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La canonisation de tous les papes du Concile Vatican II

2 participants

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Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
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Une quasi-obligation : la canonisation de tous les papes du Concile Vatican II


La canonisation de tous les papes du Concile Vatican II Img_0557-5419e71
Quelques jours après qu’un miracle(1) vient de lui être attribué, la canonisation de Paul VI semble être entendue. Au terme d’une rencontre avec les prêtres et les diacres du diocèse de Rome, Mgr Angelo De Donatis, évêque auxiliaire de Rome, a remis aux prêtres et diacres un recueil de méditations de pontifes. “Je l’ai vu et il m’a beaucoup plu“, a déclaré le pape François.

Parmi les pontifes cités, a-t-il poursuivi, deux sont “déjà saints“, Jean XXIII et Jean Paul II.

La canonisation de tous les papes du Concile Vatican II Img_0554-5419e74
&
La canonisation de tous les papes du Concile Vatican II Img_0561-5419e7a

Quant à Paul VI, “il le sera cette année“, a alors informé le chef de l’Eglise catholique. Et tandis que la cause de béatification de Jean Paul Ier est en cours, “Benoît et moi sommes en liste d’attente“, a plaisanté le pape François.

Originaire de Brescia, le pape de l’encyclique Humanae vitae (1968) portantsur les méthodes naturelles de procréation et le mariage, avait été béatifié le 19 octobre 2014 par le pape François, pendant le premier synode sur la famille.

C'est aussi est aussi le pape qui mena le concile Vatican II à son terme, introduisant dans l’Eglise un libéralisme doctrinal qui s’exprime par des erreurs comme la liberté religieuse (2), la collégialité et l’œcuménisme.

Il s’en est suivi un trouble que lui-même a reconnu, le 7 décembre 1969 :
« L’Eglise se trouve dans une heure d’inquiétude, d’autocritique, on dirait même d’autodestruction. Comme si l’Eglise se frappait elle-même. »


L’année suivante, il avouait :
« Dans de nombreux domaines, le Concile ne nous a pas donné jusqu’à présent la tranquillité, mais il a plutôt suscité des troubles et des problèmes non utiles au renforcement du Royaume de Dieu dans l’Eglise et dans les âmes ».


Jusqu’à ce cri d’alarme du 29 juin 1972 :
« La fumée de Satan est entrée par quelque fissure dans le temple de Dieu : le doute, l’incertitude, la problématique, l’inquiétude, l’insatisfaction, l’affrontement se font jour… » .

Mais il ne fit qu’un constat, sans prendre de mesures propres à arrêter cette autodestruction.

Ce récent développement permet de soulever une nouvelle fois la question de l'évolution des procédures de béatification et de canonisation, ainsi que l’abbé Jean-Michel Gleize l’a déjà souligné dans son étude Doutes sur la canonisation de Jean XXIII et de Jean-Paul II (3).

Devant l'histoire, le pontificat du pape Paul VI (1963-1978) restera celui du concile Vatican II et de son application, qui amenèrent la révolution dans l'Eglise.

Parmi les principales réformes engagées, citons la nouvelle messe dont l'esprit et le rite se rapprochent dangereusement de la Cène protestante ; un faux œcuménisme qui ignore la véritable unité de l'Eglise ; l'aggiornamento général qui abolit les traditions vénérables des ordres et des congrégations en remettant en cause la vie sacerdotale et religieuse ; la crise durable de l'Eglise, avec l'effondrement de la foi et des vocations, de l'esprit catholique dans l'éducation, la morale et la pratique religieuse sous tous ses aspects, etc. Pape torturé, en proie au doute et inquiet, Paul VI prétendit au consistoire de 1976 interdire la messe de saint Pie V, et persécuta la réaction légitime de la Tradition, qui opposait vingt siècles de vie et d'enseignement de l'Eglise à la révolution conciliaire."

La cérémonie de canonisation devrait se dérouler pendant le synode des jeunes (3-28 octobre 2018), a encore précisé Vatican Insider. Le pape François avait béatifié Paul VI (1897-1978), le 19 octobre 2014, au terme du premier synode catastrophique des évêques sur la famille.
La canonisation de tous les papes du Concile Vatican II Img_0559-5419e6d

Toutes ces canonisations à marche forcée des papes dits du Concile Vatican II ressemblent furieusement à la politique de la terre brûlée : créer les conditions d'un impossible retour en arrière...

Seul le pape émérite Benoît XVI toujours en vie constate combien il a été mis de côté et tout son pontificat détruit en une seule petite année par son remplaçant François.
La canonisation de tous les papes du Concile Vatican II Img_0568-5419ead

Sources :
Vatican Insider / La Croix / Familles chrétiennes du 25 février 2018

Notes
(1) Le miracle en lui-même, survenu en 2014, serait intervenu « par l’intercession » de Paul VI qui est mort à Castelgandolfo en 1978. La mère de l’enfant, originaire de Vérone, en Italie, a été priée au sanctuaire des Grâces de Brescia, un lieu de dévotion de Giovanni Battista Montini. Au cinquième mois de grossesse elle subit une rupture du placenta, un fait qui aurait pu compromettre la vie de la maman et du bébé. La maman, qui ne veut pas avoir recours à l’avortement préconisé par le médecin, prie alors, à côté d’une religieuse, au sanctuaire cité. Amanda est née au 6e mois de grossesse et a grandi depuis sans aucun problème grâce donc à l’intercession de Paul VI qui a été « béatifié » par François le 19 octobre 2014. Mais est-ce un miracle, telle est la question qui se pose ? Puisque un décollement placentaire n’est pas toujours mortel ni pour l’enfant ni pour la mère et peut-être compatible avec la poursuite de la grossesse.
(2) Voir Nostra Aetate.
(3) Etude complète in Le Courrier de Rome n° 531 de février 2011

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

Josué

Josué
Administrateur

[size=64]REINFORMATION.TV

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[size=36]La phrase : « Nous autres chrétiens avons été sauvés par Jésus-Christ, et en ce moment, par le pape François »
21 mars 2018 13 h 30 min·
La canonisation de tous les papes du Concile Vatican II Nous-chr%C3%A9tiens-sauv%C3%A9s-J%C3%A9sus-Christ-pape-Fran%C3%A7ois-e1521662458347
 
C’est une religieuse dominicaine argentine connue pour ses déclarations politiques incendiaires de soutien au séparatisme catalan qui vient de prononcer ces mots pour le moins étonnants.
 
Sœur Lucia Caram s’exprimait au micro de NacióDigital.
 
Elle voit dans François « un souffle d’air frais », « Ce n’est pas un produit de marketing, c’est quelqu’un qui croit en l’Evangile ». « Fantastique ! (…) Il est austère et il veut une Eglise pauvre. »
 
Si c’est tellement nouveau, les papes précédents étaient-ils peut-être des « produits de marketing » ?
[/size]

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

La phrase de cette mystico-dinguo sœur Lucia Caram « Nous autres chrétiens avons été sauvés par Jésus-Christ, et en ce moment, par le pape François » est minable. Nous sommes tous bien d'accord.

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

Les erreurs de Vatican II



Par le Concile Vatican II (1961 – 1965), cette nouvelle église, qui se fait appeler « Conciliaire », entérine ces mêmes faux principes et les assimile, sous la forme de Liberté Religieuse, de Collégialité et d’Œcuménisme, faisant fi de vingt siècles de Magistère Catholique : l’esprit démocratique était passé dans l’église !
Comme le disait le Père Congar, moderniste de son état, créé Cardinal depuis :  « Avec le Concile Vatican II, l’église a fait tranquillement sa révolution d’Octobre ».

Pour faire passer la pilule, Jean XXIII avait précisé que le Concile Vatican II n’était que pastoral, mais après sa promulgation, Paul VI a essayé de nous faire croire que ce Concile était en fait plus important que les Conciles de Nicée et de Trente, avec valeur dogmatique !

De son côté, le Cardinal Ratzinger reconnaissait dès 1983 que le Concile Vatican II était une sorte de « contre-Syllabus » !
« Malheur à vous qui dites que le bien est le mal et que le mal est le bien ». Il est clair que ce Concile se constitue en une anti-église, c’est à dire l’antithèse de l’Église Catholique, posant les bases d’une religion nouvelle destinée princi- palement à exalter la personne humaine: si Dieu S’est fait homme, le Concile a voulu faire de l’homme un nouveau dieu !

Comme le disait Paul VI : « Nous avons plus que tout autre le culte de l’homme ».
Citons de nouveau Mgr de Castro Mayer : « Qui adhère à Vatican II, sans restriction, par ce seul fait, se détache de la véritable Église du Christ. Personne ne peut en même temps être Catholique et souscrire à tout ce qu’a établi le Concile Vatican II. La meilleure manière d’abandonner l’Église du Christ, Catholique, Apostolique et Romaine, est d’accepter sans réserves ce qu’a enseigné le Concile Vatican II ». Mgr Lefebvre n’aurait pas dit mieux !
Hélas, ceux qui ont signé le Motu Proprio de 1988, les « Ralliés » de toutes sortes n’ont pas vu le piège, ont reconnu le caractère orthodoxe de Vatican II, et ont rejoint le giron de l’église conciliaire !

C’est donc bien sur l’adhésion ou le refus du Concile dans sa totalité que se situe aujourd’hui la vraie ligne de fracture entre Catholiques ! Il faut comprendre que toutes les absurdités théologiques actuelles sont déjà contenues dans le Concile.

De plus, il y a des textes de Vatican II qui sont entièrement contraires à l’enseignement traditionnel de l’Église Catholique, et qui ne pourront donc jamais être compris à la lumière de la Tradition ! Nous pouvons accepter les textes de Vatican II qui sont conformes à la Tradition (si le Concile précise quelque part qu’il y a trois Personnes dans la Sainte Trinité, nous sommes d’accord), mais nous ne pouvons accepter Vatican II dans son ensemble à la lumière de la Tradition.

LA NOUVELLE ECCLESIOLOGIE CONCILIAIRE
Nous pouvons résumer les erreurs du Concile Vatican II en quelques points, suivant en cela une excellente conférence donnée au Congrès SiSi NoNo par le Père Rifan, de Campos, avant que ce dernier ne rejoigne l’église conciliaire. 

1. L’unicité de l’Église
Dans la Constitution Lumen Gentium, il est précisé que « l’Église du Christ subsiste dans l’Église Catholique ».
Cette affirmation invraisemblable, aux conséquences œcuméniques redou- tables, est reprise telle quelle dans le nouveau Code de Droit Canonique de 1983, au canon 204, § 2. Il est clair que pour Vatican II, l’Église du Christ et l’Église Catholique ne sont pas une seule et même entité. Il y a donc de la place pour les autres « églises » qui ont toutes des valeurs de salut.
Mais, l’Église Catholique et l’Église du Christ sont une seule et même chose, en dehors de laquelle il ne peut y avoir de salut !

2. L’unité de l’Église
Dans de nombreux textes conciliaires (surtout Unitatis Redintegratio), on trouve l’idée qu’il faut espérer « que l’unité de l’Église s’accroîtra de jour en jour jusqu’à la consommation des siècles ».
Mais, pour un Catholique, l’unité de l’Église n’est pas à réaliser, vu qu’elle existe déjà !

3. La notion d’Église
On retrouve dans de très nombreux documents conciliaires la notion « que l’Église est le peuple de Dieu en général ; il faut rechercher une vraie union dans l’esprit avec les frères séparés » (Lumen Gentium, Unitas Redintegratio).
Ce concept laisse transparaître un sens latitudinaire, un faux œcuménisme, insinuant que le protestantisme n’est autre chose qu’une forme particulière de la même religion chrétienne.
Mais, les « frères séparés » ne sont rien d’autre que des membres de sectes hérétiques, sarments coupés du cep, et donc sans sève. L’église n’est pas le simple « peuple de Dieu », mais la congrégation de tous ceux qui sont baptisés, qui croient et professent la Foi Catholique, participent aux mêmes Sacrements, et qui reconnaissent le Pape comme Vicaire du Christ sur la terre.

4. L’Incarnation, la Rédemption universelle
«L’union du Christ est réalisée avec tout homme par l’Incarnation ; par Son Incarnation, le Fils de Dieu S’est en quelque sorte uni Lui-même à tout homme » (Catéchisme de Jean- Paul II). « Le mystère pascal de la Rédemption ne vaut pas seulement pour ceux qui croient au Christ, mais bien pour tous les hommes de bonne volonté » (Gaudium et Spes).
Cette thèse préférée de Jean-Paul II aboutit logiquement à l’idée que tout homme est ami et fils de Dieu, et que la Rédemption est définitive. Les hommes sont donc tous déjà sauvés, puisque Notre Seigneur Jésus-Christ est déjà mort pour eux ; ainsi, la Rédemption, objectivement universelle, s’étend subjectivement à tous !
Mais, l’Église Catholique enseigne que seuls ceux qui sont unis au Fils de Dieu par la Charité, ou l’état de grâce, peuvent être sauvés.

5. La dignité de l’homme
« L’égalité entre tous les hommes est basée sur leur dignité personnelle et les droits qui en découlent. Toute forme d’inégalité qui se base sur la religion doit être éliminée » (Gaudium et Spes).
Le Baptême, la grâce, l’Église, ... tout devient secondaire et facultatif !

6. La liberté religieuse
« La personne humaine a droit à la liberté religieuse ; ce droit de la personne humaine à la liberté religieuse a son fondement dans la dignité même de la personne humaine, et doit être reconnu dans l’ordre juridique de la société, de telle manière qu’il constitue un droit civil » (Dignitas Humanae).
Nous avons déjà vu plus haut que la liberté de conscience ou liberté religieuse a été condamnée infailliblement par le Pape Pie IX en 1864. Si la liberté religieuse est bonne, alors chacun est libre d’établir sa propre liste de Commandements et le péché n’existe plus ! Dieu devient facultatif, et chacun peut se tailler un dieu à sa mesure.

7. L’homme
Le Concile Vatican II prêche un humanisme total, l’homme devenant principe et fin de tout : « La personne humaine représente le but ultime de la société » (Catéchisme de Jean-Paul II).
Mais, si l’homme est le principe et fondement de l’église conciliaire, pour l’Église Catholique, Dieu est ce principe et fondement : l’homme a été créé pour louer, honorer, servir Dieu et sauver son âme.

8. L’œcuménisme
D’après le Concile, « tous les hommes appartiennent à l’unité Catholique du peuple de Dieu sous diverses formes, ou lui sont ordonnés. Il faut avoir un respect sincère pour les diverses religions qui apportent souvent un rayon de la vérité qui illumine tous les hommes. Beaucoup d’éléments de sanctification et de vérité existent en dehors des limites visibles de l’Église Catholique ; l’esprit du Christ se sert de ces églises et communautés ecclésiales comme moyens de salut. L’Église Catholique considère avec un respect sincère les manières d’agir et de vivre de l’islamisme, du bouddhisme, du judaïsme » (Nostra Aetate, Lumen Gentium, Unitas Redintegratio).
On retrouve ici l’esprit de la scandaleuse réunion œcuménique d’Assise en 1986, laquelle n’est rien d’autre que l’interprétation pratique du Concile Vatican II, d’après Jean-Paul II lui-même. C’est aussi sous cet angle qu’il faut comprendre la nouvelle messe œcuménique de 1969.

9. Recherche, dialogue, inculturation
Il faudrait donc respecter la polygamie et l’immoralité de l’islam !
Certes, ces religions peuvent conserver des éléments sains, des restes de la religion naturelle, occasions accidentelles de salut. Toutes les religions ne se valent pas, car hors de l’unique Église instituée par l’unique vrai Dieu, il ne peut y avoir de salut.

▶️▶️▶️ On ne peut dire que toute erreur a une part de vérité. Si je dis 2+2=5, ce n’est pas en partie vrai, c’est faux !
« La vérité doit être cherchée au moyen d’un échange et d’un dialogue, afin que certains exposent aux autres la vérité qu’ils ont trouvée, ou qu’ils pensent avoir trouvée, pour s’aider mutuellement dans la recherche de la vérité » (Dignitas Humanae).

C’est clair : le croyant doit être en recherche parce que personne ne peut être certain de la vérité ; nous sommes en plein subjectivisme, agnosticisme et syncrétisme religieux. Saint Paul parlait déjà des faux docteurs qui sont toujours en train d’apprendre, sans jamais parvenir à la connaissance de la vérité (2 Tim 3, 7).
Notre Seigneur répond : « Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné » (Mat 16, 15).
Source

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