Témoins de JEHOVAH VERITE actif


Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Témoins de JEHOVAH VERITE actif

forum des discussions sur la bible ouvert a tous.

-17%
Le deal à ne pas rater :
(Black Friday) Apple watch Apple SE GPS + Cellular 44mm (plusieurs ...
249 € 299 €
Voir le deal

Vous n'êtes pas connecté. Connectez-vous ou enregistrez-vous

Repentez-vous, le châtiment climatique est proche !

+5
vulgate
Mikael
samuel
chico.
Josué
9 participants

Aller à la page : 1, 2  Suivant

Aller en bas  Message [Page 1 sur 2]

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Repentez-vous, le châtiment climatique est proche ![/size]


[size=33]Toute une partie du mouvement écologiste prend aujourd'hui des accents millénaristes, aux dépens, malheureusement, d'actions réellement utiles.[/size]


Par David Adler* pour Quillette** (traduction par Peggy Sastre)
Publié le 16/06/2019 à 15:58 | Le Point.fr


Repentez-vous, le châtiment climatique est proche ! 19025718lpw-19033666-article-jpg_6287422_660x281

Alexandria Ocasio-Cortez est à l'origine du New Deal  vert.
:copyright: Atilgan Ozdil / ANADOLU AGENC




Les millennials, la génération Z et tous ceux qui s'en remettent à nous, nous leur disons : « La fin du monde est dans douze ans si l'on ne fait rien pour le changement climatique », Alexandria Ocasio-Cortez, interviewée par Ta-Nehisi Coates, MLK Now, 22 janvier 2019. « J'aimerais vraiment qu'on ait plus que douze ans. Mais ce sont nos poumons qui étoufferont à cause des feux de forêt. [...] L'atermoiement climatique est le nouveau négationnisme climatique. » AOC sur Instagram Live.



Alexandria Ocasio-Cortez, plus connue sous son acronyme AOC, est la plus jeune députée américaine et a très peur de l'apocalypse. Le monde, prévient-elle à qui veut l'entendre, prendra fin dans douze ans. « Je suis désolée de vous le dire », a-t-elle ainsi annoncé lors d'un live Instagram qui la montrait faire la cuisine dans son appartement du Bronx. « Si nous ne faisons rien, il n'y a plus d'espoir. Toute la planète est menacée. Nous sommes en train de mourir. » Le seul moyen d'éviter cette catastrophe imminente ? Son New Deal vert.
Lire aussi États-Unis : Alexandria Ocasio-Cortez, la terreur du Capitole



Les alertes de fin du monde d'AOC ne sont ni de mauvaises interprétations ni des points annexes de sa pensée, même si elle est récemment revenue sur certains détails. Si son New Deal vert est visiblement une stratégie conçue pour lutter contre le changement climatique, une bonne partie de ce projet n'a rien d'écologique. Il s'enracine au contraire dans la théologie apocalyptique et dans les mouvements millénaristes laïques radicaux qu'elle a pu inspirer. Une fois au pouvoir, ces mouvements politiques se terminent effectivement par un cataclysme, sauf que ce n'est pas celui tant auguré.

La promesse millénaire


« Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu. » Apocalypse 21:4
Le millénarisme prend plusieurs formes et annonce généralement une imminente dévastation. Mais il présage aussi une renaissance, suivie d'une période de gloire et de restauration (durant grosso modo 1 000 ans) pour les élus. L'expression la plus puissante de la pensée millénariste chrétienne est à trouver dans le Livre de l'Apocalypse, prévoyant la défaite de la Bête et de son prophète par les armées du ciel. Lors du conflit final, la défaite de Satan entraîne la fin de l'Histoire et la Jérusalem céleste descend sur terre pour que Dieu puisse demeurer parmi son peuple.



La Révélation de Jésus-Christ, ou l'Apocalypse de saint Jean, est un texte des plus lugubres et sa signification est depuis longtemps âprement débattue parmi les érudits religieux. La conception médiévale de l'Apocalypse aura largement été façonnée par Joachim de Flore (1135-1202), parfois surnommé « le moine fou ». Flore était persuadé que l'Apocalypse était une prophétie à prendre au pied de la lettre et que la catastrophe promise allait précéder une ère de paix sans précédent – le « Troisième Âge », selon sa formule.
Par conséquent, l'Europe fut déchirée par des mouvements radicaux attendant fébrilement la délivrance. Les hérétiques furent impitoyablement persécutés. L'abîme proche, l'Europe tomba dans un bain de sang en perspective d'un Troisième Âge qui n'arriva jamais. Cette période d'enthousiasme apocalyptique verra l'antisémitisme prospérer : en 1140, la mystique Hildegard de Bingen prêche que l'Antéchrist est vivant et qu'il est juif, entraînant ainsi de nombreux pogroms en Allemagne.
En 1553, les anabaptistes, une secte chrétienne pratiquant l'hérésie du baptême des adultes, fondent une cité-État millénariste proto-communiste à Münster. Leur roi prophète, Jean de Leyde, se proclame Messie et annonce sa présidence des derniers jours. Tout l'argent est mis en commun, les fidèles prennent leurs repas ensemble dans des réfectoires en écoutant des lectures de la Bible, la polygamie est obligatoire et les femmes sont considérées comme des biens communs. Mais la promesse de paradis se mue rapidement en règne de la terreur. Tous ceux qui veulent fuir la commune sont exécutés et les princes catholiques en viennent à assiéger la ville. Dieu n'interviendra jamais pour protéger Münster, mais son roi messianique sera arrêté et torturé à mort.



Dans son livre de 1957, Les Fanatiques de l'Apocalypse : millénaristes révolutionnaires et anarchistes mystiques au Moyen Âge, l'historien Norman Cohn montre que les mouvements millénaristes voient toujours le salut comme :

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Dérèglement climatique : ça chauffe au Groenland[/size]


[size=33]Selon les scientifiques, la fonte de la calotte glaciaire et de la surface de la banquise pourrait être encore plus importante qu'en 2012, année record.[/size]


Source AFP
Modifié le 19/06/2019 à 08:28 - Publié le 19/06/2019 à 08:10 | Le Point.fr


Repentez-vous, le châtiment climatique est proche ! 19041891lpw-19041909-article-jpg_6294552_660x281

Le 13 juin 2019, Steffen Olsen, scientifique à l'Institut danois de météorologie, a pris une photo choc de ses chiens de traineau avançant dans 5 centimètres de glace fondue au-dessus de la banquise. 
:copyright: STEFFEN OLSEN / Centre for Ocean and Ice at the / AFP

Cette année encore, la fonte des glaces s'accélère et intervient plus tôt, avec trois semaines d'avance. Un phénomène inquiétant, illustré le 13 juin dernier par les 2 milliards de tonnes de glace qui ont fondu. Températures record, fonte prématurée : avant même l'arrivée de l'été, tous les feux du réchauffement climatique sont au rouge au Groenland, immense glaçon menaçant d'immersion les régions côtières de la planète. Les scientifiques n'excluent pas que 2019 soit une nouvelle annus horribilis pour le continent blanc. « Il est possible que les records de 2012 soient battus, tant pour la surface de banquise en Arctique la plus basse (...) que pour la fonte de calotte glaciaire du Groenland la plus élevée », prévient Ruth Mottram, climatologue de l'Institut danois de météorologie (DMI). « Cela dépendra largement des conditions météo. »
Une photo impressionnante de la fonte précoce des glaces prise la semaine dernière dans le nord-ouest du territoire par un scientifique du DMI a fait le tour du monde. Alors qu'il recherchait des balises océanographiques et une station météo, Steffen Olsen fixe sur la pellicule ses chiens de traîneau progressant péniblement dans un fjord dont la banquise est recouverte par cinq ou six centimètres de glace fondue. Sous un ciel désespérément bleu, face aux montagnes déneigées, l'attelage semble marcher sur l'eau. « L'image est frappante (...) parce qu'elle montre vraiment comment l'Arctique est en train de changer », analyse Ruth Mottram. « Les locaux (qui accompagnent l'expédition) ne s'attendaient pas à ce que la banquise commence à fondre si tôt. Ils prennent habituellement cette route parce que la glace est très épaisse, mais ils ont dû faire demi-tour, car l'eau était de plus en plus profonde et ils ne pouvaient plus avancer », explique-t-elle.



Lire aussi Fonte des glaces au Groenland : quand les chiens de traîneau pataugent
La veille, le 12 juin, la station météorologique la plus proche, à Qaanaaq, avait enregistré une température de 17,3 degrés, 0,3 point de moins que son record absolu du 30 juin 2012. « L'hiver a été sec et, récemment il y a eu des courants d'air chaud, un ciel dégagé et du soleil, toutes les préconditions pour une fonte précoce », avance Ruth Mottram. À mesure que l'atmosphère se réchauffe, le phénomène devrait aller s'aggravant, avec pour conséquence d'altérer le mode de vie de la population locale en réduisant les périodes de chasse et en perturbant tout l'écosystème. Le nombre d'ours polaires dans tout l'Arctique a diminué d'environ 40 % au cours de la décennie écoulée, selon l'Institut d'études géologiques des États-Unis, et les narvals – aussi appelés licornes des mers – se trouvent de plus en plus privés de l'abri naturel que constitue pour eux la banquise contre l'orque, redoutable prédateur.




Une fonte six fois plus rapide que dans les années 1980


Outre la banquise, la fonte de la calotte glaciaire continentale et des glaciers a un impact plus direct encore sur la hausse des niveaux des mers. La « Summit Station », qui domine la calotte à 3 000 mètres d'altitude, a mesuré le 30 avril la température la plus élevée de son histoire, à - 1,2 °C, selon l'institut météo danois. Et le 17 juin, en une seule journée, le Groenland a perdu 3,7 milliards de tonnes de glace, d'après des estimations du DMI. Depuis début juin, la perte se monte à 37 milliards de tonnes, indique sur son compte Twitter Xavier Fettweis, climatologue de l'université de Liège. « Il devient de plus en plus probable qu'un record de perte de masse sera battu pour un mois de juin en 2019 », écrit-il.
Cette année, les météorologues danois ont annoncé le début de la période de fonte début mai, avec quasiment un mois d'avance, une précocité dépassée une seule fois – en 2016 – depuis la publication de ces données en 1980. « Le début de la saison de fonte survient le premier de trois jours consécutifs pendant lesquels plus de 5 % de la glace a fondu à la surface », expliquait alors le chercheur Peter Langen sur le site polarportal.dk.
Lire aussi Groenland – Sous le soleil de minuit



Le Groenland contribue à une élévation du niveau de la mer d'environ 0,7 mm annuellement, part qui pourrait augmenter si le rythme se poursuit. Une étude parue en avril dans les comptes rendus de l'Académie américaine des sciences (PNAS) montre que la perte de glace enregistrée au Groenland à partir des années 1980 s'est brutalement accélérée à partir des années 2000 et surtout depuis 2010. La glace y fond donc six fois plus vite aujourd'hui que dans les années 1980. Et les prévisions sont alarmantes. La dernière estimation de référence réalisée par le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec), en 2014, estimait le pire des scénarios à juste en dessous d'un mètre d'élévation du niveau des océans à la fin du XXIe siècle, par rapport à la période 1986-2005.

chico.

chico.


Japon : plus d’1 million d’habitants appelés à évacuer en raison des pluies torrentielles


Au total, 1,1 million de résidents des provinces de Kagoshima et Miyazaki étaient concernés par ces instructions d’évacuation.




Repentez-vous, le châtiment climatique est proche ! EMRVFDC3U7AKEE37IAWXHA77UMKagoshima (Japon), le mercredi 3 juillet 2019. Confrontés à des pluies torrentielles, les habitants sont appelés à évacuer.  AFP










Par Le Parisien avec AFP
Le 4 juillet 2019 à 08h17


Les autorités locales japonaises ont demandé à plus d'un million d'habitants de la région de Kyushu (sud-ouest) de quitter leur domicile en raison de fortes pluies. Cette situation de crise ravive la mémoire d'inondations meurtrières il y a tout juste un an.

Au total, 1,1 million de résidents des provinces de Kagoshima et Miyazaki étaient concernés par ces instructions d'évacuation, mais seulement très peu, environ 3 000 dont des personnes âgées, avaient rejoint des refuges jeudi matin dans la préfecture de Kagoshima, selon un décompte officiel.

Des inondations et glissements de terrain ont eu lieu dans certaines zones, emportant des voitures et engloutissant une maison, a rapporté la chaîne publique NHK.


L'agence de météorologie nationale alarmiste



Depuis le début de ces fortes pluies fin juin, une personne a trouvé la mort et plusieurs autres ont été blessées.

Bien qu'il s'agisse d'ordres d'évacuation - l'avertissement le plus élevé que peuvent émettre les autorités - ils ne sont pas contraignants, et sont souvent ignorés par les habitants.

Près de 900 000 résidents font par ailleurs l'objet de recommandations d'évacuation moins pressantes sur cette même île de Kyushu.

L'agence de météorologie nationale s'était montrée alarmiste mercredi. « Si les averses torrentielles se poursuivent pendant plusieurs heures, nous risquons de devoir émettre notre niveau d'alerte maximum », signalant qu'une catastrophe est imminente, a averti un responsable de l'agence, Ryuta Kurora.

Josué

Josué
Administrateur

C'est un avenir bien sombre que nous laissent entrevoir les experts du climat. Le réchauffement provoqué par les activités humaines va avoir des conséquences dramatiques sur les océans et la cryosphère, soit la banquise, les glaciers, les calottes polaires et les sols gelés en permanence, selon les conclusions d'un rapport spécial du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC, dépendant de l'ONU), dont les principaux points ont été dévoilés par l'AFP.
Les experts s'inquiètent notamment de la fonte des calottes du Groenland et de l'Antarctique, qui ont perdu plus de 400 milliards de tonnes de masse par an dans la décennie précédant 2015. Il s'agit de la principale source de la hausse du niveau des océans. Ce niveau va continuer à croître durant les siècles à venir, quelles que soient les mesures prises, selon le rapport. Comparé avec la fin du 20e siècle, il devrait augmenter de 43 centimètres environ (29-59 cm) d'ici 2100 si le réchauffement global est maintenu à 2°C.
Et si les tendances actuelles se poursuivent, le réchauffement atteindra 3 ou 4°C, le niveau des océans augmentera alors de 84 cm en moyenne. Au 22e siècle, le rythme d'élévation du niveau des mers pourraient s'accroître, de 3,6 millimètres par an aujourd'hui, à "plusieurs centimètres", multipliant les dommages causés par les inondations.

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]« Le réchauffement climatique va augmenter le nombre d'ouragans extrêmement intenses »[/size]


[size=33]ENTRETIEN. Dorian, Irma, Katrina... Pourquoi les ouragans s'intensifient-ils autant depuis les années 1970 ? La faute du dérèglement du climat, mais pas que.[/size]


Propos recueillis par Olivier Pérou
Modifié le 05/09/2019 à 11:41 - Publié le 05/09/2019 à 11:32 | Le Point.fr

Plus de 16 000 maisons endommagées, au moins 20 morts aux Bahamas... Monstre en son genre avec des vents qui ont pu atteindre près de 300 km/h, l'ouragan Dorian s'approche désormais de la côte sud-est des États-Unis après avoir été rétrogradé en catégorie 3. Depuis Allen en 1980, ces phénomènes météorologiques extrêmes semblent devenir plus nombreux et plus intenses. La faute du dérèglement climatique ? Éléments de réponse de Gabriel Vecchi, professeur de géosciences à l'université de Princeton aux États-Unis et auteur de nombreuses études sur les ouragans.
Le Point : Les ouragans comme Dorian sont-ils courants à cette période de l'année ?




Repentez-vous, le châtiment climatique est proche ! 19272560lpw-19275489-embed-libre-jpg_6478821
Gabriel Vecchi : Chaque ouragan est unique. Début septembre est généralement la période la plus active de l'année pour les ouragans dans l'Atlantique, et la trajectoire générale empruntée par Dorian et qui est prévue est relativement courante : l'ouragan se forme dans l'Atlantique tropical est, se dirige vers le nord-ouest, puis plus au nord, avant de revenir à l'est de l'Atlantique. Cependant, l'intensité de Dorian le distingue des ouragans du passé et les premiers rapports faisant état de dégâts causés par les Bahamas le prouvent. Donc, en ce qui concerne ses vents et son potentiel de dégâts, Dorian est loin d'être commun.

Comment de tels ouragans se forment-ils ?



De nombreux ouragans se développent à partir des vagues atmosphériques, c'est-à-dire des ondulations de quelques centaines de kilomètres de long dans les vents à quelques kilomètres de la surface. Ces « vagues d'est » se déplacent souvent de l'Afrique de l'Ouest vers l'Atlantique tropical. Lorsque les conditions atmosphériques et océaniques sont favorables – des vents faibles sur les 10 derniers kilomètres de l'atmosphère, des températures chaudes de l'océan, un air humide dans la basse atmosphère –, ces vagues peuvent se transformer en ouragans, puisant leur énergie en évaporant les eaux chaudes et en formant une circulation cyclonique fermée dans le sens inverse des aiguilles d'une montre dans l'hémisphère nord. Le tout associé à des bandes de pluie. Les vents dominants vont déplacer les ouragans, donc vers l'ouest dans les basses tropiques et vers l'est dans les latitudes moyennes, tout en ayant tendance à se diriger vers le nord. Si les conditions atmosphériques et océaniques sont favorables, les ouragans peuvent s'intensifier et, ce faisant, devenir généralement plus dangereux.
Avec des vents approchant les 300 km/h, Dorian est devenu le deuxième ouragan le plus puissant de l'histoire de l'océan Atlantique après Allen en 1980, dépassant Irma en 2017 et Katrina en 2005. Pourquoi les ouragans et les tempêtes semblent-ils s'intensifier ces vingt dernières années ?
Il y a beaucoup d'intérêt à comprendre pourquoi les ouragans dans l'Atlantique s'intensifient si clairement depuis les années 1970. Trois hypothèses principales existent actuellement. Au cours des dernières décennies, les cycles naturels de l'océan et de l'atmosphère ont permis de concentrer la chaleur dans l'Atlantique, renforçant ainsi l'activité des ouragans. Les « aérosols » – ces petites particules dans l'atmosphère, telles que la poussière, la suie et le sulfate – avaient une concentration plus élevée au-dessus de l'Atlantique dans les années 1970-1980 qu'au cours des dernières décennies, et leur concentration réduite permettait à plus de lumière solaire de chauffer l'Atlantique récemment, renforçant l'activité des ouragans. Enfin, l'augmentation des gaz à effet de serre a entraîné un réchauffement régulier de l'Atlantique, ce qui a contribué à accroître l'activité des ouragans. Ces trois hypothèses ne sont pas « exclusives », c'est-à-dire que ces trois facteurs peuvent avoir eu lieu indépendamment de l'autre. À mon avis, il est probable qu'ils ont tous joué un rôle, et le défi consiste à déterminer le rôle que chacun a joué. Malheureusement, la tâche est très difficile et il n'existe actuellement aucun consensus scientifique solide à ce sujet.



Y a-t-il donc réellement plus d'ouragans que par le passé ?
Depuis les années 1970, les ouragans de l'Atlantique sont devenus plus fréquents et plus intenses. Cependant, depuis la fin des années 1800, la tendance enregistrée dans la fréquence des ouragans dans l'Atlantique semble être liée à une meilleure notification de la fréquence des tempêtes, et non à une augmentation réelle du nombre d'ouragans. Il est néanmoins prouvé que les ouragans de l'Atlantique connaissent une intensification beaucoup plus rapide récemment qu'au cours des années 1980. C'est aussi valable pour les cyclones tropicaux partout dans le monde. Selon une étude récente menée par Kieran Bhatia et publiée dans Nature, la fraction des ouragans de l'Atlantique en pleine intensification a augmenté à un rythme difficilement explicable par les seuls cycles naturels.


Repentez-vous, le châtiment climatique est proche ! 19272560lpw-19275885-embed-libre-jpg_6478822
Image satellite de l'ouragan Dorian le 2 septembre.  


:copyright: NOAA / NOAA/RAMMB / AFP



Est-ce donc le réchauffement climatique qui joue un rôle sur leur puissance ?
Globalement, le réchauffement de la planète va entraîner une augmentation du nombre de cyclones tropicaux intenses dans le monde au cours du siècle actuel. De manière générale, nous nous attendons à ce que le réchauffement climatique augmente la probabilité qu'un ouragan subisse une intensification rapide par rapport à il y a un siècle ou même cinquante ans. Les ouragans extrêmement intenses, tels que Dorian, seront plus courants au cours du siècle. Pourtant, il est beaucoup plus difficile d'évaluer correctement le rôle que le réchauffement climatique a joué dans un seul ouragan de nos jours, car de nombreux facteurs doivent être pris en compte et l'impact du réchauffement sur les ouragans peut être plus faible que celui d'autres facteurs.
Lesquels ?
De nombreux éléments entrent en jeu pour comprendre le danger d'une tempête. Le parcours d'une tempête est évidemment un premier élément : la majeure partie du danger réside là où les vents, les pluies et les vagues d'une tempête se concentrent. Autre facteur : l'élévation du niveau de la mer, en cours depuis la fin des années 1800 et qui devrait se poursuivre au cours de ce siècle, rend les tempêtes plus dangereuses pour les communautés côtières. Un air plus chaud peut « retenir » plus de vapeur d'eau, ce qui améliore les précipitations dans un monde plus chaud. À cela, il faut ajouter des facteurs politiques, démographiques et économiques, tels que l'emplacement et le type de bâtiment, la capacité des personnes à évacuer, les défenses côtières, le cas échéant, etc.
Et il y a l'influence des océans qui se réchauffent. Quels sont les liens entre océans et ouragans ?
Un océan plus chaud augmente les risques d'ouragan. Lorsque ces derniers tirent leur énergie des eaux chaudes de surfaces chaudes, une température plus élevée de ces eaux créera un environnement propice à des ouragans plus intenses. Ces phénomènes ont tendance à se mêler à la partie supérieure de l'océan et les eaux souterraines ont tendance à être plus froides que les eaux proches de la surface. L'intensification de l'ouragan, en particulier pour une tempête lente comme celle de Dorian, profite d'une eau inhabituellement chaude à une profondeur de 100 mètres ou plus. Cependant, si la haute atmosphère est également plus chaude, il y a un effet compensateur. La question cruciale est de comprendre les relations entre la température de la surface océanique et celle de la haute atmosphère.
Donald Trump aurait proposé, pour neutraliser ces ouragans, de larguer une bombe atomique dans l'œil du cyclone. Ce qu'il a ensuite nié. Cependant, en 1959, l'opération « Plowshare » envisageait également l'utilisation de la bombe nucléaire pour réduire de moitié la force de ces tempêtes. Est-ce scientifiquement possible ?
Je pense que la réponse de l'Agence américaine d'observation océanique et atmosphérique (NOAA) à Donald Trump est la plus claire de toutes. La NOAA nous rappelle déjà que cette approche néglige le problème des retombées radioactives libérées qui se déplaceraient assez rapidement avec les alizés et causeraient ensuite des problèmes environnementaux dévastateurs. D'un point de vue purement scientifique, la principale difficulté liée à l'utilisation d'explosifs pour modifier les ouragans réside dans la quantité d'énergie nécessaire. Un ouragan entièrement développé peut libérer de l'énergie thermique à un taux de 5 à 20 puissance 13 watts et convertir moins de 10 % de la chaleur en énergie mécanique du vent. Le dégagement de chaleur d'un ouragan équivaut à une bombe nucléaire de 10 mégatonnes explosant toutes les 20 minutes.

samuel

samuel
Administrateur

[size=16]Mal de tête, toux, vision troublée: la fumée âcre qui remplit l'atmosphère de le côte ouest américaine, ravagée par des incendies géants, provoque des taux de pollution record et l'inquiétude de la population sur les risques sanitaires.

[/size]
Portland, la métropole du nord de l'Oregon, vit depuis quelques jours sous une chape de brume, qui a fait exploser les compteurs des indices de pollution.
La ville était lundi la seconde au classement du site IQAir pour la mauvaise qualité de son air, derrière Vancouver au Canada, également victime des feux qui font rage dans l'Etat de Washington. Seattle, San Francisco et Los Angeles, aussi frappées par les fumées des incendies, sont également dans le haut de la liste.
"C'est très mauvais, il y a tant de fumée que ça ressemble au brouillard et on a du mal à respirer", assure Lorain Magee, 55 ans, derrière son masque en tissu.
Handicapée, elle se plaint aussi de maux de tête, de maux de ventre, de troubles de la vision.
Pour se protéger, elle limite ses sorties aux promenades pour son petit chien, Charlie, qui souffre lui aussi de la pollution.
"Il a les yeux qui coulent, de temps en temps il fait de l'hyperventilation et s'étouffe", énumère-t-elle.

Repentez-vous, le châtiment climatique est proche ! 2d492ea2-66b3-4921-8596-0fb3452ffdae-jpeg
Le comté de Multnomah, qui englobe Portland, a mis en garde lundi contre un air "très risqué" dans la métropole. "PERSONNE ne devrait être dehors", a-t-il indiqué sur Twitter, appelant les salariés qui travaillent à l'air libre à notamment porter des masques N95.

"Avec le masque, c'est plus difficile de respirer"

"Si vous sentez la fumée, vous inhalez des particules fines qui vont très profond dans les poumons", a souligné dans un message vidéo Jennifer Vines, responsable des services de santé du comté.

Josué

Josué
Administrateur

[size=62]En 20 ans, les événements météorologiques extrêmes ont tué 480 000 personnes[/size]

[size=30]Près d’un demi-million de décès sont liés à des phénomènes météorologiques extrêmes, selon un rapport. Les pays les plus pauvres sont les plus concernés.[/size]


Repentez-vous, le châtiment climatique est proche ! 21262265lpw-21262277-article-jpg_7657455_660x281
480 000 personnes ont été tuées à cause d'événements météorologiques extrêmes, estime Germanwatch. (Photo d'illustration) :copyright: - / AFPTV / AFP

Source AFP
Publié le 25/01/2021 à 07h09

[size=40]C'est un chiffre impressionnant qu'évoque Germanwatch dans son rapport. Selon l'ONG, 480 000 personnes ont été tuées dans des catastrophes liées à des événements météo extrêmes ces 20 dernières années. Ce sont les pays les plus pauvres qui paient le prix humain le plus lourd de ces tempêtes, inondations ou canicules répertoriées entre 2000 et 2019. Dans ce bilan de près de 480 000 morts provoquées par plus de 11 000 événements météo extrêmes, Puerto Rico, la Birmanie et Haïti ont ainsi été les pays les plus touchés.
Alors que commence lundi le premier Sommet pour l'adaptation climatique, organisé par les Pays-Bas, cet indice mondial des risques climatiques, publié chaque année, estime également que ces catastrophes ont coûté 2 560 milliards de dollars depuis le début du siècle. Avec la réduction des émissions de gaz à effet de serre, l'adaptation aux impacts du dérèglement climatique est un des piliers de l'accord de Paris qui vise à limiter le réchauffement nettement en dessous de + 2 °C par rapport à l'ère préindustrielle, voire + 1,5 °C.



Des fonds insuffisants

Alors que les effets du réchauffement de la planète se font de plus en plus sentir, les pays riches avaient promis de porter à 100 milliards de dollars par an leur assistance climat aux pays en développement à partir de 2020, mais le compte n'y est toujours pas. Le rapport de Germanwatch a particulièrement étudié les impacts de la saison des tempêtes de 2019, avec des ouragans et des cyclones qui ont ravagé en partie les Caraïbes, l'Afrique de l'Est et l'Asie du Sud.



À LIRE AUSSIChangement climatique : le rôle de l'homme loin d'être une évidence pour tous
« Les pays pauvres sont plus touchés parce qu'ils sont plus vulnérables aux effets dévastateurs des aléas et ont des capacités plus faibles pour les surmonter », a commenté Vera Keunzel, une des auteurs du rapport. Ainsi, des pays comme Haïti, les Philippines ou le Pakistan sont frappés si souvent par des catastrophes climatiques qu'ils n'ont pas le temps de s'en remettre totalement avant la suivante, a-t-elle noté. Dans un rapport publié à la mi-janvier, le Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE) avait dénoncé des fonds nettement insuffisants consacrés dans le monde aux mesures d'adaptation.[/size]

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Paris (AFP)

Le changement climatique est "une urgence mondiale", selon deux-tiers des personnes interrogées lors d'un sondage inédit, réalisé par le l'ONU dans 50 pays et publié le 27 janvier 2021.

