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Nouveau massacre de masse aux USA

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Mikael
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papy
Josué
Marmhonie
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Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
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Rappel du premier message :

17 morts dans un lycée américain: des prières, pas d'explication



Elus et policiers n'avaient que des prières et aucune explication à offrir mercredi soir aux proches des 17 personnes abattues de rafales de fusil d'assaut par un jeune homme de 19 ans dans un lycée de Floride.

"C'est juste le mal à l'état pur", a lâché le gouverneur de Floride, Rick Scott, lors d'un point de presse à Parkland, en guise de maigre explication pour ce qui est l'une des pires tueries aux Etats-Unis depuis un quart de siècle.

Le shérif local a fait aveu d'impuissance. "Si quelqu'un veut vraiment commettre un carnage, il n'y a pas grand chose que l'on puisse ou que les forces de l'ordre puissent faire", a déclaré Scott Israel.

Nikolas Cruz --identifié précédemment par la police comme Nikolaus Cruz-- a choisi la Saint-Valentin, la fête de l'amour, pour se rendre à Marjory Stoneman Douglas, son ancien lycée d'où il avait été expulsé, et ouvrir le feu avec un de ces fusils d'assaut AR-15 semi-automatiques, si répandus aux Etats-Unis.

Des images, filmées à l'intérieur d'une salle de classe pendant l'assaut sanglant probablement par un élève, donne une petite idée de la terreur qui s'est emparée de ce complexe scolaire qui compte près de 3.000 élèves.

On y entend des coups de feu à cadence très rapprochée, caractéristiques d'un semi-automatique et on y voit des élèves prostrés sous leur bureau ou allongés en silence, tandis que des hurlements s'élèvent plus loin.

En milieu de soirée, les autorités n'avaient toujours pas réussi à identifier 5 des 17 victimes, parmi lesquelles se trouvaient aussi bien des élèves que des enseignants. Quatorze des blessés ont été hospitalisés, parmi lesquels deux sont décédés des suites de leurs blessures. Parmi eux, un entraîneur de football.

Signes avant-coureurs
La police n'a pour l'heure livré aucun motif, mais le portrait encore très en pointillés laissait poindre un adolescent à problèmes amateurs d'armes.

"Il y a eu des problèmes quand il a menacé des étudiants l'année dernière et je pense qu'on lui a dit de quitter le campus", a déclaré au quotidien Miami Herald Jim Gard, un professeur de mathématiques qui avait eu l'élève dans sa classe.

Selon un lycéen, Nicholas Cokes, Cruz était un "solitaire" qui avait quitté l'établissement il y a quelques mois pour emménager dans le nord de l'Etat après la mort de sa mère.

Il aurait également fait une préparation militaire, selon des sources au Pentagone qui n'ont pas donné de détails.

Un autre lycéen a souligné que le tireur connaissait parfaitement les lieux et les procédures de sécurité, mises en place dans toutes les écoles aux Etats-Unis, qui simulent régulièrement une intrusion armée pour préparer leurs élèves.

Nikolas Cruz avait posté sur les réseaux sociaux des messages "très alarmants", a souligné le shérif et des images sur Instagram présentées par plusieurs médias comme le compte du tireur --avant qu'il ne soit désactivé-- montraient un homme au visage masqué coiffé d'une casquette ou d'un bonnet de l'armée de terre avec des couteaux ou encore l'image d'un fusil à pompe.

"Nous n'avons reçu aucun avertissement, aucune indication", a pourtant précisé Robert Runcie, le proviseur du lycée. "A notre connaissance, aucune menace n'avait été proférée". Quand au shérif il a répété à de multiples reprises que c'était la responsabilité de tous "de signaler des choses inhabituelles".

Elus et policiers n'avaient que des prières et aucune explication à offrir mercredi soir aux proches des 17 personnes abattues de rafales de fusil d'assaut par un jeune homme de 19 ans dans un lycée de Floride.

"C'est juste le mal à l'état pur", a lâché le gouverneur de Floride, Rick Scott, lors d'un point de presse à Parkland, en guise de maigre explication pour ce qui est l'une des pires tueries aux Etats-Unis depuis un quart de siècle.

Le shérif local a fait aveu d'impuissance. "Si quelqu'un veut vraiment commettre un carnage, il n'y a pas grand chose que l'on puisse ou que les forces de l'ordre puissent faire", a déclaré Scott Israel.

Nikolas Cruz --identifié précédemment par la police comme Nikolaus Cruz-- a choisi la Saint-Valentin, la fête de l'amour, pour se rendre à Marjory Stoneman Douglas, son ancien lycée d'où il avait été expulsé, et ouvrir le feu avec un de ces fusils d'assaut AR-15 semi-automatiques, si répandus aux Etats-Unis.

Des images, filmées à l'intérieur d'une salle de classe pendant l'assaut sanglant probablement par un élève, donne une petite idée de la terreur qui s'est emparée de ce complexe scolaire qui compte près de 3.000 élèves.

On y entend des coups de feu à cadence très rapprochée, caractéristiques d'un semi-automatique et on y voit des élèves prostrés sous leur bureau ou allongés en silence, tandis que des hurlements s'élèvent plus loin.

En milieu de soirée, les autorités n'avaient toujours pas réussi à identifier 5 des 17 victimes, parmi lesquelles se trouvaient aussi bien des élèves que des enseignants. Quatorze des blessés ont été hospitalisés, parmi lesquels deux sont décédés des suites de leurs blessures. Parmi eux, un entraîneur de football.

Signes avant-coureurs
La police n'a pour l'heure livré aucun motif, mais le portrait encore très en pointillés laissait poindre un adolescent à problèmes amateurs d'armes.

"Il y a eu des problèmes quand il a menacé des étudiants l'année dernière et je pense qu'on lui a dit de quitter le campus", a déclaré au quotidien Miami Herald Jim Gard, un professeur de mathématiques qui avait eu l'élève dans sa classe.

Selon un lycéen, Nicholas Cokes, Cruz était un "solitaire" qui avait quitté l'établissement il y a quelques mois pour emménager dans le nord de l'Etat après la mort de sa mère.

Il aurait également fait une préparation militaire, selon des sources au Pentagone qui n'ont pas donné de détails.

Un autre lycéen a souligné que le tireur connaissait parfaitement les lieux et les procédures de sécurité, mises en place dans toutes les écoles aux Etats-Unis, qui simulent régulièrement une intrusion armée pour préparer leurs élèves.

Nikolas Cruz avait posté sur les réseaux sociaux des messages "très alarmants", a souligné le shérif et des images sur Instagram présentées par plusieurs médias comme le compte du tireur --avant qu'il ne soit désactivé-- montraient un homme au visage masqué coiffé d'une casquette ou d'un bonnet de l'armée de terre avec des couteaux ou encore l'image d'un fusil à pompe.

"Nous n'avons reçu aucun avertissement, aucune indication", a pourtant précisé Robert Runcie, le proviseur du lycée. "A notre connaissance, aucune menace n'avait été proférée". Quand au shérif il a répété à de multiples reprises que c'était la responsabilité de tous "de signaler des choses inhabituelles".

Cachés dans les placards
Des témoins, dont plusieurs arboraient des coeurs et autres décorations de la Saint-Valentin --qu'enseignants et élèves célèbrent traditionnellement ensemble et avec beaucoup de ferveur dans les écoles américaines--, ont rapporté s'être cachés jusque dans les placards lorsque les coups de feu ont retenti peu avant la fin des cours, à 14H30.

"C'était la fin de la journée scolaire et l'alarme incendie s'est déclenchée. Nous avons commencé à évacuer. On pensait que c'était un exercice et après avoir fait 15, 20 pas hors de la classe on était à terre, et on se cachait dans le placard", a raconté une enseignante, Melissa Falkowski, sur CNN.

Une élève, Peri Harris, a elle raconté à la chaîne CBS Miami que "toute sa classe" avait trouvé refuge dans "un tout petit placard".

Déjà 18 fusillades
"Aucun enfant, enseignant ou quiconque, ne devrait jamais se sentir en danger dans une école américaine", a tweeté le président Donald Trump dans l'après-midi.

Le drame survenu mercredi est le dernier d'une longue série de fusillades ayant ensanglanté l'Amérique ces dernières années. A Las Vegas en octobre 2017, 58 personnes ont péri sous les balles d'un seul tireur et 49 personnes avaient été abattues dans un club gay d'Orlando en 2016.

Et les fusillades sont particulièrement récurrentes dans les écoles américaines: il y en a déjà eu 18 en 2018 en comptant celle du lycée Marjory Stoneman Douglas.

"Il s'agit de la 291e fusillade en milieu scolaire depuis le début de 2013", souligne Shannon Watts, fondatrice de "Moms Demand Action For Gun Sense In America", une organisation qui lutte contre la prolifération des armes à feu.
Source
©️ 2018 AFP

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

Lechercheur



Oui mais c'est récurent ce genre de chose en Amérique.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

La tu dérives.
Mais c'est ta tasse de thé d'agir comme cela.

Josué

Josué
Administrateur

Et Benfis tu viens de manquer un épisode car sur antenne 2, ce midi, D Trump vient de prendre position pour le lobby des armes.

