Témoins de JEHOVAH VERITE actif


Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Témoins de JEHOVAH VERITE actif

forum des discussions sur la bible ouvert a tous.

Le Deal du moment :
Boutique Nike : -25% dès 50€ sur TOUT le ...
Voir le deal

Vous n'êtes pas connecté. Connectez-vous ou enregistrez-vous

Les sceaux dans la bible.

2 participants

Aller en bas  Message [Page 1 sur 1]

1Les sceaux dans la bible. Empty Les sceaux dans la bible. Mar 9 Juil - 8:29

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Les sceaux dans l’histoire antique[/size]

Dans l’histoire antique, un sceau était un petit objet gravé en creux servant à apposer une empreinte, généralement sur de l’argile ou de la cire. Il pouvait être conique, carré, cylindrique ou même en forme de tête d’animal. L’empreinte d’un sceau authentifiait un document, indiquait la propriété ou servait à assurer l’inviolabilité d’un sac ou d’une ouverture, comme l’entrée d’une tombe ou une porte.
Les sceaux dans la bible. 502019230_F_cnt_1_lg

Sceau cylindrique représentant le roi de Perse Darius I[size=11]er 
à la chasse et plaque d’argile portant l’empreinte de ce sceau


Les sceaux étaient faits dans divers matériaux : os, calcaire, métal, pierre semi-précieuse ou bois. Parfois, un sceau portait l’inscription du nom de son propriétaire et de celui de son père, ou encore du titre de son propriétaire.
Pour authentifier un document, le propriétaire d’un sceau en enfonçait l’empreinte dans de l’argile, de la cire ou une autre matière molle déposée sur le document (Job 38:14). Puis la matière durcissait. Le document ainsi scellé risquait moins d’être falsifié.
Les sceaux dans la bible. 502019230_univ_cnt_2_lg

[size=34]Un sceau pouvait être utilisé pour déléguer une autorité

Un sceau pouvait être remis à une personne pour l’investir de l’autorité du propriétaire de ce sceau. C’est ce qu’a fait un pharaon de l’Égypte antique avec Joseph, un Hébreu, fils du patriarche Jacob. Joseph était arrivé en Égypte esclave et, plus tard, avait été emprisonné injustement. Mais par la suite, Pharaon l’a libéré et lui a confié la haute fonction de premier ministre. La Bible déclare : « Puis Pharaon enleva sa bague à cacheter et la mit au doigt de Joseph » (Genèse 41:42). Comme la bague à cacheter comportait un sceau officiel, Joseph détenait à présent l’autorité nécessaire pour s’acquitter de ses nouvelles fonctions.
Dans l’Israël antique, la reine Jézabel s’est servie du sceau du roi Achab, son mari, dans un complot pour faire assassiner un homme du nom de Naboth. Au nom du roi, elle a écrit des lettres à un groupe de nobles et d’anciens pour leur demander d’accuser faussement Naboth d’avoir maudit Dieu. Sur ces lettres, elle a apposé le sceau du roi. Le complot a réussi (1 Rois 21:5-14).
Le roi de Perse Assuérus s’est servi d’une bague à cacheter pour authentifier ses décrets (Esther 3:10, 12).
Le rédacteur biblique Néhémie déclare que des princes, des Lévites et des prêtres israélites ont validé un engagement mis par écrit en y apposant leur sceau (Néhémie 1:1 ; 9:38).
La Bible mentionne deux cas où des sceaux ont été utilisés pour assurer l’inviolabilité d’une entrée. Quand le prophète Daniel a été jeté dans la fosse aux lions, « une pierre fut apportée et placée sur l’ouverture de la fosse ». Puis Darius, roi de Médie et de Perse, « la scella de sa bague à cacheter et de la bague à cacheter de ses nobles, pour que rien ne puisse être changé concernant Daniel » (Daniel 6:17).
Quand le corps de Jésus Christ a été déposé dans une tombe, ses ennemis « allèrent [...] sceller la pierre » qui avait été roulée devant l’entrée de la tombe pour en empêcher l’accès (Matthieu 27:66). Dans son commentaire sur l’Évangile de Matthieu, David Turner explique que, si ce scellement a été ordonné par l’autorité impériale, « le sceau devait être de l’argile ou de la cire appliquée dans la fente entre la pierre [...] et l’ouverture de la tombe * ».
Les sceaux datant de l’histoire antique pouvant jeter des lumières nouvelles sur le passé, les archéologues et les historiens s’y intéressent de très près. En fait, l’étude scientifique des sceaux, appelée sigillographie, est devenue un domaine de recherche majeur.[/size][/size]

2Les sceaux dans la bible. Empty Re: Les sceaux dans la bible. Mar 9 Juil - 8:31

Josué

Josué
Administrateur

[size=35]Sceau Dictionnaire Biblique Westphal Bôst[/size]
L’usage des cachets marquant une empreinte dans l’argile, la cire, etc. remonte à une haute antiquité chez les peuples orientaux. On en a retrouvé des quantités dans les fouilles entreprises en Égypte, en Caldée, en Palestine. Il n’est donc pas étonnant que la Bible les mentionne comme un objet courant. Leur forme peut être cylindrique, ovale, ronde ou carrée. La matière dans laquelle ils sont taillés varie beaucoup : stéatite blanche, cornaline, cristal, émail jaune, améthyste bleue, porcelaine bleu clair, argile émaillée de vert, pierre à chaux, métal, etc. La gravure, faite quelquefois avec une pointe de diamant (Jérémie 17.1) par les soins d’un lapidaire (cf. Exode 28.11 ; Exode 28.36 ; Exode 39.14), peut aussi varier à l’infini ; (cf. Siracide 38.27) l’image représentée et même les caractères dénotent souvent une influence babylonienne ou égyptienne ; scarabée, oiseau, étoile, lune. Les sceaux des fidèles jéhovistes se distinguent par l’absence d’une représentation divine ou humaine, et par deux lignes parallèles rapprochées divisant en deux parties l’inscription ; celle-ci est le nom du propriétaire du sceau. À Méguiddo, on a trouvé un sceau représentant un âne piqué par un frelon ; un autre (figure 238), en jaspe, du même endroit, représentant un lion, la gueule béante, la queue dressée, avec cette inscription : « À Chema, serviteur de Jéroboam » (783-743 avant Jésus-Christ) ; voir aussi figure 239, 254.
Le sceau pouvait se porter de diverses manières :

  • comme chaton de bague à un doigt de la main droite (Jérémie 22.24 ; Esther 3.12),
  • sur un bracelet (Cantique 8.6),
  • sur la poitrine, suspendu à un cordon (Genèse 38.18 ; Cantique 8.6).

[size]
C’était naturellement un objet très précieux (Genèse 38.17-26 ; Deutéronome 32.34Aggée 2.23 ; Siracide 17.22 ; Siracide 49.11).
Quel est l’emploi du sceau ?
Il peut servir de gage, de signe de reconnaissance, de signalement ou de pièce d’identité (Genèse 38.17 ; Genèse 38.26). Le plus souvent il remplace la signature (Néhémie 10.1 ; 1 Rois 21.8), constitue un certificat d’authenticité comme aujourd’hui le papier timbré et la légalisation de l’autorité administrative (Esther 3.12 ; Esther 8.10).
L’acte qui porte le sceau devient exécutoire et irrévocable (Esther 8.8) ; pour des contrats entre particuliers il prend la valeur de ce que nous appelons un acte notarié : vente (Jérémie 32.10 ; Jérémie 32.11 ; Jérémie 32.14 ; Jérémie 32.44), contrat de mariage (Tobit 7.13).
On appose aussi des scellés pour rendre inviolable une ouverture :
[/size]

  • celle de la fosse aux lions (Daniel 6.17),
  • celle d’un tombeau (Matthieu 27.60),
  • celle d’un écrit secret (Ésaïe 29.11 ; Apocalypse 5.1 ; Apocalypse 22.10 ; Daniel 12.4-9).

[size]
Le sceau marquait encore un droit de propriété sur des objets ; on en trouve par exemple sur les bouchons d’argile qui fermaient les jarres de vin (Job 38.14). En Palestine, pays riche en miel, l’utilisation de la cire dut être très courante, celle de l’argile étant plus ancienne. Tous ces usages, et d’autres encore, sont amplement confirmés par les papyrus grecs du temps, où les termes sphragis, sphragizeïn, très communs, apparaissent aussi à propos de paniers, de sacs, de testaments, etc.
Ce qui précède explique l’emploi de ces termes au sens figuré :
[/size]

  • pour marquer l’importance d’une prophétie ou d’un enseignement religieux (Ésaïe 8.16),
  • le caractère définitif d’une destinée (Sagesse 2.5) ;
  • surtout dans le Nouveau Testament : pour affirmer l’authenticité de la filialité et de la mission divines de Jésus-Christ (Jean 6.27 ; Hébreux 1.3)
  • ou de la vocation de saint Paul (2 Corinthiens 1.22).
  • Les convertis du grand missionnaire sont la confirmation vivante de son apostolat (1 Corinthiens 9.2).

[size]
Le sceau est comme une garantie, qui fournit une assurance absolue (Jean 3.33 2 Timothée 2.19). Il représente aussi l’état de justice légale que conférait au Juif la circoncision (Romains 4.11) et surtout, pour le chrétien, le baptême du Saint-Esprit (Éphésiens 1.13 ; Éphésiens 4.30). Au jour des rétributions les fidèles sont en effet marqués du sceau de Dieu(Apocalypse 7.2 ; Apocalypse 7.4). P. D.[/size]

3Les sceaux dans la bible. Empty Re: Les sceaux dans la bible. Mer 10 Juil - 18:24

chico.

chico.

Le sceau le plus important c'est celui que Dieu donne a ses élus.

Contenu sponsorisé



Revenir en haut  Message [Page 1 sur 1]

Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum