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Le Pacte de Umar Ibn Al-Khattab aux habitants de Jérusalem

4 participants

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Talab-al-ilm

Talab-al-ilm

Bonjour à tous !

Question

Quel est le texte du pacte ratifié entre les Chrétiens et le Fârûq `Umar Ibn Al-Khattâb — que Dieu l’agrée — lorsque celui-ci conquit Jérusalem ?

Réponse

Au nom de Dieu, louanges à Dieu et paix et bénédiction sur le Messager de Dieu.

Le Commandeur des Croyants (Amîr Al-Mu’minîn), `Umar Ibn Al-Khattâb — que Dieu l’agrée — entra à Jérusalem un lundi. Il y demeura jusqu’au vendredi, jour où il prêcha le sermon du vendredi. Il resta encore à Jérusalem pendant une dizaine de jours puis il partit, non sans avoir préalablement rédigé un pacte à l’intention des habitants de la ville, pacte dans lequel il entérina leur résidence dans la ville moyennant la capitation (jizyah). Il partit ensuite avec son armée à Al-Jâbiyah où il s’établit pour y tenir les cahiers administratifs et prélever le quint du butin redevable à l’État islamique. Il divisa ensuite le Shâm (Proche-Orient) en deux régions. Il confia à Abû `Ubaydah la partie qui allait de Hawrân à Alep ainsi que les régions avoisinantes. Il lui ordonna de se mettre en route pour Alep et de combattre ses habitants jusqu’à la chute de la ville. Il confia par ailleurs la Palestine, Jérusalem et la côte méditerranéenne à Yazîd Ibn Abî Sufyân. Abû `Ubaydah était néanmoins le gouverneur général de toutes ces régions.

Le Pacte du Fârûq `Umar aux habitants de Jérusalem
Sheikh Rashîd Ridâ a mentionné dans son livre `Umar Ibn Al-Khattâb le texte du pacte du Fârûq `Umar aux habitants de Jérusalem, s’appuyant sur l’ouvrage d’At-Tabarî : L’histoire des nations et des rois. Le Sheikh dit :

« Voici le texte du pacte octroyé par `Umar Ibn Al-Khattâb aux habitants de Jérusalem :

Au nom de Dieu, Clément et Miséricordieux.

Voici ce que garantit le Serviteur de Dieu, `Umar, Commandeur des Croyants, aux habitants d’Aelia  en terme de sécurité. Il leur garantit la sécurité de leurs personnes, de leurs biens, de leurs églises et de leurs croix, le malade d’entre eux comme le bien-portant, ainsi qu’à toute leur communauté. Leurs églises ne seront ni investies ni détruites. Rien ne leur sera ôté, ni à leurs propriétés ni à leurs croix ni à leurs biens. Ils ne seront pas convertis malgré eux et nul d’entre eux ne sera opprimé. Ne résidera aucun Juif avec eux à Aelia. Les habitants d’Aelia devront s’acquitter de la capitation comme les habitants des autres villes. Ils devront en chasser les Byzantins et les brigands. Quiconque d’entre eux partira aura la garantie de la sécurité de sa personne et de ses biens jusqu’à ce qu’il parvienne à sa destination. Quiconque d’entre eux restera à Aelia  sera en sécurité et il devra, comme les habitants d’Aelia, s’acquitter de la capitation. Ceux, parmi les habitants d’Aelia, qui désirent rejoindre les Byzantins avec leurs biens, abandonnant leurs églises et leurs croix, auront la garantie de la sécurité de leur personne, de leurs églises et de leurs croix, jusqu’à ce qu’ils parviennent à leur destination.

Quiconque, parmi les habitants de la terre, habitait dans la ville avant le meurtre d’untel, pourra, s’il le souhaite, y demeurer, et devra, comme les habitants d’Aelia, s’acquitter de la capitation. S’il le souhaite, il pourra rejoindre les Byzantins. S’il le souhaite, il pourra retourner chez les siens. Aucune capitation ne sera prélevée avant la récolte.

Le contenu de cet écrit en ce qu’il stipule du Pacte de Dieu, de la protection (dhimmah) de Son Messager, de la protection des Califes et de la protection des Croyants sera intégralement appliqué s’ils s’acquittent de la capitation.

Sont témoins Khâlid Ibn Al-Walîd, `Amr Ibn Al-`Âs, `Abd Ar-Rahmân Ibn `Awf et Mu`âwiyah Ibn Abî Sufyân. Ecrit et entré en vigueur en l’an 15. »


Et Dieu est Le plus Savant.

