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Josué

Josué
Administrateur

https://www.lemonde.fr/le-monde-des-religions/article/2024/01/31/l-essor-du-shadow-work-le-cote-obscur-des-nouvelles-spiritualites_6214039_6038514.html?lmd_medium=email&lmd_campaign=trf_newsletters_lmfr&lmd_creation=le_monde_des_religions&lmd_send_date=20240208&lmd_email_link=comprendre_titre_1&M_BT=113977059162465

L’essor du « shadow work », le côté obscur des nouvelles spiritualités
CHRONIQUE
Marc Bonomelli

Dans sa chronique pour « Le Monde des religions », le journaliste Marc Bonomelli analyse l’essor d’une nouvelle tendance chez les « néospirituels » : le « shadow work », expression désignant un « travail personnel visant à ne plus fuir nos facettes sombres, mais plutôt à leur faire face et à les comprendre ». Un « travail » qui n’est pas toujours sans risque.Publié le 31 janvier 2024 à 12h00, modifié le 31 janvier 2024 à 13h57  

Illustration : un homme déroulant sa propre ombre. « Connu pour son travail sur les archétypes de l’inconscient et son intérêt approfondi pour la mystique, Jung a conceptualisé l’ombre, qui désigne les parties de soi niées, considérées comme indésirables dans la définition de notre personnalité ou mise en sourdine par peur du rejet social ». ALAMY STOCK PHOTO
[Marc Bonomelli est journaliste indépendant, spécialisé dans l’étude du fait religieux et des nouvelles spiritualités. Auteur des Nouvelles Routes du soi. En immersion chez les nouveaux spirituels (Arkhê, 2022), il analyse dans une chronique mensuelle la spiritualité foisonnante de notre époque et la manière dont elle se réinvente. Des « néodruides » aux « soul surfers », ces nouvelles « routes du soi » semblent traverser tous les domaines, de la santé à la politique, en passant par le numérique, le développement personnel et, bien sûr, les religions.]

Fini le positive burn-out ? Fini l’overdose de « positivité toxique », cette croyance culpabilisante selon laquelle il faudrait rester positif coûte que coûte, que dénonçaient déjà en 2017 les sociologues et psychologues Eva Illouz et Edgar Cabanas, dans leur ouvrage Happycratie (Premier Parallèle, 2018) ?

Aujourd’hui, ce ras-le-bol gagne de plus en plus de terrain au sein des vastes mondes des nouvelles spiritualités et du développement personnel. A tel point qu’un courant opposé est en train de connaître un réel essor : le shadow work.

Aux origines était l’ombre
Le shadow work connaît depuis quelques mois une visibilité inédite, au point de devenir certains jours un trend, une tendance forte sur des réseaux sociaux comme Instagram ou TikTok. L’expression désigne un « travail » personnel, visant à ne plus fuir nos facettes sombres, mais plutôt à leur faire face et à les comprendre, dans un but de guérison, d’acceptation ou de réalisation de soi.

Cette idée, aujourd’hui popularisée par des auteurs comme Isabelle Cerf, coach, médium et autrice, entre autres, du tout récent Le Shadow Work. Le journal qui éclaire tes parts d’ombre (Good Mood Dealer by Exergue, 256 pages, 13,90 euros), s’inspire notamment des écrits du psychanalyste Carl Gustav Jung (1875-1961).
« L’injonction au bonheur est une trouvaille

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