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pour FRANCIS qui aime l'Egypte.

4 participants

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Josué

Josué
Administrateur

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Josué

Josué
Administrateur

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Mikael

Mikael
MODERATEUR
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Jais trouvé ceci.
[img]pour FRANCIS  qui aime l'Egypte. Letetragrammeenegypte30 [/img]

Josué

Josué
Administrateur

[img]pour FRANCIS  qui aime l'Egypte. Letetragrammeenegypte20 [/img]

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

C'est officiel : l'Égypte réclame la restitution du buste de Néfertiti
FRÉDÉRIC LEWINO
Quand nous l'avions rencontré en novembre dernier au Caire, Zahi Hawass, le grand maître des antiquités égyptiennes nous avait dit qu'il était sur le point d'envoyer à l'Allemagne une demande officielle de restitution pour le fameux buste de Néfertiti conservé au Neues Museum de Berlin. Ce lundi, il prétend l'avoir enfin transmis avec l'appui du Premier ministre Ahmed Nazif, à la fondation responsable des musées publics allemands. C'était dans la logique des choses, voilà plusieurs années que Hawass réclame à cor et à cri le retour de six chefs-d'oeuvre : outre le buste de l'épouse d'Akhenaton, le zodiaque de Dendérah (musée du Louvre), la pierre de Rosette (British Museum), le buste d'Ankhaf (Museum of Fine Arts de Boston), la statue d'Hémiounou (Pelizaeus Museum d'Hildesheim, en Allemagne) et la statue de Ramsès II (musée de Turin). En fait, Hawass n'a aucune chance d'être entendu. Il le sait et il s'en fiche, car la réelle raison de ses gesticulations oratoires, c'est de flatter la fibre nationaliste des Égyptiens. Il ne possède entre les mains qu'un seul dossier qui tienne la route, c'est celui du buste de Néfertiti.
http://www.lepoint.fr/actu-science/c-est-officiel-l-egypte-reclame-la-restitution-du-buste-de-nefertiti-24-01-2011-131237_59.php?xtor=EPR-6-[Newsletter-Quotidienne]-20110125

Josué

Josué
Administrateur

voilà un bon lien.
http://www.godsnaam.be/archeologiefr.htm

Josué

Josué
Administrateur

Visite virtuelle des Antiquité égyptiennes
Site de la semaine soumis le 20/11/2012 par Véronique Dumas
Le Louvre se visite aussi sur le web grâce aux ressources du numérique

musee.louvre.fr/visite-louvre
Le grand Sphinx de Tanis vous contemple du fond de sa crypte. Vous voici à l’entresol, aux départements des Antiquités égyptiennes, situées dans l’aile est (Sully). Les collections s’étendent sur deux niveaux. Au rez-de-chaussée, la partie ouverte à la visite virtuelle, la civilisation pharaonique est exposée de manière thématique. Au 1er étage, la présentation des oeuvres suit un fil conducteur chronologique. A l’entrée du département, dans la salle d’Accueil, la statue de Nakhthorheb en prière symbolise la durée de la civilisation égyptienne et la toute-puissance de la religion sur elle. Cette oeuvre est l’une des premières à avoir été exposées au Louvre, avant même l’époque de Champollion. De la vie quotidienne à la parure, des loisirs à la religion avec la mise en scène dans plusieurs salles successives d’un Temple grâce à la présence de vestiges provenant de plusieurs sanctuaires d’époques différentes, de la magie à la mort, la visite prend l’allure d’une véritable introduction à l’univers de l’Egypte antique.
Le + : il suffit de suivre les flèches noires et de cliquer pour avoir accès aux commentaires, pour parcourir les salles à l’intérieur de vues panoramiques à 360° et zoomer sur l’oeuvre qui vous intéresse plus particulièrement, à condition que celle-ci fasse l’objet d’une notice. Chaque d’entre elles est reliée, si vous souhaitez en savoir plus, à l’Atlas général des oeuvres exposées. Le Louvre virtuel réalisé par Silicon Worlds et dont la qualité numérique est parfaite, propose deux visites : celle du Louvre ancien et celle du rez-de-chaussée du département des Antiquités égyptiennes sous la direction scientifique de Geneviève Pierrat-Bonnefois, conservateur en chef au département des Antiquités égyptiennes. On attend impatiemment la suite...


Par Véronique Dumas

bouboule



Josué a écrit:voilà un bon lien.
http://www.godsnaam.be/archeologiefr.htm


Excellent site d'ailleurs Josué Wink

Josué

Josué
Administrateur

Un site au graphisme élégant et soigné, accessible à tous.

www.egypt.edu
Conçu et réalisé par Olivier Cabon et Aminata Sacko-Autissier, éditeurs et spécialistes en égyptologie, ce site met à la disposition des internautes une présentation pédagogique de l’Egypte essentiellement pharaonique et copte. Sont également disponibles divers articles en rapport avec l’Egypte ancienne, un agenda des manifestations culturelles et des recherches, ainsi qu’une riche sélection de livres en rapport avec ces thématiques. Certains chapitres sont en travaux notamment la partie consacrée à l’Egypte arabo-musulmane et contemporaine. Vous voulez devenir égyptologue ? Les auteurs vous donnent d’utiles et sages conseils. Sachez que le nombre d’étudiants en égyptologie a augmenté mais que les postes sont toujours aussi peu nombreux. Seuls un ou deux étudiants par génération peuvent espérer devenir égyptologues professionnels...Vous êtes toujours motivé ? Alors lisez la suite de ce chapitre consacré aux passionnés.
Le + : l’initiation aux hiéroglyphes et la possibilité de demander la transcription lettre à lettre de son nom ou de son prénom grâce à un programme informatique inventé par Serge Rosmorduc ; les bibliographies thématiques ; l’onglet « préparer son voyage ». Un hommage est rendu à l’égyptologue Michel Baud, directeur de la secion Nubie-Soudan du département des Antiquités égyptiennes du musée du Louvre, décédé brutalement le 13 septembre dernier. Le film « Mouweis, une ville sous le sable » (Stan Neumann et Caméra Lucida productions) illustrant les fouilles qu’il avait menées au Soudant pour la mission archéologique du musée du Louvre est en ligne sur le site.
Le - : rien à signaler.

Par Véronique Dumas

Josué

Josué
Administrateur

Un relief sur le mur d’un temple égyptien
à Karnak en Jérémie 46:25
énumère quantité de villes judéennes conquises par Shishaq. Seule la Bible relatait cette invasion
(1 Rois 14:25-28).

Josué

Josué
Administrateur

« Bien avant Ferdinand de Lesseps, les Égyptiens réussirent à relier la Méditerranée à la Mer Rouge. Les travaux furent entrepris par Necos, en 615 avant JC. Il creusa un canal alimenté par les eaux du Nil, à travers la plaine d'Égypte qui regarde l'Arabie. Ce canal se remontait en quatre jours, et sa largeur était telle que deux trirèmes pouvaient y passer de front. Il fut continué par Darius, fils d'Hystaspe, et probablement achevé par Ptolémée II. Strabon le vit employé à la navigation ; mais la faiblesse de sa pente entre son point de départ, près de Bubaste, et la mer Rouge, ne le rendait navigable que pendant quelques mois de l'année. »

Josué

Josué
Administrateur

Cercle d’égyptologie
Site de la semaine soumis le 15/04/2014 par Véronique Dumas
Cette association belge dispense aux amateurs des cours de lecture des hiéroglyphes égyptiens. Découverte en ligne de la méthode.

www.cerclegypto.com
Fondé en 1997 à Tournai, le Cercle d’égyptologie propose à tous les passionnés d’Egypte ancienne d’explorer cette civilisation à travers ses hiéroglyphes. Les cours de lecture sont répartis sur deux années de douze leçons chacune. La pédagogie repose sur une méthode d’étude de la grammaire égyptienne en version simplifiée et la traduction commentée d’extraits de textes authentiques de la littérature égyptienne comme le Livre des Morts, les Textes des Sarcophages, les Textes des Pyramides, le Grand Hymne à Aton, les Sagesses. Toutes ces oeuvres servent de point de départ à une évocation de l’histoire, de la civilisation, de la vie quotidienne, sociale et religieuse. Une fois le cursus achevé, les anciens étudiants peuvent se retrouver le temps d’un séminaire. Cinq sont organisés chaque année autour d’épreuves de traductions donnant suite à des débats et des discussions en rapport avec le sujet abordé. Le Cercle dispense aussi des conférences autour de différentes thématiques ayant trait à l’Egypte ancienne.
Le + : tous les détails du programme sont en ligne ; le chapitre « l’Egypte sur le web ».
Le - : un bémol de taille... les cours ne peuvent être suivis par correspondance. Si vous avez la chance de pouvoir vous y rendre, il vous en coutera 180 € par année de cours (150 € pour les lycéens). La première leçon est gratuite...

Par Véronique Dumas

Invité


Invité

Josué a écrit:Un relief sur le mur d’un temple égyptien
à Karnak  en Jérémie 46:25énumère quantité de villes judéennes conquises par Shishaq.  Seule la Bible relatait cette invasion
(1 Rois 14:25-28).


Bonsoir, peux tu préciser de quel mur tu parlais?
Personnellement, doutant de qui est shishak (c'est notre brave Champollion qui a émis l'hypothèse que shishaq est sheshonq), j'ai du ml à voir une corrélation avec un mur en particulier.

Au passage, ne pourrait on pas avoir une section d'archéologie Biblique?

samuel

samuel
Administrateur

Bonjour le lien et donné dans les messages.
Personne je ne sais pas car je ne suis pas un spécialiste.

Invité


Invité

samuel a écrit:Bonjour le lien et donné dans les messages.
Personne je ne sais pas car je ne suis pas un spécialiste.

Tu m'inquiètes là, car je ne vois rien en rapport avec un lien sur un mur ou bas relief égyptien (problème de mon ordinateur peut être). En tout cas, si c'est ce que beaucoup citent, c'est à dire celui de sheshonq, il ne correspond pas à la description Biblique mais seulement à des villes qui se trouve dans le royaume du Nord, pas Judas et encore moins Jérusalem.

La conclusion la plus simple, c'est que sheshonq a du vivre a une époque bien plus récente ou le royaume était déjà divisé, et que le royaume du nord était déjà affaiblis par les attaques assyriennes, voir déjà sous tutelle assyrienne. L'attaque se serait porté sur le royaume du nord et pas le royaume unifié.

Bref, je ne crois pas au sheshonq =shishaq, hypothèse formulé par notre brave champollion à cause de la ressemble linguistique et à cause d'un bas relief d'une attaque de sheshonq certes en canaan, mais qui après lecture de la listes des villes prises ne correspond pas à celle de Judas, villes de Judas qui pour un envahisseur venant du sud auraient été les premières sur sa route. Sauf s'il passait par la philistie, remonté au nord avant de redescendre au sud. Mais alors pourquoi ne pas mentionner en long et en travers le butin énorme pris à jérusalem venant de salomon, lui même?


Josué

Josué
Administrateur

Yehoshouah a écrit:
Josué a écrit:Un relief sur le mur d’un temple égyptien
à Karnak  en Jérémie 46:25énumère quantité de villes judéennes conquises par Shishaq.  Seule la Bible relatait cette invasion
(1 Rois 14:25-28).


Bonsoir, peux tu préciser de quel mur tu parlais?
Personnellement, doutant de qui est shishak (c'est notre brave Champollion qui a émis l'hypothèse que shishaq est sheshonq), j'ai du ml à voir une corrélation avec un mur en particulier.

Au passage, ne pourrait on pas avoir une section d'archéologie Biblique?
Bonjour
le sujet date alors je me rappel plus vraiment mes sources
C'est quoi exactement le problème ?

Invité


Invité

C'est pas un problème. Mais le seul mur reconnu par les égyptologues (qui est à mon avis d'une grande stupidité) est le mur de sheshonq qui ne comprend que des villes du royaume du nord et pas de villes judéenne.

Du coup, je voulais savoir si tu avais une nouvelle information archéologique qui me serait passé sous le nez, parce qu'une liste de villes judéenne correspondant à l'invasion de shishaq n'existe pas à ma connaissance.

Josué

Josué
Administrateur

Bonjour.
Non désolè.

Invité


Invité

C'est bien ce que je pensais.

la seule liste qui correspondrait à la prise de Jérusalem serait celle de Qadesh par Thoutmosis 3. D’où le fait que certains identifie le shishaq Biblique à Thoutmosis 3.

Josué

Josué
Administrateur

pour FRANCIS  qui aime l'Egypte. Histor10
Historia Septembre 2015

Josué

Josué
Administrateur

20.04.2017
Egypte: huit momies découvertes dans une tombe pharaonique près de Louxor
AFP Publié le mardi 18 avril 2017 à 14h21 - Mis à jour le mardi 18 avril 2017 à 18h25

Egypte: des restes exceptionnels découverts près des pyramides
Huit momies, des sarcophages en bois aux couleurs vives, un millier de figurines funéraires: des archéologues ont fait des découvertes fabuleuses en Haute-Egypte dans une tombe de l'époque pharaonique, vieille de près de 3.500 ans.

La tombe, près de la ville de Louxor, véritable musée à ciel ouvert dans le Sud égyptien, et de la Vallée des Rois, appartenait vraisemblablement à Userhat, un magistrat de la 18e dynastie (1550-1295 avant J.-C.), portant le titre de "juge de la ville".

Mais elle a été réutilisée quelques siècles plus tard sous la 21e dynastie, pour accueillir d'autres momies.

"C'était une surprise de découvrir autant d'éléments à l'intérieur: des ustensiles en argile portant le nom du propriétaire de la tombe, plusieurs sarcophages et des momies, ainsi que plus d'un millier d'+ouchebti+", petites statuettes funéraires déposées dans les tombes pour servir le mort dans l'au-delà, a indiqué le ministre des Antiquités Khaled al-Anani, lors d'une visite de la tombe organisée mardi pour la presse.

"C'est une découverte importante, et ce n'est pas encore fini", s'est-il réjoui.

Dans un premier temps, la porte-parole du ministère des Antiquités, Nevine el-Aref, avait rapporté la découverte de "six momies", précisant que ce chiffre pourrait augmenter en raison de la présence de fragments supplémentaires.

Puis le chef de la mission archéologique, Mostapha Waziri, a annoncé un total de "8 momies et 10 sarcophages" retrouvés dans la tombe. "Les fouilles se poursuivent", a-t-il avancé en guise d'explication.

Dizaine de figurines funéraires

Dans la tombe, des experts égyptiens s'activent autour de sarcophages en bois, brisés mais bien conservés, décorés de personnages et de motifs pharaoniques aux couleurs vives, jaune, rouge, noir et bleu. A l'intérieur, des momies enveloppées de lin blanc noirci par les âges.

"La tombe date de la 18e dynastie, mais il semblerait qu'elle a été réutilisée sous la 21e dynastie (1070-945 avant J.-C.), une époque connue comme celle +des voleurs de tombe+", indique à l'AFP M. Waziri, dont l'équipe effectue des fouilles dans le secteur de Deraa Aboul Naga.

"Un individu doté d'une conscience, un prêtre ou un haut fonctionnaire, aurait récupéré des sarcophages" initialement placés dans des tombes profanées par des pilleurs, et les auraient introduits dans l'hypogée datant de la 18e dynastie pour les préserver, explique l'archéologue.

Devant la tombe, sur une table, s'alignent des dizaines d'ouchebti en terre cuite, couleur ocre, retrouvés dans un puits profond au coeur de la tombe. Non loin de là, à même le sol, des petits vases en argile de toutes les tailles, ocre, rouge et blanc. Les archéologues ont également découvert des squelettes et des crânes humains.

Deux autres tombes

A l'entrée de l'hypogée, deux autres entrées menant à deux autres tombes ont été exhumées. "Les fouilles vont se poursuivre pour essayer de découvrir ce que contiennent ces deux tombes et leur propriétaire", selon un communiqué du ministère.

L'Egypte a récemment donné son feu vert à plusieurs projets archéologiques dans l'espoir de faire de nouvelles découvertes, au moment où le secteur touristique, pilier de l'économie, peine à véritablement décoller, après des attentats meurtriers ces dernières années.

En octobre 2015, les autorités ont dévoilé un ambitieux projet, baptisé "Scan Pyramids", visant notamment à découvrir des chambres secrètes au coeur des pyramides de Guizeh et de Dahchour, au sud du Caire, et à éclaircir enfin le mystère entourant leur construction.

Un an plus tard, l'équipe chargée du projet a annoncé avoir détecté dans la pyramides de Khéops, à l'aide d'analyses poussées, deux "anomalies" qui pourraient bien être des "cavités inconnues".

Et les autorités égyptiennes ont également lancé à l'automne 2015 des recherches dans la tombe du pharaon Toutankhamon, dans la Vallée des Rois, dans l'espoir d'y découvrir une chambre secrète qui pourrait bien abriter le tombeau de la reine Néfertiti.

En avril dernier, des excavations dans la nécropole du site de Dahchour ont permis aux archéologues de découvrir les ruines d'une pyramide, vieille de 3.700 ans.

AFP

Josué

Josué
Administrateur

[size=62]Des momies de plus de 2000 ans dévoilées en Egypte[/size]
pour FRANCIS  qui aime l'Egypte. PlaceholderDes momies reposent dans une chambre funéraire récemment découverte dans la province désertique de Minya, au sud du Caire, Egypte, samedi 2 février 2019. ((Roger Anis/AP/SIPA))

Parmi ces momies, douze sont celles d'enfants et six d'animaux, pour la plupart des chiens. Elles datent de la dynastie ptolémaïque .

Par L'Obs
Publié le 03 février 2019 à 09h49

[size=33]SUR LE MÊME SUJET[/size]





  • Archéologie : quand la canicule nous révèle des vestiges enfouis



Elles ont plus de 2000 ans mais sont "en bon état": plus de 40 momiesdatant de la dynastie ptolémaïque d'origine grecque (323 à 30 avant J.-C.) ont été dévoilées en grande pompe dans des catacombes en Egypte par le ministère des Antiquités.
Pour les contempler, il faut emprunter une fine échelle et descendre un tunnel en pierre étroit de neuf mètres. Sous le sol sableux du site archéologique de Touna el-Gebel à Minya, en Moyenne-Egypte (centre), une vaste pièce donne accès à plusieurs chambres minuscules.

[size=42]"La petite bourgeoisie"[/size]

A l'intérieur, des momies brunâtres sont posées à même le sol ou placées dans des cercueils ouverts en argile blanche. De sexes et de tailles différents, elles sont enveloppées de lin ou décorées d'écritures démotiques, une langue égyptienne antique. Certaines portent encore des fragments de carton coloré, un matériau utilisé pour la fabrication de masques funéraires.
Selon le ministère égyptien des Antiquités, ces hommes et ces femmes, ces enfants et mêmes ces animaux de compagnie ont été découverts dans un tombeau familial appartenant à "la petite bourgeoisie" de l'époque ptolémaïque, du nom de la dernière dynastie pharaonique régnante, d'origine grecque, avant que l'Egypte ne passe sous domination romaine. La reine Cléopâtre en fut la dernière souveraine.
"Tous sont en bon état de conservation", assure le ministère.

[size=42]Son trésor archéologique[/size]

Parmi ces momies, douze sont celles d'enfants et six d'animaux, pour la plupart des chiens. "Ces animaux devaient être si chers à leurs propriétaires qu'ils les ont enterrés avec eux", s'amuse Mohamed Ragab, qui a participé aux fouilles de cette mission débutée en février 2018.
Pendant que les journalistes photographient ces découvertes, des archéologues en blouses blanches tiennent à montrer qu'ils veillent à leur conservation.
Casquette rose vissée sur le crâne et mains gantées, l'un d'entre eux se penche sur un sarcophage pour brosser délicatement une momie au niveau des jambes. Le geste, immortalisé par les objectifs des photographes, est soigné.
L'Egypte, longtemps critiquée pour sa négligence et son manque de rigueur scientifique, tient à montrer qu'elle prend soin de son trésor archéologique.
Des ostracons et des fragments de papyrus ont également été découverts sur place. Ils ont été exposés à la surface de cette nécropole de Touna el-Gebel nouvellement découverte.

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Un relief égyptien confirme l’exactitude d’un récit de la Bible[/size]

Ce relief de huit mètres de haut se trouve à Karnak, près de l’entrée du temple égyptien du dieu Amon. Selon les spécialistes, ce relief hiéroglyphique représente les lieux conquis par le pharaon Sheshonq dans les territoires situés au nord-est de l’Égypte, notamment Juda et le royaume du nord d’Israël.
pour FRANCIS  qui aime l'Egypte. 502019227_univ_cnt_1_lg

Relief de Karnak ; médaillon montrant des prisonniers attachés.


Le relief montre Amon en train de présenter plus de 150 prisonniers devant Sheshonq, aussi appelé Shishaq *. Chaque prisonnier représente une ville ou un peuple conquis. Le nom de ces villes est inscrit sur le corps de chaque prisonnier, à l’intérieur d’une forme ovale. Bon nombre de ces noms sont encore lisibles. D’ailleurs, certains sont bien connus des lecteurs de la Bible. Citons parmi eux Beth-Shéân, Gabaon, Megiddo et Shounem.
La Bible parle de la conquête de Juda (1 Rois 14:25, 26). Elle fournit même des détails précis à propos de son invasion par Sheshonq. Nous lisons : « Dans la cinquième année du règne de Roboam, Sheshonq, le roi d’Égypte, attaqua Jérusalem [...]. Il avait 1 200 chars, 60 000 cavaliers et d’innombrables soldats qui vinrent d’Égypte avec lui [...]. Il s’empara des villes fortifiées du territoire de Juda et il arriva finalement à Jérusalem » (2 Chroniques 12:2-4).
Le relief de Karnak n’est pas la seule preuve archéologique de l’invasion du pays d’Israël par Sheshonq. Le nom Sheshonq figure aussi sur un fragment de pierre, ou stèle, découvert sur le site de la ville de Megiddo, dont parle la Bible.
L’exactitude du récit biblique de la conquête de Juda par Sheshonq témoigne de l’honnêteté des rédacteurs de la Bible. Ils ont consigné scrupuleusement les victoires, mais aussi les défaites de leur pays. La plupart des écrivains de l’Antiquité n’ont pas fait preuve de la même intégrité.

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