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Les épiscopaliens s’interrogent sur le caractère antisémite de leur liturgie du Vendredi saint

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Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Les épiscopaliens s’interrogent sur le caractère antisémite de leur liturgie du Vendredi saint [/size]
Analyse 
Des membres de l’Église épiscopalienne des États-Unis s’alarment du risque d’utilisation de passages de l’Évangile de Jean lus le Vendredi saint pour justifier l’antisémitisme. Pour répondre à ce danger, ils veulent demander à leur Église de revoir sa traduction du quatrième Évangile.


  • Xavier Le Normand, 
  • le 15/04/2022 à 16:21





Les épiscopaliens s’interrogent sur le caractère antisémite de leur liturgie du Vendredi saint  Lusdu-Vendredi-saint-chapitres-18-19-quatrieme-Evangile-consideres-comme-ayant-participe-justification-lantisemitisme-chretiendes-siecles_0



Lus lors du Vendredi saint, les chapitres 18 et 19 du quatrième Évangile sont considérés comme ayant participé à la justification de l’antisémitisme chrétien pendant des siècles.CORINNE SIMON/CIRIC


Les traductions actuelles de l’Évangile selon saint Jean sont-elles antisémites ? C’est la question soulevée par certains membres de l’Église épiscopalienne des États-Unis. Une résolution portée par le diocèse épiscopalien de Washington veut en effet faire voter une demande de révision de la traduction de certains passages de cet Évangile lors de la prochaine convention générale de cette Église, en juillet prochain.

Josué

Josué
Administrateur

https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/06/26/un-climat-inquietant-d-antisemitisme-qui-se-diffuse-a-l-universite-alerte-un-rapport-senatorial_6243905_3224.html?lmd_medium=email&lmd_campaign=trf_newsletters_lmfr&lmd_creation=le_monde_des_religions&lmd_send_date=20240627&lmd_email_link=dans-l-actu_titre_1&M_BT=113977059162465



Antisémitisme : un climat « inquiétant » se diffuse à l’université, alerte un rapport sénatorial
Après plus d’une soixantaine d’auditions, les deux rapporteurs ont établi onze recommandations pour lutter contre l’antisémitisme dans l’enseignement supérieur, dont une meilleure qualification des actes, une harmonisation des pratiques, et des poursuites plus régulières des auteurs.
Par [url=/signataires/minh-drean/]Minh Dréan[/url]
Publié le 26 juin 2024 à 15h06, modifié le 26 juin 2024 à 19h07

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Un antisémitisme « latent » et largement « sous-estimé » dans les établissements : voilà les deux principaux constats de la mission d’information sénatoriale consacrée à l’antisémitisme dans l’enseignement supérieur, lancée quelques jours après l’occupation, mi-mars, d’un amphithéâtre de Sciences Po Paris lors d’une mobilisation propalestinienne ; les travaux ont été menés par les sénateurs Pierre-Antoine Levi (Union centriste, Tarn-et-Garonne) et Bernard Fialaire (Rassemblement démocratique et social européen, Rhône).

Après la présentation du rapport, mercredi 26 juin, les sénateurs ont fustigé d’emblée tout « calcul politique », en faisant référence à la date de publication des résultats, alors que le premier tour des élections législatives anticipées aura lieu le dimanche 30 juin et que les accusations d’antisémitisme de certains membres de La France insoumise, notamment, ont émaillé les débats.

Plus d’une soixantaine d’auditions, dont certaines furent particulièrement tendues, ont été conduites – des sénateurs de droite pointant du doigt le « déni » des responsables d’universités qui, eux, ont dénoncé, dans une tribune publiée dans Le Monde le 25 avril, l’instrumentalisation politique des universités. Elles ont permis aux sénateurs d’établir onze recommandations sur trois axes : améliorer la détection des actes antisémites, prévenir les dérives, et enfin poursuivre et sanctionner les auteurs. Le rapport a été voté à l’unanimité mercredi 26 juin dans la matinée.

Lire aussi | Le gouvernement a lancé des « assises de lutte contre l’antisémitisme » pour définir « un socle commun de valeurs républicaines »



Pour les rapporteurs, les attaques du Hamas en Israël le 7 octobre 2023, puis la riposte israélienne à Gaza, ont mis en évidence un « antisémitisme latent » et qui se diffuse à l’université : entre le 7 octobre 2023 et début mai, 67 actes antisémites ont été recensés par France Universités, soit le double de ceux qui avaient été enregistrés sur l’ensemble de l’année universitaire 2022-2023. Interrogée dans le cadre de cette mission sénatoriale, le 29 mai, la ministre de l’enseignement supérieur, Sylvie Retailleau, a actualisé les données, faisant état de 73 actes antisémites depuis le mois d’octobre 2023.

Des « zones grises »


Ces chiffres masquent toutefois des manifestations d’hostilité hétérogènes, du tag anonyme à la diffusion de messages sur des groupes en ligne, pouvant aller jusqu’à l’agression physique. Le rapport dénonce aussi un « antisémitisme d’atmosphère », plus difficile à appréhender : des étudiants mis de côté lors de la constitution de groupes de travail, ou encore des changements de place dans les amphithéâtres. Un climat « intolérable » qui contraindrait certains étudiants juifs à ne plus fréquenter les campus, souligne le rapport.

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l.

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