Vendredi 10 janvier
Celui qui divorce de sa femme, sauf pour cause d’acte sexuel immoral, et se marie avec une autre se rend coupable d’adultère (Mat. 19:9).
L’expression « acte sexuel immoral » peut s’appliquer à un ensemble de péchés sexuels, comme l’adultère, la prostitution, les relations sexuelles entre personnes non mariées, l’homosexualité et la bestialité. Si, par exemple, un homme marié commet un acte sexuel immoral, sa femme peut décider de divorcer d’avec lui. Remarquons que Jésus n’a pas dit qu’un chrétien est obligé de divorcer si son conjoint commet un acte sexuel immoral. Prenons le cas d’une chrétienne dont le mari s’est montré infidèle. Elle peut quand même décider de rester mariée avec lui. En effet, peut-être qu’elle l’aime toujours, et qu’elle est prête à lui pardonner et à s’efforcer avec lui d’améliorer leur mariage. De plus, si elle divorce mais ne se remarie pas, elle devra sans doute faire face à des difficultés : Comment comblera-t-elle ses besoins matériels et sexuels ? Risque-t-elle de se sentir seule ? Quelles conséquences le divorce aura-t-il sur ses enfants ? (1 Cor. 7:14). De toute évidence, un conjoint innocent qui choisit de divorcer pourrait s’exposer à de grandes difficultés. w18.12 12 § 10-11..