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Diabète : comment prendre soin de vos pieds ?

5 participants

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Josué

Josué
Administrateur

Diabète : comment prendre soin de vos pieds ?
Le 18/01/2012 - Hélène Mendigot, journaliste santé - Validé par Pr Patrick Vexiau, diabétologue
Réagissez !
Le diabète est la première cause d'amputations en France. Pour éviter cette grave complication, il est important de prendre soin de ses pieds. Chaussures, chaussettes, symptômes qui doivent alerter... Voici les conseils du Pr Patrick Vexiau, chef du service de diabétologie de l'hôpital Saint-Louis à Paris.
Bien choisir ses chaussures

Rien de pire qu'une ampoule que l'on ne remarque pas et qui s'infecte. Lorsque l'on souffre de diabète il faut donc bien se chausser.
En pratique :
- Achetez vos chaussures le soir, lorsque vos pieds sont déjà gonflés par la journée et non pas le matin.
- Ne prenez pas de chaussures trop serrées ou présentant des coutures intérieures apparentes.
- Bannissez les tongs ! "Les lanières entre les doigts de pieds occasionnent des petites plaies à l'origine chaque année d'une à trois amputations dans un service comme le nôtre !", commente le Pr Vexiau.

Josué

Josué
Administrateur

La première caractéristique du diabète, c’est qu’il ne se manifeste pas ! Il peut évoluer pendant dix à quinze ans de façon parfaitement silencieuse (surtout s’il est de type 2). Le problème, c’est que s’il n’est pas traité, il détériore progressivement un grand nombre d’organes (œil, rein, artères, nerfs...) jusqu’au jour où il occasionne un souci de santé grave (accident vasculaire cérébral, infarctus du myocarde...) ou une complication irréversible (insuffisance rénale chronique, altération de la vue...). Le surpoids, l’hypertension artérielle ou l’hypercholestérolémie, qui lui sont parfois associés, doivent donc mettre la puce à l’oreille.

Josué

Josué
Administrateur

La France pourrait compter 5 millions de diabétiques de type 2 en 2022, contre près de 3 millions aujourd'hui, selon des projections de la société d'études de marché dédiées à l'industrie de la santé, Cegedim Strategic Data (CSD).

Selon les prévisions de CSD, le taux de prévalence du diabète de type 2, le plus fréquent (plus de 90% des cas), passerait ainsi de 4,6% à 7,8% en une décennie.

L'étude montre que cette augmentation "est tirée certes par le vieillissement de la population, mais que l'évolution de certains facteurs tels que l'obésité et la sédentarité y joue un rôle majeur", souligne CSD lundi dans un communiqué.

Ces projections s'appuient sur les bases de données de CSD, issues d'un observatoire de 1.200 médecins informatisés, et sur des données officielles de l'Institut de veille sanitaire (InVS) et de l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee).

La progression du diabète sera un des points abordés lors du congrès annuel de la Société Francophone du Diabète, qui se tient de mardi à vendredi à Nice.

Josué

Josué
Administrateur

Des antidiabétiques augmenteraient les risques de cancer
Certains traitements prescrits aux diabétiques de type 2 influenceraient le développement de tumeurs cancéreuses.



Les patients atteints de diabète de type 2 devraient choisir leur traitement avec grand soin. L’étude américaine Diabetes, Obesity and Metabolism a comparé deux groupes de médicaments largement prescrits, afin de connaître leur impact sur les risques de cancer. Résultat, les insulino-sécréteurs favoriseraient l’apparition de tumeurs et de récidives, alors que les insulino-sensibilisateurs, pourraient au contraire les limiter.

Les femmes seules concernées

Chez les femmes diabétiques de type 2, la prise de sensibilisateurs à l’insuline diminue de 21% le risque de cancer, par rapport aux sécréteurs. L’utilisation de thiazolidinedione (ou "glytazone"), un insulo-sensibilisateur, réduirait même de 32% ce risque. Aucune différence significative n’a été remarquée chez les hommes. En outre, l’étude a montré que plus d’un quart des tumeurs dont souffraient les diabétiques étaient des cancers du sein et de la prostate.

Les chercheurs de la Cleveland Clinic, aux Etats-Unis, se sont basés sur les registres de l’hôpital pour effectuer cette étude. Plus de 25 000 diabétiques et 48 000 malades atteints de cancer y sont recensés.

Publié par Sarah Frise, rédactrice santé le Vendredi 06 Décembre 2013 à 15h59

chico.

chico.

L’OMS veut diviser par deux la consommation de sucre
Par : Audrey Vaugrente
Publié le 06 Mars 2014
Les recommandations de l’Organisation Mondiale de la Santé sur l’apport de sucres pourraient être revues à la baisse. L'objectif pourrait être de diviser par 2 la consommation.

La guerre contre le sucre ne fait que commencer. Les recommandations mondiales de consommation, émises en 2002, pourraient encore évoluer. Du 5 au 31 mars, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) lance une consultation publique sur son projet de lignes directrices sur les apports en sucre. L’objectif à terme : diviser par deux la consommation de sucre dans le monde.

Tous les sucres sont visés

L’OMS recommande actuellement que la prise de sucres ne dépasse pas 10% de l’apport énergétique total. Son projet de lignes directrices souhaite la diviser par deux. Concrètement, il ne faudrait pas dépasser 6 cuillères à café de sucre par jour, soit 25 grammes. Cela concerne l’ensemble des sucres, et donc ceux aussi contenus dans les fruits : monosaccharides (glucose, fructose) et disaccharides (sucre de table), présents naturellement ou ajoutés.

Les consommateurs comme les fabricants et cuisiniers sont visés par le projet. En effet, signale l’OMS, la plupart des sucres consommés chaque jour proviennent d’aliments transformés. Une dose de ketchup contient ainsi 1 cuillère à café de sucre, une canette de soda 10.

Des études favorables à une baisse

Pourquoi remettre en cause ces recommandations en place depuis 10 ans ? L’OMS s’appuie sur deux études. L’une est parue en janvier 2013 dans le British Medical Journal. Elle démontre une association entre la réduction de l’apport en sucres et la perte de poids, ainsi que le contraire. La consommation de boissons sucrées est également associée à une augmentation de moitié du risque d’obésité. L’autre étude, publiée dans le Journal of Dental Research en janvier dernier, observe l’impact des recommandations de l’OMS sur la santé dentaire. Chez l’immense majorité des participants, une faible consommation de sucre est associée à une bonne santé dentaire. Si l’amélioration est modérée lorsque l’on respecte les 10%, elle est significative lorsqu’on abaisse le seuil à 5% d’apports en sucres.

chico.

chico.

Boire plus de café pour réduire le risque de diabète
Mis à jour le 25.04.14
En augmentant leur consommation de café, les buveurs de café réduiraient leur risque de développer un diabète par rapport à ceux qui continuent à boire les mêmes quantités, selon une étude.

Selon une étude, une bonne consommation de café diminuerait le risque de diabète. (Photo: AFP Archives/photo d'illustration)
Trois études américaines relèvent que l'augmentation de consommation de café réduirait le risque de développer un diabète.

Le thé n'aurait en revanche aucun effet sur le diabète.

En utilisant trois études américaines portant sur quelque 120'000 personnes, en majorité des professionnels de santé, un groupe de chercheurs américano-singapouriens a établi un lien entre le fait de boire une tasse et demie de café supplémentaire par jour pendant quatre ans et une réduction de 11% du risque de développer un diabète de type 2, le plus courant.

«Nous avons observé qu'une augmentation de la consommation de café, mais pas de thé, pendant quatre ans était associée à un risque diminué de diabète au cours des quatre années suivantes» écrivent les auteurs de l'étude dirigée par le Dr Frank Hu de l'école de santé publique Harvard à Boston et publiée par la revue «Diabetologia».

A l'inverse, une diminution de la consommation de deux tasses de café par jour augmenterait le risque de diabète de l'ordre de 18%. Les chercheurs affirment avoir trouvé le même résultat quelle que soit la quantité de café consommée au départ.

Pas de recommandation

Commentant l'étude, des experts cités par le Science Media Center ont mis en garde contre toute extrapolation des résultats. «Aucune recommandation de consommation de café ne peut être tirée de cette étude», ont-ils dit. Ils ont souligné notamment qu'elle portait sur des modifications de consommation et non des consommations absolues et qu'elle n'évaluait que les effets à court terme du café sur le risque de diabète.

Aucune association n'a de surcroît été trouvée avec la consommation de café décaféiné, ni avec celle de thé par les auteurs de l'étude. Ils précisent que les amateurs de thé, plus casaniers, ont été «relativement peu nombreux» à changer leurs habitudes au cours de la période étudiée.

L'étude a été financée principalement par l'association américaine du coeur, l'un des auteurs ayant par ailleurs bénéficié d'une bourse de recherche de Nestec, une filiale du groupe Nestlé, pour étudier les effets de la consommation de café sur la sensibilité à l'insuline.

Josué

Josué
Administrateur

Une étude sur le café financer par un fabriquant de café , ça fait sourire.
ça fait douter de son objectivité.

Josué

Josué
Administrateur

Diabétique : un patch qui préviendrait l'amputation
Grâce à un nouveau dispositif, les patients diabétiques peuvent dépister d'éventuels dommages nerveux et prévenir le risque d'amputation.

Les diabétiques français pourront peut-être bientôt évaluer tout seul leurs risques de neuropathie. Cette affection du système nerveux est le résultat d'un taux de sucre trop élevé dans le sang. Elle cause la mort des tissus ou "gangrène" et peut être responsable d'amputations. Les chercheurs de l'université d'Oxford (Grande-Bretagne) ont mis au point un test permettant de détecter le problème à temps ! Ils expliquent que lorsque les nerfs sont touchés, cela entraîne un dysfonctionnement de la transpiration. Ils ont ainsi créé une languette bâptisée "Neuropad" qui change de couleur au contact de l'eau.

Lire aussi :
Diabète : Comment prendre soin de vos pieds ?
Diabète : les signes qui doivent alerter

86% d'efficacité
Pour l'utiliser, il suffit d'enlever ses chaussettes, laisser les pieds s’accommoder à la température de la pièce et appliquer la languette dessus. Si tout va bien elle ne change pas de couleur, sinon elle vire du bleu au rose. Après avoir testé leur dispositif sur 3000 volontaires, les scientifiques ont obtenu un résultat d'efficacité de 86 %. Selon les créateurs, ce système pourrait réduire significativement le risque d'amputation s'il est associé à d'autres analyses. Disponible en Grande-Bretagne, "Neuropad" n'est pas encore commercialisé en France.

Josué

Josué
Administrateur

Le diabète : comment limiter les risques ?

LES cas de diabète sucré (couramment appelé diabète) se multiplient si rapidement qu’on parle maintenant d’épidémie mondiale. Il existe deux principaux types de diabète. Le diabète de type 1 apparaît le plus souvent à l’enfance, et pour le moment les médecins ne savent pas comment le prévenir. Le diabète de type 2, qui concerne environ 90 % des diabétiques, fera l’objet de cet article.
Alors que par le passé, on croyait que ce diabète ne touchait que des adultes, depuis quelque temps on l’observe également chez des enfants. Des spécialistes affirment toutefois qu’on peut réduire son risque d’apparition. Vous voudrez certainement en savoir un peu plus sur cette maladie insidieuse*.
Qu’est-ce que c’est ?

Le diabète se caractérise par une glycémie (taux de sucre dans le sang) trop élevée. Normalement, le sucre passe du sang aux cellules, qui le transforment alors en énergie. Mais chez un diabétique, ce processus est déréglé, ce qui endommage des organes vitaux et perturbe la circulation sanguine. Cela mène parfois à l’amputation d’un orteil voire d’un pied, à la perte de la vue ou à une maladie rénale. D’après un rapport de l’Organisation mondiale de la santé, de nombreux diabétiques meurent d’une crise cardiaque ou d’une attaque cérébrale.
L’excès de graisse dans le corps est un facteur de risque important, notamment lorsqu’il est localisé au niveau de la taille et du ventre. Plus précisément, la graisse située autour du pancréas et du foie semble affecter la régulation de la glycémie. Comment limiter les risques ?
Trois bons réflexes
1. Faites vérifier votre glycémie si vous présentez des risques de développer undiabète. Le diabète de type 2 est souvent précédé de ce qu’on appelle le « pré-diabète », caractérisé par une glycémie légèrement plus élevée que la normale. Ces deux maladies sont à prendre au sérieux, mais il existe une différence importante. On ne peut pas encore guérir le diabète, même si on peut le stabiliser. Par contre, des pré-diabétiques ont réussi à ramener leur glycémie à un niveau normal. Mais attention, le pré-diabète n’est pas accompagné de symptômes flagrants. Il peut donc passer inaperçu. D’après un rapport, 316 millions de personnes dans le monde sont pré-diabétiques, mais beaucoup d’entre elles l’ignorent. C’est le cas par exemple de 90 % des pré-diabétiques aux États-Unis.
Le pré-diabète n’est cependant pas sans danger. Non seulement il peut mener au diabète de type 2, mais d’après des études récentes, il pourrait aussi favoriser le développement de la démence chez certains individus. Si vous êtes en surpoids, si vous ne pratiquez pas d’activité physique ou si vous avez des antécédents familiaux de diabète, vous avez peut-être déjà le pré-diabète. Une analyse de sang peut vous le révéler.
2. Mangez sainement. Dans la mesure du possible, diminuez les quantités que vous mangez à chaque repas. Au lieu de jus de fruits sucrés ou de sodas, buvez de l’eau, du thé ou du café. Quand vous consommez du pain, des pâtes ou du riz, choisissez plutôt des produits à base de céréales complètes. Privilégiez les viandes maigres, le poisson, différents types de noix et les légumes secs.
[img(517.6666666269302px,257.66666662693024px)]http://wol.jw.org/fr/wol/mp/r30/lp-f/g/2014/767[/img]

