Mercredi 17 mars Là où tu iras j’irai [...]. Là où tu mourras je mourrai (Ruth 1:16, 17).

Noémi était une femme fidèle à Dieu. Elle aimait Jéhovah. Mais après la mort de son mari et de ses deux fils, elle n’a plus voulu qu’on l’appelle « Noémi ». Elle disait : « Appelez-​moi Mara », ce qui signifie « amère » (Ruth 1:3, 5, 20, note, 21). La belle-fille de Noémi, Ruth, est restée attachée à elle pendant toutes ses épreuves. Elle lui a apporté une aide pratique, et elle lui a parlé de façon consolante. Elle a exprimé à Noémi son amour et son soutien en lui parlant de façon simple et sincère.

Quand un membre de notre famille spirituelle perd son conjoint, il a besoin de notre soutien. Deux personnes mariées peuvent être comparées à deux arbres qui poussent l’un à côté de l’autre. Au fil des années, leurs racines s’entremêlent. Quand l’un des deux arbres est déraciné et meurt, l’autre peut en souffrir gravement.

De la même façon, quand l’un des deux conjoints est emporté par notre ennemie, la mort, l’autre peut éprouver des sentiments très douloureux pendant longtemps. w19.06 23 § 12-13.

Ayons aussi le même état d'esprit que Ruth.
Femme remarquable est des plus fidèle.

Ruth, la Moabite, prit une bonne décision en matière de religion, ce qui lui procura le bonheur. Durant une période de famine qui eut lieu au temps des juges d’Israël, Élimélec de Bethléhem, sa femme Naomi et ses deux fils résidèrent au pays de Moab. Élimélec mourut, et ses deux fils prirent pour femmes Orpa et Ruth. Un peu plus tard, les deux hommes moururent, et les trois veuves restèrent seules. Par la suite, elles se mirent en route pour Juda. Quand Naomi encouragea vivement les deux jeunes femmes à retourner vers leur peuple, Orpa, en larmes, obéit et ‘retourna vers son peuple et vers ses dieux’. Par contre, Ruth refusa de quitter sa belle-mère et dit : “Où tu iras j’irai, où tu demeureras je demeurerai ; ton peuple sera mon peuple, et ton Dieu sera mon Dieu.” (Ruth 1:1-16)