Rappel du premier message :
Si je me tais, oh ! j’apprendrai
À écouter la voix du bon Berger.
Quand je l’entends, oh ! je comprends
Qu’il a payé pour ma liberté.
Quand je t’ouvre mon cœur, je te vois, Seigneur ;
Quand je t’ouvre mon cœur, je t’entends me parler.
Et ta Loi dans mon cœur toujours demeure,
Et ta vie à chaque heure coule comme un torrent.
Si je me tais, oh ! j’apprendrai
À écouter la voix du bon Berger.
Quand je l’entends, oh ! je comprends
Qu’il a payé pour ma liberté.
Quand je t’ouvre mon cœur, je te vois, Seigneur ;
Quand je t’ouvre mon cœur, je t’entends me parler.
Et ta Loi dans mon cœur toujours demeure,
Et ta vie à chaque heure coule comme un torrent.