Source : http://www.islamophile.org/spip/Le-Pacte-de-Umar-aux-habitants-de.html

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http://www.aimer-jesus.com

Carl Michel



En 638 l'arrivée des conquérants arabes n'entraîna pas de modifications particulières dans le sanctuaire. Voici comment Eutichius, patriarche d'Alexandrie, décrit les événements relatifs à la conquête arabe: "Omar Ibn al-Khattab et ses généraux partirent de la Syrie vers Jérusalem pour assiéger la Ville. Le Patriarche de Jérusalem Spophronius se rendit auprès d'Omar Ibn al-Khattab, lequel accorda sa protection aux habitants de la Ville au terme d'une lettre remise à ce patriarche. Omar Ibn-al-khattab garantit la sauvegarde des sites chrétiens et donna ordre à ses hommes de ne pas détruire ces sites ni de les utiliser comme habitations.

Le récit d'Eutichius raconte qu'Omar ibn al-khattab visita l'église de la Resurrection et s'arrêta pour s'asseoir sous son porche; mais, au moment de la prière, il s'éloigna de l'église et fit sa prière en dehors. Il craignait que les générations futures ne prennent le prétexte de sa prière à l'intérieur de l'église pour la transformer en mosquée. Eutichius ajoute que Omar Ibn al-khattab avait écrit un décret interdisant aux musulmans de se réunir en ce lieu pour y prier.
Au début du IXº siècle un violent tremblement e terre abîma la coupole de l'Anastasis. Les dommages furent réparés en 810 par le Patriarche Thomas.

L'Eglise subit un incendie en 841.
En 935 les chrétiens réussirent à éviter qu'une mosquée ne soit construite en un lieu juxtaposé à la Basilique.
En 938 l'église fut de nouveau incendiée et le feu s'engouffra dans la Basilique, dans le portique et même dans l'Anastasis.
En 966 une fois de plus la Basilique fut incendiée, par représaille pour une défaite des armées musulmanes en Syrie.

Mais tous ces désastres abîmèrent surtout toutes les constructions en bois. Elles purent être réparées au prix de grands sacrifices de la part de la communauté chrétienne, qui était désormais appauvrie.

www.saintsepulcre.custodia.org


La djizia est une taxe qui ne s'applique qu'aux non musulmans dans le but d'en tirer un profits et dans un esprit d'humilier ces derniers. Ils étaient considéré comme des dhimmis. C'est un compromis (dans la charia) économique avantageux pour les musulmans face aux incroyants, au lieu des les massacrer pour refus de se convertir.

3Le Pacte de Umar Ibn Al-Khattab aux habitants de Jérusalem Empty Omar Ibn Al-Khattab Mar 27 Nov - 13:39

Talab-al-ilm

Talab-al-ilm

Bonjour Carl Michel



Pour ce qui est de la Jiziyah c'est comme les impôts pour payer les frais administratifs de la société musulmane.

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http://www.aimer-jesus.com

Carl Michel



C'est faux !

Je n'ai jamais lu dans le Coran ou dans les Hadiths que la djizia est imposé aux musulmans. Et vous ?

5Le Pacte de Umar Ibn Al-Khattab aux habitants de Jérusalem Empty Omar Ibn Al-Khattab Mar 27 Nov - 14:01

Talab-al-ilm

Talab-al-ilm

Bonjour Carl Michel

Je vois que tu n'a rien lu du Coran ! c'est quoi le troisième pilier de l'Islam pour les musulmans ?

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Lechercheur



Les piliers de l'islam sont les devoirs que tout musulman doit appliquer. Les plus notables et respectés sont au nombre de cinq. Ces devoirs ne sont pas explicitement soulignés dans le Coran comme le sont les Dix Commandements dans la Bible, mais rapportés dans un hadith prophétique : « L'islam est bâti sur cinq piliers » (rapporté par Al-Boukharî et Muslim). Le concept a été adopté par le sunnisme (très largement majoritaire) notamment, mais rejeté par d'autres groupes aujourd'hui minoritaires tels les Kharijites[réf. nécessaire], ainsi que d'autres minorités chiites. Les devoirs des musulmans sunnites ne se limitent pas à ces piliers mais leur mise en application est impérative.

Carl Michel



Talab-al-ilm a écrit:Bonjour Carl Michel

Je vois que tu n'a rien lu du Coran ! c'est quoi le troisième pilier de l'Islam pour les musulmans ?

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Non non, ne jouez pas à ce jeu avec moi ! Commencer par répondre à ma question et ensuite je répondrai à la vôtre.

8Le Pacte de Umar Ibn Al-Khattab aux habitants de Jérusalem Empty Omar Ibn Al-Khattab Mar 27 Nov - 14:37

Talab-al-ilm

Talab-al-ilm

Bonjour Carl Michel

Comme tu es incapable de répondre à une question aussi facile, ce qui montre votre faible niveau en la matière, voici donc la réponse :

Le troisième pilier de l'Islam est le paiement de la Zakat, c'est obligatoire pour tout musulmans donc la Zakat est comme l'équivalent de la Jizyah pour les juifs et les chrétiens.

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Carl Michel



Talab-al-ilm a écrit:Bonjour Carl Michel

Comme tu es incapable de répondre à une question aussi facile, ce qui montre votre faible niveau en la matière, voici donc la réponse :

Le troisième pilier de l'Islam est le paiement de la Zakat, c'est obligatoire pour tout musulmans donc la Zakat est comme l'équivalent de la Jizyah pour les juifs et les chrétiens.

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Vous mentez car la djizia est donné directement à l'autorité islamique en échange de leur protection contre les musulmans dominateurs. Cela n'a rien à voir avec le vrai sens de la charité que vous cherchez à torde pour justifier la classe des dhemmis (populations inférieures économiquement rentables).

D'ailleurs, vous ne serez pas capable de me montrer où il est dit dans le Coran ou les hadiths que la Zakat est l'équivalent de la Djizia.


N.B. À l'image de l'Islam, le gangstérisme utilise ce genre de taxe (Djizia)dans les commerces de nos villes.

10Le Pacte de Umar Ibn Al-Khattab aux habitants de Jérusalem Empty Omar Ibn Al-Khattab Mar 27 Nov - 15:35

Talab-al-ilm

Talab-al-ilm

Bonjour Carl Michel !


Les raisons pour lesquelles la capitation fut imposée aux dhimmis


Les gens superficiels trouvent que l’islam fut injuste en imposant la jizyah aux non-musulmans. Pourtant, s’ils étaient justes et considéraient l’affaire de plus près, ils se rendraient compte que l’islam fut parfaitement juste en prélevant cette modique somme d’argent.

En effet, l’islam impose aux musulmans le service militaire comme une obligation de suffisance communautaire (fard al-kifayâh), ou comme une obligation religieuse individuelle (fard al-`ayn). Les musulmans sont donc chargés de défendre la nation, ce dont les non-musulmans sont exemptés bien qu’ils vivent sous son égide. Etant donné que la nation musulmane est une nation fondée sur un crédo ou une nation idéologique (selon l’expression contemporaine), c’est-à-dire qu’elle est basée sur un principe ou une idée, alors une telle nation ne peut être défendue que par ceux qui croient en la justesse de ses principes et en la rectitude de son idéal. Il est impensable que quelqu’un soit obligé de risquer sa vie et de braver la mort pour une idée qu’il juge fausse ou une religion à laquelle il ne croit pas. Par ailleurs, la religion de ces non-musulmans peut leur interdire de défendre une autre religion et de combattre en sa faveur. C’est pourquoi l’islam a limité le devoir de la lutte armée (jihâd) aux seuls musulmans, car il constitue une obligation religieuse sacrée et un culte qui permet au musulman de se rapprocher de Dieu, et ce à un tel point que celui qui lutte pour l’Islam est mieux récompensé que le dévot abstinent qui jeûne le jour et qui prie la nuit. C’est pour cette raison que les juristes ont stipulé que la lutte dans le Sentier de Dieu est le meilleur culte par lequel le musulman se rapproche de Dieu.

Mais l’islam impose à ces citoyens non-musulmans de contribuer aux frais de la défense et de la protection de la patrie en leur faisant payer la jizyah, comme on l’appelle dans la terminologie islamique. Outre que la jizyah est considérée comme un symbole de soumission au régime musulman, elle est en réalité une substitution financière au service militaire obligatoire pour les musulmans.

Par conséquent, l’islam a imposé la jizyah à tout homme apte à porter les armes. Il fait ainsi exception des femmes et des enfants qui ne peuvent pas combattre. `Umar dit en désignant la jizyah : "Ne l’imposez ni aux femmes, ni aux enfants". C’est pourquoi, selon les juristes, si la femme paie la jizyah pour être admise en terre d’islam (dâr al-islâm), elle doit être accueillie en terriroire musulman et on doit lui rendre la somme qu’elle a payée, puisque cette somme a été perçue sans aucun droit. Si elle en fait toutefois don tout en sachant qu’elle n’est pas tenue de payer la jizyah, on l’accepte en tant que don. Au même titre que la femme et l’enfant, le vieillard, l’aveugle, l’infirme, l’invalide et toute personne incapable de porter une arme ne paient pas la jizyah. De même, les musulmans ont décidé avec indulgence de dispenser de la jizyah le moine qui se consacre au culte dans son couvent car il n’est pas de ceux qui font la guerre. [4].

Selon le chroniqueur occidental Adam Metz : "Les dhimmis qui jouissaient de la tolérance des musulmans et de leur protection payaient la jizyah, chacun selon sa capacité. Cette jizyah ressemblait à l’impôt de défense nationale. En conséquence, elle n’était payée que par l’homme capable de porter une arme. Les infirmes, les moines et les ermites en étaient exemptés sauf s’ils étaient fortunés." [5].

D’ailleurs, il existe un autre motif pour lequel la jizyah fut imposée aux dhimmis, à savoir le motif qui pousse n’importe quel gouvernement de n’importe quelle époque à imposer des impôts à ses ressortissants : leur participation aux charges des services publics dont tout le monde jouit tels que la justice, la police, la reconstruction des routes, l’installation des ponts et tout ce qui assure une vie digne à chaque individu, qu’il soit musulman ou non-musulman. Les musulmans contribuent à toutes ces charges en payant la zakât sur leur fortune, leur commerce, leurs bestiaux, leurs produits agricoles et leurs récoltes, en plus de l’aumône de fin du jeûne (zakât Al-Fitr) etc. Il n’est donc pas étonnant de demander aux non-musulmans d’y contribuer par cette petite somme d’argent : la jizyah.

Par conséquent, les livres des juristes malékites classent les prescriptions relatives à la jizyah payée par les dhimmis dans le même chapitre traitant des prescriptions de la zakât payée par les musulmans. [6]

Les cas d’exemption de la jizyah

Comme nous l’avons cité, la jizyah est, en premier lieu, payée en contrepartie de la protection militaire offerte par la nation musulmane aux dhimmis. Alors, si la nation ne peut pas assumer cette protection, elle n’a pas droit à cette jizyah ou à cet impôt. C’est ce que Abû `Ubaydah fit quand ses agents du Shâm (i.e. La Grande Syrie) l’informèrent que les légions des Romains se rassemblaient. Il leur donna l’ordre de rendre la jizyah à ceux qui l’avaient payée et de leur déclarer : "Nous vous rendons votre argent car nous avons appris que des légions se rassemblaient pour nous assaillir ; et vous avez stipulé que nous vous protégions. Etant dans l’incapacité de vous protéger, nous vous rendons ce que nous vous avons prélevé, tout en nous engageant aux conditions du pacte que nous avions signé avec vous si nous triomphons". (Rapporté par Abû Yûsuf dans Al-Kharâj). De même, dans plusieurs pactes ratifiés par les chefs musulmans - comme Khâlid et d’autres - en faveur des gens de la dhimmah, on peut lire ce texte : "Si nous vous protégeons, nous méritons la jizyah ; sinon ne la payez pas jusqu’à ce que nous vous protégions". (Rapporté par At-Tabarî dans ses Chroniques).

Par ailleurs, les gens de la dhimmah ne doivent pas s’acquitter de la jizyah s’ils participent avec les musulmans à la lutte armée pour défendre la terre de l’islam contre ses ennemis. C’est ce qui a été explicitement cité dans les traités et les pactes conclus entre les musulmans et les gens de la dhimmah à l’époque de `Umar - que Dieu l’agrée. [7]

En ce qui concerne la manière et la période de perception de la jizyah, les auteurs d’Al-Islâm wa Ahl Adh-Dhimmah, en référence aux sources les plus authentiques, ont cité : "La jizyah était perçue une fois par annnée lunaire." [8] Il était permis que la jizyah soit reglée en numéraire ou en nature. Mais, il était interdit de remplacer la jizyah par les animaux morts, le porc, ou le vin. `Umar Ibn Al-Khattâb donna des ordres pour dégrever les dhimmis : "Dégrevez celui qui ne la supporte pas et aidez celui qui ne peut s’en acquitter car ce n’est pas l’affaire d’un an ou deux." [9] Il arrivait souvent que la nation musulmane reportât le prélèvement de la jizyah jusqu’à ce que les produits agricoles mûrissent et que les dhimmis pussent payer la jizyah sans peine. Abû `Ubaydah dit : "En remettant le paiement de la jizyah jusqu’à la récolte, nous visons à dégrever les dhimmis." [10]

L’Etat musulman était toujours indulgent et bienveillant dans la perception de la jizyah. L’un des agents de `Umar Ibn Al-Khattâb lui présenta les sommes perçues en termes de jizyah ; `Umar les trouvant très élevées dit à son agent : "Auriez-vous accablé les gens ?" L’agent répondit : "Non. Par Dieu, nous n’avons perçu la jizyah de la part des dhimmis que de leur plein gré." Umar demanda : "Sans fouet, ni flèche ?" L’agent confirma : "Sans fouet, ni flèche." Umar dit : "Louanges à Dieu Qui n’a pas voulu que ces procédés [11] soient accomplis par moi ou sous mon règne."

Source : http://www.islamophile.org/spip/La-capitation-et-l-impot-foncier.html

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Carl Michel



Ca montre que la conscience morale de certains musulmans étaient (et c'est le cas encore aujourd'hui) meilleure que celle du Coran et des Hadiths pour changer ce qui est enseigné à observer. Les musulmans de l'Islam en dehors de leur pays d'origine étaient des conquérants qui imposaient leur idéologie religieuse et leur domination économique en d'autres pays par la menasse ou la violence. Toutes autres stratégies de tolérance envers les conquis étaient d'ordre d'avantage économique en les gardant toujours comme des citoyens de seconde classe (dhimmis), n'ayant droit en règle générale à aucune fonction publique majeur, ni joindre l'armé, ni à l'expansion de leur religion. Ce phénomène existe toujours aujourd'hui dans les pays où la charia de l''Islam est dominante.


Rien n'obligeait ces conquérants à désarmer et à imposer une taxe de protection sur ces populations conquises si il y avait vraiment eu (comme votre texte veut nous faire croire) une collaboration de tolérance réelle entre eux. Ils auraient été d'égale à égale socialement parlant avec une liberté de conscience religieuse.

C'est clair! L'Islam est une idéologie de pilleurs comme toutes celles des autres brigands dans le monde qui envient l'avoir des autres peuples. Sa religion n'est qu'un prétexte à justifier leurs voles.


La seule vrai religion de Dieu c'est celle de Jésus-Christ par son Évangile qui définit tous ses commandements à une vie charitable dans la justice et la vérité envers tous les hommes (incluant ses ennemis) qui au départ se manifeste fondamentalement à accorder le droit de conscience à chaque homme.





samuel

samuel
Administrateur

Cette impôt faisait vivre les musulmans et pas autre chose.
Ce n'est pas normal de taxer des gens qui ne sont pas de la religion dominante.
Alors essayer de justifier cela et quand même un comble.

13Le Pacte de Umar Ibn Al-Khattab aux habitants de Jérusalem Empty Omar Ibn Al-Khattab Mar 27 Nov - 20:53

Talab-al-ilm

Talab-al-ilm

Bonjour Carl Michel

Je crois que que vous êtes mal informé sur le sujet, voici le fondement intellectuel de la tolérance chez les musulmans :

http://www.islamophile.org/spip/Le-fondement-intellectuel-de-la.html

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Carl Michel



Talab-al-ilm a écrit:Bonjour Carl Michel

Je crois que que vous êtes mal informé sur le sujet, voici le fondement intellectuel de la tolérance chez les musulmans :

http://www.islamophile.org/spip/Le-fondement-intellectuel-de-la.html

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Vous êtes un ignorant de votre religion ou un hypocrite qui souhaite que vos interlocuteurs aient un manque de connaissance sur la perversité de votre religion.
Les versets qui sont cités dans cette ouvrage ne correspondent qu'à des versets abrogés par les versets ajoutés plus tard qui demandent de faire la guerre aux juifs et aux chrétiens. C'est pourquoi au temps de Mohammed tous les juifs et chrétiens ont été tués ou expulsés de l'Arabie Saoudite.

15Le Pacte de Umar Ibn Al-Khattab aux habitants de Jérusalem Empty Omar Ibn Al-Khattab Mer 28 Nov - 2:47

Talab-al-ilm

Talab-al-ilm

Bonjour Carl Michel

Les attaques personnelles relèvent du fait que vous n'avez pas d'arguments. Dans ce forum on doit débattre au niveau des idées et non pas se lancer des sobriquets et insultes entre personnes. Si vous n'avez pas les bases pour appréhender un dialogue sérieux alors il vaut mieux pour vous d'aller ailleurs.

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