*** it-1 p. 1066 Hallel ***
HALLEL
Chant de louange à Jéhovah. Les Psaumes 113 à 118 constituent ce que les écrits juifs appellent le “ Hallel égyptien ”. D’après la Mishna, on chantait ce Hallel au temple et dans les synagogues à la Pâque (Pessahim X, 5-7) et aux fêtes de la Pentecôte, des Huttes et de l’Inauguration (Soucca IV, 8 ; Taanit IV, 5). Quand on célébrait la Pâque chez soi, on récitait la première partie de ce Hallel (soit le Psaume 113 [selon l’école de Shammaï], soit les Psaumes 113 et 114 [selon l’école de Hillel]), après avoir versé la deuxième coupe de vin et expliqué la signification de la Pâque. Le Hallel s’achevait avec la quatrième coupe de vin. Le “ grand Hallel ” (qui, selon divers points de vue, pouvait être soit le Psaume 136 seul, soit les Psaumes 120-136, ou les Psaumes 135:4–136:26) était, dit-on, chanté à l’occasion d’événements joyeux, ainsi que par ceux qui prenaient une cinquième coupe de vin pour célébrer la Pâque.
HALLEL
Chant de louange à Jéhovah. Les Psaumes 113 à 118 constituent ce que les écrits juifs appellent le “ Hallel égyptien ”. D’après la Mishna, on chantait ce Hallel au temple et dans les synagogues à la Pâque (Pessahim X, 5-7) et aux fêtes de la Pentecôte, des Huttes et de l’Inauguration (Soucca IV, 8 ; Taanit IV, 5). Quand on célébrait la Pâque chez soi, on récitait la première partie de ce Hallel (soit le Psaume 113 [selon l’école de Shammaï], soit les Psaumes 113 et 114 [selon l’école de Hillel]), après avoir versé la deuxième coupe de vin et expliqué la signification de la Pâque. Le Hallel s’achevait avec la quatrième coupe de vin. Le “ grand Hallel ” (qui, selon divers points de vue, pouvait être soit le Psaume 136 seul, soit les Psaumes 120-136, ou les Psaumes 135:4–136:26) était, dit-on, chanté à l’occasion d’événements joyeux, ainsi que par ceux qui prenaient une cinquième coupe de vin pour célébrer la Pâque.