Samedi 29 octobre Quand on demande conseil, les projets réussissent ; l’art de diriger est essentiel pour mener une guerre (Prov. 20:18).

Chercher à lui montrer que on est à son écoute pour l’aider dans ses problème personnel aussi parfois …
Je suis au travail dans un monde en difficulté, ce monde apporte des inquiétudes, et il y a des gars qui reviens de « burn out », de « dépressions », ce monde n’est pas doux avec les gens et ils ont besoin « d’écoutes » et je suis proches de eux, et ils sont très content que je prend le temps de ne pas les juger et de montrer que je tiens à eux, et ils s’ouvrent plus facilement …

Aujourd’hui ce monde est individualiste et ils veulent régler leur choses tout seul, pour montrer que ils sont des dur, et dans leur entourages ils sont dur aussi, alors quand les gens en besoin vous que ils « se sentent compris » le contact est immédiat ….

C’est la même chose avec un étudiant,
Leur montrer notre amour envers les gens
Ça fait une énorme différence et ils sont plus attentifs au conseils venant de nous et aussi de Dieu qui est lui aussi à l’écoute des gens …

Au travail ils viennent me voir pour avoir des conseils et n’acceptes aussi leur conseils
On s’encourage et on fait une différence entre les autres employés …

Notons que le terme rendu par “ art de diriger ” s’emploie aussi en rapport avec la guerre : “ Tu feras ta guerre avec l’art de diriger [“ par une bonne stratégie ”, Bible du Semeur], et il y a salut dans la multitude des conseillers. ” — Prov. 20:18 ; 24:6.

Tels des stratèges organisant une bataille, nous avons intérêt à anticiper les dangers pour notre spiritualité (Prov. 22:3). Supposons que vous vous demandez si vous allez accepter un nouvel emploi ou encore une promotion. Vous réfléchissez bien sûr à la paye, au temps de trajet, etc. Toutefois, il y a d’autres éléments à prendre en compte : Ce type de travail est-​il compatible avec les principes bibliques ? Les horaires, par exemple pour un travail posté, entraveront-​ils mes activités chrétiennes ? — Luc 14:28-30.

“ L’art de diriger ” est absolument nécessaire dans la famille. Élever des enfants est une entreprise à long terme ; les choix faits dans les domaines spirituel et matériel conditionnent l’avenir de chaque membre de la famille (Prov. 22:6). Les parents chrétiens devraient se demander : “ Par nos conversations et notre exemple, inculquons-​nous à nos enfants des valeurs spirituelles qui les aideront à bien mener leur vie d’adulte ? Notre mode de vie leur apprend-​il à se contenter d’une vie simple et à se concentrer sur leur ministère chrétien ? ” — 1 Tim. 6:6-10, 18, 19.

La vraie réussite ne dépend pas de la poursuite des objectifs (biens, position sociale) que visent la majorité des humains. Le roi Salomon l’avait compris. Il a écrit sous inspiration : “ Cela tournera bien pour ceux qui craignent le vrai Dieu, parce qu’ils l’ont craint. ” (Eccl. 8:12). Voilà qui prouve sans aucun doute combien il est sage de cultiver “ l’art de diriger ” conformément à la Parole de Dieu. — 2 Tim. 3:16, 17.

La réussite dépend beaucoup de l'unité et aussi d'avoir la pensée du Christ.

Notons que le terme rendu par “ art de diriger ” s’emploie aussi en rapport avec la guerre : “ Tu feras ta guerre avec l’art de diriger [“ par une bonne stratégie ”, Bible du Semeur], et il y a salut dans la multitude des conseillers. ” — Prov. 20:18 ; 24:6.

“Deux valent mieux qu’un, car ils ont un bon salaire pour leur dur travail. Car si l’un d’eux vient à tomber, l’autre peut relever son compagnon. Mais qu’adviendra-t-il de celui qui est seul et qui tombe, quand il n’y a pas de second pour le relever? Par ailleurs, si deux couchent ensemble, alors ils se réchaufferont assurément, mais un seul, comment se tiendra-t-il chaud? Et si quelqu’un était à même de maîtriser un seul, deux ensemble pourraient lui résister. Et une corde triple ne se rompt pas rapidement.” — Eccl. 4:9-12.
Ces paroles sont riches d’enseignement. Les relations humaines apportent plus de satisfaction que les richesses. L’intérêt sincère que l’on porte à son semblable et les efforts que l’on fait pour lui venir en aide valent mieux que l’or, que l’argent ou que tout autre objet inanimé.