Bonjour,
Je vous exhorte à vous offrir vous-mêmes en sacrifice vivant, réservé à Dieu et qui lui est agréable. — Rom. 12:1, “ Bible en français courant ”.
On ne peut être admis dans la famille de Dieu, composée d’adorateurs qu’il agrée, à moins de lui faire une promesse solennelle. Pour comprendre cela, imaginons un homme sensible au sort d’un certain orphelin et qui désire l’adopter. Cet homme a la réputation d’être un bon père. Cependant, avant de l’adopter, il lui dit : “ J’aimerais que tu me promettes de m’aimer et de me respecter comme ton père. ” Si le garçon est disposé à lui donner sa parole, l’homme l’accueillera dans sa famille. À votre avis, cet homme n’est-il pas en droit de poser cette condition ? Il en va de même pour Jéhovah : il n’accepte au sein de sa famille que des humains qui sont disposés à lui faire l’offrande de leur personne. w10 15/1 1:13.
Commentaire:
Ceux qui consacrent leur vie au service de Jéhovah goûtent un bonheur durable (Mat. 6:24). L’honneur d’être des “ compagnons de travail de Dieu ” les rend heureux. Cependant, les chrétiens ne se vouent pas à une œuvre, mais à un Dieu reconnaissant (1 Cor. 3:9). Personne ne pourra jamais nous récompenser mieux que lui de notre abnégation
Vouer sa vie à Jéhovah permet d’entrer dans le groupe de ses intimes. “ Approchez-vous de Dieu, et il s’approchera de vous ”, nous assure la Bible (Jacq. 4:8 ; Ps. 25:14).
E.D. Abiya votre serviteur
Je vous exhorte à vous offrir vous-mêmes en sacrifice vivant, réservé à Dieu et qui lui est agréable. — Rom. 12:1, “ Bible en français courant ”.
On ne peut être admis dans la famille de Dieu, composée d’adorateurs qu’il agrée, à moins de lui faire une promesse solennelle. Pour comprendre cela, imaginons un homme sensible au sort d’un certain orphelin et qui désire l’adopter. Cet homme a la réputation d’être un bon père. Cependant, avant de l’adopter, il lui dit : “ J’aimerais que tu me promettes de m’aimer et de me respecter comme ton père. ” Si le garçon est disposé à lui donner sa parole, l’homme l’accueillera dans sa famille. À votre avis, cet homme n’est-il pas en droit de poser cette condition ? Il en va de même pour Jéhovah : il n’accepte au sein de sa famille que des humains qui sont disposés à lui faire l’offrande de leur personne. w10 15/1 1:13.
Commentaire:
Ceux qui consacrent leur vie au service de Jéhovah goûtent un bonheur durable (Mat. 6:24). L’honneur d’être des “ compagnons de travail de Dieu ” les rend heureux. Cependant, les chrétiens ne se vouent pas à une œuvre, mais à un Dieu reconnaissant (1 Cor. 3:9). Personne ne pourra jamais nous récompenser mieux que lui de notre abnégation
Vouer sa vie à Jéhovah permet d’entrer dans le groupe de ses intimes. “ Approchez-vous de Dieu, et il s’approchera de vous ”, nous assure la Bible (Jacq. 4:8 ; Ps. 25:14).
E.D. Abiya votre serviteur