"Cette enquête a permis de recueillir l'avis de 1,22 million de personnes réparties dans 50 pays du monde, de l'Australie aux Etats-Unis, de l'Afrique du Sud à la Russie, de l'Argentine aux Philippines, de l'Egypte à la Turquie", selon un communiqué, dont 550 000 de moins de 18 ans et des pays comme l'Irak ou le Pakistan.
"Dans nombreux de ces pays il n’y a à ce jour jamais eu d’enquête d'opinion publique de cette ampleur portant sur le changement climatique", souligne le PNUD (le programme des Nations unies pour le développement).
Il en ressort que "64% des personnes pensent que le changement climatique est une urgence mondiale", selon le communiqué du PNUD, qui a travaillé avec l'université d'Oxford.

Josué

Josué
Administrateur


[size=62]En Belgique, la détresse face à des inondations aux allures de "tsunami"


[/size]
Belgique
[size]
[size=18]SUIVRE CE THÈME[/size]
Repentez-vous, le châtiment climatique est proche ! En-belgique-la-detresse-face-a-des-inondations-aux-allures-de-tsunamiDes débris gisent sous un pont à Theux, près de Liège, le 16 juillet 2021, après des inondations d'ampleur qui ont frappé la Belgique © AFP/François WALSCHAERTS
EN SAVOIR PLUS SUR LA DESTINATION

[size=31]"En moins de dix minutes l'eau est montée à presque 1 mètre": Isabelle Bervoets, restauratrice à Grez-Doiceau, dans la campagne au sud-est de Bruxelles, compte parmi les milliers de sinistrés des inondations en Belgique désormais occupés à nettoyer et inventorier les dégâts.[/size]

GEO AVEC AFP Publié le 16/07/2021 à 15h24
SAUVEGARDER L'ARTICLE
Partager sur :




[/size]



Ces inondations dues aux pluies diluviennes des derniers jours et qui n'ont épargné que l'extrême nord du pays ont fait au moins 18 morts et 19 disparus, selon un bilan officiel vendredi à la mi-journée. Des médias évoquent au moins 23 morts.
La ville de Pepinster, où le roi Philippe était attendu dans l'après-midi, concentre à elle seule la moitié de ces victimes, selon le bourgmestre, Philippe Godin.
Repentez-vous, le châtiment climatique est proche ! C6fe2104-52fe-4c29-bd58-27a5fe312c5f-jpegAFP
Dans cette commune où se rejoignent plusieurs rivières, les crues ont provoqué l'effondrement d'une vingtaine de maisons. Vendredi il n'y avait plus d'eau potable, plus d'électricité, plus de réseau de téléphonie mobile.
"C'est le marasme, le tsunami", a résumé M. Godin auprès de l'AFP. "Il faut penser à ces personnes qui ont perdu tous leurs souvenirs, c'est terrible".
Le Premier ministre Alexander De Croo devait s'exprimer vendredi après-midi sur cette catastrophe naturelle d'une ampleur rare.
Vingt-quatre heures après la brusque crue qui a inondé jeudi les rives du Train, un affluent de la Dyle qui traverse le Brabant (centre), l'eau s'est désormais retirée à Grez-Doiceau dans le restaurant d'Isabelle Bervoets, qui est passée à l'étape nettoyage.
Le sol est boueux, les tabourets ont été retournés pieds en l'air sur le bar, l'odeur d'égoût est forte. Côté dégâts, "le frigo avec la cave à vin au rez-de-chaussée est foutu", déplore-t-elle, en reprochant à la municipalité son manque de prévoyance.
"Je suis assez furax contre la commune", poursuit cette femme de 53 ans, "ce sont des jeunes qui nous ont apporté des sacs de sable car quand j'ai téléphoné à la commune, ils n'en avaient plus".
Le Brabant wallon, banlieue résidentielle huppée et très bâtie au sud de la capitale belge, est habitué aux inondations. Celles des étés 2002 et 2005 sont encore dans les mémoires.

[size=34]"Vigilance extrême"

Repentez-vous, le châtiment climatique est proche ! 3d9b53fa-0c3e-4a4f-9acc-54ee181270cd-jpegAFP
"Mais depuis 2005 on n'avait rien eu de tel, et surtout on n'imaginait pas que ça allait être d'une telle force", souligne encore Isabelle Bervoets.
Non loin de là, Amandine Bosquet fait aussi l'inventaire des dégâts dans sa maison au milieu des cartons posés en hauteur. "Tout ce qui était au rez-de-chaussée, on a tout perdu", lâche la jeune femme en train d'éponger le carrelage.
Angleur à côté de Liège, Chaudfontaine, Theux, Verviers, Pepinster, Spa... Quantité de communes belges se sont retrouvées sous l'eau depuis mercredi notamment sur les rives de la Vesdre et de l'Ourthe, affluents de la Meuse, à l'est du pays.
A partir de jeudi la dépression est progressivement remontée vers le nord du pays, causant des dégâts dans le Hainaut, le Brabant et la province flamande du Limbourg.
Pour aider les sinistrés, pompiers et militaires étaient partout à pied d'oeuvre vendredi, assistés de secouristes venus de France, d'Italie et d'Autriche.
Repentez-vous, le châtiment climatique est proche ! 2bb575a9-4847-4017-9139-1f0e43cb7219-jpegAFP
Le trafic ferroviaire pourrait rester perturbé de longues semaines dans les zones les plus touchées.
Dans le centre-ville de Liège (est), en bord de Meuse, le scénario catastrophe redouté jeudi ne s'est heureusement pas produit. Le niveau de l'eau n'a finalement pas augmenté au cours de la nuit.
"La Meuse n'a pas été plus loin que les quais, ouffffff", a twitté un Liégois content d'être réveillé par le bruit des voitures.
Repentez-vous, le châtiment climatique est proche ! A91a18b8-d494-4038-80f7-2f33a1f34ede-jpegAFP
"Mais il ne faut pas crier victoire, le niveau d'alerte et de vigilance reste extrême", a prévenu la bourgmestre en fonction, Christine Defraigne.
A mesure que l'eau se retire "nous allons probablement encore trouver des situations catastrophiques", a ajouté l'élue sur la chaîne d'information en continu LN24.
[/size]

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Et en Allemagne c'est malheureusement bien pire.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

En Allemagne, il s'agit ni plus ni moins de la pire catastrophe naturelle depuis 75 ans. Le bilan humain des intempéries dévastatrices dans l'ouest du pays dépasse les 100 morts. La catastrophe touche également une partie des Pays-Bas et la Belgique, où au moins 18 personnes sont décédées. Le chercheur belge François Gemenne, membre du Giec et originaire de Liège, fortement touchée par les inondations, y voit une nouvelle expression du réchauffement climatique à l'oeuvre. Interview.

Josué

Josué
Administrateur

Le dernier bilan de ce matin parle de 133 morts.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Lunettes rectangulaires et costume couleur crème, Jean-Pascal Van Ypersele, professeur de climatologie à l'Université catholique de Louvain, invité jeudi sur le plateau de la RTBF, lit le premier rapport du GIEC publié en 1990. "L'effet de serre accentuera les deux extrêmes du cycle hydrologique, c'est-à-dire qu'il y aura plus d'épisodes de pluies extrêmement abondantes et plus de sécheresses prononcées." Trente ans plus tard, ces prévisions semblent se réaliser. "Ce que nous vivons aujourd'hui avait été anticipé. Le fait que les modèles climatiques aient correctement envisagé l'évolution du climat doit nous inciter à les prendre au sérieux", insiste Jean Jouzel, climatologue, ancien vice-président du groupe scientifique du GIEC et membre de l'Académie des sciences. Décryptage.

Invité


Invité

Nous avons besoin du Royaume de Dieu
C’est la seul solution pour régler les problèmes du monde
Je pense que c’est visible plus que jamais maintenant
Dommage que pas tout le monde ne le vois

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

C'est bien,et pendant que nous le pouvons faisons toujours des efforts pour continué a annoncé le Royame de Dieu.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Josué a écrit:Le dernier bilan de ce matin parle de 133 morts.
Le chiffre. Selon un nouveau bilan publié hier, au moins 165 personnes sont décédées. De nombreuses autres sont encore portées disparues.

vulgate

vulgate

Mikael a écrit:
Josué a écrit:Le dernier bilan de ce matin parle de 133 morts.
Le chiffre. Selon un nouveau bilan publié hier, au moins 165 personnes sont décédées. De nombreuses autres sont encore portées disparues.
Entre la Belgique et l'Allemagne, il y a déjà plus de 200 morts.
La planète "se fache" parce que les autorités des pays ayant les moyens d'agir efficacement contre les diverses formes de pollution ont trop tardé à le faire. Il y a un demi siècle que l'alerte a été donnée. Hélas, les gens qui l'ont fait ont été moqués. Depuis peu, tout le monde (ou presque) dit "ils avaient raison", mais un peu tard, hélas.

Josué

Josué
Administrateur

Que veux tu c'est la cupidité qui l'emporte avant tout.

vulgate

vulgate

Josué a écrit:Que veux tu c'est la cupidité qui l'emporte avant tout.
Certes, mais là, même les plus cupides ont fini par comprendre que la cupidité de certains compromettait l'avenir de tous.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

L'argent aveugle tout malheureusement.

Lechercheur



Le fait de construire a tout va n'arrange pas les choses, surtout au bord des rivières.

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Chine : des inondations « extrêmement graves », 25 morts[/size]

Les faits
 

Depuis mardi 20 juillet, la Chine est en proie à de graves inondations, dues à des pluies torrentielles. Le bilan est pour l’instant à 25 morts, à Zhengzhou, au sud de Pékin.



  • La Croix (avec AFP), 
  • le 21/07/2021 à 05:54 
  • Modifié le 21/07/2021 à 11:56



Repentez-vous, le châtiment climatique est proche ! Habitants-Zhengzhou-Chine-ville-envahie-20-juillet-2021_0



Des habitants de Zhengzhou, en Chine, dans une rue de la ville envahie par les eaux, le 20 juillet 2021.[size=12]AFP
[/size]
Des passagers qui s’accrochent aux poignées pendant que l’eau monte dans leur rame, d’autres se tenant debout sur leurs sièges. Les scènes de chaos, mardi 20 juillet à Zhengzhou, une ville de 10 millions d’habitants, à 700 km au sud de Pékin, ont semé l’inquiétude en Chine. Selon le Quotidien du peuple, l’organe du Parti communiste au pouvoir, ces intempéries ont provoqué l’effondrement de maisons. Mais c’est dans le métro que la situation a paru la plus dramatique.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

États-Unis : après la série de tornades, les questions 
Selon un dernier bilan, au moins 88 personnes sont mortes dans la série de tornades qui a touché plusieurs États américains ce week-end. Des recherches sont toujours en cours pour trouver d'éventuels survivants.

Le contexte. [url=x-apple-data-detectors://7]Dimanche soir[/url], Joe Biden a déclaré l'état de catastrophe majeure dans le Kentucky, Etat américain le plus touché, où le président américain se rendra [url=x-apple-data-detectors://8]demain[/url]. Au total, six États ont été traversés par ce phénomène météorologique inhabituel en hiver.

💡Lire entre les lignes. Pour Sonia Seneviratne, climatologue suisse, "l'impact du changement climatique sur les tornades est encore incertain". En revanche, "cette catastrophe s'ajoute à une série d'évènements extrêmes observés depuis plusieurs années aux Etats-Unis, et dont les occurrences sont de plus en plus régulières", note notre journaliste Valentin Ehkirch. 

🔎 Lire notre décryptage 

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Catastrophes naturelles : une facture astronomique 
Le coût des catastrophes naturelles a explosé en 2021 pour atteindre 250 milliards de dollars, en hausse de 24% par rapport à l'année dernière, selon une étude publiée hier par l'assureur Swiss Re.

Le contexte. L'année a été marquée par de nombreux événements météorologiques exceptionnels. La tempête Ida aux États-Unis a été la plus coûteuse (32 milliards de dollars). Les inondations en Belgique et en Allemagne ont par ailleurs provoqué 13 milliards de dollars de dommages.

💡Pourquoi ça compte. Avec le réchauffement climatique, les événements climatiques extrêmes sont amenés à se multiplier. "Nous ne sommes pas préparés. L'Occident a toujours considéré que les événements climatiques frappaient les autres, dans des pays pauvres et lointains. Mais ce n'est plus du tout le cas", estime François Gemenne, du Giec. 

chico.

chico.

La Terre se réchauffe. La glace fond. Ces 20 dernières années, nous montrent les données les plus récentes publiées par les scientifiques, la région a perdu de quoi recouvrir les États-Unis tout entier d’un demi-mètre d’eau.

papy

papy

[size=47]L'Amérique du Nord sujette à une méga-sécheresse millénaire[/size]



Repentez-vous, le châtiment climatique est proche ! Png;base64,iVBORw0KGgoAAAANSUhEUgAAAAEAAAABCAQAAAC1HAwCAAAAC0lEQVR42mNkYAAAAAYAAjCB0C8AAAAASUVORK5CYII=Repentez-vous, le châtiment climatique est proche ! AATQs5q:copyright: JOSH EDELSON / AFP
Une méga-sécheresse qui touche le sud-ouest de l'Amérique du Nord depuis près de vingt ans est la pire enregistrée depuis 1 200 ans, selon une étude publiée lundi, qui souligne que cet épisode aggravé par le changement climatique va probablement se poursuivre en 2022. L'ouest des États-Unis et le nord du Mexique sont victimes depuis 2000 d'une sécheresse exceptionnelle, qui a désormais dépassé deux décennies, ce qui permet de la qualifier de « méga-sécheresse ».

« Après une sévérité exceptionnelle de la sécheresse en 2021, dont environ 19 % est attribuable au changement climatique provoqué par l'Homme, la période 2000-2021 a été la période de 22 ans la plus sèche depuis au moins l'an 800 », écrivent les chercheurs dans la revue scientifique Nature Climate Change. En raison des températures très élevées et des faibles précipitations entre l'été 2020 et l'été 2021, cette méga-sécheresse « a dépassé la sévérité » de celle de la fin des années 1500, qui était auparavant la pire enregistrée sur les 1 200 années passées en revue par les scientifiques, précise un communiqué de l'université UCLA à Los Angeles.




Et depuis 2000, le déficit d'humidité des sols est deux fois plus important que pendant n'importe quelle sécheresse du XXe siècle. En outre, cet épisode « va probablement persister pendant l'année 2022, atteignant la durée de la méga-sécheresse de la fin des années 1500 », estime l'étude.


La pluie ne suffira pas 



Même si la pluie revenait, les impacts risquent de durer sur cette zone allant du sud au Montana au nord du Mexique, de l'océan Pacifique aux montagnes Rocheuses. « Il est très peu probable que cette sécheresse puisse prendre fin grâce à simplement une année pluvieuse », a commenté l'auteur principal, Park Williams, géographe à UCLA. « Sans le changement climatique, les 22 dernières années auraient probablement toujours été les plus sèches en 300 ans », mais « sans arriver à la cheville des méga-sécheresses des années 1500, 1200 et 1100 », a-t-il d'autre part indiqué dans un communiqué.

Selon l'étude, le changement climatique lié aux activités humaines, qui multiplie les épisodes de canicules et perturbe le régime des précipitations, est responsable de 42 % du déficit d'humidité des sols sur la période 2000-2021 sur cette zone, et 19 % en 2021. Cette sécheresse chronique dans l'ouest des États-Unis avait notamment poussé en août dernier le gouvernement fédéral à décréter pour la première fois de l'histoire des restrictions d'eau touchant le lac Mead, plus important réservoir artificiel du pays, alimenté par le fleuve Colorado.
Le POINT.

papy

papy

[size=62]Les experts de l’ONU vont publier un nouveau rapport alarmiste sur le climat[/size]

[size=30]Le Giec doit publier aujourd’hui un nouveau rapport sur les changements climatiques qui s’accélèrent malgré les appels à réduire les émissions de CO2.[/size]


Repentez-vous, le châtiment climatique est proche ! 22894493lpw-22894506-article-jpg_8596978_660x287
Le centre-ville de Pékin obscurcit par la pollution (illustration).:copyright: JADE GAO / AFP

Source AFP
Publié le 28/02/2022 à 07h02






[size=40]Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec) doit publier, ce lundi 28 février, leur nouveau rapport sur les effets dévastateurs du changement climatique, qui s'accélère malgré les appels répétés à diminuer les émissions de gaz à effet de serre. Après deux semaines de négociations en ligne et à huis clos qui ont débordé de plus d'une journée, le Giec dévoile à 11 heures GMT le « résumé pour les décideurs » passé au crible ligne par ligne, mot à mot par les 195 États membres, sorte de condensé politiquement sensible des milliers de pages du rapport scientifique élaboré par 270 chercheurs de 67 pays.
Et même si cette publication risque d'être éclipsée par l'invasion russe en Ukraine, « le rapport se doit d'aller au-delà de la seule question de faire la une des médias », a souligné auprès de l'AFP Stephen Cornelius, observateur des négociations pour l'ONG WWF. « Il va étayer les politiques internationales et nationales pour les prochaines 6 ou 7 années », d'ici le prochain cycle d'évaluation du Giec, a-t-il ajouté. « Ses conclusions seront d'une importance capitale pour les décideurs du monde entier », avait aussi insisté le président du Giec Hoesung Lee lors d'une brève session publique pour le lancement de la session mi-février. « Les besoins n'ont jamais été plus importants, parce que les enjeux n'ont jamais été aussi élevés. » « Le futur, c'est maintenant », insiste de son côté Alexandre Magnan, un des auteurs du rapport.[/size]

Josué

Josué
Administrateur

[size=49]Climat : le GIEC s’alarme des conséquences vertigineuses d’un monde toujours plus chaud
Les effets du réchauffement sont désormais généralisés et souvent irréversibles, alertent les chercheurs. S’adapter aux nouvelles conditions de vie est essentiel, mais le monde sera de plus en plus confronté à des dégâts auxquels il est impossible de remédier.
Par Audrey Garric
Publié aujourd’hui à 12h00, mis à jour à 12h32 [/size]

Repentez-vous, le châtiment climatique est proche ! Adb56d0_682097094-md-giecmaldives-24L’île de Felidhoo, aux Maldives, prise par les eaux, le 8 février 2022. MATHIAS DEPARDON POUR «LE MONDE»
L’humanité et la nature sont en péril. Chaque jour davantage, elles sont poussées jusqu’à leurs limites, voire au-delà, par les impacts toujours plus ravageurs, généralisés et désormais souvent irréversibles du changement climatique d’origine humaine. Ces effets, qui affectent déjà les vies de milliards d’humains, vont s’accélérer quel que soit le rythme de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Ils frapperont les sociétés de manière intolérable, multipliant les menaces sur la production alimentaire, l’approvisionnement en eau, la santé humaine, les infrastructures côtières, les économies nationales et la survie d’une grande partie du monde naturel.

Avec, à la clé, encore davantage de pénuries, de pauvreté, de famines ou de conflits. Sans mesures urgentes pour limiter la hausse du thermomètre à 1,5 °C par rapport à l’ère préindustrielle, l’adaptation au dérèglement climatique deviendra plus coûteuse, limitée et, dans certains cas, tout simplement impossible.

Ce sombre bilan est dressé par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), lundi 28 février, dans le 2volet de son sixième rapport d’évaluation. Après un premier volet publié en août 2021 sur les bases physiques du changement climatique, l’instance onusienne s’est, cette fois, penchée sur les impacts, les vulnérabilités et l’adaptation à la crise climatique. Elle publiera ensuite un 3volet en avril, consacré aux solutions pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, avant une synthèse prévue pour septembre.

Le nouveau rapport, rédigé par 270 scientifiques du monde entier à partir de l’analyse de 34 000 études, est bien plus alarmant que le précédent qui datait de 2014. S’il se montre une alerte majeure pour les gouvernements, il risque toutefois de voir sa portée limitée, alors que les yeux sont rivés sur la guerre qui fait rage en Ukraine. « Les chercheurs ukrainiens sont restés impliqués tout au long des travaux et nous ont dit que le mieux que le GIEC pouvait faire, c’est de poursuivre son travail », relate Wolfgang Cramer, directeur de recherches (CNRS) à l’Institut méditerranéen de biodiversité et d’écologie marine et continentale (IMBE), et l’un des auteurs du rapport.

Repentez-vous, le châtiment climatique est proche ! 966873d_695309672-pla-0922-giec-web-700-1

Le résumé à l’intention des décideurs, négocié durant deux semaines par les représentants des 195 pays membres du GIEC, en collaboration avec les auteurs qui gardent le dernier mot, a été achevé avec du retard notamment parce que « certains pays souhaitaient que le message soit amoindri », indique M. Cramer. Les scientifiques ont toutefois tenu bon.

Il vous reste 78.59% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.

samuel

samuel
Administrateur

Les températures records qui s'abattent depuis plusieurs jours en France nous le rappellent avec force : l'eau est une denrée essentielle, mais dont la disponibilité est devenue particulièrement critique ces dernières années. Dans l'Hexagone, les ressources souterraines souffrent : le Bureau de recherches géologiques et minières jugeait en juin la situation "problématique dans plusieurs régions". L'organisme pointait les répercussions sur les débits des sources et des rivières, mais aussi sur les activités humaines et agricoles. Plus largement, la Commission européenne estimait récemment que près de la moitié du territoire de l'UE est confrontée actuellement à un risque de sécheresse.

Devenue une problématique majeure ces dernières années en France, la gestion de l'eau est souvent synonyme d'opposition. Emma Haziza est hydrologue, docteure de l'Ecole des mines de Paris et a créé Mayane, un cabinet d'expertise sur la question des risques et du climat. Elle explique à L'Express pourquoi une "guerre de l'eau" est désormais possible en France.

L'Express : Depuis quand observe-t-on cette sécheresse en France ?

Emma Haziza : Dès les années 2000, on a commencé à voir des sécheresses de plus en plus marquées, et en 2005, les premiers villages qui pouvaient avoir une rupture d'alimentation en eau potable. Mais il y a vraiment un basculement à partir de 2017, avec l'apparition d'un mois de juin particulièrement chaud, qui pourrait d'ailleurs s'apparenter à ce que l'on a connu cette année. A ce moment-là, la sécheresse a perduré dix mois, nous menant à un état de sécheresse historique.

Pourtant, ce qui est étonnant, c'est que l'approche ne change pas d'année en année. En 2018, comme nous avons connu une excellente recharge des nappes en hiver, parce qu'on avait encore un climat tempéré, la prise de conscience de ce qui avait été vécu l'année d'avant a été minime, elle a été prise en compte comme une variabilité naturelle climatique. Et 2018, 2019 et 2020 ont aussi été des années de sécheresses historiques mais à chaque fois, cela a touché un territoire différent. Si un système hydrique a été particulièrement affecté en 2019, mais n'a pas été touché en 2020, on aura tendance à penser que le phénomène est terminé. Pourtant, si on prend du recul et que l'on observe ces phénomènes à l'échelle de l'Europe, puisque la Belgique commence aussi à vivre des sécheresses historiques, on constate une tendance nouvelle. Et pour autant, on n'a pas encore une véritable prise de conscience ni un changement dans les pratiques territoriales.

Que voulez-vous dire ?

Certains territoires s'appuient sur le fait qu'ils disposent d'excellentes nappes phréatiques qui pourraient tenir trente ans. Ce qui est effectivement le cas dans certains endroits, comme dans le bassin parisien ou sous la ville de Nice. Mais pomper dans les nappes n'est pas anodin, car elles ne se renouvelleront pas aussi rapidement que ce que l'on pouvait imaginer avant. Dans de nombreux autres territoires, il n'y a eu aucune recharge hivernale des nappes, et cela les rend beaucoup plus fragiles. Tout cela n'est pas vraiment encore visible car la production agricole suit : on commence à avoir les premiers chiffres de la production de blé, qui reste bonne... Au vu de la pluviométrie de l'année, cela montre clairement que l'on a largement pompé dans les nappes phréatiques pour irriguer. Cela nous laisse croire que le système fonctionne, mais jusqu'à quand ?

LIRE AUSSI >> Huile d'olive, riz, sauce tomate... Comment la sécheresse menace les cultures du nord de l'Italie
Le rechargement de ces réserves est très variable. En fait, d'une nappe à une autre, cela peut changer très vite, parfois à un kilomètre près. Certaines nappes vont avoir d'excellentes recharges et vont pouvoir tenir plusieurs années, quand d'autres sont déjà quasiment à sec. Dans les Alpes-Maritimes, la nappe est en excellente santé par exemple et permet d'alimenter largement la ville de Nice malgré l'absence de pluie mais a contrario, juste à côté, le Pays de Fayence risque de se retrouver à sec dans les prochains mois, et les villages seront sans doute alimentés en grande partie par des citernes. C'est déjà le cas pour certains et cela devrait continuer.

Lechercheur



[size=32]Urgence climatique : pourquoi nous n’agissons pas malgré la menace ?[/size]
[size=14][size=14]Par Rédacteur le 30.06.2022 à 14h33 Lecture 8 min.
Malgré les mises en garde et les appels à l'action, face à la menace du réchauffement climatique, beaucoup restent encore les bras ballants. Pour quelles raisons ? C'est notre Question de la semaine.
Repentez-vous, le châtiment climatique est proche ! Cover-r4x3w1000-62bd981ee4d66-b056fe8d87aca56154e13969f6d1cf7c98ab389e-jpg

Illustration du réchauffement climatique

AFP/ARCHIVES - INA FASSBENDER


"Pourquoi quand on alerte sur les conséquences climatiques de notre comportement, personne ne veut changer ses petites habitudes et son confort pour préserver une Terre qui de base ne nous appartient pas ?", s'interroge Victoria Clanet sur notre page Facebook. C'est notre Question de la semaine. Merci à tous pour votre contribution.

En 2018, Virginie Raisson-Victor, géopolitologue, directrice du Laboratoire d'études prospectives et d'analyses cartographiques (LEPAC) et auteure de 2038, Les futurs du monde, expliquait à Sciences et Avenir les raisons de notre résistance au changement. L'entretien est à (re)découvrir ci-dessous.

[/size][/size]

"L’humain vit dans le présent"

[size][size][size][size]
Sciences et Avenir : La conférence onusienne sur le climat (COP24) en a fait une fois de plus le constat : les nouvelles sont mauvaises (dernier rapport alarmant du GIEC, hausse des températures), qu’en pensez-vous ? 
Virginie Raisson-Victor : Dire que je suis préoccupée serait une litote. Le décalage est énorme entre les engagements pris par les États à la fin de la COP21 et les trajectoires d’émissions de gaz à effet de serre (GES) — responsables du dérèglement climatique — constatées aujourd’hui. Si on ne provoque pas un sursaut très prochainement, on court à la catastrophe. Pourtant le diagnostic est validé, la prise de conscience est là, les scénarios et la feuille de route sont connus, les solutions techniques et technologiques existent et les moyens financiers sont fléchés. Il manque donc visiblement un dernier chaînon pour passer à l’action, efficacement et à toutes les échelles. [/size][/size]
[/size][/size]

BenFis

BenFis

Pour éviter la catastrophe climatique il n'y a qu'une chose à faire, décroître. A la fois économiquement et (surtout) en nombre de consommateurs, donc d'individus.

Or on fait tout l'inverse. On essaye par tous les moyens de relancer la consommation plombée par la hausse des prix, on subventionne ceux qui achètent du matériel, donc qui polluent.

Et donc, nous l'aurons cette catastrophe climatique.  silent

On peut noter qu'elle n'était pas prévue dans le Bible ; et pour cause, c'est plutôt l'idée de croissance qui y est promue.

Josué

Josué
Administrateur

Oui , mais nous sommes a mon avis à un point de non retour.

Josué

Josué
Administrateur

[size=39]Réchauffement climatique : le risque d'extinction de l'humanité serait sous-estimé, selon une étude[/size]

Mathilde Ragot 02/08/2022, 12:44 Environnement



Les conséquences catastrophiques du changement climatique, y compris celle d'une potentielle extinction de l’humanité, ainsi que ses mécanismes ne seraient pas suffisamment pris au sérieux par les scientifiques, affirment des chercheurs de l'Université de Cambridge dans une étude préoccupante.


Le risque d'extinction de l’humanité a été "dangereusement sous-exploré". C’est l’alarmante conclusion d’une étude réalisée par des climatologues et publiée dans les Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS) le 1er août 2022.
L’équipe d’experts dirigée par l'Université de Cambridge (Angleterre) soutient que le monde doit commencer à se préparer à ce qu’ils appellent la "fin du jeu climatique", un scénario où le réchauffement climatique serait à l'origine d’une catastrophe apocalyptique. S’ils indiquent toutefois que les probabilités restent faibles, être "aveugle aux pires scénarios est une gestion des risques au mieux naïve, au pire mortellement insensée", écrivent-ils.

Une hausse des températures de 3 °C non étudiée

[size][size]
Ces dernières années, les climatologues ont majoritairement étudié les impacts d'un réchauffement climatique d'environ 1,5 °C à 2 °C au-dessus des températures observées en 1850, avant le début de l'industrialisation mondiale. Ils en sont venus à la conclusion que maintenir les températures à ces niveaux au cours du siècle aura de lourdes conséquences sur l’économie mondiale, sans pour autant causer la perte de l’humanité.
Dans l’étude récemment publiée, les chercheurs estiment quant à eux qu’un scénario avec une hausse des températures de plus de 3 °C d’ici 2100, avec les conséquences d’autant plus extrêmes que cela entraînerait, a été sous-estimé et trop peu pensé.
⋙ Réchauffement climatique : 1 chance sur 2 de franchir le seuil de +1,5°C pendant l'une des 5 prochaines années
Dans ce type de scénario, ont-ils calculé à l'aide de modèles climatiques, environ 2 milliards de personnes vivant dans les régions les plus densément peuplées et les plus politiquement fragiles du monde subiraient des températures moyennes annuelles de 29 °C d'ici 2070. Environ 30 millions de personnes habitant dans le Sahara et sur la côte du Golfe seraient par exemple concernées.
"Ces températures et leurs conséquences sociales et politiques [affecteraient] directement deux puissances nucléaires et sept laboratoires de confinement maximum abritant les agents pathogènes les plus dangereux. Il existe un sérieux potentiel d'effets d'entraînement désastreux", déclare dans un communiqué le co-auteur Chi Xu de l'Université de Nanjing.
⋙ Le Moyen-Orient et l'Asie centrale deux fois plus affectés par la hausse des températures
[/size][/size]

Des effets d'entraînement encore mécompris

[size][size]
Finalement, les scientifiques indiquent que ce ne sont pas seulement les températures élevées qui constituent un problème, mais les effets combinés et d'entraînement de ce qu’ils surnomment les "quatre cavaliers" de la "fin du jeu climatique" : la famine et la malnutrition, les conditions météorologiques extrêmes, la guerre et les maladies. Des risques difficiles à analyser et associés à la fragilité sociétale, étudiés séparément mais peu conjointement, estiment-ils.
⋙ Catastrophes, migrations, décès, pertes économiques : La sécheresse en 7 chiffres clés
S’il y a (presque) consensus sur le fait que la crise climatique aggrave voire entraîne des conflits préexistants, nul ne sait ce que des niveaux de réchauffement plus élevés encore pourraient avoir comme impact. Il est probable que les effets soient exponentiels.
Selon les experts, il serait vital de se concentrer davantage sur l'"effet domino", c’est-à-dire les points de bascule où l'augmentation de la chaleur déclenche un autre événement naturel qui fait d’autant plus monter les températures. Par exemple, les émissions de méthane provenant de la fonte du pergélisol ou encore les forêts qui deviennent émettrices de carbone au lieu de l'absorber.
[/size][/size]

Étudier les "pires scénarios" pour mieux les éviter

[size][size]
Afin d’évaluer les risques, les auteurs de l’étude demandent ainsi au Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) de réaliser un rapport spécial sur les conséquences des changements climatiques "catastrophiques", afin de galvaniser la recherche et d'informer le grand public — quitte à lui faire peur. D’après eux, étudier les "pires" scénarios pourraient permettre d’envisager les options d'urgence, et de rendre ainsi ces possibilités moins probables.
[/size][/size]
La meilleure façon de résumer notre article est qu'il s'agit d'un appel à considérer et à étudier sérieusement les scénarios catastrophiques plausibles du changement climatique [...] Nous en savons le moins sur les scénarios qui comptent le plus — Luke Kemp, auteur principal de l’étude et chercheur au Centre pour l'étude des risques existentiels (CSER) de l'Université de Cambridge.

Josué

Josué
Administrateur

[size=48]Fleuves à sec : du tourisme à l'industrie, des conséquences en cascade pour l'économie 
[/size]

Transport fluvial, tourisme, agriculture, industrie... De nombreux secteurs sont affectés par la baisse du niveau des cours d'eau européens.





Repentez-vous, le châtiment climatique est proche ! Le-lit-du-rhin-partiellement-asseche-le-25-juillet-2022-a-dusseldorf-en-allemagne_6360748
[size=10][size=10]Le lit du Rhin partiellement asséché, le 25 juillet 2022 à Düsseldorf, en Allemagne.

afp.com/Ina FASSBENDER


[size=13]Philippine Robert
Publié le 17/08/2022 à 10:55, mis à jour à 20:11
[/size]
[/size][/size]


Les pluies de cette semaine seront-elles suffisantes pour éviter l'arrêt de la navigation sur le Rhin ? Jour après jour, le niveau du fleuve est scruté avec inquiétude par les transporteurs fluviaux et les industriels. Vendredi dernier, au point de mesure de Kaub, en Allemagne, un seuil utilisé pour juger la navigabilité du cours d'eau, le niveau est tombé sous les 40 centimètres. Une profondeur définie comme un minimum pour le transport fluvial... "Certaines zones ne sont pas loin de l'arrêt total de la navigation et les bateaux ne sont pas remplis entièrement afin de ne pas toucher le fond", s'alarme Pascal Rottiers, le vice-président d'Entreprises Fluviales de France (E2F), le syndicat des acteurs du transport fluvial. Une situation d'autant plus préoccupante que ce cours d'eau est un axe stratégique pour le continent européen. "Environ 80% du transport de marchandises par voie navigable dépend de ce fleuve qui traverse des villes et des ports importants comme Cologne, Düsseldorf, Rotterdam et Bâle", rappelle John Plassard, directeur chez Mirabaud, dans une note publiée la semaine dernière. 


Une pénurie d'eau qui va attiser l'inflation


Le Rhin n'est pas le seul cours d'eau à souffrir de la sécheresse de ces dernières semaines. Partout en Europe, les niveaux des fleuves, des rivières et des canaux ne cessent de baisser. Le niveau du Danube, le deuxième plus grand fleuve d'Europe, s'approche de son plus bas historique. En Italie, le Pô, dont le bassin est l'une des principales zones agricoles du pays, est quasiment à sec. En France aussi, le débit se fait de moins en moins puissant sur de nombreux cours d'eau. Au dernier pointage de Voies navigables de France (VNF), le 1er juillet dernier, "le taux de remplissage global de nos réserves en eau à l'échelle nationale est de 60% contre 72% au 1er juin 2022, et une moyenne de 80% à la même date sur les dix dernières années", peut-on lire sur leur site internet. Une pénurie d'eau inquiétante pour l'écosystème, mais aussi pour l'activité économique de nombreux secteurs qui dépendent des torrents d'or bleu qui serpentent habituellement le territoire européen... Et qui risque de venir jeter encore un peu plus d'huile sur le brasier de l'inflation.  
LIRE AUSSI >> Canicule et sécheresse : coup de chaud sur le système électrique européen
L'un des secteurs les plus touchés est évidemment le transport fluvial, et par ricochet toutes les industries qui dépendent de cet approvisionnement. A cause des restrictions diverses (allégement des barges, regroupements de bateaux aux passages d'écluses, fermeture de certaines voies navigables, ...), le temps d'acheminement s'accroît, augmentant mécaniquement le coût du transport. Sur le Rhin par exemple, où plus de 200 millions de tonnes de marchandises transitent chaque année, qu'il s'agisse de céréales, de charbon, de matériaux de construction ou de produits pétroliers et chimiques, le coût du fret a déjà été multiplié par cinq. "En juillet, nous avons traité 150 containers de moins qu'en temps normal, et le trafic de vrac a baissé de 5 à 10%", constate Frédéric Doisy, directeur général délégué du Port de Strasbourg. Certains industriels, comme le groupe chimique BASF ou l'énergéticien Uniper, ont déjà annoncé qu'ils pourraient bien être obligés de réduire leur production à cause de ces soucis logistiques, qui vont également toucher les chantiers de construction. 
Repentez-vous, le châtiment climatique est proche ! Icon-app+47e9c5a0978892a8ac1cf7a5e20103feec1f8e3c962590cafbee169e86b0957d
L’

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Les mots sont gravés dans la pierre depuis 1616, et parlent d’eux-même : "Si tu me vois, alors pleure…" Sécheresse oblige, d’étonnants rochers ont refait surface ces derniers temps tout au long de l’Elbe. Le célèbre fleuve traverse l’Allemagne mais prend sa source en République Tchèque. Ces pierres sont connues, on se transmettait jadis leur emplacement de génération en génération, car le fait de les voir réapparaître était alors signe de malheurs à venir.

Si ces pierres sont de nouveau visibles, c’est du fait de la canicule historique que nous avons connue cet été. L’Allemagne, comme la France, vient de connaître une sécheresse exceptionnelle cet été. Rarement le niveau des eaux ne sera descendu si bas, allant jusqu’à dévoiler de nouveau ces mémoires de pierre. Dans l'Hexagone, uune grande pierre plate gravée "1906" vient elle aussi de réapparaître, fin août, au défilé d'Entreroches, une gorge du Doubs. Une année pour laquelle les bulletins météo ont gardé la trace d'événements climatiques majeurs : vagues de froid, inondations, gelées tardives, mais aussi sécheresse.

On les surnomme les pierres de faim, hungerstein en allemand. de l'autre côté de la frontière. Plusieurs dizaines ont été recensées au fil de l’Elbe, toutes ayant été gravées pour rappeler aux générations futures des temps de malheur et de disette. Si certaines d’entre elles étaient déjà visibles en 2018, elles auront rarement été aussi exposées qu’en cet été 2022… "Nous avons pleuré, nous pleurons et vous pleurerez", est-il ainsi gravé sur une pierre située à Tichlowitz, en République Tchèque.

On retrouve gravé sur ces pierres les années frappées par la misère, la disette, la famine. Autant de conséquences directes des mauvaises récoltes engendrées par la sécheresse. L'histoire des hungersteine remonte jusqu’au XVe siècle. Les plus anciennes inscriptions encore connues et visibles datent des années 1417, 1473, 1616, 1654, 1666. Il y a quelques années de cela, à Tetschen, une de ces pierres de faim avait été étudiée. Véritable capsule temporelle, elle est gravée de nombreux millésimes sombres : 1417, 1616, 1707, 1746, 1790, 1800, 1811, 1830, 1842, 1868, 1892 et 1893. Après tant d’années de malheur, gravées dans la roche, faut-il craindre que la réapparition de ces pierres soit de mauvais augure pour 2023 ? Nous le saurons bien assez tôt…

papy

papy

Le Honeymoon Hotel s'est effondré tel un château de cartes. Il n'aura fallu que quelques secondes aux eaux torrentielles pour emporter cet établissement bien connu des touristes, construit sur les berges de la rivière Swat, à Kalam, dans le nord-est du Pakistan. Plus d'un tiers du pays est actuellement sous les eaux, estiment les autorités, et, a[size=16]u 1er septembre, la moitié des 160 districts étaient touchés. Ces inondations sont "les pires de l'histoire du Pakistan", s'est exclamé le Premier ministre, Shehbaz Sharif.  

Le bilan, encore provisoire, est cataclysmique : 33 millions de personnes touchées (soit 1 Pakistanais sur 7) plus d'un million de maisons endommagées, près d'un demi-million de déplacés relogés dans des abris temporaires et plus de 1 200 morts depuis le mois de juin. Des milliers de kilomètres de routes et 150 ponts ont également été détruits, et des milliers d'hectares de culture dévastés. 
LIRE AUSSI >> Réchauffement climatique : pourquoi les messages alarmistes ont un effet boomerang
"La mousson est devenue folle", lance Faisal Amin Khan, un membre du gouvernement de la province
Repentez-vous, le châtiment climatique est proche ! Qiotasession[/size]

Josué

Josué
Administrateur

Repentez-vous, le châtiment climatique est proche ! 20220914

Lechercheur



Coup de chaud. Selon une étude, les températures dans l’Hexagone en 2100 pourraient augmenter de 3,8 degrés en moyenne par rapport au début du XXe siècle, si les émissions de gaz à effet de serre ne baissent pas drastiquement. « Une hausse jusqu’à 50 % plus élevée que les précédentes prévisions », indique l’un des auteurs de l’étude Aurélien Ribes, climatologue au Centre national de la recherche météorologique (CNRM).

Dans le pire des scénarios, celui du recours massif persistant aux énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon), les températures moyennes pourraient grimper de 6,7 degrés, avertit l’étude parue dans la revue « Earth Systems Dynamics ». Dans le meilleur des cas, l’augmentation de la température serait de 2,3 °C. Dans l’ensemble, « la France se réchaufferait davantage (environ +20 %) que la moyenne planétaire », indique Aurélien Ribes, avec une hausse moyenne de 0,36 degré par décennie.

Josué

Josué
Administrateur

Les temps sont dures pour notre planête qui subit l'incurie des hommes.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

La température moyenne a été supérieure de 3,5 °C à la normale et les précipitations affichent un déficit de 37 %. Des records qui n’ont rien de réjouissant.

Invité


Invité

😂 on ne se repent pas a cause de la température …
Mais pour être heureux avec les conseil de Dieu …
Parce que on sais que c’est le meilleur chemin …

BenFis

BenFis

Le réchauffement climatique a aussi des côtés positifs.
Par ex. ce mois d'octobre particulièrement chaud nous a permis de réduire notre consommation d'énergie... Very Happy

papy

papy

Mais tous ce paient un jour ou l'autre ce beau coté.
L'eau vient a manquer avec ce beau temps.

Lechercheur



Il va y avoir deux récoltes,car les fruits de certains arbres ne sont pas encore tombés,que des nouveaux bourgeons sortent déjà.

BenFis

BenFis

Lechercheur a écrit:Il va y avoir  deux récoltes,car les fruits de certains arbres ne sont  pas encore tombés,que des nouveaux bourgeons sortent déjà.
Le Moyen-Age a aussi connu un réchauffement climatique, avec à la clé, des récoltes de fraises en décembre.

Lechercheur



L'inaction face à la crise climatique qui s'accélère s'apparente à un "suicide collectif", a lancé lundi 7 novembre le patron de l'ONU aux grands de ce monde réunis à la COP27 en Egypte, les exhortant à renforcer la lutte avant qu'il ne soit trop tard.

Lechercheur



C’est trop tard. L’objectif de maintenir un réchauffement climatique à 1,5°C d’ici la fin du siècle est “carrément hors d'atteinte”, a lâché François Gemenne, dans une interview accordée à franceinfo, dimanche 6 novembre. “Il faut dire la vérité aux gens, cet objectif ne me semble plus atteignable. Nous serons à 1,5 degré d'élévation de la température d'ici 2035 environ”, a indiqué le chercheur belge, spécialiste des questions de géopolitique de l’environnement et rapporteur du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec).

papy

papy

Lechercheur a écrit:C’est trop tard. L’objectif de maintenir un réchauffement climatique à 1,5°C d’ici la fin du siècle est “carrément hors d'atteinte”, a lâché François Gemenne, dans une interview accordée à franceinfo, dimanche 6 novembre. “Il faut dire la vérité aux gens, cet objectif ne me semble plus atteignable. Nous serons à 1,5 degré d'élévation de la température d'ici 2035 environ”, a indiqué le chercheur belge, spécialiste des questions de géopolitique de l’environnement et rapporteur du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec).
Et oui les hommes politique commence a en prendre conscience, mais je ne suis pas sur qu'ils se donnent les moyens pour stopper cette fuite en avant.

Invité


Invité

Repentez-vous, le châtiment climatique est proche ! 5ca0ee10
Les changements climatiques qu’en dit la bible?

https://www.jw.org/fr/biblioth%C3%A8que/rubriques/divers/changements-climatiques-rechauffement-planetaire-bible/

chico.

chico.

"2050, ouvrons les yeux": comment le réchauffement climatique va bouleverser nos vies
BFMTV - Hier à 20:30


Repentez-vous, le châtiment climatique est proche ! Png;base64,iVBORw0KGgoAAAANSUhEUgAAAAEAAAABCAQAAAC1HAwCAAAAC0lEQVR42mNkYAAAAAYAAjCB0C8AAAAASUVORK5CYII=
Le monde remportera-t-il la bataille contre le réchauffement climatique? BFMTV vous propose une émission d'anticipation exceptionnelle pour envisager notre avenir en 2050.
À quoi ressemblera la France en 2050? En 2015, la COP21 avait fixé un objectif ambitieux: contenir le réchauffement de la planète à 1,5°C par rapport à l'ère pré-industrielle. À l'heure où la COP27 est organisée à Charm el-Cheikh (Égypte), l'ONU ne voit pour l'heure "aucune piste crédible" pour tenir ce cap: même si tous les pays tenaient leurs promesses, ce qui n'est encore jamais arrivé, le monde serait sur une trajectoire de réchauffement de 2,4°C d'ici la fin du siècle.
En quoi notre politique climatique changera-t-elle notre futur? Les journalistes Isabelle Quintard, Étienne Grelet et Clément Granon ont travaillé, avec l'expertise d'Emma Stokking, porte-parole du Plan de transformation de l'économie française au Shift project et d'Éric Vidalenc, directeur régionale adjointe à l'Ademe Hauts-de-France (Agence de la transition écologique), pour établir deux scénarios à l'horizon 2050:

  • dans le premier, le monde a réussi à atteindre la neutralité carbone et à limiter le réchauffement climatique à 1,7°C
  • dans le second, le scénario du pire s'est produit avec un réchauffement de plus de 2,4°C


L'article qui suit est un texte d'anticipation, issu du docu-fiction "2050: ouvrons les yeux", diffusé ce lundi sur BFMTV.

Contenu sponsorisé



Revenir en haut  Message [Page 1 sur 2]

Aller à la page : 1, 2  Suivant

Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum