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26 AOÛT – 1er SEPTEMBRE PSAUME 78

4 participants

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Josué

Josué
Administrateur

26 AOÛT – 1er SEPTEMBRE
PSAUME 78

chico.

chico.

u 78.2 On sait que ce verset a été repris en Mt 13.35 pour montrer que les paraboles de Jésus révélaient les secrets de l’histoire. Le mot parabole a un sens très large, ce peut être n’importe quelle image ou comparaison, courte ou longue, qui aide à saisir une situation. Ici il n’y a pas de comparaison, la parabole consiste à mettre en relief certaines constantes de l’histoire ; elle invite les auditeurs à s’interroger sur leur propre attitude vis-à-vis de Dieu : seront-ils infidèles une fois de plus et Dieu devra-t-il les abandonner comme il a fait avec leurs pères ou avec leurs frères du nord ?

Josué

Josué
Administrateur

Matthieu fit une référence du même genre après avoir relaté une série de paraboles données par Jésus. Il dit : “Toutes ces choses, Jésus les dit aux foules au moyen d’illustrations. Oui, il ne leur parlait pas sans illustration ; afin que s’accomplît ce qui avait été prononcé par l’entremise du prophète, qui a dit : ‘J’ouvrirai ma bouche avec des illustrations, je publierai des choses cachées depuis la fondation.’” ([Ps. 78:2] Mat. 13:34, 35). Asaph, qui rédigea le Psaume 78, utilisa bon nombre d’images pour décrire les relations que Dieu eut avec le peuple d’Israël pendant un grand nombre d’années. Pareillement, Jésus se servit d’un langage imagé dans les nombreuses illustrations qu’il donna concernant l’“Israël de Dieu”, l’Israël spirituel. — Gal. 6:16 ; Mat. 13:1-33, 36-50.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Psaume didactique pour enseigner qui montre comment Dieu c'est montrer généreux envers son peuple rebelle.

papy

papy

Quand ferez-vous usage de votre faculté de parler pour louer Jéhovah ? Seulement lorsque vous prendrez part au ministère du champ ? Uniquement lors des réunions de la congrégation ? Le Psaume 34:2 (AC) fournit la réponse à ces questions : “Je veux bénir Jéhovah en tout temps ; sa louange sera toujours dans ma bouche.” Paul mit également l’accent sur la nécessité de louer sans cesse Jéhovah ; nous lisons en effet dans Hébreux 13:15 : “Par lui, offrons sans cesse à Dieu un sacrifice de louange, c’est-à-dire le fruit des lèvres qui font une déclaration publique au sujet de son nom.” Employer la bouche, les lèvres et la langue pour parler un langage obscène et ordurier est donc incompatible avec la conduite chrétienne. “Qu’il ne sorte de votre bouche aucune parole ordurière, mais toute parole qui soit propre à l’édification selon le besoin, afin qu’elle communique ce qui est favorable aux auditeurs.” Dans cette même lettre aux Éphésiens, l’apôtre classe les propos absurdes dans la même catégorie que la fornication et la conduite indigne, disant que quiconque pratique ces choses “n’a d’héritage dans le royaume du Christ et de Dieu”. C’est pourquoi Paul donne cet ordre : “Que la fornication et toute espèce d’impureté ou l’avidité ne soient pas même mentionnées parmi vous, comme il convient à des hommes saints ; pas non plus de conduite indigne, ni de propos absurdes, ni de plaisanteries obscènes, choses qui ne conviennent pas.” (Éph. 4:29 ; 5:3-5). Jacques, écrivain biblique, soulève également cette question : “Une source ne fait pas jaillir par la même ouverture le doux et l’amer, n’est-ce pas ?” Dès lors, faisons en sorte que notre faculté de parler serve en tout temps à faire jaillir le doux, à savoir des louanges à Jéhovah. — Jacq. 3:11.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Asaph retrace l'histoire du peuple juif de puis l'évoque de l'esclavage en Égypte jusqu'au régné de David.
Cette histoire a été répétée à toutes les générations pour qu'ielles n'oublient pas Dieu et ne reproduisent pas les erreurs de leurs ancêtres.

papy

papy

78.2
Pour des sentences. L’hébreu Maschal, donné comme titre à tout le livre des Proverbes, signifie proprement : parabole, comparaison et s’applique, par extension, à tout discours didactique. Voir Ésaïe 14.4, note. L’Évangile de saint Matthieu cite cette parole comme concernant prophétiquement les paraboles du Sauveur (Matthieu 13.34-35). Jésus a été en effet le vrai révélateur des pensées divines, que les prophètes de l’ancienne alliance n’avaient dévoilées qu’en partie.

Josué

Josué
Administrateur

La meilleure façon de ne pas oublier Dieu consiste à penser sans cesse à lui. Apprenez quelle est sa volonté à votre égard et accomplissez-la. Par l’intermédiaire d’un psalmiste, Jéhovah déclare : “Mon peuple, écoute mes instructions ! Prêtez l’oreille aux paroles de ma bouche !” (Ps. 78:1). Est-ce là une action de valeur ? Est-elle utile ? Y a-t-il quelque chose à gagner ? Peut-on obtenir une récompense en prêtant l’oreille et en écoutant ce que Jéhovah a à nous dire et en le mettant en pratique ? Certainement ! Non seulement il vous sera utile d’écouter les choses que Dieu a à dire, mais c’est également “pour qu’elles soient connues des générations suivantes, des enfants qui naîtraient, et que ceux-ci à leur tour les racontent à leurs enfants. Ainsi ils mettraient en Dieu leur confiance, ils n’oublieraient point les œuvres de Dieu, et ils observeraient ses préceptes”. — Ps. 78:6, 7, AC.
À notre époque, combien de personnes de la chrétienté désirent réellement que leurs enfants ‘mettent leur confiance en Dieu’ ? Avant que vous puissiez inculquer pareille confiance à vos enfants, vous devez d’abord apprendre à connaître Jéhovah et ne pas ‘oublier les œuvres de Dieu’. Comment vos enfants peuvent-ils connaître quelque chose sur Dieu si vous n’observez pas vous-même ses commandements et ne les inculquez pas à votre famille ?

papy

papy

En Psaume 78:12, 43, les expressions “ campagne de Tsoân ” et “ pays d’Égypte ” sont mises en parallèle dans le récit des miracles que Jéhovah opéra en faveur d’Israël et qui aboutirent à l’Exode. Des biblistes en ont conclu que Moïse et Pharaon se rencontraient à Tsoân. Pareillement, certains ont tenté d’établir un lien entre Tsoân (Tanis) et les villes de Ramsès et d’Avaris, citées par Manéthon dans son récit sur les prétendus rois hyksos. C’est pourquoi de nombreux ouvrages de référence récents affirment que le nom de Tsoân est devenu Avaris sous les “ Hyksos ”, puis Ramsès sous la dynastie des Ramsès, pour finalement redevenir Tsoân (sous sa forme grecque Tanis). Il faut toutefois noter que la Bible utilise sans discontinuer le nom Tsoân : avant l’Exode (à l’époque d’Abraham), pendant l’Exode et jusqu’aux VIIIe, VIIe et VIe siècles av. n. è. (au temps des prophètes Isaïe et Ézékiel.)

chico.

chico.

Si Tsoân était réellement l’endroit où se rencontraient Moïse et Pharaon, cela donnerait assurément une idée du lieu de départ de l’Exode. Or, plusieurs éléments remettent en cause cette opinion. Pour que Tsoân soit effectivement ce lieu, il faudrait considérer “ campagne de Tsoân ” non pas comme une expression mise en parallèle avec le “ pays d’Égypte ”, mais comme une expression spécifique qui désignerait l’endroit précis où eurent lieu les miracles. Le sens limité ou restrictif de cette expression ne correspond pas à la réalité, car les dix plaies ne frappèrent pas seulement une partie de l’Égypte (par exemple une partie du Delta), mais le pays entier. Cela confirmerait l’opinion selon laquelle il s’agit d’un parallèle établi entre “ la campagne de Tsoân ” et le “ pays d’Égypte ”.
Sous plusieurs aspects, la Bible ne corrobore pas le point de vue des biblistes modernes qui s’efforcent de présenter Tsoân (ou, selon les liens qu’ils ont tenté d’établir, Avaris ou Ramsès) comme le lieu de résidence de Pharaon au moment de l’Exode. Selon la Bible, la première rencontre entre Moïse et Pharaon eut lieu au bord du Nil (Ex 7:14, 15). Or Tsoân (Tanis) ne se trouve pas près du fleuve même, mais au bout d’un des anciens bras qui se divisent à partir du cours principal. De plus, les partisans de l’identification de Tsoân, ou Tanis, avec Ramsès, oublient que Tsoân existait déjà du temps d’Abraham, alors que la Raamsès (“ Ramsès ”, Jé ; Pl) de la Bible fut bâtie par les Israélites en Égypte quelque 400 ans plus tard (à moins que par “ bâtir ” il ne faille entendre “ rebâtir ”, ou fortifier). — Ex 1:11.

Josué

Josué
Administrateur

La meilleure façon de ne pas oublier Dieu consiste à penser sans cesse à lui. Apprenez quelle est sa volonté à votre égard et accomplissez-la. Par l’intermédiaire d’un psalmiste, Jéhovah déclare : “Mon peuple, écoute mes instructions ! Prêtez l’oreille aux paroles de ma bouche !” (Ps. 78:1). Est-ce là une action de valeur ? Est-elle utile ? Y a-t-il quelque chose à gagner ? Peut-on obtenir une récompense en prêtant l’oreille et en écoutant ce que Jéhovah a à nous dire et en le mettant en pratique ? Certainement ! Non seulement il vous sera utile d’écouter les choses que Dieu a à dire, mais c’est également “pour qu’elles soient connues des générations suivantes, des enfants qui naîtraient, et que ceux-ci à leur tour les racontent à leurs enfants. Ainsi ils mettraient en Dieu leur confiance, ils n’oublieraient point les œuvres de Dieu, et ils observeraient ses préceptes”. — Ps. 78:6, 7, AC.
À notre époque, combien de personnes de la chrétienté désirent réellement que leurs enfants ‘mettent leur confiance en Dieu’ ? Avant que vous puissiez inculquer pareille confiance à vos enfants, vous devez d’abord apprendre à connaître Jéhovah et ne pas ‘oublier les œuvres de Dieu’. Comment vos enfants peuvent-ils connaître quelque chose sur Dieu si vous n’observez pas vous-même ses commandements et ne les inculquez pas à votre famille ?

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Ephraîm était là tribut la plus importante d''Israël depuis l'épique de Moïse et jusqu'à celle de Saül, le tabernacle était dressé sur son territoire .
Aucun récit biblique ne rapportant que des soldats de cette tribut ont quitté le combat, ce passage (9,10) est problablemen une métaphore qui évoque son échec à assumer vraiment la direction du peuple.

papy

papy

Psaumes 78.18
Ils tentèrent Dieu : en abusant de leur position privilégiée de peuple de Dieu, pour réclamer avec impatience ce que Dieu était décidé à leur accorder et même pour exiger plus (la viande) que ce qu’il était dans sa volonté de leur donner. Tenter Dieu, c’est se réclamer de son secours au moment même où l’on pèche contre lui, ou essayer jusqu’où ira sa patience, sa longanimité, sa puissance et chercher à lui forcer la main. Jéhovah, disait le peuple, est-il au milieu de nous, oui ou non ? Comparez Matthieu 4.7.

Selon leur désir, littéralement : selon leurs âmes. Lors du second envoi de cailles, il s’agissait pour le peuple, non de savoir s’il aurait de quoi manger, mais s’il aurait de quoi satisfaire sa convoitise.

chico.

chico.

L’étranger. Le mot hébreu traduit par étranger (zar) vient sans doute de la racine zour, qui signifie “ se détourner, devenir un inconnu ” (Ps 78:30 ; 69:Cool, et il désigne donc fondamentalement “ quelqu’un qui se distancie ou qui s’éloigne ”. — Theological Dictionary of the Old Testament, par G. Botterweck et H. Ringgren, 1980, vol. 4, p. 53.
Certains étaient considérés comme des étrangers dans des domaines touchant à la famille aaronique et à la tribu de Lévi, et cela concernait aussi bien les Israélites de naissance et les résidents étrangers que toutes les autres personnes. La Loi réservait les fonctions sacerdotales à la famille d’Aaron (Ex 28:1-3) et confiait les autres occupations relatives au temple à la tribu de Lévi en général (Nb 1:49, 50, 53). Toutes les autres personnes, y compris les Israélites de naissance des 12 tribus non lévitiques, étaient, dans certains domaines, comparées à des étrangers par rapport à la tribu de Lévi (Ex 29:33, MN, note : “ ‘ un non-Aaronite ’, c’est-à-dire un homme qui n’est pas de la famille d’Aaron ” ; Sg, note : “ étranger à la lignée d’Aaron ” ; Nb 3:38, MN, note : “ c’est-à-dire un non-Lévite ” ; Jé : “ profane ”. Voir aussi Lv 22:10 ; Nb 3:10). Comme l’indique le contexte, dans la plupart de ses occurrences dans le Pentateuque, le mot “ étranger ” désigne quelqu’un qui n’est pas de la famille d’Aaron ou qui n’est pas de la tribu de Lévi, pour la raison que les privilèges et les charges sacerdotales ou ministérielles ne lui étaient pas attribués.
L’étranger (non aaronite) ne pouvait pas manger du sacrifice d’installation (Ex 29:33), ni être oint d’huile d’onction sainte (Ex 30:33), ni manger aucune chose sainte (Lv 22:10). Un étranger non aaronite ne pouvait s’occuper d’aucune tâche sacerdotale (Nb 3:10 ; 16:40 ; 18:7). Un étranger non lévite, c’est-à-dire même un membre d’une des 12 autres tribus, ne pouvait s’approcher du tabernacle pour le dresser ou pour quelque autre raison, si ce n’est pour offrir des sacrifices ou pour consulter les prêtres à la porte de la tente de réunion (Lv 4:24, 27-29). La fille d’un prêtre qui se mariait avec un étranger non aaronite ne pouvait manger de la contribution des choses saintes, pas plus que son mari “ étranger ”. — Lv 22:12, 13.

Josué

Josué
Administrateur

78:24, 25, note — Pourquoi la manne est-elle appelée “ le grain du ciel ” et “ le pain des anges ” ? Aucune de ces expressions ne signifie que la manne était la nourriture des anges. C’était “ le grain du ciel ” en ce sens que son origine était céleste (Psaume 105:40). Comme les anges, les “ puissants ”, résident au ciel, l’expression “ le pain des anges ” peut signifier simplement que ce pain était fourni par Dieu, qui réside lui aussi au ciel (Psaume 11:4). Peut-être aussi Jéhovah a-t-il envoyé des anges fournir la manne aux Israélites.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Les israélites réaffirmaient sans cesse leur volonté de suivre Jéhovah, mais c'était pour se détourner de lui ensuite.
Lorsqu'ils prenaient un engagement c'était pour se détourner de lui ensuite, ils le faisaient avec leur bouche mais pas avec le coeur, ils ne changeaient pas d'attitude.

papy

papy

L’étranger. Le mot hébreu traduit par étranger (zar) vient sans doute de la racine zour, qui signifie “ se détourner, devenir un inconnu ” (Ps 78:30 ; 69:Cool, et il désigne donc fondamentalement “ quelqu’un qui se distancie ou qui s’éloigne ”. — Theological Dictionary of the Old Testament, par G. Botterweck et H. Ringgren, 1980, vol. 4, p. 53.
Certains étaient considérés comme des étrangers dans des domaines touchant à la famille aaronique et à la tribu de Lévi, et cela concernait aussi bien les Israélites de naissance et les résidents étrangers que toutes les autres personnes. La Loi réservait les fonctions sacerdotales à la famille d’Aaron (Ex 28:1-3) et confiait les autres occupations relatives au temple à la tribu de Lévi en général (Nb 1:49, 50, 53). Toutes les autres personnes, y compris les Israélites de naissance des 12 tribus non lévitiques, étaient, dans certains domaines, comparées à des étrangers par rapport à la tribu de Lévi (Ex 29:33, MN, note : “ ‘ un non-Aaronite ’, c’est-à-dire un homme qui n’est pas de la famille d’Aaron ” ; Sg, note : “ étranger à la lignée d’Aaron ” ; Nb 3:38, MN, note : “ c’est-à-dire un non-Lévite ” ; Jé : “ profane ”. Voir aussi Lv 22:10 ; Nb 3:10). Comme l’indique le contexte, dans la plupart de ses occurrences dans le Pentateuque, le mot “ étranger ” désigne quelqu’un qui n’est pas de la famille d’Aaron ou qui n’est pas de la tribu de Lévi, pour la raison que les privilèges et les charges sacerdotales ou ministérielles ne lui étaient pas attribués.
L’étranger (non aaronite) ne pouvait pas manger du sacrifice d’installation (Ex 29:33), ni être oint d’huile d’onction sainte (Ex 30:33), ni manger aucune chose sainte (Lv 22:10). Un étranger non aaronite ne pouvait s’occuper d’aucune tâche sacerdotale (Nb 3:10 ; 16:40 ; 18:7). Un étranger non lévite, c’est-à-dire même un membre d’une des 12 autres tribus, ne pouvait s’approcher du tabernacle pour le dresser ou pour quelque autre raison, si ce n’est pour offrir des sacrifices ou pour consulter les prêtres à la porte de la tente de réunion (Lv 4:24, 27-29). La fille d’un prêtre qui se mariait avec un étranger non aaronite ne pouvait manger de la contribution des choses saintes, pas plus que son mari “ étranger ”. — Lv

