Dimanche 26 novembre
Une parole en son temps, oh ! combien elle est bonne ! (Prov. 15:23).
Certaines paroles correspondent peut-être exactement à ce que notre interlocuteur a besoin d’entendre. Mais à moins de discerner le meilleur moment pour les dire, elles risquent de perdre tout leur intérêt. C’est ce qu’illustre ce qui s’est passé au Japon après qu’un tremblement de terre et un tsunami ont frappé l’est du pays en mars 2011. Des villes entières ont été dévastées et plus de 15 000 personnes ont perdu la vie. Les Témoins de Jéhovah de cette région n’ont pas été épargnés par cette catastrophe. Ils ont pourtant saisi toutes les occasions d’utiliser la Bible pour réconforter les personnes endeuillées. Cependant, les croyances bouddhistes sont très répandues et fortement enracinées dans cette région, et la connaissance des enseignements bibliques y est rare, voire inexistante. Nos frères ont compris qu’il n’était pas forcément judicieux de parler de l’espérance de la résurrection aux personnes affligées immédiatement après le tsunami. Dans un premier temps, ils ont donc utilisé le don de la parole pour apporter aux gens un soutien affectif et expliquer pourquoi, selon la Bible, des innocents connaissent de telles souffrances. w15 15/12 3:7.
Une parole en son temps, oh ! combien elle est bonne ! (Prov. 15:23).
Certaines paroles correspondent peut-être exactement à ce que notre interlocuteur a besoin d’entendre. Mais à moins de discerner le meilleur moment pour les dire, elles risquent de perdre tout leur intérêt. C’est ce qu’illustre ce qui s’est passé au Japon après qu’un tremblement de terre et un tsunami ont frappé l’est du pays en mars 2011. Des villes entières ont été dévastées et plus de 15 000 personnes ont perdu la vie. Les Témoins de Jéhovah de cette région n’ont pas été épargnés par cette catastrophe. Ils ont pourtant saisi toutes les occasions d’utiliser la Bible pour réconforter les personnes endeuillées. Cependant, les croyances bouddhistes sont très répandues et fortement enracinées dans cette région, et la connaissance des enseignements bibliques y est rare, voire inexistante. Nos frères ont compris qu’il n’était pas forcément judicieux de parler de l’espérance de la résurrection aux personnes affligées immédiatement après le tsunami. Dans un premier temps, ils ont donc utilisé le don de la parole pour apporter aux gens un soutien affectif et expliquer pourquoi, selon la Bible, des innocents connaissent de telles souffrances. w15 15/12 3:7.