Josué

Josué
Administrateur

[size=62]Fusillade au Texas : ce que l'on sait de Dimitrios Pagourtzis, l'auteur présumé de l'attaque[/size]
Dimitrios Pagourtzis, un adolescent de 17 ans a tué vendredi dix personnes dans son lycée au Texas. (OFF / SOCIAL NETWORKS / AFP)

Le jeune homme n'avait fait l'objet d'aucun signalement de la part des autorités.


Par L'Obs
Publié le 19 mai 2018 à 08h04




Qu'est-ce qui a poussé un adolescent de 17 ans à provoquer une fusillade vendredi dans son lycée de Santa Fe au Texas ? Une question que la justice va pouvoir poser au jeune homme, qui s'est rendu à la police après avoir abattu 10 personnes. L'attaque a également fait une dizaine de blessés. 
Le suspect, Dimitrios Pagourtzis, est apparu vendredi soir menotté, tête baissé, répondant simplement "oui Monsieur", "non Monsieur" aux questions d'un juge portant sur des points de procédure. Il a notamment été inculpé pour meurtres, un crime passible de la peine de mort au Texas.





[size=42]Un adolescent en retrait[/size]


Si certains de ses camarades ont évoqué un adolescent calme, qui restait dans son coin et avait peu d'amis, les raisons qui ont poussé le jeune Dimitrios à commettre ce massacre restaient, pour l'heure, inconnues.
Des informations trouvées "dans ses journaux sur son ordinateur et son téléphone" ont permis d'établir que le tireur prévoyait de se suicider après l'attaque qu'il avait planifiée, a précisé le gouverneur républicain du Texas Greg Abbott.
Un lycéen a indiqué à une chaîne de télévision locale que l'adolescent, joueur de l'équipe B de football américain, était victime de harcèlement :
"Les entraîneurs le harcelaient et l'insultaient".
Selon les autorités, il avait récemment publié une photo sur sa page Facebook d'un t-shirt noir barré des mots : "Né pour tuer". Plusieurs publications de l'adolescent indiquent une obsession pour la violence, au travers de plusieurs photos d'armes à feu et d'équipement militaire orné de symboles suprémacistes blancs.

[size=42]Pas de casier judiciaire[/size]


Le tireur a également laissé des explosifs dans une maison et un véhicule, a prévenu Greg Abbott au cours d'une conférence de presse tenue dans l'après-midi.
Quant aux armes utilisées - un pistolet et un fusil - Dimitrios Pagourtzis a récupéré ces deux armes auprès de son père (...) Je ne sais pas si le père était au courant", a expliqué le gouverneur, ajoutant qu'il les possédait légalement.
Selon le gouverneur, les signaux qui auraient pu avertir d'un passage à l'acte étaient "soit non-existants, soit très imperceptibles". Le jeune homme n'a pas de casier judiciaire et n'avait jamais été arrêté ou confronté aux forces de l'ordre.
Les enquêteurs n'ont ainsi jamais été alertés à son sujet, contrairement à l'auteur de la tuerie de Parkland qui avait été signalé au FBI avant son passage à l'acte.

[size=42]Un élève  "calme" et "brillant"[/size]


Selon le "New York Times", Dimitrios Pagourtzis faisait partie intégrante "de la communauté de Santa Fe". Il figurait au tableau d'honneur de son lycée, jouait dans l'équipe de football de son établissement. Sa famille était impliquée dans l'Eglise orthodoxe grecque de la ville. 
Interrogée par le quotidien américain, Valerie Martin, enseignante du secondaire à Santa Fe, a affirmé avoir eu comme élève Dimitrios Pagourtzis. Elle a précisé n'avoir perçu "aucun signe" qui aurait pu prédire un tel drame. Elle le voyait comme un élève "brillant", ajoutant qu'il avait récemment participé à un concours qu'organisait l'école.  
"Il était calme, mais il n'était pas silencieux d'une manière effrayante", explique-t-elle.
Une veillée de prière a été organisée à Santa Fe en hommage aux victimes. Les joueurs de l'équipe texane de baseball des Houston Astros ont respecté une minute de silence avant leur match.

[size=42]Un air de déjà vu[/size]


Le mode opératoire, l'apparence juvénile du tireur et le désarroi des adolescents filmés en train d'évacuer par les télévisions nationales donnent un air de déjà vu à cette nouvelle fusillade dans une école.
Il y a seulement trois mois, 17 personnes décédaient ainsi sous les balles d'un tireur de 19 ans dans un lycée de Parkland, en Floride, le massacre déclenchant une mobilisation nationale pour demander notamment de limiter l'accès aux armes à feu.
D'après le "Washington Post", il y a eu davantage de morts dans des établissements scolaires depuis début 2018 que chez les membres des forces armées.
M.C. (Avec AFP)

Lechercheur



Et cela ne va pas faire changer d'un iota la politique sur les armes dans ce pays.

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]VIDEO. Etats-Unis: Des milliers de manifestants contre les armes à feu à Chicago[/size]

MOBILISATION Chicago a enregistré 254 meurtres pendant les six premiers mois de l’année et 1.114 fusillades…

N.Sa avec AFP
 
Publié le 08/07/18 à 05h17 — Mis à jour le 08/07/18 à 05h17


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Des milliers de protestants contre la violence par armes à feu à Chicago ont bloqué une partie de l'autoroute le 7 juillet 2018. — Ashlee Rezin/AP/SIPA
Alerter, une nouvelle fois, les politiques. Plusieurs milliers de personnes ont manifesté samedi contre la violence par armes à feu à Chicago, la troisième ville des Etats-Unis, qui enregistre le plus grand nombre de meurtres dans le pays.


[ltr]


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CNN

✔️@CNN





[ltr]Protesters in Chicago have shut down part of a major interstate during a march against gun violence. @RyanYoungNews talks to a demonstrator, who says "we need investments in our community."[/ltr]





[ltr]


[/ltr]

samuel

samuel
Administrateur

homme a ouvert le feu et tué plusieurs fidèles en plein office du chabbat. Il s'est ensuite rendu aux forces de l'ordre.

Les armes au coeur d'un nouveau drame aux Etats-Unis. Un tireur a ouvert le feu samedi dans une synagogue de Pittsburgh, en Pennsylvanie, où les fidèles étaient rassemblés pendant le chabbat. L'homme armé a tué plusieurs personnes, avant de se rendre.

KDKA-TV, chaîne affiliée à la chaîne CBS, a évoqué huit morts dont trois policiers près de la synagogue "Arbre de vie" (Tree of Life) où des fidèles étaient rassemblés pour l'office du chabbat.

Le suspect s'est rendu à la police
Refusant de confirmer ces chiffres, Wendell Hissrich, directeur de la sécurité publique de Pittsburgh a ajouté qu'il y avait six blessés, dont quatre parmi les forces de l'ordre. "La scène est terrible à l'intérieur [...] C'est l'une des pires scènes de crime sur laquelle je me sois rendu, et j'ai été sur des accidents d'avion", a-t-il ajouté devant les caméras, apparemment très ému.

Malgré l'arrestation du tireur, le maire de Pittsburgh, Bill Peduto, a estimé, de son côté, que la zone n'était "pas sécurisée". "Tous les habitants doivent rester à l'intérieur de leur domicile", a-t-il écrit sur Twitter.

Tout a commencé peu après 10h (16h en France) quand la police locale a appelé les habitants du quartier à rester chez eux."Il y a un tireur dans la zone de Wilkins et Shady. Evitez le quartier", ont rapidement tweeté les services de sécurité publique de la ville. Le tireur s'est finalement rendu à la police.


Le tireur aurait hurlé "Tous les Juifs doivent mourir"
L'agence fédérale chargée du contrôle des armes, tabac et explosifs, ATF, a ensuite précisé que des agents spéciaux se rendaient à leur côté. Peu après, la police a expliqué que l'auteur des tirs s'était rendu.

"Le suspect de la fusillade est en garde à vue. Nous avons de nombreuses victimes à l'intérieur de la synagogue, il y a trois officiers qui ont été touchés", a indiqué aux médias sur place un porte-parole de la police.

Josué

Josué
Administrateur

Il s’agit de l'attaque antisémite la plus meurtrière des dernières décennies aux Etats-Unis. Un homme de 46 ans a tué, samedi, à l’arme à feu onze fidèles d’une synagogue de Pittsburgh, en Pennsylvanie, réunis en ce jour du repos hebdomadaire juif, le chabbat.

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Tuerie dans une synagogue de Pittsburgh: Des musulmans lèvent des dizaines de milliers de dollars pour les victimes[/size]

ETATS-UNIS Les bénéfices serviront à répondre aux besoins à court terme des blessés et des familles endeuillées, dont leurs frais de funérailles et de soins...

20 Minutes avec AFP
 
Publié le 29/10/18 à 04h12 — Mis à jour le 29/10/18 à 04h12


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Recueillement et hommage devant la synagogue de Pittsburgh (Etats-Unis), touchée par une attaque antisémite ayant fait onze morts. Octobre 2018 — : Matt Rourke/AP/SIPA
Ils veulent « répondre au mal par le bien ». Une campagne de financement participatif lancée par deux groupes de musulmans américains a permis de collecter plus de 100.000 dollars (88.000 euros) pour les survivants et les proches de 11 personnes mortes lors de la tuerie dans une synagogue de Pittsburgh.
L’opération débutée sur le site LauchGood a atteint son but initial de 25.000 dollars en six heures, son second objectif de 50.000 dollars après un jour puis dépassé les 100.000 dollars.