3. Ayez une activité physique. L’activité physique peut diminuer votre glycémie et vous aider à garder un poids correct. Passez moins de temps devant la télévision et plus à faire de l’exercice.
Vous ne pouvez pas changer vos gènes, mais vous pouvez changer vos habitudes. Faire des efforts pour améliorer votre santé en vaut la peine.
[Note]
Réveillez-vous ! ne recommande ni régime ni activité physique en particulier. Chacun devrait analyser soigneusement les solutions possibles et consulter un médecin avant de se décider.

samuel

samuel
Administrateur


SANTE
Deux Américains sur cinq condamnés au diabète
Mis à jour à 03:46
Deux Américains sur cinq, vont développer un diabète de type 2 (le plus courant) au cours de leur vie, selon une étude.

Environ 40% de la population adulte aux Etats-Unis, soit deux Américains sur cinq, vont développer un diabète de type 2 (le plus courant) au cours de leur vie, selon des estimations publiées mercredi dans la revue médicale britannique The Lancet.

La situation est encore pire pour certaines communautés comme les Hispaniques (hommes et femmes), ou les femmes noires, avec un risque de développer la maladie dépassant les 50%, selon une équipe de chercheurs américains.

600'000 étudiés

Pour arriver à ce résultat, les chercheurs ont étudié les certificats de décès de 600'000 adultes survenus entre 1985 et 2011 et réalisé des interviews au sein de la population américaine.

Alors que pour un Américain âgé de 20 ans, le risque de développer un diabète au cours de sa vie était de 20% pour les hommes et de 27% pour les femmes au cours de la période 1985-1989, il a bondi à 40% pour les hommes et 39% pour les femmes en 2000-2011.

Les chercheurs ont également montré que les années passées à vivre avec le diabète avaient augmenté de 156% chez les hommes et de 70% chez les femmes au cours de la même période.

Mode de vie et obésité

«Cette hausse importante s'explique par une flambée des diabètes depuis la fin des années 80, ainsi que par un allongement de l'espérance de vie de la population générale», a indiqué le Dr Edward Gregg, principal auteur de l'étude, qui travaille au Centre de contrôle et de prévention des maladies (CDC) à Atlanta.

Le diabète de type 2, dont la fréquence augmente avec l'âge, est une pathologie essentiellement liée au mode de vie et à l'obésité.

«Les tendances observées par Gregg et ses collègues sont probablement similaires dans l'ensemble du monde développé où les cas de diabète ont fortement augmenté au cours des deux dernières décennies», a souligné pour sa part le Dr Lorraine Lipscombe de Toronto, qui préconise des mesures de prévention tant au travail, à l'école qu'à la maison.

(afp)

chico.

chico.

Le café est-il mauvais pour les diabétiques?
Découvrez si vous devriez diminuer votre consommation de caféine.






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Diabète : comment prendre soin de vos pieds ? Cafe_1

Des études récentes ont permis d’établir un lien clair entre la consommation de cette boisson et un risque moindre de diabète. Dans l’une d’entre elles, les chercheurs se sont penchés pendant près de 11 ans sur l’alimentation de quelque 70 000 Françaises. Durant cette période, 1 415 d’entre elles ont contracté le diabète. On a toutefois observé que, chez celles qui prenaient du café le midi – caféiné ou non-, le risque de la maladie était moins élevé.

Ces résultats confirment ceux de neuf études antérieures menées auprès de 200 000 sujets américains, européens et japonais : les buveurs de café sont moins à risque du diabète de type 2 que ceux qui n’en prennent pas.

Mais les résultats d’une petite étude indiquent que la caféine pourrait représenter un risque pour les diabétique dans la mesure où elle élève légèrement le taux de sucre sanguin durant les heures qui suivent sa consommation. En revanche, les médecins font valoir que le café renferme des nutriments utiles aux diabétiques : magnésium (favorise l’utilisation des glucides par l’organisme), acide chlorogénique (antioxydant qui pourrait faire baisser la glycémie), quinides (qui améliorent l’insulinosensibilité). 

En conclusion: les experts s’entendent pour dire qu’on ne dispose pas de preuves suffisantes pour affirmer que les diabétiques devraient éviter le café ou en boire plus.

Josué

Josué
Administrateur

DÉCOUVERTE
Un gène commun du diabète chez la souris et l'homme
Mis à jour le 11.09.14
Les deux écoles polytechniques fédérales ont fait la découverte de la présence d'un gène responsable du diabète et commun aux deux espèces.



Diabète : comment prendre soin de vos pieds ? Image_big_ipad_http___files2.newsnetz.ch_story_2_2_8_22865108_3_topelement
Grâce à de nouveaux outils d'analyse, des chercheurs de l'EPFL et de l'EPFZ ont identifié un gène impliqué dans le développement du diabète de type 2 chez les souris. Une collaboration avec le CHUV a ensuite permis de montrer que ce même gène est aussi impliqué dans le diabète humain.
Travail conjoint
Menés conjointement dans les laboratoires de Johan Auwerx, de l'Ecole polytechnique de Lausanne (EPFL), et de Ruedi Aebersold, de l'EPF de Zurich, ces travaux ont été publiés jeudi dans la revue «Cell Metabolism». A Lausanne, les chercheurs ont étudié dans le détail le génome et le «phénome» (soit l'ensemble des phénotypes ou caractéristiques cliniques) d'une famille de souris composée de 183 membres.
«En comparant le métabolisme de frères et sœurs jumeaux soumis à des conditions de vie et d'alimentation différentes, il nous est possible de connaître exactement l'influence du milieu sur l'expression de certains gènes, et comment ceci affecte les caractéristiques cliniques et le risque pour développer des maladies», résume Johan Auwerx, directeur du Laboratoire de physiologie intégrative et systémique (LISP).
La superposition des informations du génome avec celles de ces phénotypes s'est déjà révélée riche d'enseignements. Les chercheurs leur ont adjoint une nouvelle couche, obtenue grâce à une nouvelle technologie de spectrométrie développée à l'EPFZ, qui permet de mesurer la présence de centaines de protéines à partir d'un seul échantillon et d'établir ce que les spécialistes appellent le «protéome» de chaque individu.
Gène à risque accru
En combinant le génome, le phénome, le protéome et le métabolome propre de chaque souris, les chercheurs ont pu mettre en évidence un gène particulier, situé sur le chromosome 2 des souris, et dont la présence joue un rôle considérable dans le développement du diabète de type 2.
«Les souris soumises à un régime riche en graisse ont plus ou moins de chance de développer un diabète selon que ce gène est actif ou pas», explique Evan Williams, doctorant au LISP et co-premier auteur de l«article. «Grâce à la combinaison de nos différentes couches d'information, nous avons pu établir précisément quel est le processus qui conduit de la présence de ce gène à risque accru de diabète».
Les souris diabétiques affichent ainsi un faible taux urinaire d'un «métabolite» particulier (2-aminoadipate). Ce taux varie nettement en fonction de la présence du gène mis en évidence, mais pas en fonction de leur masse graisseuse. Pour les chercheurs, c'est la preuve que c«est le gène, et non le régime, qui régule l'expression de cette protéine.
Cohorte CoLaus
«La force de cette corrélation nous a poussés à nous demander si elle se manifesterait aussi chez l'humain», ajoute Evan Williams. Pour cette étape, les chercheurs ont pu s«appuyer sur les travaux de la «cohorte Lausanne (CoLaus)», menés par le CHUV, à Lausanne, qui a débouché très récemment sur la publication d«analyses concernant près de 1000 individus de la région. Le constat est sans équivoque: chez les sujets diabétiques, les taux de 2-aminoadipate sont plus bas que chez les autres.
«Grâce à cette approche novatrice, qui met en relation plusieurs couches d'informations, nous avons pu identifier un marqueur urinaire qui permet de détecter facilement la présence d'un cas de diabète», souligne Johan Auwerx. D'autres démarches de ce type permettront très certainement de développer de nouveaux outils de diagnostic applicables à d«autres maladies.
(ats)

Josué

Josué
Administrateur

Erreur 2 : Supprimer certains aliments

Non, ce n'est pas parce que vous avez du diabète que votre alimentation de base doit différer de celle d'un sujet non diabétique. "C'est une erreur de supprimer des aliments quand on est diabétique, confirme le Dr Olivier Dupuy. L'alimentation doit être équilibrée et variée, elle doit contenir des protides (15% de l'apport calorique global), des glucides (50 à 55%) et des lipides (30 à 35%)." La chose principale à faire en cas de diabète c'est de réduire les glucides d'absorption rapides (les produits sucrés) car ils font monter plus vite le glucose dans le sang.

A noter : Quand on a du diabète, il est important de faire 3 repas par jour, en réduisant les apports caloriques le soir en cas d'excès pondérale. Il ne faut pas sauter de repas, sous peine sinon de favoriser le stockage des graisses et le surpoids, principal facteur de risque du diabète en France.

Josué

Josué
Administrateur

Erreur 3 : Vous laver trop (ou pas assez) !

De façon générale, se laver trop souvent n'est pas conseillé (on ne parle pas de la douche quotidienne qui est bien sûr de rigueur pour tout le monde !). C'est plus encore le cas chez les diabétiques. "Cela va favoriser les mycoses, or le patient diabétique fait plus d'infections mycotiques" explique le Dr Dupuy. De même, il faut éviter les savons trop agressifs qui participent à la prolifération des champignons pathogènes responsables de mycoses, et préférer plutôt des savons neutres ou un peu gras, et sans colorants.

A noter : En cas de diabète, il faut être vigilant sur l'hygiène des pieds, notamment quand on commence à avoir des troubles de la sensibilité

samuel

samuel
Administrateur

Un médicament contre le diabète et la tuberculose
Mis à jour à 16:59
Des chercheurs de l'Université de Bâle ont exposé les résultats de leurs études et ont pu montrer que le médicament metformine contre le diabète est aussi efficace contre la maladie pulmonaire.

Diabète : comment prendre soin de vos pieds ? Image_big_ipad_http___files2.newsnetz.ch_story_2_8_3_28329192_5_topelement.jpg_1416500269


La metformine est un médicament sûr et peu coûteux, utilisé depuis longtemps dans le traitement du diabète de type 2.Il freine la croissance des mycobactéries, et cela seule ou combinée aux médicaments courants contre la tuberculose.
(Photo: Keystone ARCHIVES, PHOTO D'ILLUSTRATION)
Un médicament connu dans le traitement du diabète agit aussi contre la tuberculose. Il pourrait améliorer l'efficacité des thérapies existantes contre la tuberculose. Des chercheurs de l'Université de Bâle ont relaté les résultats de leurs tests sur des souris dans la revue «Science Translational Medicine».
Si cet effet se confirme dans des expériences sur l'homme, il pourrait s'agir d'une solution contre l'augmentation croissante de souches résistantes de la bactérie, écrit la haute école dans un communiqué, car la bactérie déclencheuse (mycobacterium tuberculosis) se montre de plus en plus robuste contre les antibiotiques.
Au lieu de viser directement la bactérie, la science recherche, depuis quelques années, de nouveaux agents qui renforcent la réponse immunitaire des patients. Pour cette raison, ils examinent aussi des médicaments connus.
Sûr et peu coûteux
La metformine est un médicament sûr et peu coûteux, utilisé depuis longtemps dans le traitement du diabète de type 2. Gennaro De Libero, chercheur à l'Université et à la clinique universitaire de Bâle, ainsi que des collègues de Singapour, ont pu montrer que la metformine freine la croissance des mycobactéries, et cela seule ou combinée aux médicaments courants contre la tuberculose.
Des tests aussi bien sur des cultures de cellules que sur des souris infectées par la tuberculose ont montré que l'agent stimule la formation de composés oxygénés, qui sont toxiques pour les bactéries. La metformine améliore aussi la réponse immunitaire à une infection de tuberculose. Les doses de metformine correspondaient aux quantités utilisées chez les diabétiques.
Les chercheurs ont également examiné rétrospectivement les données de patients tuberculeux traités à la metformine. Il s'est avéré qu'ils portaient moins de bactéries et qu'ils décédaient moins souvent de la tuberculose. Les poumons des patients traités à la metformine présentaient moins de cavités propices aux mycobactéries.
Thérapie adjuvante
«Nos résultats laissent supposer que la metformine peut être utilisée comme thérapie adjuvante contre la tuberculose», écrivent les scientifiques. L'efficacité du médicament devrait ainsi être testée de manière ciblée dans des études cliniques.
Selon l'Organisation mondiale de la santé, la maladie pulmonaire est l'infection avec issue mortelle la plus fréquente au monde. Chaque année, neuf millions de personnes en tombent malades et 1,5 million y succombent.
(ats)



Diabète : comment prendre soin de vos pieds ? Chevron

Josué

Josué
Administrateur

Diabète et alimentation : 6 choses fausses à ne plus croire

Interdiction du sucre, régime obligatoire... Certaines idées sur le diabète ont la vie dure. Or, les liens avec l'alimentation ne sont pas toujours ceux que l'on croit. Le point avec le Dr Boris Hansel, médecin endocrinologue et diabétologue.

On peut devenir diabétique à force de manger trop de sucreries

Que les becs sucrés se rassurent, un excès de bonbons ou de chocolat n'est jamais à l'origine du diabète. "Le diabète n'est pas le résultat d'une consommation excessive de sucre", confirme le Dr Hansel. Son apparition est en effet toujours liée à la fois à des facteurs génétiques et environnementaux : s'il n'y a pas de prédisposition, une alimentation très riche en confiseries ne suffira pas à déclencher du diabète. En revanche, l'excès de sucres dans l'alimentation peut contribuer au surpoids et à l'obésité abdominale, donc indirectement favoriser l'apparition du diabète chez les personnes prédisposées. Il ne faut donc pas en abuser et savourer ces petits plaisirs de manière ponctuelle.

epourkwapa



Josué a écrit:Diabète : comment prendre soin de vos pieds ?
Le 18/01/2012 - Hélène Mendigot, journaliste santé - Validé par Pr Patrick Vexiau, diabétologue
Réagissez !
Le diabète est la première cause d'amputations en France. Pour éviter cette grave complication, il est important de prendre soin de ses pieds. Chaussures, chaussettes, symptômes qui doivent alerter... Voici les conseils du Pr Patrick Vexiau, chef du service de diabétologie de l'hôpital Saint-Louis à Paris.
Bien choisir ses chaussures

Rien de pire qu'une ampoule que l'on ne remarque pas et qui s'infecte. Lorsque l'on souffre de diabète il faut donc bien se chausser.
En pratique :
- Achetez vos chaussures le soir, lorsque vos pieds sont déjà gonflés par la journée et non pas le matin.
- Ne prenez pas de chaussures trop serrées ou présentant des coutures intérieures apparentes.
- Bannissez les tongs ! "Les lanières entre les doigts de pieds occasionnent des petites plaies à l'origine chaque année d'une à trois amputations dans un service comme le nôtre !", commente le Pr Vexiau.

Je ne suis ni médecin ni diabétique. Mais je suis un observateur et m'efforce de tirer des conclusions ou leçons pratiques. S'agissant des pieds, les diabétiques doivent particulièrement veiller à ne pas couper leurs ongles trop à ras particulièrement aux coins des orteils. Pourquoi ? Parce que trop à ras, les ongles pour grandir vont vous transpercer votre peau. Cela est d'autant plus vrai si vous êtes plus ou moins obèse car les orteils accumulent les graisses dans la partie galbée. En conséquence, cette petite blessure indolore au début va s'infecter et devenir un panaris. C'est là que la galère commence ! Et si vous êtes diabétique, ça risque de ne plus guérir.
La solution ? Ne coupez jamais vos ongles à ras de peau, mais prenez l'habitude de laisser toujours un à deux millimètres au-delà.
Ainsi, fini les panaris répétitifs ! C'est tout bête, mais le problème vient le plus souvent de là. Les médecins ne vous diront jamais cela. Ils vont vous donner des antibiotiques, ils vont même vous faire un curetage (sous anesthésie locale), mais ne se sont jamais penchés sur les causes de ces panaris pour vous conseiller efficacement.

Si vous appliquez cette petite chose tout bête, vos pieds seront toujours beaux pour apporter de bonnes nouvelles de bonnes choses dans l'oeuvre de prédication.

samuel

samuel
Administrateur

Moi j'ai connue un sœur qiui â du se faire couper le pied a cause de son  diabéte.

Josué

Josué
Administrateur

CORS AUX PIEDS : LES ASTUCES NATURELLES

Un cor au pied, également appelé durillon, est une callosité, c'est-à-dire un épaississement et un durcissement de la partie superficielle de la peau. Les cors aux pieds sont généralement provoqués par le frottement du pied dans la chaussure. Heureusement, il existe, pour lutter contre les cors aux pieds, des astuces naturelles efficaces, mais sans être trop agressives.
cors aux pieds


Prévention du cor au pied
La première chose à faire est de limiter les risques de développer des cors aux pieds en mettant des chaussures bien adaptées à vos pieds (ni trop grandes ni trop serrées). Faites également en sorte de mettre des chaussettes suffisamment épaisses pour protéger l’épiderme ou, en été, à porter des tongs pour éviter les frottements.

Assouplir le cor au pied
Vous pouvez assouplir le cor au pied avec divers produits naturels. L’acide acétylsalicylique, issu de l’écorce de saule est très efficace contre les cors. Comme il est présent dans l’aspirine, il suffit d'écraser quelques sachets, d’y ajouter un peu d’eau légèrement chaude, de placer cet emplâtre sur le cor et de le maintenir en place un quart d’heure. L’huile de ricin est également efficace, mais faites attention, car elle tache.

La chélidoine, une plante qui libère une sève jaune quand on casse la tige est également connue pour ses vertus contre les cors au pied et les verrues. Vous pouvez aussi tout simplement tremper vos pieds une dizaine de minutes dans une bassine d’eau chaude. Pour plus d’efficacité, vous pouvez ajouter dans l’eau un peu de vinaigre de cidre ou deux poignées de sel d’Epsom.

samuel

samuel
Administrateur

Français ignorent qu'ils sont diabétiques
Mots clés : diabète, dépistage, Prévention
Par figaro iconCécile Thibert - le 05/06/2015
Cette maladie, dont la fréquence et la gravité sont sous-évaluées, fait l'objet d'une campagne de sensibilisation qui débute ce samedi.
Avec plus de 4 millions de personnes diabétiques en France, dont 700.000 qui ignorent leur maladie, la question du dépistage est primordiale pour prévenir les complications. Alors que s'ouvre samedi la 4e édition de la Semaine de la prévention du diabète, la Fédération française des diabétiques (FFD) entend sensibiliser un maximum de personnes en lançant une campagne d'information passant notamment par les réseaux sociaux et le hashtag #contrelediabete.