Josué

Josué
Administrateur

Le mot “ étranger ” était aussi appliqué à ceux qui se détournaient de ce qui était conforme à la Loi et qui étaient par conséquent éloignés de Jéhovah. Ainsi, la prostituée est appelée “ femme étrangère ”. (Pr 2:16 ; 5:17 ; 7:5.) Tant les adorateurs des faux dieux que ces dieux eux-mêmes sont qualifiés d’“ étrangers ”. — Jr 2:25 ; 3:13.
Dans les Écritures hébraïques, il est également question d’étrangers au sens de personnes inconnues ou d’un autre pays. — 1R 3:18 ; Jb 19:15.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

78 :58 Dieu peut-il être jaloux?
D'après la bible , oui ( cf.Daniel 2:24)5:9),mais cette jalousie à la perfection qui caractérise le reste de sa personne.Ici , l'ingratitude et l'infidélité du peuple constituent une offense qui appelle à une réaction juste et sainte de la part de Jéhovah.

papy

papy

On notera avec intérêt que les plaies mentionnées dans les Psaumes 78 et 105 ne sont pas présentées dans l’ordre original. On peut en déduire que dans l’accomplissement de cette prophétie, on ne sera pas surpris si les fléaux ne frappent pas dans l’ordre chronologique de jadis. Il semble que les rédacteurs inspirés qui eurent l’occasion d’énumérer les plaies n’attachèrent pas une grande importance à l’ordre dans lequel elles furent envoyées.

chico.

chico.

En certaines occasions, les anges ont joué un rôle important dans les interventions extraordinaires du Tout-Puissant. Par exemple, “des délégations d’anges” ont contribué à faire venir des plaies dévastatrices sur l’Égypte quand le pharaon refusa de libérer les Israélites qu’il retenait en esclavage (Ps. 78:43-51). Des siècles plus tard, l’armée assyrienne de Sennachérib menaçait de prendre Jérusalem, capitale du royaume de Juda. Comme le trône de Juda était occupé par un roi fidèle, Ézéchias, Jéhovah ne permit pas qu’il en fût ainsi. En une seule nuit, son ange détruisit 185 000 soldats assyriens, “hommes puissants et vaillants et tous les conducteurs et chefs”. (II Rois 19:35 ; II Chron. 32:21.) Ayant perdu la plus grande partie de son armée, Sennachérib fut obligé de renoncer à son projet d’assiéger Jérusalem.

Josué

Josué
Administrateur

Psaumes 78.69
Comme les lieux très hauts…, comme la terre : images exprimant l’idée d’une durée éternelle ; le sanctuaire subsistera aussi longtemps et plus longtemps que les cieux et la terre. Il est indestructible, comme création spirituelle, alors même que l’édifice dans lequel l’idée divine a pris corps peut disparaître. Comparez Psaumes 24.7 (portes éternelles) ; Jean 2.19 ; Matthieu 24.35.

chico.

chico.

La formation que David acquit en s’occupant des moutons le prépara au rôle plus important de berger du peuple de Jéhovah, comme c’est écrit : “ [Jéhovah] choisit David son serviteur et le tira des enclos du petit bétail. De derrière les femelles qui allaitent il le fit venir pour être berger sur Jacob son peuple et sur Israël son héritage. ” (Ps 78:70, 71 ; 2S 7:Cool. Toutefois, la première fois que David quitta les moutons de son père, ce ne fut pas pour endosser la royauté. Il fut le musicien de la cour sur la recommandation d’un conseiller de Saül qui dit de David qu’il était “ habile à jouer de la harpe ”, mais aussi : “ C’est un homme fort et vaillant, un homme de guerre ; c’est quelqu’un qui s’exprime avec intelligence, c’est aussi un homme bien fait, et Jéhovah est avec lui. ” (1S 16:18). C’est ainsi que David devint le harpiste de Saül, qui était tourmenté à ce moment-là, mais aussi son porteur d’armes. — 1S 16:19-23.

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