Témoins de JEHOVAH VERITE actif


Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Témoins de JEHOVAH VERITE actif

forum des discussions sur la bible ouvert a tous.

Le deal à ne pas rater :
Smartphone Xiaomi 14 – 512 Go- 6,36″ 5G Double SIM à 599€
599 €
Voir le deal

Vous n'êtes pas connecté. Connectez-vous ou enregistrez-vous

Pourquoi n'y a-t-il pas le nom "Jéhovah" en Hébreux 1:10 dans la TMN ?

+7
papy
BenFis
Josué
Mikael
philippe83
Martur
Voyageur
11 participants

Aller à la page : Précédent  1, 2, 3

Aller en bas  Message [Page 3 sur 3]

Voyageur

Voyageur

Rappel du premier message :

Bonjour. J'ai entendu dire que les traducteurs de la TMN introduisaient le nom "Jéhovah" dans le Nouveau Testament à chaque fois qu'ils y trouvaient une citation de l'Ancien Testament qui concernait YHWH.

En Hébreux 1:10, on trouve une citation du Psaume 102, verset 25 dans la version de la Septante. Voici le texte dans la Septante :

"Au commencement, Seigneur, tu as créé la terre ; et les cieux sont l'œuvre de tes mains."

Il suffit de lire ce psaume et de considérer le contexte du verset 25 pour se convaincre que le "Seigneur" dont il est question est YHWH.

Pourtant, voici la citation qui en est faite en Hébreux 1:10 dans la TMN 2018 :

"Au commencement, ô Seigneur, tu as posé les fondations de la terre, et les cieux sont les œuvres de tes mains."

Pourquoi avoir dérogé à la règle en se retenant ici d'introduire le nom "Jéhovah"?

Voyageur.


Josué

Josué
Administrateur

Pourquoi n'y a-t-il pas le nom "Jéhovah" en Hébreux 1:10 dans la TMN ?  - Page 3 Supres17

Yves



Josué 1911. Et même, lit l'article. De peur de donner un faux nom a Dieu car cela suggère Qu'il y est d'autres Dieu il a été choisi d'arreter les dégâts en continuant a donner à Dieu le faux nom de Jéhovah pour mettre Yahvé qui serait peut-être plus proche en tout cas du son des consonnes restantes. Votre religion date de cette période et vous continuer a vous en inspirer comme des catholiques avec le concile de nicée en 325. Avez vous penser à la messe en latin car avant 325 les chrétiens parlaient latin.
Vous avez du temps à perdre quand même. Heureusement que la récompense sera aussi pour celui de la 11 heure.

Josué

Josué
Administrateur

La question n'est pas de savoir si il faut mais pourquoi il à été supprimer?
Pourquoi n'y a-t-il pas le nom "Jéhovah" en Hébreux 1:10 dans la TMN ?  - Page 3 Bible_23
Bible Calmet

Yves



Le peux me tromper mais je donne mon avis.
jéhovah a été supprimer car considéré comme obsolètes et trop sacralisé et Qu'il contienne 2 mots. Je pense qu'a une certaine époque il y avait une secte américaine qui fixer dessus donc ça été la goute d'eau qui a fait venir un autre mot plus près de la prononciation des consonnes, Yahvé.

Lechercheur



Les juifs du temps de Jésus connaissaient le nom de Dieu, mais ils avaient l'interdiction de le prononcer. Nuance.

Yves



Un nom ce connais par ce que l'on entend. L'écriture hébraïque ne peu donner le vrai son car elle est dépouillée de voyelles.
Il est possible que les juifs du temps de Jésus aient entendu son nom.
Mais sur quelle base affirme tu ta nuance ?
Et quel est ce nom ?
Car si tu connais ce nom du devrais le dire à ceux de ta communauté en priorité car pour eux c'est important et parcequ'il adorent un nom latin onventé par un moine 1000 ans plus tard.

BenFis

BenFis

Lechercheur a écrit:Les juifs du temps  de Jésus connaissaient le nom  de Dieu, mais ils avaient l'interdiction  de le prononcer. Nuance.

Le problème étant qu'à force de ne plus le prononcer la vocalisation exacte du nom divin s'est perdue dans la nuit des temps.


Yves a écrit:Un nom ce connais par ce que l'on entend. L'écriture hébraïque ne peu donner le vrai son car elle est dépouillée de voyelles.
Il est possible que les juifs du temps de Jésus aient entendu son nom.
Mais sur quelle base affirme tu ta nuance ?
Et quel est ce nom ?
Car si tu connais ce nom du devrais le dire à ceux de ta communauté en priorité car pour eux c'est important et parcequ'il adorent un nom latin onventé par un moine 1000 ans plus tard.

Même si les TJ connaissaient l'exacte prononciation du nom divin, ils ne changeraient pas pour autant sa transcription en français, toute fautive qu'elle soit.

Et à quoi bon d'ailleurs, car ce n'est pas la prononciation exacte qui importe, mais de savoir identifier Dieu par un nom propre connu de tous.

Yahveh ou l'Eternel convient d'ailleurs tout aussi bien pour atteindre ce but.
Il n'y a que le nom Seigneur qui est équivoque en français.

Josué

Josué
Administrateur

Ce n'est pas vraiment là le problème la prononciation .
Je te donne un exemple les Italiens ne disent pas Jésus mais Gesù et c'est bien la même personne.

Yves



C'est quoi qui est important alors ?
Il semble que la prononciation soit secondaire, tout comme le message que porte ce nom, tout comme ce soit un mélange de 2 mots tout comme etc.. j'ai l'impression que rien est important sauf de reconnaître un mot inventé latin. Je le demande quand la lumière va t'elle éclaircir les ténèbres.

papy

papy

ROME, Vendredi 24 octobre 2008 (ZENIT.org) – Par respect pour le Nom de Dieu, pour la Tradition de l’Eglise, pour le Peuple Juif, et pour des raisons philologiques, il ne faut plus prononcer le nom de Dieu en disant «Yavhé ». Le synode des évêques sur la Parole de Dieu dans la vie et la mission de l’Eglise a mis en pratique cette nouvelle disposition de la Congrégation romaine pour le culte divin qui demande – « par directive du Saint-Père » – qu’on n’emploie plus la transcription des quatre consonnes hébraïques – « le Tétragramme sacré » – vocalisées en « Yavhé » ou « Yahweh », dans les traductions, « les célébrations liturgiques, dans les chants, et dans les prières » de l’Eglise catholique. C’est ce qu’a révélé ce matin au Vatican, Mgr Gianfranco Ravasi, président du Conseil pontifical de la culture, bibliste, et président de la commission du Message du synode des évêques, en présentant ce message à la presse et en répondant aux questions des journalistes. A une question de Zenit sur ce point, Mgr Ravasi a révélé que quelque membre du synode avait employé ce mot et qu’on a alors rappelé cette disposition nouvelle. Mgr Ravasi a souligné l’importance de respecter l’usage de la communauté juive sur ce point et il a avancé les raisons philologiques. En effet, les quatre lettres hébraïques désignant le nom de Dieu, révélé à Moïse (Cf. Exode 3), sont quatre consonnes, le « Tétragramme » (Yod-Heh-Waw-Heh, souvent transcrites dans notre alphabet: YHWH). Ces quatre consonnes sont imprononçables parce qu’on ignore comment ce nom était vocalisé. Ou plutôt, dans la tradition de l’Ancien Testament, le nom de Dieu est imprononçable. Seul le grand prêtre pouvait le prononcer, une fois l’an, lorsqu’il pénétrait dans la Saint des Saints du Temple de Jérusalem. La vocalisation a ainsi été gardée secrète et perdue. Certains suggèrent même qu’il n’y a jamais eu de vocalisation, personne ne pouvant prétendre mettre la main sur Dieu en prononçant son Nom. Le livre de l’Ecclésiastique par exemple dit du grand prêtre Simon : « Alors il descendait et élevait les mains, vers toute l’assemblée des enfants d’Israël, pour donner à haute voix la bénédiction du Seigneur et avoir l’honneur de prononcer son nom » (Ecclésiastique, ch. 50, v. 20). Mgr Ravasi a rappelé que la traduction de la bible de l’hébreu en grec par les « Septante » sages juifs (72 traducteurs, vers 270 av. J.-C.), a remplacé le Tétragramme par le mot grec « Kurios », signifiant « le Seigneur ». La traduction de la « Vetus latina » et la « Vulgate » de saint Jérôme a traduit « Dominus » « le Seigneur », comme le rappelle le document de la Congrégation romaine qui demande donc de revenir à cet usage de dire « le Seigneur », à chaque fois que le texte emploie le Tétragramme. Dans sa Lettre aux conférences des évêques du monde entier sur le Nom de Dieu, la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements demande ainsi la suppression de cette transcription du tétragramme dans les livres destinés à la lecture liturgique. Ce document, en date du 29 de juin 2008, a été publié dans la revue « Notitiae » de la Congrégation. Il est signé par le préfet de cette congrégation, le cardinal Francis Arinze, et par Mgr Albert Malcom Ranjith, secrétaire de ce même dicastère. La congrégation rappelle son document « Liturgiam Authenticam », de 2001, sur les traductions liturgiques, où il est demandé que « le nom du Dieu tout-puissant », exprimé par « le tétragramme hébreu » et rendu en latin par le mot « Dominus », soit rendu « dans les langues vernaculaires » par un mot de sens « équivalent ». Or, la pratique s’est répandue de « prononcer le nom propre au Dieu d’Israël », de le vocaliser dans la lecture des textes bibliques des lectionnaires liturgiques, mais aussi dans les hymnes et les prières : « Yahweh », « Jahweh » ou « Yehovah ». En France, les textes liturgiques n’utilisent pas la vocalisation « Yavhé », mais elle apparaît dans les traductions de la Bible – qui ne sont pas normatives pour la liturgie – ou des chants. Après une argumentation scripturaire, le document affirme : « L’omission de la prononciation du tétragramme du nom de Dieu de la part de l’Eglise a donc sa raison d’être. En plus d’un motif d’ordre purement philologique, il y a aussi celui de demeurer fidèle à la tradition ecclésiale, puisque le tétragramme sacré n’a jamais été prononcé dans le contexte chrétien, ni traduit dans aucune des langues dans lesquelles on a traduit la Bible ». Les différents courants du judaïsme moderne maintiennent cette tradition que le Tétragramme ne peut être prononcé que par le Grand Prêtre dans le Temple, et même que celui-ci ne le prononçait généralement qu’à Yom Kippour (le jour du Grand Pardon, des « Expiations »). Le Temple de Jérusalem ayant été détruit, ce Nom n’est jamais prononcé par les Juifs lors de rituels religieux, ni lors de conversations privées. Dans la prière, le Tétragramme est remplacé par « Adonaï » (« le Seigneur »), et dans la conversation courante par HaShem (« le Nom »).
Il ne faut plus dire « Yavhé » : le synode adopte cette disposition | ZENIT - Français
La question est si le grand prêtre pouvait le prononcer un foi par an c'est bien la preuve que Dieu a bel est bien un nom.

Yves



Et Bien si c'est important cherche Papy et tu trouveras le vrai nom de Dieu. A moins que ce ne soit pas la volonté de Dieu pour des raisons Qu'il lui sont propres. Et alors tu pourras creuser jusqu'en Chine ou tu y trouveras des Chinois mais pas le vrai nom de Dieu.

Lechercheur



Mais pour moi Jéhovah et le nom le plus connu et le plus usité ne t'en déplaise et plus souvent que Yahvé

Yves



C'est vrai que ce nom ne me plait pas, car je le trouve vilain.
Mais en dehors de ça c'est pas parceque tu as l'impression que la majorité des personnes emploit ce nom que c'est le bon. Sinon il faut que tu deviennes catholique. Et tu auras la vérité.

Lechercheur



papy a écrit:ROME, Vendredi 24 octobre 2008 (ZENIT.org) – Par respect pour le Nom de Dieu, pour la Tradition de l’Eglise, pour le Peuple Juif, et pour des raisons philologiques, il ne faut plus prononcer le nom de Dieu en disant «Yavhé ». Le synode des évêques sur la Parole de Dieu dans la vie et la mission de l’Eglise a mis en pratique cette nouvelle disposition de la Congrégation romaine pour le culte divin qui demande – « par directive du Saint-Père » – qu’on n’emploie plus la transcription des quatre consonnes hébraïques – « le Tétragramme sacré » – vocalisées en « Yavhé » ou « Yahweh », dans les traductions, « les célébrations liturgiques, dans les chants, et dans les prières » de l’Eglise catholique. C’est ce qu’a révélé ce matin au Vatican, Mgr Gianfranco Ravasi, président du Conseil pontifical de la culture, bibliste, et président de la commission du Message du synode des évêques, en présentant ce message à la presse et en répondant aux questions des journalistes. A une question de Zenit sur ce point, Mgr Ravasi a révélé que quelque membre du synode avait employé ce mot et qu’on a alors rappelé cette disposition nouvelle. Mgr Ravasi a souligné l’importance de respecter l’usage de la communauté juive sur ce point et il a avancé les raisons philologiques. En effet, les quatre lettres hébraïques désignant le nom de Dieu, révélé à Moïse (Cf. Exode 3), sont quatre consonnes, le « Tétragramme » (Yod-Heh-Waw-Heh, souvent transcrites dans notre alphabet: YHWH). Ces quatre consonnes sont imprononçables parce qu’on ignore comment ce nom était vocalisé. Ou plutôt, dans la tradition de l’Ancien Testament, le nom de Dieu est imprononçable. Seul le grand prêtre pouvait le prononcer, une fois l’an, lorsqu’il pénétrait dans la Saint des Saints du Temple de Jérusalem. La vocalisation a ainsi été gardée secrète et perdue. Certains suggèrent même qu’il n’y a jamais eu de vocalisation, personne ne pouvant prétendre mettre la main sur Dieu en prononçant son Nom. Le livre de l’Ecclésiastique par exemple dit du grand prêtre Simon : « Alors il descendait et élevait les mains, vers toute l’assemblée des enfants d’Israël, pour donner à haute voix la bénédiction du Seigneur et avoir l’honneur de prononcer son nom » (Ecclésiastique, ch. 50, v. 20). Mgr Ravasi a rappelé que la traduction de la bible de l’hébreu en grec par les « Septante » sages juifs (72 traducteurs, vers 270 av. J.