« Envoyer un puissant message de compassion par l’action »


La campagne de financement participatif a été entreprise par CelebrateMercy et MPower Change, deux organisations à but non lucratif de musulmans américains. « Nous souhaitons répondre au mal par le bien, comme le demande notre foi, et envoyer un puissant message de compassion par l’action », ont déclaré ces organisations dans un communiqué.
Les bénéfices de la collecte de fonds serviront à répondre aux besoins à court terme des blessés et des familles endeuillées, dont leurs frais de funérailles et de soins. « Grâce à cette campagne, nous espérons envoyer un message d’unité des communautés juive et musulmane : il n’y a pas de place pour ce type de haine et de violence en Amérique », ont déclaré les deux organisations. « Nous prions pour que cela rétablisse un sentiment de sécurité et de paix à la communauté des juifs américains qui a été sans aucun doute bouleversée par cet événement ».

Josué

Josué
Administrateur

Aux États-Unis, un massacre tous les quatre jours
Publié le 29/10/2018 à 16h55 - Modifié le 29/10/2018 à 17h57Henrik Lindell
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Des étudiants de New York réunis pour honorer les 11 victimes juives de la synagogue de l'Arbre de vie. ©️ William Volcov/REX/Shutterstock/SIPA

L'attaque dans une synagogue de Pittsburgh, qui a fait 11 morts, rappelle une tragique réalité statistique de l'Amérique de Trump. Le criminel, un suprémaciste blanc antisémite, a été arrêté.



Les Juifs sont les enfants de Satan. » « Les Juifs sont l’ennemi des Blancs. » « Les immigrés sont des envahisseurs. » Pendant des années, Robert Bowers répandait ce genre de messages sur Internet via son compte sur Gab.com, un réseau social de l’extrême-droite raciste. Le samedi 27 octobre, il est passé à l’acte. Armé de trois pistolets Glocks et d’un fusil semi-automatique Colt AR 15, il a surgi dans la synagogue de l’Arbre de vie à Pittsburgh, Pennsylvanie, non loin de sa maison. Il a ouvert le feu sur une...

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Fusillade en Californie : le tireur a été identifié[/size]


[size=33]Il s'agit d'un ancien soldat de 28 ans. Il a fait au moins 12 morts en ouvrant le feu dans un bar bondé qui accueillait une soirée étudiante.[/size]


Source AFP
Modifié le 08/11/2018 à 16:32 - Publié le 08/11/2018 à 11:27 | Le Point.fr


L'attaque a eu lieu dans un bar de musique country, le Borderline Bar and Grill, dans une banlieue résidentielle de Los Angeles.
© AFP/ MIKE NELSON




L'homme qui a abattu douze personnes mercredi soir dans un bar bondé de Thousand Oaks, en Californie, était un ancien soldat âgé de 28 ans, a indiqué Geoff Dean, le shérif du comté de Ventura situé à la périphérie de Los Angeles. Le suspect, qui se serait suicidé, s'appelait Ian David Long, a précisé Geoff Dean lors d'une conférence de presse, ajoutant qu'il avait servi dans le corps d'élite des marines. « Nous avons eu plusieurs contacts avec M. Long au fil des ans, pour des incidents mineurs. » En avril, des policiers se sont rendus chez lui et, comme il agissait de « manière irrationnelle », ont fait venir des experts de la police en troubles psychologiques, a-t-il poursuivi.
L'homme avait fait irruption dans le Borderline Bar and Grill, qui accueillait au moment du drame une soirée étudiante à laquelle « plusieurs centaines » de jeunes devaient prendre part, a déclaré le capitaine Garo Kuredjian, des services du shérif du comté de Ventura. Le shérif de ce comté de la périphérie de Los Angeles Geoff Dean a indiqué, lors d'une conférence de presse, que 12 personnes avaient été tuées lors de cette fusillade, dont un policier parmi les premiers arrivés sur les lieux. Touché de plusieurs balles à son entrée dans le bar, il est mort quelques heures plus tard à l'hôpital. « C'est une scène horrible. Il y a du sang partout », a-t-il confié. Le bilan comprenait en outre un nombre indéterminé de blessés, admis dans plusieurs hôpitaux de la région. Selon le Los Angeles Times, 18 personnes étaient soignées après s'être blessées en s'échappant du bar au beau milieu de la fusillade, mais il ne s'agit pas de blessures par balle dans leur cas. Les motifs du tireur, dépourvu de papiers d'identité et vraisemblablement identifié grâce à ses empreintes et ses nombreux tatouages, restaient indéterminés mercredi matin.


« Il tirait autant de balles qu'il pouvait »


Holden Harrah, un jeune homme de 20 ans, se rend régulièrement dans cet établissement. « J'ai vu le tireur, il était habillé en noir, avec des lunettes, camouflé. Il a sorti une arme et a commencé à tirer », explique-t-il à l'Agence France-Presse, détaillant avoir dû « ramper » pour sortir du bar et rejoindre sa voiture. Le bar organisait tous les mercredis des soirées étudiantes, ouvertes aux jeunes de plus de 18 ans, alors qu'il faut le plus souvent avoir 21 ans – l'âge légal pour boire de l'alcool – pour entrer dans un bar aux États-Unis. Le shérif a estimé que les victimes avaient probablement entre 21 et 26 ans. Matt Wennerstron, un étudiant de 20 ans, fréquentait régulièrement l'établissement. Il a raconté aux journalistes aux abords du bar que le tireur avait utilisé une arme semi-automatique. « Il tirait autant de balles qu'il pouvait, et quand il rechargeait, les gens essayaient de s'enfuir, et je dois dire que je n'ai pas regardé derrière moi ».
Un témoin non identifié cité par le Los Angeles Times a indiqué qu'un homme était entré dans le bar vers 23 h 30, heure locale (7 h 30 GMT), et avait commencé à tirer. L'horaire a été confirmé par la police. « Il a beaucoup tiré, au moins une trentaine de fois, j'entendais encore des coups de feu alors que tout le monde avait quitté le bar », a ajouté ce témoin cité par le LA Times. D'autres témoins ont dit que le tireur avait lancé une grenade fumigène. Selon l'un d'eux, interrogé par la télévision CNN, mais visiblement en état de choc, le tireur est entré par la porte principale du bar, tirant sur un vigile, puis sur une jeune femme tenant le guichet d'accueil. La plupart des témoins cités par les médias américains, en majorité des étudiants des nombreuses universités de cette banlieue résidentielle de Los Angeles, décrivent des scènes de panique après les premiers coups de feu. « Tout le monde s'est jeté au sol très rapidement. Tout le monde voulait sortir le plus vite possible », a déclaré à l'Agence France-Presse une jeune femme, qui s'est elle-même enfuie avec une amie par la fenêtre de la cuisine.
Les États-Unis sont régulièrement le théâtre de fusillades visant des lieux publics. La dernière en date avait fait onze morts dans une synagogue de Pittsburgh. Elles relancent à chaque fois le débat sur la possession et la dissémination des armes à feu dans le pays.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Aux USA ,on compte plus d'un meutre par armes à feu toutes les heures ´soit plus de 27 homicide par jour  ou encore 9855 meutre sur par an si vous préférez .
Des chiffres qui font froid dans le dos et qui en disent long sur ce mal endémique qui tourmente la société américaine depuis la conquête de l'ouest .
Dernière tuerie à Chicago faisant 5 morts.

Josué

Josué
Administrateur

Un employé des services municipaux d'une station balnéaire de la côte est américaine a ouvert le feu vendredi dans un bâtiment de la ville, faisant 12 morts avant d'être lui-même abattu par la police. Cette énième tragédie, dans un pays marqué par la violence des armes à feu, s'est produite à Virginia Beach, une ville de 450.000 habitants située à environ 300 kilomètres au sud de la capitale fédérale, Washington.
» LIRE AUSSI - Les fusillades les plus meurtrières aux États-Unis depuis 25 ans
«Nous avons maintenant 12» victimes décédées, a déclaré lors d'une deuxième conférence de presse le chef de la police de Virginia Beach, James Cervera. Le bilan, auparavant de 11 morts, a été revu à la hausse après le décès d'une victime qui «a succombé à ses blessures sur le chemin de l'hôpital». Quatre autres personnes blessées sont soignées dans les hôpitaux de la région et d'autres auraient pu s'y rendre par leurs propres moyens, a précisé le responsable policier. Le tireur était un employé municipal, et l'enquête est en cours. Ses motivations restaient, pour l'heure, inconnues.
«Une zone de guerre»
Il était peu après 16h00 vendredi (20h00 GMT) quand le suspect, «un employé de longue date», est entré dans le bâtiment et a commencé «immédiatement à tirer à l'aveugle sur toutes les victimes», a raconté M. Cervera. Repérant l'étage du bâtiment où se trouvait le tireur par le bruit du sifflement des balles, les policiers sont intervenus. «C'était un long échange de coups de feu entre ces quatre policiers et le suspect.» Touché, le tireur a succombé à ses blessures. M. Cervera a précisé qu'un policier avait été «sauvé» par son gilet pare-balles. Sur place, les policiers ont retrouvé un pistolet avec de nombreux chargeurs vidés.Les lieux de la fusillade s'apparentent à une «zone de guerre», a estimé James Cervera.
«C'est un jour atroce», a déclaré le gouverneur de l'Etat de Virginie, Ralph Northam, qui est arrivé sur place. Bobby Dyer, le maire de cette station balnéaire qui abrite également une importante base de la marine militaire américaine, a parlé devant les journalistes «du jour le plus catastrophique de l'histoire de Virginia Beach». «Nous prions pour notre ville, pour les vies perdues, pour leurs familles et tous ceux affectés», a tweeté le chanteur Pharrell Williams, originaire de Virginia Beach.

