C2.15458072,3.37887357 2.15995225,3.38373395 2.16517457,3.38844704 C2.15070128,3.33704489 2.13697404,3.28416991 2.12384363,3.23041122 C2.12384363,3.23041122 2.16621904,3.35236244 2.40659505,3.48108872 C2.21874067,2.75998586 2.17173978,2.29294804 2.16039988,2.13240839 C2.16935243,2.1434547 2.17964787,2.15582656 2.1915846,2.16952398 C2.19068935,2.14566396 2.19009251,2.12165665 2.18979409,2.09794391 C2.18979409,2.09794391 3.1753208,3.23011665 4.43330349,3.72572758 L4.62279916,3.72572758 C4.38973441,3.63441145 3.76962101,3.38196654 3.47508207,3.17179215 C2.92002387,2.77545069 2.13115488,2.01178273 2.12324679,2.00412395 L2.1038496,2" id="Fill-10" fill="#999999"></path>
                        <path d="M6,7 L6,7.16815845 C6.54014327,7.78308894 6.97823053,7.9961912 6.98418458,7.99885736 L6.98678947,8 L6.99376686,7.99504856 L6.99832543,7.97695677 L7,7.83450771 L6.99023165,7.81089316 C6.98148665,7.808227 6.97274165,7.80537041 6.96381059,7.80232337 L6.96381059,7.81889164 C6.96381059,7.81889164 6.90771235,7.79394401 6.80723788,7.7280518 C6.62750023,7.62292897 6.42962136,7.4475338 6.24551121,7.26033137 C6.16820169,7.18358408 6.08605452,7.09693392 6,7 M4.90403155,4 L4.92932556,4 L4.92644278,3.9877 C4.93048797,3.9911 4.93537008,3.9952 4.94094964,4 L5,4 C4.96847548,3.9729 4.936393,3.9487 4.90389206,3.9278 C4.90352009,3.9276 4.90319461,3.9275 4.90286914,3.9275 C4.89812651,3.9275 4.90021885,3.9531 4.90235768,3.9788 C4.90296213,3.986 4.90356658,3.9933 4.90403155,4 M5.0866947,4 L5,4 C5.54836551,4.26608099 5.86331485,4.7443199 6,5 L5.99588989,4.94052307 L5.99436054,4.93527214 C5.93127509,4.81975159 5.70502772,4.42754721 5.44580386,4.2349793 C5.31179507,4.13581743 5.18744026,4.05776027 5.0866947,4" id="Fill-11" fill="#999999"></path>
                        <path d="M4.99424706,5 C5.00124706,5 5.00084706,4.9868 4.99834706,4.9699 L4.92414706,4.9699 C4.94644706,4.9801 4.96914706,4.9901 4.99224706,4.9997 C4.99294706,4.9999 4.99364706,5 4.99424706,5 M2.9,5 C2.93017045,4.87633833 2.95795455,4.75321199 2.98329545,4.63329764 L3,4 C2.973125,4.06727338 2.94414773,4.13650964 2.91409091,4.20681656 L2.92142045,4.208601 L2.9,5 M2.9,5 C2.93523573,4.8018018 2.96600496,4.61193694 2.99230769,4.43918919 L3,4 C2.97419355,4.07995495 2.94646402,4.16283784 2.91705955,4.24887387 L2.9,5 M1.9,2.9 C1.94738806,2.94307414 1.98052239,2.97811935 2,3 C1.9719403,2.9874141 1.94141791,2.97417722 1.90783582,2.96007233 L1.9,2.9 M2,3 C2.00039904,3.02709829 2.00119713,3.05453321 2.00239425,3.08179982 C2.08160415,3.15972846 2.21089385,3.27552738 2.38607342,3.41606822 C2.63826816,4.00263689 3.48443735,5.32388914 4.60135674,6 L4.60135674,5.85474641 C4.57043097,5.8355588 4.53970471,5.81603456 4.50937749,5.7961737 L4.40243416,4.71224192 L4.35335196,4.71594479 L4.45630487,5.76015485 C4.36173184,5.69670108 4.2707502,5.63089093 4.18276137,5.56289273 L4.07781325,4.55116697 L4.02893057,4.55486984 L4.12889066,5.52098294 C4.02992817,5.44221275 3.93515563,5.3614228 3.84497207,5.27928636 L3.74980048,4.35070691 L3.70071828,4.35440978 L3.79050279,5.22795108 C3.68794892,5.1318447 3.59078212,5.03439183 3.50019952,4.93693896 L3.42039106,4.14351436 C3.54209896,4.21975987 3.67019154,4.29701526 3.80626496,4.37561715 C4.18316042,4.59004713 4.56723863,4.75044883 4.86851556,4.86018851 L5,4.86018851 C3.31783719,4.29381732 2,3 2,3" id="Fill-12" fill="#999999"></path>
                        <path d="M6.9,7 C6.91905444,6.89282718 6.94159503,6.78041107 6.96747851,6.66484899 L7,5 C6.96666667,5.21308725 6.94312321,5.39324664 6.93190067,5.4840604 L6.92965616,5.4880453 L6.9,7 M5.9,7 C5.91994421,6.91402624 5.94146908,6.82724521 5.96457462,6.7394551 L6,5 C5.97447699,5.1271443 5.95178987,5.25247225 5.93221757,5.37214934 L5.9,7 M4.89493294,4 L4.75670641,4 C4.7585693,4.01073431 4.76099106,4.02242991 4.76341282,4.03396529 C4.77198212,4.07514019 4.78036513,4.11615487 4.76136364,4.11615487 C4.76005961,4.11615487 4.75875559,4.11599466 4.75726528,4.11567423 C4.62704918,4.08218959 4.49850969,4.04341789 4.37220566,4 L4.24944113,4 C4.56389717,4.11679573 4.78204173,4.17351135 4.78614009,4.17463284 L4.80737705,4.17046729 L4.81538748,4.15284379 L4.78912072,4.00448598 C4.86326379,4.02499332 5.09687034,4.11439252 5.70081967,4.49377837 C5.89195231,4.61441923 6.06128912,4.7587717 6.20976155,4.90488652 L6.16821908,4.90793057 L6.30625931,6.25276368 C6.22205663,6.1906008 6.13263785,6.1282777 6.04061103,6.06595461 L5.90014903,4.64133511 L5.85394933,4.64437917 L5.99105812,6.03246996 C5.90890462,5.9776769 5.82339791,5.9235247 5.73640089,5.86985314 L5.59649776,4.45020027 L5.55048435,4.45372497 L5.68703428,5.83925234 C5.6045082,5.78894526 5.51974665,5.73927904 5.43330849,5.68993324 L5.29340537,4.2882243 L5.24757824,4.29158879 L5.38431446,5.66221629 C5.30029806,5.61543391 5.21535022,5.56865154 5.12891207,5.52315087 L4.99236215,4.15444593 L4.94653502,4.15781041 L5.08029061,5.49783712 C4.99497019,5.4540988 4.90890462,5.41068091 4.82228018,5.36902537 L4.70976155,4.23599466 L4.66393443,4.23951936 L4.77384501,5.34547397 C4.69653502,5.30862483 4.61903875,5.27257677 4.54135618,5.23797063 L4.52198212,5.22899866 L4.41691505,4.14018692 L4.37090164,4.14339119 L4.47336066,5.2059279 C4.38710879,5.16571429 4.30290611,5.12341789 4.2209389,5.07839786 L4.11736215,4.00448598 L4.07172131,4.00753004 L4.17213115,5.04971963 C4.11363636,5.01639519 4.05607303,4.98210948 4,4.94670227 L4,5.08496662 C4.1061848,5.15049399 4.21479136,5.20961282 4.32600596,5.26104139 C6.36195976,6.20389853 6.90257079,6.91268358 6.95752608,6.99038718 L6.97727273,7 L6.98416542,6.99903872 L7,6.97869159 L6.99217586,6.87439252 L6.98789121,6.86397864 L6.98081222,6.85612817 L6.85711624,5.61959947 L6.84668405,5.62040053 L6.84388972,5.58659546 C6.57749627,5.18093458 5.96367362,4.42216288 4.89493294,4" id="Fill-13" fill="#999999"></path>
                        <path d="M5,8 C4.96550736,7.96366831 4.93211948,7.93042867 4.9,7.9 L4.9,7.90133521 C4.93735679,7.93675334 4.97135843,7.97062544 5,8 M4,7 C4.44543229,7.48061203 4.90954774,7.88492978 4.90954774,7.88492978 C4.78160031,7.88492978 4.40819482,7.77992035 4.40819482,7.77992035 C4.46140961,7.83923706 4.51398016,7.89666737 4.5660353,7.95200168 C4.66241464,7.98386083 4.75054761,8 4.82888803,8 C4.9381523,8 4.98801701,7.96793125 4.98994975,7.96646405 L5,7.94361769 L4.99149594,7.91951373 C4.56165443,7.55837351 4.23965984,7.25131 4,7 M2,4 C2.30017799,5.41277641 2.94660245,5.93596437 2.94660245,5.93596437 C2.71981991,5.89496314 2.52099257,5.76904177 2.52099257,5.76904177 C2.5433986,5.80727887 2.56925976,5.84674447 2.59805256,5.88713145 C2.78410638,5.99723587 2.97811747,6 2.98733117,6 L3,5.98556511 L2.99319443,5.9642199 C2.47094545,5.58138821 2.12763061,4.47619779 2,4 M2,4 C1.99551935,3.98272598 1.99083503,3.96573592 1.98589613,3.94921912 C1.94002037,3.91045906 1.9095723,3.90047326 1.90809572,3.9 L1.90188391,3.90123048 L1.9,3.90700426 C1.90117108,3.91116895 1.90234216,3.91533365 1.90351324,3.91945102 C1.98553971,3.96081401 2,4 2,4" id="Fill-14" fill="#999999"></path>
                        <path d="M7,9 C6.93582888,8.9654 6.9,8.9523 6.9,8.9523 L6.9,8.961 C6.93190731,8.9701 6.96541889,8.9834 7,9 M5,8 L5,7.99862915 C5.35051156,7.96190476 5.685108,7.92907648 6,7.9 C5.64986737,7.93311688 5.31223948,7.96717172 5,8" id="Fill-15" fill="#999999"></path>
                    </g>
                </g>
            </g>
        </g>
    </g>
</svg> AFP agence   Une liste de 59 médicaments sous surveillance Svg+xml;base64,<?xml version="1.0" encoding="UTF-8" standalone="no"?>
<svg width="14px" height="14px" viewBox="0 0 14 14" version="1.1" xmlns="http://www.w3.org/2000/svg" xmlns:xlink="http://www.w3.org/1999/xlink">
    <!-- Generator: sketchtool 3.8.1 (29687) - http://www.bohemiancoding.com/sketch -->
    <title>9BA324DB-27A2-48A7-A016-AAC8D469325A</title>
    <desc>Created with sketchtool.</desc>
    <defs></defs>
    <g id="Article" stroke="none" stroke-width="1" fill="none" fill-rule="evenodd">
        <g id="ARTICLE" transform="translate(-230.000000, -490.000000)">
            <g id="auteur" transform="translate(230.000000, 488.000000)">
                <g id="icon-mini-figaro" transform="translate(0.000000, 2.000000)">
                    <g id="fplume">
                        <path d="M14,11.8996 C14,13.0595725 13.0592968,14 11.899576,14 L2.09994401,14 C0.940543258,14 0,13.0595725 0,11.8996 L0,0 L11.899576,0 C13.0592968,0 14,0.940267459 14,2.10024003 L14,11.8996" id="Fill-1" fill="#3775CA"></path>
                        <path d="M8.98235294,9 L8.96698292,8.99192957 C8.96375712,8.98826119 8.6540797,8.6334067 8.00910816,8.05918317 L8,8.02567865 L8.02144213,8.00440205 L8.12125237,8 L8.13529412,8.00538029 C8.48235294,8.31548056 8.64516129,8.51504035 8.87001898,8.79139154 C8.91081594,8.84030325 8.95294118,8.89214967 8.99867173,8.94741991 L9,8.98972854 L8.98235294,9 M8.62590975,8 L8,8 L8,8.29698734 C8.40101892,8.47364668 8.59505095,8.61857508 8.59679767,8.62000119 C8.60232897,8.62374473 9.24949054,9.04248618 9.78020378,9.63806524 C9.97016012,9.85073385 10.1053857,9.98336205 10.2247453,10.1004813 C10.4334789,10.3051281 10.6148472,10.4826787 11,11 C10.6812227,10.4775091 10.2355167,9.91134351 9.56870451,9.17547091 C9.26200873,8.8365916 8.91979622,8.41036306 8.62590975,8" id="Fill-2" fill="#999999"></path>
                        <path d="M10.6843328,9.55518041 C10.116149,9.08335013 9.40411254,8.48105221 8.93555881,8.00650071 L8.91938398,8 L8.77828444,8 L8.75918438,8.01103608 L8.76245376,8.03099174 C9.11640712,8.38777464 9.533167,8.76133844 9.90570421,9.05659141 C10.6939689,9.68065914 11.2208552,10.1608043 11.5976942,10.6039105 C11.1423901,10.1651885 10.9279876,10.014614 10.6812355,9.84106027 C10.5401359,9.74173554 10.3802805,9.62925821 10.1557257,9.44890143 C9.52834896,8.94381173 8.76331412,8.5886918 8.75677536,8.58551703 C8.75453842,8.5843076 8.51793857,8.45746825 8.02839198,8.30432373 L8.0087757,8.30689377 L8,8.32216287 L8,8.52126587 L8.01376581,8.53895384 C8.66299578,8.74485991 8.96240213,8.89377142 8.96532737,8.89528321 C8.97479136,8.89981858 9.93650521,9.37996372 10.637357,9.9716791 C11.2284264,10.4716287 11.3734836,10.6092018 11.5312742,10.7643116 C11.5431472,10.7715682 11.8291319,10.9467849 11.9722963,10.9986394 L11.9803837,11 L11.995354,10.9947087 L12,10.9742995 C11.997591,10.9693106 11.7391379,10.4299032 10.6843328,9.55518041" id="Fill-3" fill="#999999"></path>
                        <path d="M8.12125237,8 L8.02144213,8.00440205 L8,8.02567865 L8.00910816,8.05918317 C8.6540797,8.6334067 8.96375712,8.98826119 8.96698292,8.99192957 L8.98235294,9 L9,8.98972854 L8.99867173,8.94741991 C8.95294118,8.89214967 8.91081594,8.84030325 8.87001898,8.79139154 C8.64516129,8.51504035 8.48235294,8.31548056 8.13529412,8.00538029 L8.12125237,8" id="Fill-4" fill="#999999"></path>
                        <path d="M4,4 L12,4 L12,6.24902942 L10.0433531,6.24902942 L10.0433531,5.86683423 C10.0433531,5.66324813 9.90872142,5.49060838 9.6084674,5.49060838 L7.83657917,5.49060838 L7.83657917,6.75312493 L9.47705334,6.75312493 L9.47705334,8.11052265 L7.83657917,8.11052265 L7.83657917,9.12248379 C7.83657917,9.40100088 7.96629975,9.51567514 8.35800169,9.51567514 L8.97933954,9.51567514 L8.97933954,11 L4,11 L4,9.51567514 L4.65842506,9.51567514 C4.84843353,9.51567514 4.98154107,9.39644532 4.98154107,9.22019255 L4.98154107,5.85678059 C4.98154107,5.6453401 4.94360711,5.49060838 4.62980525,5.49060838 L4,5.49060838 L4,4" id="Fill-5" fill="#FFFFFF"></path>
                        <path d="M2.02794884,3 C2.0517922,3.66985421 2.26275067,4.39974918 2.26275067,4.39974918 C2.26022422,4.39849506 2.25785568,4.39724095 2.25548713,4.39598683 C2.2591189,4.40962533 2.26275067,4.4234206 2.26638244,4.43721586 L2.26054003,4.45634112 L2.24127586,4.46041699 C2.23669667,4.45884935 2.14227065,4.42577206 2,4.29738203 C2.01279015,4.34268694 2.0258961,4.38705126 2.03963366,4.43063176 C2.23211748,4.91675811 2.74988157,6.04499138 3.53750197,6.43580499 L3.54776567,6.45759523 L3.5286594,6.47233109 C3.51476393,6.47233109 3.22216959,6.46950933 2.94157587,6.35710926 C3.12916469,6.53582066 3.39807358,6.73099232 3.67250908,6.91189842 C3.96620875,7.09985891 4.36080846,7.32951873 4.88757303,7.59962377 L4.89799463,7.61765167 L4.88567819,7.63473899 C4.88330965,7.63583634 4.82220117,7.65982129 4.68829938,7.65982129 C4.59229433,7.65982129 4.48428865,7.64775043 4.36617717,7.62392224 C4.45018159,7.67847625 4.53292279,7.73052203 4.61408495,7.77990281 C4.72461709,7.84543032 4.85583452,7.92099075 5,8 L5,6.50932748 C5,6.29832262 4.96462972,6.1439097 4.67203537,6.1439097 L4.08479394,6.1439097 L4.08479394,5.71798087 C3.20085268,5.08825835 2.53118585,3.85765794 2.3315964,3.31133406 C2.19295752,3.1804358 2.09063635,3.07258191 2.02794884,3" id="Fill-6" fill="#999999"></path>
                        <path d="M4,5 L4,5.43381766 L4.69057935,5.43381766 C5.03466205,5.43381766 5.0762565,5.59109053 5.0762565,5.80600351 L5.0762565,7.32428549 C5.22926467,7.39693438 5.39471404,7.47229762 5.56629116,7.54558518 C6.04796979,7.74660706 6.43680366,7.86891266 6.68748453,7.93772952 C6.79555583,7.96423439 6.90028472,7.98547022 7,8 L6.99442931,5.77199425 C6.99442931,5.77199425 6.94355038,5.66549577 6.83473632,5.49992017 L6.83752166,5.53361009 L6.84792028,5.53281175 L6.97121812,6.76512853 L6.97827433,6.77295226 L6.98254518,6.78333067 L6.99034414,6.88727447 L6.97456053,6.90755229 L6.96769002,6.9085103 L6.94800693,6.89893023 C6.89322852,6.8214913 6.35435751,6.11512055 4.32495667,5.17547501 C4.21410002,5.12422162 4.10584303,5.06530417 4,5" id="Fill-7" fill="#FFFFFF"></path>
                        <path d="M4,4 L4.0551116,4.46365693 C4.11766327,4.52060588 4.18476164,4.57755483 4.25558005,4.63371693 L4.1935795,4.12324186 L4.22747313,4.121078 L4.29319372,4.66371594 C4.35546983,4.71171437 4.42091485,4.75892594 4.48925324,4.80495721 L4.42022596,4.24038556 L4.45398181,4.2382217 L4.52645357,4.82944821 C4.58721411,4.86918462 4.65004133,4.90764237 4.71534858,4.94472312 L4.64425462,4.33451362 L4.67814825,4.33234976 L4.7519978,4.96577161 C4.7729402,4.97737779 4.79415817,4.98878725 4.81551392,5 L4.81551392,4.41880594 L5,4.41880594 C4.79195371,4.3546769 4.52672913,4.26094226 4.26646459,4.1356349 C4.17249931,4.08970198 4.08404519,4.04455592 4,4 M4,3 L3.98329545,3.63329764 C3.95795455,3.75321199 3.93017045,3.87633833 3.9,4 L3.92142045,3.208601 L3.91409091,3.20681656 C3.94414773,3.13650964 3.973125,3.06727338 4,3 M3,3 L2.99230769,3.43918919 C2.96600496,3.61193694 2.93523573,3.8018018 2.9,4 L2.91705955,3.24887387 C2.94646402,3.16283784 2.97419355,3.07995495 3,3 M3,3 C2.98052239,2.97811935 2.94738806,2.94307414 2.9,2.9 L2.90783582,2.96007233 C2.94141791,2.97417722 2.9719403,2.9874141 3,3" id="Fill-8" fill="#999999"></path>
                        <path d="M7,5 L6.96747851,6.66484899 C6.94159503,6.78041107 6.91905444,6.89282718 6.9,7 L6.92965616,5.4880453 L6.93190067,5.4840604 C6.94312321,5.39324664 6.96666667,5.21308725 7,5 M6,5 L5.96457462,6.7394551 C5.94146908,6.82724521 5.91994421,6.91402624 5.9,7 L5.93221757,5.37214934 C5.95178987,5.25247225 5.97447699,5.1271443 6,5 M4.21631664,4 L4,4 L4,4.84048076 C4.04862682,4.87191523 4.09854604,4.90235403 4.14927302,4.93193941 L4.06219709,4.00668516 L4.10177706,4.00398265 L4.19159935,4.9573999 C4.26268174,4.99736861 4.33570275,5.03491928 4.41050081,5.07062087 L4.32164782,4.12730247 L4.36155089,4.12445772 L4.45266559,5.09110305 L4.46946688,5.09906835 C4.5368336,5.12979162 4.60403877,5.16179504 4.67108239,5.19450964 L4.57576737,4.2126449 L4.61550889,4.20951568 L4.71308562,5.21541853 C4.78820679,5.25240026 4.8628433,5.29094659 4.9368336,5.3297774 L4.82084006,4.14010383 L4.86058158,4.13711685 L4.97899838,5.35225091 C5.053958,5.39264633 5.1276252,5.43417965 5.20048465,5.47571296 L5.0819063,4.25887206 L5.12164782,4.25588507 L5.24297254,5.50032003 C5.31793215,5.54412915 5.3914378,5.58822274 5.46300485,5.63288529 L5.34458805,4.4028163 L5.38449111,4.39968708 L5.50581583,5.66005263 C5.5812601,5.70770215 5.65541195,5.75577839 5.7266559,5.80442358 L5.60775444,4.5720788 L5.64781906,4.56937629 L5.76962843,5.8341512 C5.84943457,5.88948154 5.926979,5.94481189 6,6 L5.88029079,4.80605931 L5.91631664,4.8033568 C5.78756058,4.6736363 5.64071082,4.54548041 5.47495961,4.43837565 C4.95121163,4.1015575 4.74862682,4.02218903 4.68432956,4.00398265 L4.70710824,4.13569447 L4.70016155,4.15134059 L4.68174475,4.15503876 C4.67819063,4.1540431 4.48901454,4.10369106 4.21631664,4" id="Fill-9" fill="#FFFFFF"></path>
                        <path d="M4.99426798,4 L4.9992333,3.99745426 L5,3.98647574 L4.98006572,3.9 L4.96020445,3.9 C4.9611172,3.91344471 4.96126323,3.9239459 4.95870756,3.9239459 C4.9584885,3.9239459 4.95823293,3.92386635 4.95797736,3.92370724 C4.94954363,3.91607001 4.94125593,3.90811456 4.93311428,3.9 L4.9,3.9 C4.95659,3.96690533 4.99364732,3.99936356 4.99426798,4 M2.1038496,2 L2.09191286,2.01590668 C2.0519248,2.49826205 2.23202029,3.198156 2.28155774,3.37946271 C2.17711131,3.30493696 2.0341689,3.11965359 2.0325276,3.11759161 L2.00999702,3.11243667 L2,3.13290916 C2.32363474,4.4712796 3.0601313,5.12860846 3.29036109,5.30638035 C3.17218741,5.27427242 2.95628171,5.20283964 2.80528201,5.15070107 L2.78439272,5.15718157 L2.78439272,5.17853776 C3.20173083,5.75721692 4.26126529,6.28523035 4.58012534,6.43516555 C4.38660101,6.41218923 4.06684572,6.34517497 4.06296628,6.34429127 L4.04267383,6.35460115 L4.04789615,6.3763992 C4.37033721,6.62707671 4.69516562,6.83268528 5,7 L5,6.86994816 C4.88287078,6.80617415 4.76111608,6.73650878 4.63533274,6.66036291 C4.53178156,6.5993873 4.44747836,6.54769059 4.38928678,6.5114587 C4.39316622,6.51219512 4.39719487,6.51307883 4.40107431,6.51381525 C4.34079379,6.47493225 4.27991644,6.43457641 4.21829305,6.39289502 C4.21829305,6.39289502 4.65070128,6.46668434 4.79886601,6.46668434 C4.79886601,6.46668434 4.2614145,6.18257335 3.74559833,5.84485095 C3.33407938,5.58283257 3.13264697,5.40682809 3.04461355,5.31948863 C3.04804536,5.32096147 3.05147717,5.32228703 3.05490898,5.32361258 C3.01387645,5.28487687 2.97702178,5.24702486 2.94509102,5.21035113 C2.94509102,5.21035113 3.22843927,5.33112407 3.55162638,5.37044892 C3.55162638,5.37044892 2.63040883,4.86865206 2.20262608,3.51363851 C2.18009549,3.45693413 2.16219039,3.40950866 2.14920919,3.37386591 C2.15458072,3.37887357 2.15995225,3.38373395 2.16517457,3.38844704 C2.15070128,3.33704489 2.13697404,3.28416991 2.12384363,3.23041122 C2.12384363,3.23041122 2.16621904,3.35236244 2.40659505,3.48108872 C2.21874067,2.75998586 2.17173978,2.29294804 2.16039988,2.13240839 C2.16935243,2.1434547 2.17964787,2.15582656 2.1915846,2.16952398 C2.19068935,2.14566396 2.19009251,2.12165665 2.18979409,2.09794391 C2.18979409,2.09794391 3.1753208,3.23011665 4.43330349,3.72572758 L4.62279916,3.72572758 C4.38973441,3.63441145 3.76962101,3.38196654 3.47508207,3.17179215 C2.92002387,2.77545069 2.13115488,2.01178273 2.12324679,2.00412395 L2.1038496,2" id="Fill-10" fill="#999999"></path>
                        <path d="M6,7 L6,7.16815845 C6.54014327,7.78308894 6.97823053,7.9961912 6.98418458,7.99885736 L6.98678947,8 L6.99376686,7.99504856 L6.99832543,7.97695677 L7,7.83450771 L6.99023165,7.81089316 C6.98148665,7.808227 6.97274165,7.80537041 6.96381059,7.80232337 L6.96381059,7.81889164 C6.96381059,7.81889164 6.90771235,7.79394401 6.80723788,7.7280518 C6.62750023,7.62292897 6.42962136,7.4475338 6.24551121,7.26033137 C6.16820169,7.18358408 6.08605452,7.09693392 6,7 M4.90403155,4 L4.92932556,4 L4.92644278,3.9877 C4.93048797,3.9911 4.93537008,3.9952 4.94094964,4 L5,4 C4.96847548,3.9729 4.936393,3.9487 4.90389206,3.9278 C4.90352009,3.9276 4.90319461,3.9275 4.90286914,3.9275 C4.89812651,3.9275 4.90021885,3.9531 4.90235768,3.9788 C4.90296213,3.986 4.90356658,3.9933 4.90403155,4 M5.0866947,4 L5,4 C5.54836551,4.26608099 5.86331485,4.7443199 6,5 L5.99588989,4.94052307 L5.99436054,4.93527214 C5.93127509,4.81975159 5.70502772,4.42754721 5.44580386,4.2349793 C5.31179507,4.13581743 5.18744026,4.05776027 5.0866947,4" id="Fill-11" fill="#999999"></path>
                        <path d="M4.99424706,5 C5.00124706,5 5.00084706,4.9868 4.99834706,4.9699 L4.92414706,4.9699 C4.94644706,4.9801 4.96914706,4.9901 4.99224706,4.9997 C4.99294706,4.9999 4.99364706,5 4.99424706,5 M2.9,5 C2.93017045,4.87633833 2.95795455,4.75321199 2.98329545,4.63329764 L3,4 C2.973125,4.06727338 2.94414773,4.13650964 2.91409091,4.20681656 L2.92142045,4.208601 L2.9,5 M2.9,5 C2.93523573,4.8018018 2.96600496,4.61193694 2.99230769,4.43918919 L3,4 C2.97419355,4.07995495 2.94646402,4.16283784 2.91705955,4.24887387 L2.9,5 M1.9,2.9 C1.94738806,2.94307414 1.98052239,2.97811935 2,3 C1.9719403,2.9874141 1.94141791,2.97417722 1.90783582,2.96007233 L1.9,2.9 M2,3 C2.00039904,3.02709829 2.00119713,3.05453321 2.00239425,3.08179982 C2.08160415,3.15972846 2.21089385,3.27552738 2.38607342,3.41606822 C2.63826816,4.00263689 3.48443735,5.32388914 4.60135674,6 L4.60135674,5.85474641 C4.57043097,5.8355588 4.53970471,5.81603456 4.50937749,5.7961737 L4.40243416,4.71224192 L4.35335196,4.71594479 L4.45630487,5.76015485 C4.36173184,5.69670108 4.2707502,5.63089093 4.18276137,5.56289273 L4.07781325,4.55116697 L4.02893057,4.55486984 L4.12889066,5.52098294 C4.02992817,5.44221275 3.93515563,5.3614228 3.84497207,5.27928636 L3.74980048,4.35070691 L3.70071828,4.35440978 L3.79050279,5.22795108 C3.68794892,5.1318447 3.59078212,5.03439183 3.50019952,4.93693896 L3.42039106,4.14351436 C3.54209896,4.21975987 3.67019154,4.29701526 3.80626496,4.37561715 C4.18316042,4.59004713 4.56723863,4.75044883 4.86851556,4.86018851 L5,4.86018851 C3.31783719,4.29381732 2,3 2,3" id="Fill-12" fill="#999999"></path>
                        <path d="M6.9,7 C6.91905444,6.89282718 6.94159503,6.78041107 6.96747851,6.66484899 L7,5 C6.96666667,5.21308725 6.94312321,5.39324664 6.93190067,5.4840604 L6.92965616,5.4880453 L6.9,7 M5.9,7 C5.91994421,6.91402624 5.94146908,6.82724521 5.96457462,6.7394551 L6,5 C5.97447699,5.1271443 5.95178987,5.25247225 5.93221757,5.37214934 L5.9,7 M4.89493294,4 L4.75670641,4 C4.7585693,4.01073431 4.76099106,4.02242991 4.76341282,4.03396529 C4.77198212,4.07514019 4.78036513,4.11615487 4.76136364,4.11615487 C4.76005961,4.11615487 4.75875559,4.11599466 4.75726528,4.11567423 C4.62704918,4.08218959 4.49850969,4.04341789 4.37220566,4 L4.24944113,4 C4.56389717,4.11679573 4.78204173,4.17351135 4.78614009,4.17463284 L4.80737705,4.17046729 L4.81538748,4.15284379 L4.78912072,4.00448598 C4.86326379,4.02499332 5.09687034,4.11439252 5.70081967,4.49377837 C5.89195231,4.61441923 6.06128912,4.7587717 6.20976155,4.90488652 L6.16821908,4.90793057 L6.30625931,6.25276368 C6.22205663,6.1906008 6.13263785,6.1282777 6.04061103,6.06595461 L5.90014903,4.64133511 L5.85394933,4.64437917 L5.99105812,6.03246996 C5.90890462,5.9776769 5.82339791,5.9235247 5.73640089,5.86985314 L5.59649776,4.45020027 L5.55048435,4.45372497 L5.68703428,5.83925234 C5.6045082,5.78894526 5.51974665,5.73927904 5.43330849,5.68993324 L5.29340537,4.2882243 L5.24757824,4.29158879 L5.38431446,5.66221629 C5.30029806,5.61543391 5.21535022,5.56865154 5.12891207,5.52315087 L4.99236215,4.15444593 L4.94653502,4.15781041 L5.08029061,5.49783712 C4.99497019,5.4540988 4.90890462,5.41068091 4.82228018,5.36902537 L4.70976155,4.23599466 L4.66393443,4.23951936 L4.77384501,5.34547397 C4.69653502,5.30862483 4.61903875,5.27257677 4.54135618,5.23797063 L4.52198212,5.22899866 L4.41691505,4.14018692 L4.37090164,4.14339119 L4.47336066,5.2059279 C4.38710879,5.16571429 4.30290611,5.12341789 4.2209389,5.07839786 L4.11736215,4.00448598 L4.07172131,4.00753004 L4.17213115,5.04971963 C4.11363636,5.01639519 4.05607303,4.98210948 4,4.94670227 L4,5.08496662 C4.1061848,5.15049399 4.21479136,5.20961282 4.32600596,5.26104139 C6.36195976,6.20389853 6.90257079,6.91268358 6.95752608,6.99038718 L6.97727273,7 L6.98416542,6.99903872 L7,6.97869159 L6.99217586,6.87439252 L6.98789121,6.86397864 L6.98081222,6.85612817 L6.85711624,5.61959947 L6.84668405,5.62040053 L6.84388972,5.58659546 C6.57749627,5.18093458 5.96367362,4.42216288 4.89493294,4" id="Fill-13" fill="#999999"></path>
                        <path d="M5,8 C4.96550736,7.96366831 4.93211948,7.93042867 4.9,7.9 L4.9,7.90133521 C4.93735679,7.93675334 4.97135843,7.97062544 5,8 M4,7 C4.44543229,7.48061203 4.90954774,7.88492978 4.90954774,7.88492978 C4.78160031,7.88492978 4.40819482,7.77992035 4.40819482,7.77992035 C4.46140961,7.83923706 4.51398016,7.89666737 4.5660353,7.95200168 C4.66241464,7.98386083 4.75054761,8 4.82888803,8 C4.9381523,8 4.98801701,7.96793125 4.98994975,7.96646405 L5,7.94361769 L4.99149594,7.91951373 C4.56165443,7.55837351 4.23965984,7.25131 4,7 M2,4 C2.30017799,5.41277641 2.94660245,5.93596437 2.94660245,5.93596437 C2.71981991,5.89496314 2.52099257,5.76904177 2.52099257,5.76904177 C2.5433986,5.80727887 2.56925976,5.84674447 2.59805256,5.88713145 C2.78410638,5.99723587 2.97811747,6 2.98733117,6 L3,5.98556511 L2.99319443,5.9642199 C2.47094545,5.58138821 2.12763061,4.47619779 2,4 M2,4 C1.99551935,3.98272598 1.99083503,3.96573592 1.98589613,3.94921912 C1.94002037,3.91045906 1.9095723,3.90047326 1.90809572,3.9 L1.90188391,3.90123048 L1.9,3.90700426 C1.90117108,3.91116895 1.90234216,3.91533365 1.90351324,3.91945102 C1.98553971,3.96081401 2,4 2,4" id="Fill-14" fill="#999999"></path>
                        <path d="M7,9 C6.93582888,8.9654 6.9,8.9523 6.9,8.9523 L6.9,8.961 C6.93190731,8.9701 6.96541889,8.9834 7,9 M5,8 L5,7.99862915 C5.35051156,7.96190476 5.685108,7.92907648 6,7.9 C5.64986737,7.93311688 5.31223948,7.96717172 5,8" id="Fill-15" fill="#999999"></path>
                    </g>
                </g>
            </g>
        </g>
    </g>
</svg> Cécile Thibert 
     

  • Mis à jour le 06/11/2018 à 18:51 

Alors que l’Agence du médicament a annoncé que le médicament serait encore disponible un an, la polémique concernant le changement de formulation et les cas d’effets indésirables se poursuit.
L’ancienne formule du Levothyrox (Euthyrox) continuera d’être proposée aux patients souffrant d’hypothyroïdie tout au long de l’année 2019, selon un communiqué de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) publié le 31 octobre. «L’ANSM a demandé au laboratoire Merck de poursuivre sa mise à disposition en France sur l’année 2019 pour permettre aux patients encore traités par Euthyrox de s’adapter à un nouveau traitement», indique le communiqué, qui précise que le médicament ne sera disponible que pour une durée et dans des quantités limitées.
«Nous importerons le même nombre de boîtes qu’en 2018, c’est-à-dire 50.000 par mois», indique Valérie Leto, pharmacienne responsable du laboratoire Merck. Au total, entre 3 et 4 millions de boîtes de spécialités à base de lévothyroxine sont vendues chaque mois, toutes marques confondues. «Nous importons déjà de l’Euthyrox d’Allemagne depuis octobre 2017, à la demande des autorités sanitaires françaises», poursuit Valérie Leto.
» LIRE AUSSI - Quels sont les symptômes de l’hypothyroïdie?

La fin du Levothyrox programmée


L’annonce a été accueillie favorablement mardi par l’association «Vivre sans thyroïde», qui évoque une «bouffée d’air pour les patients qui ne supportent pas la nouvelle formule». Pour rappel, le principe actif (l’hormone lévothyroxine) reste le même, seuls les excipients diffèrent. Mais la mesure est jugée encore insuffisante: «Cela reporte le problème. Ce qu’il faudrait, c’est une pérennité des deux formules côte à côte», a indiqué à l’AFP Beate Bartès, la présidente de «Vivre sans thyroïde».
Pourtant, la fin de l’ancienne formule du Levothyrox est d’ores et déjà programmée. Le changement a déjà été effectué en Suisse en avril 2018 et d’autres pays européens s’apprêtent à lui emboîter le pas. «21 pays européens ont approuvé la mise sur le marché de la nouvelle formule, explique Valérie Leto. Dès le début de l’année 2019, ce sera au tour de l’Allemagne». Les boîtes d’Euthyrox alimentant le circuit français ne seront donc plus importées d’Allemagne mais d’un «autre pays européen». «Le produit sera strictement le même», souligne la pharmacienne de Merck.

Contenu sponsorisé



Revenir en haut  Message [Page 1 sur 1]

Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum