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Accusé de « blasphème » au Pakistan

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Josué

Josué
Administrateur

Décapitez-le ! » 3.000 musulmans ont réclamé l’exécution de Patras Masih, accusé de « blasphème » au Pakistan
21 février 2018 14 h 00 min·
3000 musulmans exécution Patras Masih blasphème Pakistan

Le jeune homme de 17 ans avait perdu son téléphone portable ; en le récupérant, il a constaté qu’il y avait des propos « blasphématoires » à l’égard de l’islam sur sa page Facebook. Contenu dont il affirme ne pas être responsable mais que des musulmans ont vite « découvert ».

Mais une manifestation organisée contre lui dans son village de Dhair, dans le Lahore au Pakistan à mobiliser jusqu’à 3.000 musulmans en colère lundi, qui brandissaient des slogans tout en hurlant à la mort pour réclamer la décapitation de l’adolescent.

Les autorités locales ont confirmé que la foule avait même rassemblé des bidons d’essence pour mettre le feu aux maisons chrétiennes des environs, poussant les habitants à fuir. On parle de scènes de pillage dans les maisons laissées vides.

Patras Masih a tout fait pour désamorcer une possible déflagration en se rendant volontairement aux autorités locales pour empêcher que les extrémistes ne s’en prennent à ses frères chrétiens, selon la British Pakistani Christian Association.

Le blasphème contre l’islam et son « Prophète » est puni de mort au Pakistan. Si l’on n’a pas enregistré pour l’heure d’exécution, nombre de personnes, parmi lesquelles de nombreux chrétiens, croupissent dans les prisons après avoir été condamnés de ce chef – on pense à Asia Bibi – et des centaines de personnes sont en attente de jugement.


Josué

Josué
Administrateur

[size=34]Malala, inlassable militante des droits des femmes[/size]



  • Actualité


 Par AFP , publié le 29/03/2018 à 08:04 , mis à jour à 08:04
 Accusé de « blasphème » au Pakistan La-jeune-pakistanaise-malala-yousafzai-le-9-decembre-2014-a-oslo-pour-recevoir-son-prix-nobel-de-la-paix_6036894
La jeune Pakistanaise Malala Yousafzai, le 9 décembre 2014 à Oslo, pour recevoir son prix Nobel de la Paix
 
afp.com/Odd Andersen


Islamabad - Malala Yousafzaï, de retour pour la première fois dans son Pakistan natal, cinq ans après avoir réchappé à une attaque des talibans, est la plus jeune lauréate d'un prix Nobel et une militante obstinée des droits des femmes.


L'histoire de cette jeune fille de 20 ans originaire de la verdoyante vallée de Swat, dans le nord-ouest du Pakistan, laisse peu de monde indifférent tant en Occident où elle est célébrée que chez elle où son image est plus brouillée. 
Le 9 octobre 2012, des islamistes font irruption dans son bus scolaire à la sortie des classes. L'un d'eux demande: "qui est Malala?". Puis il lui tire une balle dans la tête. 


Le projectile ressort par la nuque. Entre la vie et la mort, l'adolescente est évacuée dans un hôpital de Birmingham, au Royaume-Uni, où elle reprend conscience six jours plus tard.  
Elle vit depuis au Royaume-Uni avec sa famille et a été admise cette année dans la prestigieuse université d'Oxford.  

"J'étais terrifiée. La seule chose que je savais, c'est qu'Allah m'avait bénie en m'accordant une nouvelle vie", a raconté l'adolescente dans son autobiographie "Moi, Malala", un best-seller international en partie boudé dans son Pakistan natal. 
Depuis son départ du Pakistan, elle a pris une toute autre dimension, n'hésitant pas malgré son jeune âge à exhorter les dirigeants des plus grandes puissances mondiales à "envoyer des livres, pas des armes!" dans les pays pauvres au nom des "enfants sans voix", dont elle se veut la porte-voix. 
Long voile traditionnel tombant sur ses cheveux bruns, joues rondes et teint hâlé, regard franc et lumineux, Malala a commencé son combat en 2007, lorsque les talibans imposent leur loi sanglante dans sa vallée de Swat, autrefois paisible région touristique des contreforts de l'Himalaya. 
Du haut de ses 11 ans, Malala, fille d'un directeur d'école qui exerce sur elle une énorme influence et d'une mère illettrée, alimente un blog sur le site de la BBC en ourdou, la langue nationale. Sous le pseudonyme de Gul Makai, elle y décrit le climat de peur régnant dans sa vallée. 
Le nom de cette gamine pleine de sang-froid, amoureuse des livres et du savoir, commence à circuler à Swat, puis dans le reste du pays lorsqu'elle remporte un prix national pour la paix. 
- "Agent des Etats-Unis" - 
Les talibans, délogés de sa vallée par l'armée en 2009, décident alors d'éliminer celle qu'ils accusent de véhiculer "la propagande occidentale". L'attaque aura l'effet inverse: elle choque au Pakistan, et encore plus à l'étranger, notamment en Occident où elle devient du jour au lendemain une star. 
Portrait exposé à la National Gallery de Londres, autobiographie au lancement planétaire, conférences internationales, rencontres avec des chefs d'Etat: Malala est désormais une icône mondiale qui profite de ces tribunes prestigieuses pour faire passer ses messages humanistes.  
Et si la presse pakistanaise a salué dans une rare unanimité son prix Nobel de la paix, remporté ex-aequo avec l'Indien Kailash Satyarthi, militant contre l'esclavage des enfants qui ravage le sous-continent, son hyper-médiatisation ne plaît pas à tous. 
Au Pakistan, les cercles islamistes et une partie importante de l'opinion publique voient en elle un "agent des Etats-Unis" ou "de l'Occident" créé de toutes pièces pour corrompre la jeunesse locale et propager une culture anti-islamique. 
La jeune fille, chez qui l'attaque a laissé une légère paralysie faciale, leur répond que "la plume est plus forte que l'épée" et qu'elle ne ressent "aucune haine envers le taliban" qui l'a attaquée. 
Malala dit rêver de devenir un jour femme politique au Pakistan. Lors d'un discours à l'ONU à l'été 2013, elle portait un châle ayant appartenu à la "martyre" Benazir Bhutto, la seule femme à avoir été Premier ministre du "pays des purs", assassinée fin 2007 peu de temps après son retour d'exil. 

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Dans 71 pays, le blasphème est puni par la loi[/size]

Un rapport publié en juillet par l’USCIRF, agence fédérale américaine chargée de la liberté religieuse, recense et analyse les dispositifs légaux recensés dans 71 pays.
Spécialiste des droits de l’homme et auteure de ce rapport, la Suissesse Joëlle Fiss appelle son pays à « abroger sa loi anti-blasphème ».



  • Anne-Bénédicte Hoffner, 
  • le 18/10/2017 à 15:00



 Accusé de « blasphème » au Pakistan Eglise-Mariager-Danemark-Danemark-abroge-vendredi-2-delit-blaspheme_0

Eglise de Mariager au Danemark. Le Danemark a abrogé vendredi 2 juin le délit de blasphème.[size=12]BERND THISSEN/PICTURE-ALLIANCE/DPA/AP IM
[/size]



Début 2017, 71 pays « de toutes les régions du monde » étaient encore dotés d’une loi réprimant le blasphème. 25,4 % d’entre eux sont situés au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, 22,5 % en Europe, 15,5 % en Afrique subsaharienne et 11,2 % sur le continent américain. Depuis, deux pays – Malte et le Danemark en juin – ont supprimé cette disposition de leur législation.
À la demande de la commission des États-Unis sur la liberté religieuse (USCIRF), deux chercheuses – Joëlle Fiss et Jocelyn Getgen Kestenbaum – ont mené une étude sur les lois « anti-blasphème » dans le monde.

Publié en juillet, [url=http://www.uscirf.gov/sites/default/files/Blasphemy Laws Report.pdf][/url]leur rapport était présenté mardi 17 octobre à Washington lors d’un colloque organisé par l’USCIRF et le Conseil musulman pour les affaires publiques (MPAC). L’objectif était d’étudier « l’utilisation de ces lois dans certains pays pour étouffer toute dissidence », les « abus du blasphème dans le monde musulman aujourd’hui », mais aussi de « nouvelles tendances » comme cette loi Yarovaya adoptée par la Russie en 2016 dans le cadre de la lutte anti-terroriste et qui réprime les « activités missionnaires ».
La nouveauté du rapport, en effet, est de proposer un classement des dispositifs législatifs en fonction de leur caractère liberticide. Chaque pays est noté sur 80 points (plus son score est proche de 0 et plus il respecte les droits de l’homme).

Série d’indicateurs


La loi est évaluée selon une série d’indicateurs, permettant d’apprécier si elle risque d’enclencher des abus en matière de droits de l’homme. « Par exemple, peut-elle menacer la liberté d’expression ou la liberté de religion ou de croyance ? Discrimine-t-elle les groupes minoritaires ? La loi vise-t-elle à protéger la religion d’État au détriment des citoyens ? », explique Joëlle Fiss, dans une tribune publiée lundi 16 octobre par le quotidien suisse Le temps.
À lire aussi

La liberté religieuse recule dans le monde

 Accusé de « blasphème » au Pakistan Tatar-mosquee-Sary-Su-Crimee-octobre-2014_0


Selon les conclusions du rapport, « toutes ces lois, sans exception, dérogent aux principes de la liberté d’expression ». « Les États s’érigent en arbitres de la’vérité’, déterminant ce qui est offensant au sacré » et compromettant « un débat libre et nuancé sur la religion », souligne la chercheuse, spécialiste des droits de l’homme. « Or, dans un monde où la violence au nom de la religion abonde, les débats nuancés autour de la religion sont d’autant plus nécessaires dans l’espace public. »
Parmi les moins bien notés, 5 ont également une religion d’État.
À lire aussi

Tour d’Europe du délit de blasphème

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Les pays qui ont obtenu les scores les plus médiocres sont, dans l’ordre, l’Iran, le Pakistan, le Yémen, la Somalie, le Qatar, l’Égypte et l’Italie.

Formulation vague


La sanction la plus fréquente est l’emprisonnement (86 % des États le prévoient). Quelques lois y ajoutent les coups de fouet, le travail forcé, voire la peine de mort.
Sources de nombreuses injustices, les lois sur le blasphème sont souvent « formulées de manière vague ». Bien peu précisent l’espace – public ou privé – dans lequel le blasphème devient punissable. Seul un tiers (33 %) des lois criminelles étudiées font de l’intentionnalité un élément pour qualifier le crime.
En Suisse – classée 61e sur 71 pays –, l’article 261 du Code pénal sanctionne « celui qui, publiquement et de façon vile, aura offensé ou bafoué les convictions d’autrui en matière de croyance, en particulier de croyance en Dieu ». Le texte ne crée aucune discrimination entre croyances, punit le blasphème d’une simple amende et n’a en outre pas été appliqué « depuis des décennies », note Joëlle Fiss dans sa tribune.
La chercheuse n’en appelle pas moins son pays à l’abroger, comme l’ont fait ces dernières années l’Islande, la Norvège, Malte et le Danemark. « Même si ces lois sont peu appliquées en Europe, leur seule existence affaiblit la main diplomatique de tous ceux qui cherchent à dénoncer leurs abus », argumente-t-elle. « Les États membres de l’Organisation de la coopération islamique accusent les démocraties libérales d’avoir’deux poids, deux mesures’lorsqu’elles critiquent ces lois, tout en gardant les leurs ».

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Au Pakistan, les catholiques saluent le geste d’apaisement de la Cour suprême sur le blasphème [/size]
Analyse 
La Cour suprême du Pakistan a demandé au gouvernement de ce pays à très forte majorité musulmane de faire preuve de souplesse dans le traitement des cas de blasphème passibles de la peine de mort. Chez les catholiques, l’une des minorités religieuses visées par cette législation, des voix saluent ce message de modération.


  • Ivan Fernandes (La Croix International), 
  • le 19/09/2022 à 18:56

 Accusé de « blasphème » au Pakistan Penal-pakistanais-prevoit-lemprisonnement-vietoute-diffamation-prophete-lislam_0



Le code pénal pakistanais prévoit la mort ou l’emprisonnement à vie pour toute diffamation du prophète de l’islam.AAMIR QURESHI/AFP

Soulagement dans les rangs catholiques du Pakistan, l’une des minorités religieuses du pays (1,3 % de la population), dont des membres sont régulièrement accusés de blasphème à l’égard de l’islam, religion d’État. Dans un arrêt daté de début septembre, la Cour suprême pakistanaise a demandé au gouvernement

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