Dès samedi, la Fédération française des Diabétiques sera présente dans plus de 100 communes de France afin d'informer le public sur les moyens de prévenir le diabète ou de ralentir l'évolution de la maladie et elle proposera un test d'évaluation des risques. Si le test révèle un risque élevé, il est conseillé de consulter un médecin en vue de faire réaliser un test diagnostic. À Paris, le rendez-vous est donné samedi à la Place de la Bastille, de 11 heures à 17 heures.
Mettre fin au hasard
Le diabète, qui peut être de type 1 ou de type 2, est dans les deux cas caractérisé par un excès de glucose dans le sang (égal ou supérieur à 1,26 g/l à jeun). Dans le cas d'un diabète de type 1, le système immunitaire provoque la perte du pancréas et l'absence de sécrétion d'insuline, une hormone nécessaire à la régulation du glucose dans le sang. Le diabète de type 2 est une maladie impliquant de nombreux gènes où l'insuline devient progressivement moins efficace. Le surpoids, l'obésité et le manque d'activité physique sont des facteurs de risque importants chez les personnes génétiquement prédisposées.
Alors que le diabète de type 1 se déclare avant l'âge adulte, le second, beaucoup plus fréquent (90% des cas), apparaît souvent après l'âge de 20 ans et peut rester invisible durant de longues années.
En l'absence de dépistage généralisé, le diagnostic du diabète survient souvent par hasard. «La découverte d'un diabète de type 2 chez un patient peut se faire par le moyen d'un bilan sanguin, systématiquement réalisé avant une opération ou en cas de grossesse. La maladie peut également se révéler par le biais d'une complication brutale, telle qu'un infarctus, des troubles oculaires ou une infection du pied», explique le Dr Olivier Dupuy, adjoint au chef de service de diabétologie et endocrinologie au groupe hospitalier Saint Joseph (Paris). Mais à ce stade, la maladie a déjà progressé.
Complications sévères
«Plus vous dépistez tôt, mieux vous gérez la prise en charge en amont, ce qui permet d'éviter d'éventuelles complications», rappelle le Dr Dupuy. «Le diabète est un facteur multiplicateur de tous les autres risques. Le type 2 nécessite une prise en charge globale qui passe notamment par l'arrêt du tabac, le contrôle du taux de cholestérol et de la pression artérielle. La plupart des diabétiques ne meurent pas à cause de leur diabète mais à cause de problèmes cardiaques», poursuit-il. C'est en fait l'excès chronique de glucose dans le sang qui caractérise le diabète, entraîne alors une cascade de problèmes. Le sang s'épaissit, les vaisseaux sanguins rétrécissent et durcissent, entraînant alors un risque de formation de caillots. Ces derniers peuvent être à l'origine d'angine de poitrine, d'infarctus ou d'une dégradation de la rétine.

Josué

Josué
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Que les becs sucrés se rassurent, un excès de bonbons ou de chocolat n'est jamais à l'origine du diabète. "Le diabète n'est pas le résultat d'une consommation excessive de sucre", confirme le Dr Hansel. Son apparition est en effet toujours liée à la fois à des facteurs génétiques et environnementaux : s'il n'y a pas de prédisposition, une alimentation très riche en confiseries ne suffira pas à déclencher du diabète. En revanche, l'excès de sucres dans l'alimentation peut contribuer au surpoids et à l'obésité abdominale, donc indirectement favoriser l'apparition du diabète chez les personnes prédisposées. Il ne faut donc pas en abuser et savourer ces petits plaisirs de manière ponctuelle.

samuel

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7 avril 2016 : MERCURE et DIABETE... pourquoi n'en parle-t-on pas... ?

Que fait-on aujourd'hui en cette journée dédiée au diabète par l'OMS de l'étude américaine publiée dans la revue Diabetes Care du 19 février 2013 ???

Les malades doivent être informés du rapport de cette étude qui dit : ..." que l'exposition au MERCURE chez les jeunes adultes augmente de 65% le risque de développer un jour un diabète de type2 (...) Paradoxe : les participants (3'800) à cette étude qui avaient les niveaux de MERCURE les plus élevés avaient un mode de vie plus sain : pas de surpoids ( le surpoids étant pourtant l'un des facteur de risque du diabète), pratiquaient une activité physique... mais consommaient une quantité plus importante de poissons..."

Josué

Josué
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Le 115e Concours Lépine des inventions a récompensé ce samedi une application permettant aux diabétiques de mieux suivre leur protocole de traitement, ont annoncé les organisateurs.

L'"Application pour protocoles diabétiques", a été mise au point par Benoit Mirambeau, dont la mère souffre depuis des années de cette maladie comme plus de 3 millions de Français. Il reçoit la plus prestigieuse récompense: le Prix du président de la République et recevra le fameux vase en porcelaine de Sèvres.

Un protocole de traitement intégré
L'application intègre le protocole de traitement (prescriptions diététiques, activités physiques, taux de glycémie, etc.) élaboré et rempli dans le logiciel par le médecin d'un malade. Lorsque le diabétique mesure son taux de glycémie et entre ce taux sur son application, le logiciel lui indique exactement s'il est en hypo ou hyperglycémie et quelle dose d'insuline il devra s'injecter.

"J'ai constaté pour la personne diabétique de ma famille qu'il y avait parfois une incompréhension du protocole, qui engendre: des surdosages d'insuline, et donc des risques d'hypoglycémie (ou) des sous-dosages d'insuline, et donc des risques d'hyperglycémie", écrit l'inventeur sur le site internet où il présente son innovation.

Marmhonie

Marmhonie
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Diabète et Médecine Chinoise : d'excellents résultats

"La fonction Rate s’occupe de la régulation de l’appétit, du métabolisme des aliments pour fabriquer le sang, l’énergie et les liquides organiques, ainsi que de l’élimination du surplus. Le diabète est donc en grande partie lié à la fonction Rate."
A lire : http://www.medecinechinoise.org/medias/fichier/Diabete_2014_01.pdf
Diabète : comment prendre soin de vos pieds ? Image-4f502d4

糖尿病和针灸、le diabète & l'acuponcture
Avec l'acupuncture rate sur un traitement chronique.

Dans la théorie de la MTC entre la fonction de la rate est très puissant, est connu comme le jour après - demain, la source de qi et de sang. Par conséquent, l'utilisation de la méthode de la rate méridienne peut rapidement améliorer le sang de l'organisme pour la prévention de la maladie et les plus grandes réserves d'énergie.

Voici les principaux points d'acuponcture, cher Josué, pour soigner le diabète dans ton sujet :
Diabète : comment prendre soin de vos pieds ? Image-4f50266

Un des plus importants est San yin jiao san yin jiao 三阴交 (三陰交)。
Diabète : comment prendre soin de vos pieds ? Image-4f5032b
Tu peux appuyer dessus avec doigt, ou une pointe de stylo, pendant 5 minutes en pressant dessus.

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

Josué

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Mais il faut aller chez un spécialiste chinois pour ça !

Marmhonie

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Josué a écrit:Mais il faut aller chez un spécialiste chinois pour ça !
Oui, chez un acuponcteur, un vrai autant que possible, et les résultats sont spectaculaires.
Après, ce n'est pas cher, et pour qui souffre de diabète et notamment aux pieds, c'est tellement mieux d'être bien après, deux à trois séances espacées suffisent.
Quand il est question de sa santé, je n'hésite pas.

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Josué

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Le problème c'est d'en trouver un bon et pas un charlatan.

Marmhonie

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En France, aucun problème.
Au Québec, je ne sais pas.

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Josué

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Un traitement précoce par insuline permettrait à 40 % des diabétiques de type 2 d’interrompre leur traitement.

Pourra-t-on, dans un avenir proche, arrêter de prendre des médicaments lorsque l’on est diabétique de type 2? C’est la question à laquelle tente de répondre une étude menée par une équipe canadienne. Les chercheurs de l’Institut de recherches cliniques de Montréal proposent de tester chez des patients, diabétiques depuis moins de cinq ans, un traitement intensif associant des injections d’insuline à la prise de deux médicaments antidiabétiques, le tout accompagné de mesures hygiéno-diététique. Au terme de douze semaines de ce traitement de choc, ils évalueront combien de patients sont capables de se passer de traitement, et pendant combien de temps.
Le lancement de cette expérimentation fait écho aux résultats d’une étude qui a démontré, sur 83 patients, qu’une stratégie associant pendant 16 semaines des mesures hygiéno-diététiques exigeantes à des antidiabétiques oraux et de l’insuline permet d’obtenir une rémission du diabète chez 40 % des patients plus de trois mois après l’arrêt des médicaments. Menée en Ontario, elle a été publiée le 15 mars sur le site de la revue The Journal of Clinical Endocrinology and Metabolism. «Ces résultats confortent une notion assez récente de réversibilité potentielle du diabète, explique le Pr Michel Krempf, diabétologue au centre hospitalier de Nantes. Elle s’est notamment développée à la suite des résultats spectaculaires de la chirurgie bariatrique. En effet, en faisant maigrir, très rapidement, des diabétiques de type 2, on a constaté une rémission de la maladie. A fortiori lorsqu’on intervenait précocement dans l’histoire de l’apparition du diabète.»
Surveiller son poids

Chirurgie bariatrique ou régime assorti d’un traitement médicamenteux intensif visent le même objectif : mettre le pancréas au repos. Cet organe qui sécrète l’insuline, chargée de maintenir un taux de sucre normal dans le sang, s’épuise au fur et à mesure de l’évolution de la maladie. «L’hyperglycémie aggrave les deux caractéristiques à l’origine d’un diabète de type 2: la résistance à l’insuline et le déficit de l’insulinosecrétion. Normaliser la glycémie améliore les deux», souligne le Pr Alfred Penfornis, diabétologue au Centre hospitalier sud francilien.
L’idée d’une possible rémission du diabète apparaît séduisante. Mais est-elle réaliste ? Il faudra attendre les résultats de l’expérimentation lancée par l’équipe de Montréal pour avoir une certitude. Car, pour le moment, les résultats présentés par la revue américaine d’endocrinologie ne sont pas concluants. «Les bénéfices ne sont pas garantis et les patients reprennent du poids. Ce qui suggère qu’ils pourraient perdre tous les avantages de ces efforts», analyse le Pr Gérard Reach, diabétologue à l’hôpital Avicenne de Bobigny.
Ne pas reprendre de poids après avoir maigri est sans conteste l’un des éléments clés de la réussite d’une rémission de la maladie diabétique sur le long terme. Or c’est aussi ce qui semble le plus difficile. Même après une chirurgie bariatrique, la reprise de poids n’est pas exceptionnelle.
http://sante.lefigaro.fr/article/diabete-la-remission-grace-a-un-traitement-intensif-

samuel

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Jean Reno se confie dans les colonnes de «L’Express» sur son diabète.
Il y a 17 ans, Jean Reno était diagnostiqué diabétique. Un changement radical dans une vie. L’acteur doit alors tout..
Jean Reno se confie dans les colonnes de «L’Express» sur son diabète.
Il y a 17 ans, Jean Reno était diagnostiqué diabétique. Un changement radical dans une vie. L’acteur doit alors tout changer : réduire les sucres lents, les gâteaux mais aussi subir un traitement chaque jour. Pour évoquer cette maladie «sournoise», qui évolue au fil des années, il a décidé de se confier avec pudeur dans les colonnes du magazine «L’Express». «Un an et demi après son déclenchement, je me suis mis, en plus, à me faire des injections d’insuline pour régler ma glycémie».
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Puis, il commence à consulter des spécialistes aux Etats-Unis, s’assure que tout va bien… avant que son corps ne commence à céder sous le poids de la maladie. «Vous croyez vivre normalement, puis une nuit, vous vous levez plusieurs fois pour aller uriner, vous avez tout le temps soif, vous ressentez une grosse fatigue, une éventuelle baisse de l’acuité visuelle».
A lire : Jean Reno, une polémique sans le vouloir
"Un héritage"
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Dans ce même entretien, Jean Reno évoque cette maladie comme un «héritage». Il n’est pas le premier de sa famille à souffrir de ce mal : son père et sa tante eux aussi ont un diabète de type 2. Alors ils tentent de sensibiliser ses six enfants et fait en sorte qu’ils se fassent dépister «avant qu’il soit trop tard». Car le diabète ne se soigne pas vraiment. Mais comme le dit si bien Jean Reno, elle «s’apprivoise» avec le temps.
Lire la suite sur Paris Match People

En savoir plus sur http://www.parismatch.com/People/Jean-Reno-cette-maladie-qu-il-a-apprivoisee-1274189#8QxECsitQWOob4YQ.99