-C.), a remplacé le Tétragramme par le mot grec « Kurios », signifiant « le Seigneur ». La traduction de la « Vetus latina » et la « Vulgate » de saint Jérôme a traduit « Dominus » « le Seigneur », comme le rappelle le document de la Congrégation romaine qui demande donc de revenir à cet usage de dire « le Seigneur », à chaque fois que le texte emploie le Tétragramme. Dans sa Lettre aux conférences des évêques du monde entier sur le Nom de Dieu, la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements demande ainsi la suppression de cette transcription du tétragramme dans les livres destinés à la lecture liturgique. Ce document, en date du 29 de juin 2008, a été publié dans la revue « Notitiae » de la Congrégation. Il est signé par le préfet de cette congrégation, le cardinal Francis Arinze, et par Mgr Albert Malcom Ranjith, secrétaire de ce même dicastère. La congrégation rappelle son document « Liturgiam Authenticam », de 2001, sur les traductions liturgiques, où il est demandé que « le nom du Dieu tout-puissant », exprimé par « le tétragramme hébreu » et rendu en latin par le mot « Dominus », soit rendu « dans les langues vernaculaires » par un mot de sens « équivalent ». Or, la pratique s’est répandue de « prononcer le nom propre au Dieu d’Israël », de le vocaliser dans la lecture des textes bibliques des lectionnaires liturgiques, mais aussi dans les hymnes et les prières : « Yahweh », « Jahweh » ou « Yehovah ». En France, les textes liturgiques n’utilisent pas la vocalisation « Yavhé », mais elle apparaît dans les traductions de la Bible – qui ne sont pas normatives pour la liturgie – ou des chants. Après une argumentation scripturaire, le document affirme : « L’omission de la prononciation du tétragramme du nom de Dieu de la part de l’Eglise a donc sa raison d’être. En plus d’un motif d’ordre purement philologique, il y a aussi celui de demeurer fidèle à la tradition ecclésiale, puisque le tétragramme sacré n’a jamais été prononcé dans le contexte chrétien, ni traduit dans aucune des langues dans lesquelles on a traduit la Bible ». Les différents courants du judaïsme moderne maintiennent cette tradition que le Tétragramme ne peut être prononcé que par le Grand Prêtre dans le Temple, et même que celui-ci ne le prononçait généralement qu’à Yom Kippour (le jour du Grand Pardon, des « Expiations »). Le Temple de Jérusalem ayant été détruit, ce Nom n’est jamais prononcé par les Juifs lors de rituels religieux, ni lors de conversations privées. Dans la prière, le Tétragramme est remplacé par « Adonaï » (« le Seigneur »), et dans la conversation courante par HaShem (« le Nom »).
Il ne faut plus dire « Yavhé » : le synode adopte cette disposition | ZENIT - Français
La question est si le grand prêtre pouvait le prononcer un foi par an c'est bien la preuve que Dieu a bel est bien un nom.
Donc si le grand prêtre prononçait le nom une fois par an,le fidèles par la force des choses le connaissent aussi ?

Yves



Le fidèle c'est qui ?
Le collège central ?
J'espère que tu rigoles.
Pour qu'il y est un Kippour il faut l'Arche, le 2 eme temple n'avait plus l'Arche d'alliance, seule la fête de Pâque, des tabernacles etc.. étaient celebré. Je crains que le serviteur fidèle d'ont tu parles est oublier un détail. Depuis 587 avant JC et la destruction du Temple si le grand prêtre prononcé un nom ce jour là. Même si il y aurait un Mathusalem pour l'entendre, cela ferait un moment qu'il mange les pissenlis par la racine.
Mais pour moi l'économe très précautionneux dans ma traduction ne gère pas seulement ce qui rentre dans les caisses et ce qui plaît aux fidèles. Mais ce qui est vrai, même si cela remet en question son institution.

papy

papy

reste sur le sujet stp.

Josué

Josué
Administrateur

Pourquoi n'y a-t-il pas le nom "Jéhovah" en Hébreux 1:10 dans la TMN ?  - Page 3 20240413 Donc les juifs connaissent le nom de Dieu!
Source Le Point Juillet 2009.

Josué

Josué
Administrateur

Pourquoi n'y a-t-il pas le nom "Jéhovah" en Hébreux 1:10 dans la TMN ?  - Page 3 Opera_92
Source Le nom divin dans le Nouveau Testament  de Didier Fontaine.

chico.

chico.

The Messages of Jesus According to the Synoptists (compilation en anglais des discours de Jésus tirés des Évangiles de Matthieu, de Marc et de Luc), par Thomas Cuming Hall, New York, 1901. Cette paraphrase utilise « Jehovah » dans le corps du texte de nombreux versets.

Josué

Josué
Administrateur

Pourquoi n'y a-t-il pas le nom "Jéhovah" en Hébreux 1:10 dans la TMN ?  - Page 3 20240525
Source Ta parole est trésor.

Josué

Josué
Administrateur

Polémique autour du nom de Dieu


LES traducteurs d’une nouvelle version de la Bible en néerlandais ont déclenché une polémique parmi les biblistes et les profanes. Pourquoi ? Ils ont décidé de rendre le nom de Dieu par le mot Heer, ou Seigneur.

En décembre 1998, quelques semaines après la parution d’un spécimen de la version en question, des femmes membres d’une organisation protestante, Kerk en Wereld (Église et Monde), ont lancé une campagne de protestation par courrier. Pour quelle raison ? Elles jugent le mot “ Seigneur ” “ trop masculin ”. Très vite, d’autres groupes catholiques et protestants les ont rejointes. En février 1999, trois biblistes ont donné leur avis, préconisant une simple translittération des quatre lettres hébraïques du nom divin, par exemple YHWH. Avant longtemps, biblistes, traducteurs et théologiens se réunissaient à Amsterdam pour débattre de la question. Finalement, tous les participants au débat ont été invités à exprimer leur préférence par un vote.

Sous le titre “ Pour l’amour de Dieu, ne vous battez pas pour le nom de Dieu ”, le journal Nieuwsblad van het Noorden a rapporté les résultats : “ Le SEIGNEUR n’a obtenu que sept voix. Mais la plupart des autres choix n’ont pas fait beaucoup mieux : le Nom (1), l’Unique (3), le Miséricordieux (6), l’Indéfinissable (7), le Vivant (10), l’Éternel (15). Et le vainqueur est [...] YHWH ! ” Le 15 mars 2001, le comité de direction de la nouvelle traduction de la Bible s’est prononcé en faveur de l’usage du mot HEER (SEIGNEUR), écrit en petites capitales, à la place du nom divin.

Cette polémique montre que, malgré les désaccords portant sur la façon de rendre le nom divin en néerlandais, les biblistes reconnaissent que Dieu a un nom propre. Ce nom se compose de quatre lettres hébraïques, יהוה, ou YHWH. Comment d’autres traductions de la Bible en néerlandais les rendent-​elles ?

Un Néerlandais, Nicolaas Goetzee, a publié une édition in-folio de la traduction Staten en 1762. La page de titre contient cette note : “ Pour des raisons impérieuses et bien connues, nous avons laissé non traduit le nom-mémorial de Dieu JÉHOVAH. ” D’autres biblistes néerlandais réputés, comme les professeurs Nicolaas Beets et Petrus Augustus de Genestet, utilisent également le nom Jéhovah.

Il est intéressant de constater que Les Saintes Écritures — Traduction du monde nouveaua rendent le nom Jéhovah de manière systématique. L’appendice de cette version en néerlandais déclare que “ la Traduction du monde nouveau maintient la forme ‘ Jéhovah ’, qui est la forme usuelle depuis des siècles. Cette forme conserve [...] les quatre lettres du nom divin, YHWH ”. La Traduction du monde nouveau a aidé des millions de personnes à découvrir la vérité au sujet du nom divin.

Contenu sponsorisé



Revenir en haut  Message [Page 3 sur 3]

Aller à la page : Précédent  1, 2, 3

Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum