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L'Allemagne commémore la «Nuit de cristal» et craint un regain d'antisémitisme 80 ans après

2 participants

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Josué

Josué
Administrateur

[size=33]L'Allemagne commémore la «Nuit de cristal» et craint un regain d'antisémitisme 80 ans après[/size]

COMMEMORATIONS Une forme d'antisémitisme nouvelle pour l'Allemagne fait en effet régulièrement les gros titres...

20 Minutes avec AFP
 
Publié le 09/11/18 à 10h47 — Mis à jour le 09/11/18 à 11h57




L'Allemagne commémore la «Nuit de cristal» et craint un regain d'antisémitisme 80 ans après 310x190_wagon-servi-deportation-juifs-pendant-seconde-guerre-mondiale-devant-camp-milles-bouches-rhone
Un wagon ayant servi à la déportation des juifs pendant la Seconde Guerre mondiale devant le Camp des Milles, dans les Bouches-du-Rhône. — GERARD JULIEN / AFP
Quatre-vingt-ans jour pour jour. L'Allemagne commémore, ce vendredi,  la «Nuit de cristal» et ses exactions nazies contre les Juifs, dans un contexte de crainte d'un regain d'antisémitisme.
Si plusieurs manifestations sont organisées dans tout le pays, Angela Merkel, la chancelière allemande, prononcera un discours dans une synagogue de Berlin, en présence du Conseil central des Juifs d'Allemagne.

Une Europe «divisée par les peurs, le repli nationaliste»


Plus de 1.400 lieux de culte incendiés dans toute l'Allemagne, des magasins tenus par des Juifs saccagés et pillés, au moins 91 personnes tuées et des milliers déportées: «la Nuit de cristal» marque le passage de la discrimination des juifs à leur persécution puis leur extermination par les nazis. La propagande affirme alors qu'il s'agit d'une éruption de violence spontanée après le meurtre d'un diplomate à Paris. Mais elle a en réalité été planifiée au plus haut niveau de la hiérarchie nazie.
Cette commémoration, qui se télescope avec le centenaire de l'Armistice de la Première Guerre mondiale et de la fin de l'Empire allemand, intervient dans un contexte trouble en Allemagne. Il y a tout juste un an entrait au Bundestag une formation d'extrême droite, l'Alternative pour l'Allemagne (AfD). Et en août, la ville de Chemnitz (ex-Allemagne de l'Est) était le théâtre de manifestations et violences xénophobes. Le président français Emmanuel Macron s'est lui dit «frappé» le 31 octobre par la ressemblance entre la situation actuelle en Europe, «divisée par les peurs, le repli nationaliste», et celle des années 1930.

«Il est de notre devoir d'empêcher que de telles atrocités ne se reproduisent»


«Regardez comme en cinq ans la situation a évolué en Turquie, au Brésil, aux Etats-Unis, en Syrie et même ici en Allemagne, avec Chemnitz», abonde Uwe Neumärker, directeur de la Fondation en mémoire des Juifs d'Europe assassinés. «En novembre 2018, nous ne sommes pas au bord du précipice d'une autre Nuit de Cristal, mais il est de notre devoir d'empêcher que de telles atrocités ne se reproduisent», met aussi en garde le Congrès juif mondial. Une forme d'antisémitisme nouvelle pour l'Allemagne fait en effet régulièrement les gros titres, celui prêté à de nombreux migrants arabo-musulmans qui ont afflué depuis 2015.
Mais l'essor de l'extrême droite allemande a aussi remis au premier plan un antisémitisme national. L'AfD a multiplié les polémiques liées au nazisme, jugeant en particulier que l'Allemagne devait cesser son repentir pour l'extermination des juifs.  Le nombre de crimes et délits à caractère antisémite est resté néanmoins stable dans les statistiques de police, avec environ 1.400 cas recensés chaque année depuis 2015. Plus de 90% des affaires sont attribuées à l'extrême droite.

chico.

chico.

Ce fut une triste période et ne semble pas que les hommes en tire une leçon.

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Des aumôniers juifs bientôt au sein de la Bundeswehr, 75 ans après la Seconde Guerre mondiale[/size]

L’Allemagne approuve la création d’un rabbinat militaire. 70 ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, cet événement est qualifié d’historique.



  • Delphine Nerbollier (à Berlin), 
  • le 22/12/2019 à 14:06




L'Allemagne commémore la «Nuit de cristal» et craint un regain d'antisémitisme 80 ans après 20-decembre-2019-Berlin-Annegret-Kramp-Karrenbauer-ministre-Defense-droite-Josef-Schuster-president-conseil-central-juifs-dAllemagne_0_729_486



Le 20 décembre 2019, à Berlin, Annegret Kramp-Karrenbauer, ministre de la Défense, et à droite, Josef Schuster, le président du conseil central des juifs d’Allemagne [size=12]GREGOR FISCHER/DPA/PICTURE-ALLIANCE
[/size]
La ministre allemande de la défense, Annegret Kramp-Karrenbauer, et le président du Conseil central des juifs d’Allemagne, Josef Schuster, semblaient émus vendredi 20 décembre lorsqu’ils ont signé à Berlin un accord instituant la création d’un rabbinat militaire au sein de la Bundeswehr. L’événement a été qualifié « d’historique » par les deux parties qui, depuis la Seconde Guerre mondiale et l’implication de la Wehrmacht dans le génocide juif, entretiennent des relations complexes.

Trois cents seulement de confession juive


Une fois le texte approuvé par le Bundestag au cours de l’année prochaine, dix aumôniers de confession juive rejoindront leurs 200 collègues catholiques et protestants qui officient au sein de la Bundeswehr depuis 1957. Si à l’époque, 98 % des soldats allemands étaient chrétiens, ils n’en représentent aujourd’hui plus que la moitié (à parts égales entre catholiques et protestants) des 180 000 recrues. La plupart sans confession déclarée, 300 seulement de confession juive et 1 600 de confession musulmane.

« Il était temps que nos soldats de confession juive bénéficient du soutien d’aumôniers », a lancé la ministre de la défense en rappelant « l’histoire brisée » qui lie les forces armées allemandes à la communauté juive. « Ce traité est un signe de la diversité de nos forces armées. Il est le signe que la judéité est chez elle au sein de la Bundeswehr », a-t-elle ajouté.

Les plus âgés sont sceptiques


Le lieutenant-colonel Rainer Hoffmann, président de l’association des soldats juifs, aujourd’hui âgé de 73 ans, voit dans cet accord « une chance incroyable » pour les soldats et pour la judéité au sein de des forces armées allemandes. S’il reconnaît n’avoir jamais eu besoin d’un rabbin au sein de sa caserne, il juge que leur présence devient nécessaire, alors que la Bundeswehr intervient de plus en plus à l’étranger.

Initié par le Conseil central des juifs d’Allemagne, cet accord suscite des doutes parmi les 250 000 membres de la communauté. « Les générations les plus âgées sont sceptiques, reconnaît Daniel Botmann, le directeur général du Conseil central. Pour elles, la Bundeswehr est l’institution qui a succédé à la Wehrmacht et ils en ressentent encore une grande peur. Les plus jeunes en revanche voient la Bundeswehr comme un employeur attractif. La présence de soldats juifs devient de facto une nouvelle réalité. Il n’est toutefois pas anodin de vouloir devenir une part active des forces armées allemandes lorsque l’on est juif », confie-t-il.

Représentation des courants orthodoxes et libéraux


Pour Julian Chaim Soussan, rabbin à Francfort, dont le frère est aumônier militaire dans les forces armées américaines, la création de ce rabbinat militaire est une manière pour les juifs d’Allemagne de « s’impliquer de manière active dans la Bundeswehr » au moment où l’antisémitisme progresse. « Quand j’avais 18 ans, il était impensable de devenir soldat en Allemagne, reconnait-il. Or maintenant que la génération des responsables de la Shoah disparaît, il est temps de s’impliquer et d’être visibles au sein de la Bundeswehr », juge-t-il.
Cet accord soulève par ailleurs des questions d’ordre organisationnel, sur le choix des aumôniers et la représentation des courants orthodoxes et libéraux. Le rabbin Walter Homolka, représentant du courant libéral, se veut optimiste : « Cela sera une grande chance pour un travail en commun ».
La ministre de la défense dit désormais qu’elle espère pouvoir rapidement passer un accord similaire avec la communauté musulmane. Le projet achoppe toutefois à ce jour par manque d’interlocuteur.

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Vives réactions après les propos de Mélenchon sur Jésus crucifié par « ses propres compatriotes »[/size]

Dans une interview sur BFMTV, le député LFI a affirmé que Jésus avait été mis sur la croix par « ses propres compatriotes ». Des propos qui font réagir largement la communauté juive, mais aussi l’Amitié judéo-chrétienne de France, inquiets de l’antisémitisme véhiculé par cette vision erronée de la crucifixion.


  • Clémence Houdaille, 
  • le 17/07/2020 à 15:19



Lecture en 2 min.
L'Allemagne commémore la «Nuit de cristal» et craint un regain d'antisémitisme 80 ans après Jean-Luc-Melenchon-critique-communautes-juivesdes-propos-juges-antisemites_0_730_472



Jean-Luc Melenchon est critiqué par les communautés juives pour des propos jugés antisémites.[size=12]AURELIEN MORISSARD/IP3 PRESS/MAXPPP

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