Josué

Josué
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En l’espace de 35 ans, le nombre de diabétiques a doublé. Près de 8,5% de la population mondiale est touchée, dont 3,5 millions de Français.
Première cause de cécité au monde, risque accru d’accidents cardiovasculaires (d’un facteur 3 à 5 pour l’infarctus), à l’origine d’insuffisances rénales et d’amputations dues à une diminution du débit sanguin et d’ulcères des pieds… Le diabète est une maladie très grave. En 2015, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) lui imputait 5 millions de décès, diabète de type 1 (ou insulinodépendant, caractérisé par la destruction des cellules bêta du pancréas) et de type 2 (maladie métabolique) confondus.
Voilà qui devrait nous pousser à surveiller les symptômes annonciateurs de cette maladie qui a pris, ces dernières vingt années, les allures d’une pandémie mondiale. 425 millions de personnes touchées en 2014, 622 millions prévus d’ici 2040, selon l’OMS, et une personne meurt de la maladie toutes les six secondes, bien plus que le sida, la tuberculose ou la malaria.
» LIRE AUSSI - Il existerait 5 formes de diabète et non pas 2
Se méfier? Oui, mais de quoi? On touche là au cœur du problème. Très souvent, lorsqu’on est atteint de diabète, et plus précisément du diabète de type 2 - 90 % des cas -, on ne le sait pas, on ne s’en inquiète pas: si la maladie se manifeste généralement après 40 ans, elle n’est diagnostiquée qu’à un âge moyen d’environ 65 ans, et au moins 20 % des adultes diabétiques ne sont pas dépistés. C’est bien différent pour le diabète de type 1, beaucoup moins fréquent, mais qui touche des sujets plus jeunes et nécessite d’emblée un traitement par insuline.

«Même en cas de prédisposition génétique avérée, le risque de tomber malade diminue fortement si l’on a une bonne hygiène de vie.»
Pr Philippe Froguel, directeur de l’Institut européen de génomique du diabète.
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Si la maladie se fait discrète, ses conséquences sont handicapantes et potentiellement mortelles, dues à l’ignorance et à l’absence de suivi: «si la glycémie n’est pas surveillée ni maîtrisée, elle augmente au fil du temps, endommage les vaisseaux sanguins et entraîne des complications», commente le Pr Bernard Bauduceau, endocrinologue à l’Hôpital d’instruction des armées Bégin, à Saint-Mandé (Val-de-Marne), et coauteur d’un ouvrage sur le sujet paru au printemps dernier.

Les cellules du pancréas s’épuisent

Les causes? Les recherches l’ont montré, il existe des prédispositions génétiques au diabète de type 2, c’est-à-dire des gènes que l’on sait associés à une plus forte probabilité de développer la maladie. Pour la plupart, ils ont à voir avec le fonctionnement des cellules bêta du pancréas: chargées de produire de l’insuline, ces cellules s’épuisent, du fait qu’elles soient obligées de fabriquer toujours plus de cette hormone pancréatique pour répondre à la baisse de sensibilité des autres cellules de l’organisme et, par-delà, à leur demande grandissante. Reste qu’aucun de ces gènes ne permet de prédire à coup sûr le déclenchement de la maladie. De fait, la survenue de ce type de diabète semble avant tout liée à l’âge, aux interactions entre les gènes et l’hygiène de vie.
Ainsi, le nombre de personnes touchées est maximal entre 75 et 80 ans: 20 % des hommes et 14 % des femmes sont ainsi concernés. Le risque d’être malade augmente dès lors que l’on est sédentaire, en surpoidsvoire obèse, ou encore que l’on présente des taux de cholestérol ou une tension supérieurs à la normale. «Même en cas de prédisposition génétique avérée, explique le Pr Philippe Froguel, directeur de l’Institut européen de génomique du diabète, le risque de tomber malade diminue fortement si l’on a une bonne hygiène de vie.»

«Guérir» du diabète?

Ce sont donc les modes de vie qu’il faut changer si l’on veut maîtriser son diabète. Perdre du poids, être plus actif, manger équilibré, pratiquer régulièrement une activité sportive… Autant de bonnes habitudes qui peuvent s’avérer suffisantes pour reprendre le contrôle de sa glycémie. Mieux, d’après une étude canadienne publiée en mars 2017, on pourrait même faire marche arrière et se débarrasser du diabète en suivant un régime draconien - pas plus de 600 calories par jour - pendant huit semaines, tout en y ajoutant des médicaments antidiabétiques classiques et un programme d’exercices physiques.
Cet essai clinique a été mené avec deux groupes soumis, l’un à un régime hypocalorique pendant seize semaines, l’autre au même régime pendant huit semaines, et tous deux comparés à un troisième groupe contrôle ne faisant aucun régime. Au terme de l’expérience, 70 % des malades du premier groupe avaient une glycémie normale et plus aucun signe de diabète, chiffre ramené à 50 % dans le second groupe. Trois mois plus tard, cette guérison se manifestait encore chez 40 % des volontaires du premier groupe, et chez 20 % du second. Sur le long terme, on ne peut malheureusement parler que de rémission et non d’une guérison définitive. Par ailleurs, ce traitement très restrictif nécessite une surveillance médicale attentive et un moral en acier!

D’autres pistes à l’étude

Cette piste est cependant prometteuse. D’autant que, d’après le Pr Hertzel Gerstein, l’un des auteurs de l’étude canadienne, on doit pouvoir obtenir des résultats plus probants en associant au régime des médicaments plus performants. La méthode a aussi pour elle d’être a priori moins risquée que la chirurgie bariatrique, un rétrécissement de l’estomac d’abord conçu pour faire maigrir les personnes obèses, et qui a pour effet d’améliorer glycémie, taux de cholestérol et diabète. Reste à confirmer cette piste par des essais de plus grande envergure.
D’ici là, en France, le ministère de la Santé et l’assurance maladie viennent de lancer une expérience de prévention et de coaching dans trois départements, en ciblant les personnes à risque. Une opération qui pourrait s’étendre sur toute la France. Dans notre pays, plus de 3,5 millions de personnes prennent un traitement médicamenteux pour leur diabète, soit près de 5 % de la population.[/size]

chico.

chico.

La progression de la pandémie inquiète l’OMS. Aujourd’hui, on sait contenir le diabète de type 2, dit « de l’âge mûr ». Et on peut envisager des rémissions prolongées en changeant de mode de vie.

Selon un rapport de 2012, de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), près d’1 adulte sur 10 dans le monde souffre du diabète. Cette prévalence moyenne chez les plus de 18 ans est passée de 4,7% en 1980 (108 millions de personnes) à 8,5% en 2014 (422 millions). Et elle pourrait doubler encore en l’espace de 25 ans. La Chine, devenu le pays le plus « diabétogène » au monde avec un taux moyen de 12% de la population affectée, soit 10 fois plus qu’il y a 30 ans, compte aujourd’hui à elle seule 493 millions de prédiabétiques dont une forte majorité deviendra, à terme, diabétique. L’OMS qualifie désormais cette maladie de pandémie mondiale. Neuvième cause de décès dans le monde en 2015, elle devrait passer, toujours selon l’OMS, au septième rang en 2030. Rien qu’en France, près de 3,3 millions de personnes, soit 5% de la population, sont traitées pour un diabète.
Si ce terme renvoie communément à une mauvaise gestion du glucose dans l’organisme, 

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