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Aux États-Unis, le calvaire des survivants de fusillades[/size]

Les armes à feu blessent plus encore qu’elles ne tuent aux États-Unis. Chaque année, les 80 000 à 100 000 survivants de tueries dans le pays deviennent une population invisible, confrontée à de nombreuses difficultés pour se reconstruire. Une marche leur rend hommage samedi 8 juin à New York.



     
  • Alexis Buisson(à New-York), 

  • le 06/06/2019 à 07:24 

  • Modifié le 06/06/2019 à 10:36



Nouveau massacre de masse aux USA - Page 2 Tobi-Carraway-43-centre-survecu-fusillade-Virginia-Beach-station-balneaire-americaine_0_730_487



Tobi Carraway, 43 ans ( au centre), a survécu à la fusillade de Virginia Beach, une station balnéaire de la côte est américaine.[size=12]CAITLIN PENNA/EPA/MAXPPP
[/size]


1995. Jour de la Fête des pères. Kareem Nelson est atteint dans le dos par un coup de feu lors d’une dispute à Baltimore. La balle n’a pas tué le jeune homme de 20 ans. Mais c’est « l’après » qui a bien failli l’achever. Paralysé depuis vingt-quatre ans des deux jambes, ce New-yorkais en fauteuil roulant a eu du mal à trouver un logement et un emploi. Ses maigres revenus – quelques centaines de dollars d’aides – ne lui permettaient pas de vivre. « J’avais perdu l’estime de moi-même. Je pensais que je n’avais plus rien. J’étais devenu suicidaire », se souvient-il aujourd’hui.

Deux à trois fois plus de blessés que de morts


Kareem Nelson fait partie des 80 000 à 100 000 Américains qui, selon les estimations, survivent chaque année à une blessure par arme à feu (homicide, suicide, accident). Malgré l’importance de cette population de « survivors », deux à trois fois plus grande que les morts par balle (38 748 en 2016 !), leur calvaire reste méconnu. Pour ces rescapés, l’après devient synonyme de problèmes physiques, mentaux et parfois financiers pour les plus vulnérables d’entre eux, incapables de faire face aux dépenses de santé.
Les blessés ne sont pas les seuls affectés : le simple fait d’assister à un épisode violent génère des effets traumatiques durables. D’après le National Center for PTSD, un centre de recherche sur les traumatismes, 28 % des témoins de fusillades développent des symptômes de stress post-traumatique et un tiers des signes de « stress aigu », caractérisé notamment par des remémorations récurrentes.
Huit jours après la mort de douze personnes dans un bâtiment municipal de la cité balnéaire de Virginia Beach (État de Virginies), où la fusillade provoquée par un employé municipal venant de démissionner a aussi fait quatre blessés graves, une marche de soutien à ces dizaines de milliers de survivants est organisée, samedi 8 juin, à New York à l’appel de plusieurs associations de victimes. « Les survivants ne bénéficient pas d’un soutien constant. Une fois que la fusillade disparaît du cycle de l’information, une semaine ou deux plus tard, le soutien s’amenuise. On s’attend à ce que les traumatisés se remettent à vivre normalement », regrette Joshua Stepakoff.

Les crises de panique n’ont jamais cessé


En août 1999, âgé de six ans, il a été touché par deux balles tirées par un néonazi alors qu’il fréquentait un centre communautaire juif de Los Angeles. Il s’est remis de ses blessures, a suivi des séances de thérapie, est devenu agent immobilier, mais les crises de panique n’ont jamais cessé. En grandissant, il avait du mal à être séparé de ses parents. Il lui arrivait aussi de se réveiller en pleine nuit en jurant que quelqu’un s’était introduit chez lui. « Il y a vingt ans, ces fusillades étaient tellement rares que le soutien était phénoménal, confie-t-il. Maintenant qu’elles sont devenues aussi fréquentes, on ne peut plus suivre… »
Le sort des survivants est brièvement revenu dans l’actualité en mars dernier. Deux rescapés de la fusillade du lycée Marjory Stoneman Douglas (Floride), qui a fait 17 morts en février 2018, se sont suicidés à quelques jours d’intervalle. L’un d’eux, âgé de 16 ans, souffrait de la « culpabilité du survivant », selon ses parents. Jami Amo, qui a vécu la fusillade du lycée Columbine en 1999 dans le Colorado, la ressent aussi : « Vingt ans plus tard, je me dis toujours que j’aurais pu empêcher la mort de mes camarades, même si cela aurait été impossible rationnellement », dit-elle. Jami aussi souffre de crises d’angoisse. Et de préciser : « On parle de stress post-traumatique pour les anciens combattants, mais on ne se rend pas compte que le simple fait d’assister à une fusillade peut suffire à le déclencher, surtout chez les plus jeunes ».
Grâce à son entourage, Kareem Nelson a réussi à surmonter ses difficultés. Il vient de lancer son entreprise de transport pour handicapés à New York. En 2013, il a fondé l’association Weelchairs against guns (« Des fauteuils-roulants contre les armes à feu ») pour sensibiliser les écoliers au danger des armes à feu. « Je ne veux pas que l’on ait pitié de moi, dit-il. J’ai réussi sans mes deux jambes. Si je peux le faire, les jeunes auxquels je parle peuvent réussir aussi ».

papy

papy

[size=33]Plus d'Américains sont morts par balle en 2019 que lors du Débarquement[/size]


[size=33]Le « Washington Post » révèle qu'entre le 1er janvier et le 6 mars 2019, le nombre d'Américains morts par arme à feu dépasse les pertes subies le 6 juin 1944.[/size]


Par LePoint.fr
Modifié le 08/06/2019 à 09:44 - Publié le 07/06/2019 à 19:59 | Le Point.fr


Nouveau massacre de masse aux USA - Page 2 18927016lpw-18927707-article-dday-jpg_6267679_660x281

Au total, 2 501 Américains ont perdu la vie le 6 juin 1944 sur les plages de Normandie.
:copyright: AXELLE COLLARD / BELGA MAG / BELGA/AF
Les statistiques alarmantes des morts par arme à feu au pays de l'Oncle Sam ne sont un secret pour personne. Mais, en cette période de commémoration, le Washington Post a fait un bref calcul qui fait particulièrement froid dans le dos. Si le 6 juin 1944 restera dans l'histoire comme un véritable bain de sang, si les scènes d'horreur vécues par les soldats nous ont encore été rappelées à l'occasion du 75e anniversaire du D-Day, les armes à feu font encore aujourd'hui des ravages. Le Washington Post rappelle que le 6 juin 1944, 2 501 Américains ont trouvé la mort sur les plages normandes aux côtés de 1 913 soldats alliés. Et selon l'archive des violences par arme à feu, au 6 mars 2019, 2 502 Américains avaient trouvé la mort au cours de l'année. Fin avril, on comptait autant de morts par balle que de victimes alliées abattues le 6 juin 1944.
Lire aussi Arthur Chevallier - Débarquement : la bataille des alliés contre Vichy




Déjà plus de 6 000 morts par arme à feu en 2019


Ces chiffres ne comprennent pas les suicides et sont très majoritairement composés de personnes qui ont été seules victimes le jour de leur mort. Le Washington Post tempère en apportant la nuance de l'augmentation de la population américaine entre 1944 et 2019. S'il fallait adapter le nombre de victimes du D-Day à la population américaine d'aujourd'hui, cela représenterait environ 5 930 morts dans les rangs des États-Unis. Au soir du 7 juin 2019, 6 088 personnes ont été recensées comme ayant succombé à des armes à feu depuis le début de l'année, le nombre vient donc d'être dépassé.



Dernière édition par papy le Sam 8 Juin - 15:53, édité 1 fois

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

El l'année 2019 n'est pas fini .

chico.

chico.

Mikael a écrit:El l'année 2019 n'est pas fini .
La preuve.
[size=46]Etats-Unis : une tuerie a fait 20 morts dans un centre commercial à El Paso au Texas, la police évoque un possible motif raciste[/size]
Un homme de 21 ans a été arrêté. La police enquête sur la possibilité qu'il soit l'auteur d'un manifeste raciste publié en ligne, qui dénonce une "invasion hispanique du Texas".
Nouveau massacre de masse aux USA - Page 2 19816855Des personnes évacuées réunies en face du parking d'un hypermarché Walmart où un homme a ouvert le feu, le 3 août 2019, à El Paso (Texas, Etats-Unis). (JOEL ANGEL JUAREZ / AFP)
Nouveau massacre de masse aux USA - Page 2 Francetv-info-f3891f72e2
franceinfoFrance Télévisions


Mis à jour le 04/08/2019 | 07:49
publié le 03/08/2019 | 21:07


Un homme a ouvert le feu, samedi 3 août, aux abords d'un hypermarché et d'un centre commercial de la ville d'El Paso, au Texas (Etats-Unis). Il a tué 20 personnes, et fait 26 blessés, dont certains se trouvent dans un état critique. Un suspect, âgé de 21 ans, a été arrêté et placé en garde à vue. La police a désigné cette tuerie comme un possible "crime de haine", le terme utilisé pour désigner les crimes à motif raciste.
Elle se penche notamment sur un manifeste, publié en ligne sur le site 8chan quelques minutes avant les premiers tirs, dont l'auteur revendique la tuerie et dénonce une "invasion hispanique du Texas". Le texte fait également référence à la tuerie commise par suprémaciste blanc dans deux mosquées de Christchurch en Nouvelle-Zélande, qui a fait 51 morts en mars.

Trump dénonce "un acte lâche"


Donald Trump a réagi sur Twitter, déplorant une fusillade "tragique" et "un acte lâche""Il n'y aura jamais de raisons ou excuses pour justifier le meurtre de personnes innocentes", a-t-il encore tweeté, en adressant ses "prières et pensées" à la population du Texas.


Nouveau massacre de masse aux USA - Page 2 KUuht00m_normal

Donald J. Trump

✔@realDonaldTrump

 · 3 h





[ltr]..[/ltr]




La tuerie s'est produite samedi matin, la police a été appelée pour la première fois à 10h39 du matin (17h39 heure française). Une femme, qui venait faire ses courses dans l'hypermarché de l'enseigne Walmart, a expliqué sur Fox News avoir entendu "comme des feux d'artifice" alors qu'elle cherchait une place de parking. "Je me suis dirigée vers la sortie", a poursuivi ce témoin prénommé Vanessa. "J'ai vu un homme avec un tee-shirt noir et un pantalon camouflage qui portait ce qui m'a semblé être un fusil. Il visait les gens et tirait directement sur eux.", a-t-elle poursuivi.
La police n'a pas donné le nom du suspect, le désignant comme un homme blanc de 21 ans originaire d'Allen, au Texas, une banlieue de Dallas située à plus de 9h de route d'El Paso, ville frontalière avec le Mexique.
Cette tuerie est la huitième plus meurtrière à se produire aux Etats-Unis depuis la Seconde Guerre Mondiale, et la plus meurtrière depuis celle de Sutherland Springs en novembre 2017 (25 morts). Il s'agit également de la 250e fusillade de masse, c'est à dire où au moins 4 personnes ont été blessées ou tuées, depuis le début de l'année aux Etats-Unis.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Et un de plus dans un autre état qui porte le carnage à 29 morts.

Lechercheur



Vers un durcissement de la législation sur les armes à feu ? Au surlendemain des deux fusillades à El Paso et à Dayton , qui ont causé au total la mort de 30 personnes (dont l'un des deux tireurs), Donald Trump a appelé sur Twitter « républicains et démocrates à se réunir et obtenir des vérifications des antécédents plus solides »

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

La majorité des américains sont pour le port d'armes et la législation n'est pas prêt de changer car le lobby des armes et très puissant dans le pays.

papy

papy

Et bien dit la liste s'allonge cette année et plus vite que les autres années et ce n'est malheureusement pas fini.

samuel

samuel
Administrateur

Il est question de 258 morts depuis le début de l'année.

papy

papy

Par S.C avec AFP
Le 6 août 2019 à 08h21


Après la fusillade à El Paso (Texas) samedi, dont le bilan s'établit désormais à 22 morts, le maire Dee Margo a annoncé la visite de Donald Trump dans la ville texane frontalière avec le Mexique mercredi. Parmi les victimes du tireur de 21 ans qui nourrissait une haine contre « l'invasion hispanique au Texas » figurent sept Mexicains, treize Américains et un Allemand.

Le déplacement de Donald Trump à El Paso, à la frontière mexicaine, sera scruté de près, alors que le président américain affichait encore récemment sa volonté de construire un mur à la frontière , rejetant l'insécurité aux Etats-Unis sur le compte de son voisin du Sud.

« Un acte de terrorisme contre les Mexicains »


Le terme « invasion » utilisé par le tireur est par ailleurs régulièrement utilisé par Donald Trump dans sa rhétorique anti-immigrants, que ses opposants ont sévèrement critiqué ces derniers jours.

En visite à El Paso lundi, le chef de la diplomatie mexicaine Marcelo Ebrard a dénoncé « un acte de terrorisme contre les Mexicains », explicitement visés par le tireur, alors que cette tuerie est traitée par les autorités américaines comme un cas de « terrorisme intérieur ».

Les noms de famille des victimes américaines laissent supposer que la grande majorité d'entre elles étaient d'origines hispaniques. Un ressortissant allemand fait également partie des victimes, tandis que l'identité de l'une d'entre elles reste encore à déterminer.

Josué

Josué
Administrateur

L'accusé a indiqué qu'une fois à l'intérieur du magasin il a ouvert le feu avec son (fusil d'assaut) AK-47 sur des personnes innocentes. Il a indiqué que ses cibles étaient des 'Mexicains'". Vendredi 9 août, l'AFP a pu consulter le compte-rendu d'enquête sur la fusillade d'El Paso, perpétrée le 3 août dernier dans un hypermarché de la ville texane. 
Patrick Crusius, un jeune homme blanc de 21 ans, avait roulé pendant une dizaine d'heures depuis Allen, dans la banlieue de Dallas, pour arriver à El Paso, située à la frontière avec le Mexique.

Avant de passer à l'acte, il avait mis en ligne sur un site utilisé par de nombreux suprémacistes blancs un manifeste dénonçant une "invasion hispanique du Texas". Puis, en milieu de matinée, il était entré dans un hypermarché Walmart bondé avec son fusil d'assaut et plusieurs chargeurs, et avait tiré sur des dizaines de personnes. Vingt-deux sont décédéesdont huit Mexicains et une majorité d'Américains d'origine hispaniques. 26 autres ont été blessées.





À l'arrivée des policiers, Patrick Crusius était sorti d'un véhicule, les mains en l'air, en déclarant : "Je suis le tireur", selon ce rapport de police, qui a servi de base pour l'inculper de meurtres. Il encourt la peine capitale.
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Marmhonie

Marmhonie
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Ce n'est pas de l'actualité francophone. En plus, la peine de mort n'existe plus en Europe, nous ne sommes pas des sauvages.

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

Lechercheur



Il me semble que c'est vous l'auteur de ce sujet!

Marmhonie

Marmhonie
MODERATEUR
MODERATEUR

J'ai créé un sujet sur les massacres de masse, pas sur des tueries. Le but étant d'analyser ces actes pour comprendre.
Dans ce dernier cas, le tueur était anti Trump, et s'en est bien expliqué. Où est ici l'explication de son acte ? Quelle analyse est posée ? Il n'y a que des copiés collés, c'est à dire du remplissage sans aucune réflexion personnelle sur le sujet.
Trump ne s'y est pas trompé en condamnant cette tuerie et les armes puisque le tueur vote contre lui et pour l'interdiction des armes aux USA.
Les journaux francophones passent cette information capitale sous silence, évidemment.
Je chercherais à comprendre... Pour cela, il faut construire un dossier solide en lisant beaucoup d'articles américains non traduits sur les meilleurs analystes.

http://forummarmhonie.forumotion.asia/forum

Rene philippe

Rene philippe

Trump aurait-il condamné cette tuerie si l'auteur avait été de son côté ?

Patrice1633

Patrice1633
MODERATEUR
MODERATEUR

Tu vois juste René Philippe

https://www.jw.org/fr/

Josué

Josué
Administrateur

Patrice1633 a écrit:Tu vois juste René Philippe
Content de te relire Patrice.

Rene philippe

Rene philippe

Patrice1633 a écrit:Tu vois juste René Philippe

C'est une vraie joie de revoir notre cher Patrice Very Happy bienvenue Wink

chico.

chico.

Rene philippe a écrit:
Patrice1633 a écrit:Tu vois juste René Philippe

C'est une vraie joie de revoir notre cher Patrice Very Happy  bienvenue Wink
Je me joint à ta joie. cheers cheers

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Oui nous sommes tous content de te relire.

samuel

samuel
Administrateur

Moi aussi.
cheers cheers cheers

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Aux États-Unis, les exercices contre les fusillades inquiètent[/size]

Les entraînements pour faire face à de possibles individus armés se sont généralisés dans les écoles américaines. Deux ans après la tuerie de Parkland, leur impact sur les enfants suscite des interrogations.



  • Alexis Buisson (New York), 
  • le 14/02/2020 à 11:31




Lecture en 2 min.

Nouveau massacre de masse aux USA - Page 2 Maternelle-terminale-95-etablissements-scolaires-publics-Etats-Unis-pratiquent-exercices-securite-appeles-aussi-exercices-verrouillage-lockdown_0_729_486



De la maternelle à la terminale, 95 % des établissements scolaires publics aux États-Unis pratiquent ces exercices de sécurité, appelés aussi « exercices de verrouillage » (« lockdown »).[size=12]SHAWN THEW/EPA/MAXPPP
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C’était il y a six ans, dans un lycée du Missouri. Coups de feu. Enseignants en pleurs. Élèves cachés dans des placards ou allongés dans les couloirs, les vêtements ensanglantés. Une scène de fusillade telle que les États-Unis en connaît trop souvent ? Heureusement, ce n’est qu’un « exercice tireur actif » (« active shooter drill »), plus vrai que nature.
Alex Bargen, 23 ans, en était à l’époque. Il jouait le rôle d’un mort. « C’était très intense. On oublie que c’est un entraînement », dit-il à présent. « Ces exercices m’ont aidé, mais ils ont aussi développé un sentiment de paranoïa, dit-il. Dans mon lycée, certaines personnes, trop mal à l’aise, ne voulaient plus les faire. Cela ne devrait pas être la norme dans une école ».
De la maternelle à la terminale, 95 % des établissements scolaires publics aux États-Unis pratiquent ces exercices de sécurité, appelés aussi « exercices de verrouillage » (« lockdown »). Ils sont conçus pour faire face au risque d’un individu armé présent dans l’établissement. Tous ne sont pas aussi réalistes que celui d’Alex Bargen.
Dans beaucoup de cas, ils consistent à s’enfermer dans une salle de classe, éteindre la lumière et attendre l’arrivée des forces de l’ordre. D’autres protocoles prévoient des manières de neutraliser l’assaillant ou de gagner du temps, en lui lançant des objets, par exemple.

Des risques accentués d’épisodes de stress post-traumatique


Ces exercices se sont généralisés après la tuerie de Columbine, en 1999. Mais, depuis la fusillade dans un lycée de Parkland (Floride), qui a fait 17 morts le 14 février 2018, ils sont critiqués par certains chercheurs et psychologues, inquiets de leur impact sur une génération de jeunes Américains qui exhibent davantage de symptômes de stress que leurs parents.
En plus d’exagérer le risque - plus de la moitié des adolescents (57 %) craignent qu’une fusillade se déroule dans leur établissement alors que ces tragédies restent très rares en milieu scolaire -, plusieurs experts affirment qu’ils peuvent déclencher chez les plus fragiles des épisodes de stress post-traumatique et de dépression s’ils ne sont pas effectués correctement. « Ces exercices forgent la manière dont certains de ces jeunes verront le monde », avance Jill Schwarz, ancienne conseillère pédagogique et professeure au College of New Jersey.

Dans la presse, des éditorialistes les décrivent comme « du cinéma », ou appellent à y « mettre un terme immédiatement ». Ils sont rejoints par des jeunes survivants de fusillades se réclamant de la « génération Parkland ». « Nous savons que ces exercices sont utiles, mais nous connaissons mal leurs effets sur les enfants. Jusqu’à présent, la recherche s’est concentrée sur l’analyse des tueries, mais pas la réponse apportée à celles-ci », explique Jaclyn Schildkraut, professeure de justice criminelle à State University of New York (SUNY).

Faux sang, sons de tirs et acteurs pour recréer l’atmosphère


Les critiques se sont accentuées, au fur et à mesure que les entraînements sont devenus plus réalistes. Certaines entreprises de sécurité vont jusqu’à utiliser du faux sang, des sons de tirs, des alarmes et des acteurs pour recréer l’atmosphère d’une fusillade. L’an dernier, dans l’Indiana, quatre enseignants ont été blessés dans un exercice où des pistolets à plomb ont été employés.
Dans les États où une notification préalable des parents n’est pas obligatoire, ces derniers paniquent en recevant des messages affolés de leurs enfants, eux aussi pris de court. « On voit parfois des enfants vomir », indique John LaPlaca, fondateur d’Altaris Consulting Group, une société de sécurité new-yorkaise spécialisée dans le scolaire. S’il juge « inutiles » les entraînements extrêmes, il assure qu’une formation des élèves et du personnel scolaire est nécessaire pour « développer des réflexes ». « Les écoles sont devenues très efficaces face aux incendies car elles font beaucoup d’exercices, poursuit-il. Résultat : personne n’est mort dans l’incendie d’une école new-yorkaise depuis des décennies »

Josué

Josué
Administrateur

leur environnement et prendre soin de leurs proches.
Andrew Chernoff, propriétaire du magasin Coliseum Gun Traders

« Vous avez donc plusieurs personnes qui achètent des armes à feu pour la première fois, des personnes qui n’avaient jamais pensé à acheter une arme à feu auparavant », poursuit-il.
Andrew Chernoff fait remonter au début de la semaine dernière la ruée des acheteurs d’armes à feu vers son magasin. Pour faire face à la demande sans mettre en danger la santé de sa clientèle et de son personnel, il a établi de nouvelles règles. Par exemple, il ne laisse plus entrer qu’une personne à la fois avant de verrouiller la porte. Cette approche permet à ses employés de nettoyer régulièrement les comptoirs et les armes manipulées par les clients avec des lingettes désinfectantes.
« Nous sommes doublement chanceux. Non seulement nos employés sont tous en bonne santé, mais ils travaillent encore, a déclaré Andrew Chernoff. Beaucoup d’entreprises ont dû mettre à pied leurs employés depuis le début de l’épidémie, faute de clients. »
Autre nouvelle règle : les ventes de munitions sont limitées.
« Autrement, elles viendraient à manquer rapidement, a dit le propriétaire du magasin. Nous voulons nous assurer que tous les gens qui achètent une arme à feu aient des munitions pour pouvoir s’en servir. 
[ltr]https://www.lapresse.ca/international/e ... vid-19.php[/ltr]

Lechercheur



En Amérique c'est la ruée sur les armes, et en France c'est vers les pâtes.
Alors la solidarité parlons en.

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Etats-Unis : Une fusillade à Indianapolis fait au moins huit morts[/size]

DRAME Selon les premiers élements de l'enquête, le tireur présumé se serait donné la mort

Nouveau massacre de masse aux USA - Page 2 796f121d-8029-4f74-8eea-a36812636530Manon Aublanc


  • Twitter



Publié le 16/04/21 à 07h45 — Mis à jour le 16/04/21 à 10h57



Nouveau massacre de masse aux USA - Page 2 310x190_voiture-police-new-jersey-etats-unis
Une voiture de police au New Jersey - Etats-Unis — DOMINICK REUTER / AFP
Une fusillade a fait au moins huit morts et plusieurs blessés, jeudi soir  à Indianapolis aux  Etats-Unis, a indiqué la police, précisant que le tireur présumé s’était donné la mort.
La fusillade s’est produite dans un centre du groupe de transport de lettres et colis FedEx près de l’aéroport international de la ville, a précisé la porte-parole de la police, Genae Cook. Plusieurs autres personnes ont été hospitalisées, a-t-elle ajouté sans préciser leur nombre.

Des fusillades récurrentes


Le sergent John Perrine, officier d’information publique de la police de l’Indiana, a demandé sur Twitter aux proches des employés de Fedex de se rassembler dans un Holiday Inn local.




Les fusillades sont un fléau récurrent aux Etats-Unis. Le 9 avril, une personne avait été tuée et plusieurs autres blessées dans un magasin d’ameublement au Texas, quelques heures après la présentation par le président Joe Biden d’un plan pour lutter contre la violence par armes à feu. Le 31 mars, quatre personnes, dont un enfant de neuf ans, avaient été tuées près de Los Angeles, une fusillade survenue après deux autres tueries qui ont fait 18 morts en mars et relancé le débat sur la prolifération des armes à feu dans le pays.

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]En Floride, des pasteurs baptistes appellent à un cessez-le-feu contre la violence armée Abonnés[/size]

Analyse
 

Président de la Conférence des ministres baptistes dans le comté de Duval (Floride) et ses environs, le pasteur Darien Bolden a appelé, mercredi 27 octobre, à un cessez-le-feu à Jacksonville. Soutenu par d’autres responsables religieux, il a martelé que la violence endémique devait « cesser » dans la ville, éprouvée par plus de 360 fusillades cette année.



  • Malo Tresca, 
  • le 01/11/2021 à 16:06 
  • Modifié le 01/11/2021 à 17:28




Nouveau massacre de masse aux USA - Page 2 Photo-dillustration-officiere-sherif-securise-perimetreune-fusilladedun-tournoi-videos-27-2018-Jacksonville-Floride_0



Photo d’illustration : une officière du shérif sécurise le périmètre après une fusillade lors d’un tournoi de jeux vidéos, le 27 août 2018 à Jacksonville, en Floride.[size=12]JOE RAEDLE/GETTY VIA AFP
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« Nous implorons nos communautés, avec les chefs de gangs, les directeurs d’école, et tous les autres de respecter un cessez-le-feu » et de participer, dans les deux semaines à venir, « à une conférence pour la réconciliation » en présence des autorités localesMercredi 27 octobre, le pasteur

Josué

Josué
Administrateur

Au moins trois personnes ont été tuées et six autres blessées mardi lors d'une fusillade dans un lycée de la ville d'Oxford, dans l'Etat américain du Michigan, ont rapporté les forces de l'ordre, indiquant qu'un étudiant avait rapidement été arrêté.

Les forces de l'ordre et les services de secours ont été massivement déployés sur place, à environ 55 km au nord de Detroit, après que l'incident a été signalé, peu avant 13h00 (17h00 en Europe), a déclaré le bureau du shérif du comté d'Oakland.

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]États-Unis : au moins dix morts, en majorité des Afro-Américains, dans une tuerie à Buffalo[/size]
Les faits 
Nouvelle tuerie de masse aux États-Unis. Samedi 14 mai, un jeune homme lourdement armé a ouvert le feu dans un supermarché de Buffalo, provoquant la mort d’au moins dix personnes. « Un crime motivé par la haine et raciste », selon le shérif du comté d’Érié.

  • La Croix (avec AFP), 
  • le 15/05/2022 à 02:04 
  • Modifié le 15/05/2022 à 07:03

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Lecture en 3 min.


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Lechercheur



Et encore la!
[size=35]FUSILLADE DANS UNE ÉGLISE AUX ÉTATS-UNIS : UN MORT ET QUATRE BLESSÉS GRAVES[/size]

 

 

Nouveau massacre de masse aux USA - Page 2 8653812« C’est une nouvelle bouleversante et inquiétante, surtout moins d’un jour après une fusillade de masse à Buffalo », a tweeté la députée démocrate Katie Porter, qui représente le comté d’Orange à Washington.
Photo AFP

 1
publié le 16 mai 2022 à 9h46, modifié à10h21.

Une personne est morte et quatre grièvement blessées dans une fusillade au sein d’une église en Californie dimanche, a annoncé la police du Comté d’Orange, au lendemain d’une tuerie dans l’État de New York qui a fait dix morts.
[size=20]« Quatre personnes sont gravement blessées », a écrit la police sur son compte Twitter, ajoutant qu’une « victime est morte sur les lieux » de l’incident. Un appel d’urgence a été reçu à 13h26 depuis l’Église presbytérienne de Geneva dimanche après-midi, selon les forces de l’ordre.[/size]

Josué

Josué
Administrateur

[size=55]Tuerie raciste de Buffalo : ce que l’on sait sur Payton Gendron, l’auteur de l’attaque[/size]
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Nouveau massacre de masse aux USA - Page 2 08e9c3a_204707894-sipa-ap22679949-000003Arrêté par la police, Payton Gendron encourt la prison à vie pour avoir tué dix personnes dans un supermarché de Buffalo. (Mark Mulville/AP/SIPA)




VIDÉO. Samedi, un homme blanc de 18 ans a ouvert le feu dans un supermarché de l’Etat de New York, faisant dix morts et trois blessés, dont une majorité d’Afro-Américains.

Par L'Obs avec AFP
·Publié le 16 mai 2022 à 19h10


« Vous venez de déclencher un combat contre 20 millions de New-Yorkais. » Quelques heures après la tuerie à caractère raciste survenue samedi dans un supermarché de la ville de Buffalo, Kathy Hochul n’a pas mâché ses mots. La gouverneure de l’Etat de New York a dénoncé le « terrorisme suprémaciste blanc », après la fusillade qui a fait dix morts et trois blessés. Que sait-on de Payton Gendron, auteur présumé de l’attaque ? Le point en vidéo :


[size=31]Un tueur à peine majeur[/size]


Samedi 14 mai, dix personnes ont été tuées et trois autres blessées dans un supermarché d’un quartier majoritairement afro-américain de la ville de Buffalo (est des Etats-Unis). La plupart des victimes étaient des personnes noires.

La suite après la publicité


Fusillade dans une église en Californie : 1 mort et 4 blessés graves, les victimes d’origine taïwanaise
L’homme au fusil d’assaut qui a décidé de leur ôter la vie a été identifié comme Payton Gendron, un jeune Américain blanc de 18 ans. Habitant de la ville de Conklin, dans le sud de l’Etat de New York, Gendron a conduit plus de 300 kilomètres dans le seul but de perpétrer ce massacre, après avoir fait « une opération de reconnaissance » la veille, selon les autorités.

[size=31]L’horreur en live sur Twitch[/size]


Pendant toute la durée de l’attaque, le jeune homme portait une caméra et avait l’intention de diffuser son crime en direct sur Twitch mais, d’après la plateforme de streaming, le contenu a pu être supprimé « deux minutes » après le début de sa diffusion.
Un « manifeste » de 180 pages à caractère raciste a aussi été publié avant les faits, selon les médias américains. La police soupçonne Gendron d’en être à l’origine. A l’intérieur, l’auteur, qui se définit lui-même comme un « suprémaciste blanc », affirme qu’il existe un remplacement ethnique et culturel de la population blanche. Il reprend cette théorie du « grand remplacement » raciste, prônée par le Français Renaud Camus, et ancienne, citée par l’auteur des attentats de Christchurch commis en 2019 en Nouvelle-Zélande.
Le journal « Buffalo News » a par ailleurs révélé que le mot « nègre » était inscrit en blanc sur le canon de l’arme.

Josué

Josué
Administrateur

Fusillade dans une école primaire au Texas : au moins 14 enfants et un enseignant tués
Le tireur a été identifié par le gouverneur comme étant un jeune homme de 18 ans du lycée d’Uvalde, au Texas, à l’ouest de San Antonio.
Des enfants sont évacués près de la Robb Elementary School à Uvalde, au Texas, après une fusillade meurtrière. REUTERS/Marco Bello
Des enfants sont évacués près de la Robb Elementary School à Uvalde, au Texas, après une fusillade meurtrière. REUTERS/Marco Bello
Par Le Parisien
Le 24 mai 2022 à 22h32, modifié le 24 mai 2022 à 23h41
C’est un drame comme l’Amérique en compte des dizaines, mais auquel on ne s’habitue jamais. Au moins 14 élèves et un enseignant ont été tués ce mardi après une fusillade à l’école primaire Robb, à Uvalde, au Texas,située à environ 130 kilomètres à l’ouest de San Antonio.. Le gouverneur Greg Abbott a identifié le tireur comme étant un jeune homme de 18 ans du lycée d’Uvalde.

Les médias américains, citant plusieurs sources, ont indiqué que le suspect était mort, abattu par la police. Le tireur « a tué, d’une façon atroce et insensée, 14 élèves et il a tué un enseignant », a déclaré Greg Abbott.

Josué

Josué
Administrateur




ÉTATS-UNIS
Fusillade au Texas : l’Amérique s’entre-tue, le Parti républicain regarde ailleurs
ÉDITORIAL
Le Monde

Un jeune Texan a tué dix-neuf élèves et deux enseignantes dans une école primaire, à Ulvade, mardi. Face aux tragédies qui se succèdent, les élus républicains s’opposent toujours à la moindre législation voulant encadrer le marché des armes à feu.

Publié aujourd’hui à 11h02, mis à jour à 11h41 Temps d

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Un carnage dans une école des Etats-Unis, la détresse infinie des familles, un discours grave du président, puis rien, jusqu’au suivant. Les Américains connaissent par cœur ce cycle désespérant depuis la tuerie de Sandy Hook, en 2012. Celle de Parkland, en 2018, n’avait rien changé malgré la mobilisation exceptionnelle d’élèves qui en avaient réchappé. Ces derniers avaient cru possible de ramener un pays malade de sa violence à la raison et ses élus à leurs responsabilités, mais ils avaient échoué. S’il subsiste un exceptionnalisme américain, c’est bien de tolérer que les établissements scolaires s’y transforment ré

Lechercheur



FUSILLADES


Les blessures par arme à feu principale cause de décès chez les enfants et les adolescents américains
Selon des données officielles actualisées


Atlantico Redaction

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Les blessures par arme à feu principale cause de décès chez les enfants et les adolescents américains

avec Atlantico Redaction



Aux Etats-Unis, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont récemment publié des données officielles actualisées sur la mortalité qui recensaient 45 222 décès liés aux armes à feu en 2020 indique le New England Journal of Medecine dans un article daté du 19 mai.
Ces nouvelles données montrent une forte augmentation de 13,5 % du taux brut de décès liés aux armes à feu de 2019 à 2020. Ce changement est largement attribuable aux homicides par arme à feu, qui ont connu une augmentation de 33,4 % du taux brut de 2019 à 2020.
L'analyse des données jusqu'en 2016, a montré que les blessures liées aux armes à feu venaient juste après les accidents de véhicules à moteur (à la fois liés à la circulation et non liés à la circulation) en tant que principale cause de décès chez les enfants et les adolescents, définis comme les personnes de 1 à 19 ans.
Depuis 2016, cet écart s'est rétréci et, en 2020, les blessures par arme à feu sont devenues la principale cause de décès dans ce groupe d'âge.
De 2019 à 2020, l'augmentation relative du taux de décès liés aux armes à feu de tous types (suicide, homicide, accidentel et indéterminé) chez les enfants et les adolescents était de 29,5 %, soit plus du double de l'augmentation relative au sein de la population générale . 
L'augmentation de la mortalité liée aux armes à feu reflète une tendance à plus long terme et montre que nous continuons de ne pas protéger nos jeunes contre une cause de décès évitable ajoutent les auteurs dans leur conclusion.

papy

papy

Nouveau massacre de masse aux USA - Page 2 Dessin_nl_soir_2022-05-25

papy

papy

[size=48]Fusillade au Texas : l'impossible réforme du port d'arme aux Etats-Unis 
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Malgré les fusillades meurtrières de plus en plus fréquentes, le Congrès est incapable de voter des mesures pour limiter le port d'arme et la violence. Le massacre de l'école du Texas ne va donc rien changer.




Nouveau massacre de masse aux USA - Page 2 Visiblement-emu-et-marque-joe-biden-a-evoque-mardi-la-tragedie-des-tueries-par-arme-a-feu-en-amerique-apres-la-mort-de-19-enfants-au-texas_6353794
[size=10]Visiblement ému et marqué, Joe Biden a évoqué mardi la tragédie des tueries par arme à feu en Amérique, après la mort de 19 enfants au Texas
afp.com/Stefani Reynolds


[size=13]Par Hélène Vissière (Washington)
Publié le 26/05/2022 à 09:21, mis à jour à 1[/size]
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C'est un rituel désormais bien rôdé. Chaque fois qu'il y a une fusillade, les hommes politiques se disent horrifiés et se fendent de communiqués qui dénoncent la violence. Les Démocrates montent au créneau et essaient de faire voter des lois pour imposer des restrictions sur le port d'arme. Les Républicains, eux, commencent par prier pour les victimes et appellent ensuite à s'armer davantage en équipant par exemple les enseignants de flingues. Un dialogue de sourds qui dure depuis des années alors que les fusillades de masse dans les supermarchés, les églises, les lycées sont devenues si fréquentes qu'elles passent le plus souvent inaperçues à l'échelle nationale et sont aussitôt oubliées. 

Le massacre de 19 enfants et de deux enseignants dans une école du Texas par un jeune de 18 ans va-t-il changer les choses ? Personne n'y croit à Washington. Si le Congrès n'a pas été capable de faire voter des lois après le carnage de l'école primaire de Sandy Hook en 2012 où 20 gamins de 6 et 7 ans et 6 enseignants ont été tués par un déséquilibré,
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Josué

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[size=48]David Frum : "Les armes sont l'expression de la frustration des hommes américains" 
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Pour l'ancienne plume de Bush et conservateur anti-Trump, l'explosion du port d'armes aux Etats-Unis est un phénomène récent facilité par un glissement idéologique.



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[size=10]Pour l'ex-conseiller de Geroge W. Bush, David Frum, l'explosion du port d'armes à feu aux Etats-Unis est facilité par un glissement idéologique. (Photo by Ronen Tivony / NurPhoto / NurPhoto via AFP)
NurPhoto via AFP


[size=13]Propos recueillis par Laetitia Strauch-Bonart
Publié le 26/05/2022 à 17:00, mis à jour le 28/05/2022 à 08:07
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Deux fusillades, à Buffalo puis au Texas, viennent encore d'endeuiller les Etats-Unis, tandis que les ventes d'armes à feu sont à un niveau record dans ce pays. C'est l'occasion de s'interroger sur les soubassements politiques et idéologiques de cette tendance inquiétante. Pour le républicain David Frum, ancienne plume de George W. Bush auquel on prête l'expression d'"axe du mal" et aujourd'hui rédacteur en chef à The Atlantic, la manie des armes est récente. Elle dénote une radicalisation croissante d'une partie de la société, en particulier de certains hommes, qui pense remédier ainsi à un sentiment de relégation culturelle. Une évolution qui reflète celle du mouvement conservateur américain depuis une dizaine d'années et sa réponse volontiers réactionnaire aux sujets de société. En regard, Frum, célèbre pour son opposition à Trump - il fait partie du mouvement "Never Trump" et a publié récemment Trumpocracy (2018) et Trumpocalypse (2020) -, se veut le promoteur d'un renouveau conservateur capable de répondre aux changements sociaux sans faire miroiter un retour à un illusoire âge d'or. 

L'Express : En Europe, nous peinons à comprendre pourquoi votre pays autorise le port d'armes alors que ses conséquences sont si délétères. Quelle est votre position sur ce sujet ? 
David Frum : Le public européen doit comprendre à quel point le débat sur le port d'armes, aux Etats-Unis, est récent. On le représente souvent comme une tradition ancienne, à tort. Bien sûr, les Etats-Unis sont une société de colons, d'éleveurs de bétail et de fermiers, et ces personnes, partout dans le monde, ont besoin d'armes pour protéger leurs animaux contre les prédateurs. Quand les colons se sont déplacés vers l'Ouest, par ailleurs, ils avaient des armes pour se défendre les uns des autres. Enfin, nous avons une tradition ancienne de milices non professionnelles - les Américains se sont toujours méfiés de l'armée - mais contrôlées par les Etats. Cependant, dans les trente dernières années, ces usages ont subi une perversion sous le coup de deux révolutions.  
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LIRE AUSSI >> Aux racines du port d'armes américain
La première est juridique. Fondée sur une idéologie nouvelle, elle a donné lieu à des lois entièrement nouvelles. La régulation usuelle du port d'armes est très largement l'apanage des Etats ; l'Etat fédéral peut intervenir mais rarement. Jusqu'au XXIe siècle, la Cour suprême s'était très peu prononcée à ce sujet, et le cas échéant elle acceptait les régulations des Etats. Plus récemment, des droits individuels en faveur du port d'armes ont été accentués, les lois restreignant celui-ci disparaissant peu à peu. Cette année, la Cour suprême va peut-être invalider une loi de l'Etat de New York qui régule le port d'armes dans l'espace public. Cela signifie qu'il y aura un droit fédéral constitutionnel imposé aux Etats requérant que ceux-ci permettent aux gens de porter des armes. Ce droit autorise sans ambiguïté les Américains à utiliser des armes non pas pour chasser ou se protéger en cas d'urgence, mais contre leurs concitoyens. C'est le produit de la polarisation de la société américaine, via laquelle certains Américains ont été encouragés à considérer leurs concitoyens comme des ennemis violents. C'est inédit et bien plus radical que tout ce qui a pu exister auparavant dans notre histoire. 
Et la seconde révolution ?  
Elle est technologique. Les progrès techniques ont rendu les armes à la fois sophistiquées et bon marché. Elles sont désormais largement accessibles. Résultat ? Une situation totalement nouvelle où pour 100 Américains, on compte 120 armes à feu. Une arme à feu puissante, hier, était un produit cher. Plus maintenant : vous pouvez vous procurer un Glock pour 300 ou 400 dollars ou même moins s'il est d'occasion. L'AR-15, version simplifiée d'une arme militaire, coûte 1200 dollars. D'où cette création d'une sous-culture qui prend plaisir à acheter des armes de type militaire et non des armes de chasse. Si vous chassez le cerf pendant une semaine, vous allez tirer, quoi, cinq coups ? Ces armes tirent des centaines de cartouches en une minute.  

Ce changement correspond-il à un certain tournant dans la politique américaine ?  
LIRE AUSSI >> Fusillade au Texas : l'impossible réforme du port d'arme aux Etats-Unis
On peut dater les lois : en 1994 il était encore possible pour le Congrès d'interdire les armes de type militaire. Cette interdiction a duré environ 10 ans et a expiré ; après cela, il n'a plus été capable d'imposer quelque législation que ce soit sur le sujet. La tuerie de l'école primaire Sandy Hook en 2012 a été un autre tournant : en réaction, les Etats ont rendu le port d'armes plus aisé. On s'attendait à ce que les lois changent afin d'éviter ces massacres, mais elles ont au contraire rendu l'usage des armes plus aisé, dans presque tous les Etats ! Cela s'explique largement par l'importante victoire républicaine dans certains Etats aux midterms de 2010 et 2014. 
Peut-on
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Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

[size=55]Les États-Unis à nouveau endeuillés par une tragique attaque. Au moins cinq personnes ont été tuées mercredi 1er juin lors d'une fusillade sur le site d'un hôpital à Tulsa, dans l'Oklahoma, dans le sud du pays, a annoncé la police locale, qui indique que le suspect est également mort. « Nous avons désormais cinq morts, le tireur inclus  », a annoncé la police de Tulsa sur Twitter, après qu'un premier bilan a fait état de quatre morts.[/size]
Les autorités de la deuxième plus grande ville de l'Oklahoma sont immédiatement intervenues à 16 h 56 (21 h 56, heure française) après un appel signalant la présence d'un homme armé dans l'enceinte de l'hôpital Saint Francis, et se sont dirigées vers le deuxième étage d'un bâtiment où des coups de feu retentissaient, a précisé le chef adjoint de la police Eric Dalgleish lors d'une conférence de presse. Le tireur était armé d'un fusil et d'un pistolet, et semble s'être suicidé sur place, selon la même source. Le suspect, qui n'a pas encore été identifié par les autorités, est un homme noir âgé entre 35 et 40 ans, d'après Eric Dalgleish.



« J'ai vu les hélicoptères et j'ai entendu toutes sortes de bruits  », a raconté à l'Agence France-Presse Elizabeth Buchner, 43 ans, qui réside dans une maison juste derrière le bâtiment où a eu lieu la tuerie. « J'étais là-bas un peu plus tôt dans la journée  », a ajouté cette assistante juridique, qui s'est dite soulagée par la rapidité et l'efficacité de l'intervention de la police.
UPDATE — we now have 5 dead, including the shooter, in the active shooter situation at the Natalie Building on the St. Francis Hospital Campus.


— Tulsa Police (@TulsaPolice) June 2, 2022

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