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Concombres infectés: 11 morts en Allemagne

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samuel
Josué
6 participants

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Josué

Josué
Administrateur

Concombres infectés: 11 morts en Allemagne
Par LEXPRESS.fr avec AFP, publié le 30/05/2011 à 14:32




Les experts explorent la piste des cultures espagnoles pour trouver l'origine de la bactérie tueuse. Des résultats d'analyses seront connus ce lundi.
C'est le 11e décès attribué aux concombres infectés en Allemagne. Une femme de 91 ans est décédée dimanche des suites d'hémorragies provoquées par la bactérie E.coli entero-hémorragique (Eceh).
L'Institut Robert Koch, chargé de la veille sanitaire, ne reconnaît pour le moment que trois décès directement imputables à l'Eceh, dans l'attente d'analyses sur les huit autres cas.
L'institut a également annoncé lundi que 319 patients infectés ont développé les troubles rénaux sévères, appelés syndrome hémolytique et urémique (SHU), potentiellement mortels.
Des hôpitaux saturés
Plusieurs hôpitaux du nord du pays, principal foyer d'infection, saturent. "On connaît la bactérie Eceh depuis de nombreuses années, mais une telle propagation est du jamais vu", a assuré lundi le professeur Jan Galle, directeur de la clinique de phrénologie de Lüdenscheid (ouest), interrogé sur la télévision publique ZDF. "D'habitude, on enregistre environ 1.000 cas par an, mais là nous avons 1.200 cas en 10 jours", a-t-il ajouté.
"Nous n'avons probablement toujours pas atteint le pic d'infection à l'Ehec", a-t-il prévenu. Petit signe d'espoir toutefois, la clinique universitaire d'Eppendorf à Hambourg (nord) a signalé pour la première fois un léger ralentissement dans l'afflux de nouveaux malades.
La souche de bactérie à l'oeuvre en Allemagne est "particulièrement virulente", selon le Professeur Galle. La contamination dégénère en syndrome SHU chez près d'un quart des malades, contre 5 à 10% normalement.
Des cas ou des suspicions de cas ont également été signalés en Suède, Danemark, Grande-Bretagne, Pays-Bas, Autriche, France et Suisse, mais tous venaient apparemment d'Allemagne.
Des concombres issus de l'agriculture bio?
La souche rare d'Eceh qui frappe l'Allemagne s'est aussi révélée résistante au traitement habituel par dialyse, amenant les médecins à donner un nouveau traitement, un médicament de la famille des anticorps monoclonaux.
L'efficacité de ce traitement reste à prouver, car il était jusqu'alors utilisé chez de petits enfants, habituellement plus touchés par le SHU, a reconnu le Pf Galle.
Seule la découverte de l'origine de la contamination permettra de juguler la diffusion de la bactérie, affirment les spécialistes.
Les soupçons se sont portés vers des concombres issus de trois cultures espagnoles, dont une ou deux, selon les sources, seraient des cultures biologiques (à Almeria et Malaga). Mais une contamination le long de la chaîne de distribution n'est pas exclue. Des résultats d'analyses sont attendus lundi.

samuel

samuel
Administrateur

et pas que en Allemagne qu'il y a des morts en France aussi.

Psalmiste

Psalmiste

La vache est folle ; le poulet à la grippe ; le poisson contient du plomb ; les oeufs contiennent de la solmonélose ; et maintenant le concombre contient des bactéries tueuses !!!

On va finir par ne plus rien pouvoir manger si ça continue !!!

Josué

Josué
Administrateur

"Quatre personnes souffrant de diarrhées sanglantes dues à une forme virulente de la bactérie E. coli ont été identifiées à ce jour en France. Toutes avaient effectué un voyage en Allemagne au cours du mois de mai." Pour Lisa King, épidémiologiste à l'Institut de veille sanitaire, la situation nationale est rassurante puisqu'aucun patient n'a été contaminé sur le sol français par cette redoutable bactérie. En revanche, son origine reste à déterminer. "Les informations officielles provenant d'Allemagne nous orientent vers un produit d'origine végétale", ajoute la spécialiste, "on ne peut ni confirmer ni infirmer qu'il s'agisse du concombre".

Il faut bien savoir que, si de nombreuses bactéries sont impliquées dans les infections alimentaires, elles ne se développent pas spontanément à la surface des légumes ou des fruits. Elles y arrivent le plus souvent à la suite d'une contamination fécale directe ou manuportée. "La bactérie la plus impliquée dans ces infections, dans notre pays, est la salmonelle", rappelle le docteur François-Xavier Weill, chef de l'unité des bactéries pathogènes entériques à l'Institut Pasteur (Paris). "On la trouve dans le tube digestif des animaux à sang chaud (bovins, ovins, volailles...) et à sang froid (lézard, grenouille...). Les infections surviennent en général à la suite de la consommation d'aliments crus ou peu cuits issus de ces animaux (steaks hachés, oeufs, lait), car ces bactéries sont détruites par la chaleur."
la suite ici
http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/anne-jeanblanc/des-bacteries-sur-les-legumes-un-probleme-d-hygiene-30-05-2011-1336676_57.php?xtor=EPR-6-[Newsletter-Quotidienne]-20110531

Josué

Josué
Administrateur

Les autorités allemandes ont pour la première fois mardi exprimé des doutes sur la responsabilité de concombres espagnols dans l'intoxication alimentaire.

Une réunion d'experts des 27 Etats de l'UE était en cours mardi à Bruxelles pour faire le point sur l'épidémie de E.coli entero-hémorragique (Eceh), considérée d'ore et déjà comme "un épisode sans précédent".

"La source de la contamination n'a pas encore été déterminée", a indiqué la porte-parole de la Commission Pia Ahrenkilde Hansen.

En revanche, l'origine de l'épidémie est une espère rare de la bactérie, l'E.coli 0104, un agent pathogène lié aux légumes, a précisé un expert.

Des tests sont en cours pour déterminer si cette souche 0104 est présente dans les lots de concombres contaminés par la bactérie E, a-t-il ajouté.

Les bilans des victimes divergent. La Commission parle de 3 décès et de 327 cas de contamination en Allemagne. Les autorités allemandes font état de 15 décès et de 373 cas.

"Les chiffres que nous citons sont les cas officiellement liés à la bactérie E.Coli. Les autres cas, à ma connaissance, ne sont pas officiellement liés à E.Coli", a expliqué la porte-parole.

"Trente cas ont été confirmés en Suède, 13 cas au Danemark, 6 cas en France, 6 cas aux Pays Bas et un cas en Suisse", a-t-elle ajouté. Elle a par ailleurs mentionné "trois cas supposés aux Etats-Unis".

La Commission s'est par ailleurs défendue d'avoir mis en cause l'Espagne dans une alerte lancée vendredi. "Personne n'a incriminé un pays ou une région", a insisté la porte-parole.

"Les autorités allemandes ont informé la Commission qu'elles avaient indentifié l'un des vecteurs de transmission de la bactérie, des concombres bio importés de deux provinces d'Espagne, Alméria et Malaga", précisait le texte de l'alerte.

"Un autre lot de concombres provenant des Pays-Bas et commercialisé en Allemagne est suspecté et soumis à examen", ajoutait-t-il .

L'Espagne et les Pays-Bas ont protesté mardi contre ces mises en cause et ont réclamé des compensations de l'Union européenne pour l'effondrement de leurs ventes de légumes suite à cette alerte.

La ministre espagnole de l'Agriculture Rosa Aguilar a reproché aux autorités allemandes "des déclarations très malvenues en pointant les concombres espagnols, l'Espagne, comme étant l'origine de la contamination sans avoir des données fiables pour le dire".

"La souche d'Eceh (E.coli entero-hémorragique) en cause "n'a jamais été trouvée ou identifiée sur le territoire espagnol à ce jour", a insisté Mme Aguilar.

"Le fait est que toutes les personnes affectées ont été en relation avec l'Allemagne", a-t-elle souligné.

Les services de la Commission européenne ont relevé que la majorité des personnes infectées en Suède, au Danemark, en France et aux Pays-Bas avaient séjourné en Allemagne.

Bruxelles n'a pas souhaité dans l'immédiat se prononcer sur une indemnisation des producteurs lésés. "Nous ne voulons pas spéculer", a éludé la porte-parole.

Des compensations sont en revanche possibles, sous forme d'aides publiques. "Il faudra les notifier à la Commission. Mais pour l'instant nous n'avons pas eu de demandes", a précisé la porte-parole.

Josué

Josué
Administrateur

La qualité des produits alimentaire est censée être garantie par l'autorité publique. Or ses informations ne sont pas toujours fiables, explique Jean-Marc Daniel, professeur à l'ESCP Europe.
voire la vidéo
http://lexpansion.lexpress.fr/economie/ce-que-revele-la-crise-du-concombre_256481.html?xtor=EPR-181#xtor=AL-189

Josué

Josué
Administrateur

[img]Concombres infectés: 11 morts en Allemagne Concombre [/img]

Josué

Josué
Administrateur

La souche de la bactérie tueuse identifiée
Par LEXPRESS.fr avec AFP, publié le 01/06/2011 à 07:50, mis à jour le 02/06/2011 à 14:03




Les chercheurs ont identifié la souche de la bactérie E.coli qui a déjà tué 18 personnes en Europe, mais cherchent toujours quel aliment la transmet.
Le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) a confirmé ce jeudi avoir identifié la souche de la bactérie E.coli, qui a déjà tué 18 personnes en Europe, dont 17 en Allemagne.
La cause de la contamination, elle, est toujours à l'étude.
Face aux tensions et aux morts, le temps presse pourtant pour trouver le vecteur de la contamination.
"Pas facile" de trouver le vecteur de l'épidémie
Le concombre finalement exclu, les chercheurs allemands, qui planchent depuis des jours sur des centaines d'échantillons, sont pour l'instant dans l'incapacité de l'identifier.
Ce ne sera "pas facile", a déclaré mercredi le commissaire européen en charge de la Santé John Dalli, ajoutant que "ce n'est plus une question de traçabilité. Il faut demander aux gens ce qu'ils ont mangé".
Or, l'incubation est d'une dizaine de jours avant que la maladie se déclare.
Seule certitude: les crudités, consommés en grande quantité en cette saison, comme les fruits mais aussi la viande, sont dans la ligne de mire des scientifiques.
Les recherches ont recommencé avec de nouveaux outils. L'Institut fédéral allemand pour l'évaluation des risques (BfR) a annoncé avoir mis au point un nouveau test, en coopération avec des chercheurs français de l'Agence nationale de la sécurité sanitaire (Anses), pour détecter la bactérie dans les aliments.
La maladie se manifeste par des hémorragies du système digestif, et dans les cas les plus graves, par des troubles rénaux (syndrome hémolytique et urémique, SHU).
Déjà plus de 2000 cas ont été signalés en Allemagne, 500 de plus que mercredi. Des malades ont aussi été enregistrés dans le reste de l'Europe et jusqu'aux Etats-Unis, tous ayant apparemment transité par l'Allemagne.
La bactérie a fait un nouveau mort de l'autre côté du Rhin, portant le bilan à 17 tués.
La victime, une patiente âgée qui était hospitalisée dans cette ville, est morte dans la nuit de mercredi à jeudi.
Ce jeudi, la Grande-Bretagne a à son tour signalé des cas d'infection. Sept cas de contamination par la bactérie E.coli, ayant tous un lien avec l'Allemagne, ont été répertoriés au Royaume-Uni.
Trois des personnes contaminées sont des Britanniques ayant séjourné récemment en Allemagne, les quatre autres sont des ressortissants allemands actuellement au Royaume-Uni.
Trois des malades souffrent de complications rénales (SHU, syndrome hémolytique et urémique) et quatre de diarrhées sanglantes.
L'Europe divisée
La bactérie sème la zizanie en Europe. Madrid réclame des réparations après la mise en cause de ses concombres, tandis que Moscou a décrété un embargo sur les légumes européens.
La Commission européenne a levé mercredi soir la mise en garde qui pesait sur les concombres espagnols. La veille, les autorités sanitaires de Hambourg avaient reconnu avoir fait fausse route en en faisants les vecteurs de la bactérie.
Mais les dommages sont considérables pour l'agriculture espagnole, qui a vu ses exportations s'effondrer, poussant le Premier ministre espagnol José Luis Rodriguez Zapatero à monter au créneau jeudi pour réclamer des "dédommagements des préjudices provoqués" auprès de l'Union européenne.
La veille, son ministre de l'Intérieur, Alfredo Perez Rubalcabasa, n'avait pas exclu une plainte contre les autorités de Hambourg.
Le Portugal va également demander une indemnisation à la Commission européenne pour les préjudices causés à son agriculture.
Les Pays-Bas comme l'Allemagne réclament également des aides pour leur agriculture, alors que la décision de la Russie jeudi de décréter un embargo sur les légumes en provenance d'Europe risque d'aggraver la crise.

Josué

Josué
Administrateur

Intoxications alimentaires en Allemagne : le point sur la situation en France
Publié le 31.05.2011
Une épidémie d’intoxications d’origine alimentaire due à une bactérie, de type "Escherichia coli enterohémorragique", touche en particulier l’Allemagne, à la suite de l’importation d’Espagne de concombres qui seraient à l’origine de cette épidémie.
La transmission de cette bactérie s’effectue essentiellement par l’ingestion d’aliments contaminés, cette contamination ayant pu être provoquée par un contact avec des déjections d’animaux domestiques ou sauvages lors de la culture ou de la manipulation. Sa contagiosité est faible. Les autorités sanitaires rappellent donc les règles d’hygiène habituelles :
se laver les mains avant chaque repas et après chaque passage aux toilettes,
concernant plus particulièrement les fruits et les légumes, les laver, les éplucher ou les faire cuire avant de les consommer.
Un lot de concombres suspects livré sur le territoire français a été retiré du marché. Il y a actuellement en France quelques cas suspects en rapport avec l’épidémie allemande mais aucun cas identifié en rapport avec le lot retiré en France. En liaison avec l’Institut de veille sanitaire (Invs), le dispositif de surveillance a été renforcé sur l’ensemble du territoire.
Intoxication alimentaire en Allemagne : mesures mises en œuvre en France
Ministère du travail, de l’emploi et de la santé
Epidémie d’infections à Escherichia coli producteurs de shiga-toxines en Allemagne, mai 2011 - Point au 30 mai 2011
Institut de veille sanitaire (Invs)
Que sont les Escherichia coli producteurs de shigatoxines (STEC) ?
Agence nationale de sécurité sanitaire, de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses)

Psalmiste

Psalmiste

On nous parle tellement de concombre en ce moment, qu'en allant faire mes courses je m'en suis achetté 1, car ça m'a donné envie - lol Smile

Psalmiste

Psalmiste

J'ai mangé du concombre hier soir, et je suis toujours en vie - lol !

* C'était du concombre Belge (Je préfère faire vivre les Belges plutôt que les français) !

Josué

Josué
Administrateur

Psalmiste a écrit:J'ai mangé du concombre hier soir, et je suis toujours en vie - lol !

* C'était du concombre Belge (Je préfère faire vivre les Belges plutôt que les français) !
il était bon ? bounce

Psalmiste

Psalmiste

Il était délicieux Smile

Josué

Josué
Administrateur

La traque de la bactérie Eceh se poursuit samedi alors que des milliers de personnes ont été infectées, sans que l'on sache où et comment. LEXPRESS.fr fait le point.
"Ne pas baisser la garde"
Le ministre français de l'Agriculture, Bruno Le Maire, a enjoint vendredi ses partenaires européens à "ne pas baisser la garde en matière de sécurité sanitaire des aliments", alors que la propagation d'une bactérie tueuse a fait 19 morts en Europe, dont 18 en Allemagne.
"Ne jouons pas les apprentis sorciers en allégeant les contrôles sanitaires sur l'alimentation. Ce serait de la folie", selon le ministre qui vise ainsi, sans les citer, des pays-membres "favorables à une réduction du budget de la politique agricole commune (PAC) et à la renationalisation des politiques agricoles".
Les ministres européens de l'Agriculture seront très probablement convoqués à Luxembourg pour une réunion extraordinaire, mais pas avant le 17 juin, selon des sources diplomatiques à Bruxelles.

Josué

Josué
Administrateur

Le concombre tueur serait du soja allemand: "Le pic épidémique est derrière nous"
usqu'ici, on nous avait vendu le "concombre tueur", sorte de Croquemitaine alimentaire des temps modernes, qui rejoint au Panthéon des vilains de nos assiettes la vache folle ou le poulet aux hormones. Sauf que, après enquête, le concombre tueur serait en fait un méchant soja, cultivé hors sol dans le nord de l'Allemagne. Entre deux, la psychose est passée par là, et les ventes de concombre ont dévissé de 80% en France.

Le "concombre tueur" (tueur car porteur de la bactérie E.coli) était né suite à une enquête par questionnaire auprès de proches des victimes. Scientifiquement, on n'a rien trouvé sur les concombres. Cela dit, on se rappelle plus avoir mangé du concombre que des pousses de soja, souvent utilisées pour compléter une salade. L'enquête rebondit du côté d'un fabricant de graines de Basse-Saxe... Ce n'est encore qu'une supposition, rappelle RTL, mais le germe de soja a déjà été à l'origine d'une épidémie de ce genre en Asie.

"Les végétaux sont très souvent consommés crus, pour peu que la bactérie soit présente dans l'eau d'arrosage, il y a matière à contamination, explique Jean-Marc Bourre, membre de l'académie de médecine sur France Info. Dès lors qu'il y a cuisson à 70°C, la bactérie est détruite".

De toute façon, pas de panique à avoir, les scientifiques pensent que le pire est passé.

Prenez François-Xavier Weill, de l'institut Pasteur, dans Libération: "la dernière étude publiée à partir des cas recensés montre que le pic épidémique est derrière nous. Il faut toutefois rester prudent, car certains cas récents n'ont peut-être pas encore été déclarés aux autorités fédérales allemandes..."
Sources : RTL, France Info, Libération

Josué

Josué
Administrateur

Le bilan de la bactérie tueuse s'élève à 25 victimes. Pour autant, la commission européenne estime qu'il n'y a aucune raison de prendre des mesures de restrictions. LEXPRESS.fr fait le point.
La bactérie E.coli (Eceh) a fait deux nouvelles victimes en Allemagne. Il s'agit de deux femmes, l'une âgée de 74 ans et l'autre de 88 ans, mortes respectivement mardi 31 mai et mercredi 1er juin. Elles présentaient les symptômes d'un syndrome hémolytique et urémique (SHU), des troubles rénaux graves provoqués par la bactérie Eceh.
Le bilan total est donc ce mardi de 25 morts. 700 autres malades sont jugés préoccupants. Outre les 24 décès enregistrés en Allemagne, la Suède avait également recensé une femme morte après avoir été infectée lors d'un voyage dans ce pays.
L'Allemagne critiquée par l'UE
La Commission européenne a critiqué mardi l'Allemagne, coupable d'avoir lancé sans preuves des alertes contre des légumes soupçonnés de transmettre une bactérie tueuse et d'avoir décrété des interdictions de consommation non fondées.
"Il est crucial que les autorités nationales ne se bousculent pas pour donner des alertes non prouvées, car cela crée des psychoses et des problèmes", a averti le commissaire à la Santé, John Dalli, lors d'un débat au Parlement européen réuni en session plénière mardi à Strasbourg. "Il est important de déclencher des alertes quand on est certain des données scientifiques", a-t-il ajouté.
Il a ainsi critiqué la décision des autorités allemandes de déconseiller la consommation de concombres, tomates et salades quelle que soit leur provenance, ce qui a provoqué une crise de confiance des consommateurs et un effondrement du secteur en Espagne et dans plusieurs autres Etats.
"L'épidémie est limitée à Hambourg [dans le nord de l'Allemagne, ndlr]" et "il n'y a aucune raison de prendre des mesures au niveau européen, notamment des interdictions de tous les produits, car elles sont disproportionnées", a insisté John Dalli.
150 millions d'euros débloqués pour les maraîchers
La Commission européenne a proposé par ailleurs de débloquer une aide de quelque 150 millions d'euros en faveur des producteurs de légumes et de fruits de l'UE confrontés à un effondrement de leurs ventes à cause de l'épidémie. Le commissaire à l'Agriculture, Dacian Ciolos, a toutefois précisé que le chiffre exact dépendrait des estimations des pertes qui seront faites dans chaque pays.
L'origine de la contamination reste mystérieuse
L'origine de la contamination, qui a touché 13 pays européens, voire les Etats-Unis et le Canada, où des cas suspects ont été signalés, reste mystérieuse.
Après avoir un temps soupçonné des concombres espagnols, les autorités sanitaires allemandes pensaient avoir trouvé la source dans une exploitation bio produisant des graines germées dans le nord du pays, mais les premiers résultats de prélèvements effectués sur place se sont révélés négatifs.
Escherichia coli est pourtant une bactérie répandue et très connue des chercheurs. La famille de cette bactérie compte des souches bénéfiques qui vivent dans le système digestif des mammifères en parfaite symbiose. Elle compte également des souches ennemies comme la salmonelle ou l'agent de la peste, yersinia.
Le centre Eppendorf de Hambourg et un laboratoire chinois, BGI-Shenzhen, ont analysé le micro-organisme O104:H4, responsable de l'épidémie actuelle. Il est le résultat d'une fusion entre deux bactéries: E. coli entérohémorragique O104 (Ehec), très virulente et EAEC 55 989, connue pour provoquer des diarrhées graves. Il porte également des séquences d'ADN provenant de la souche yersinia. O104:H4 résiste à tous les antibiotiques connus. Le Soliris est actuellement testé en Allemagne. Il pourrait se révéler efficace mais le traitement est extrêmement coûteux.

samuel

samuel
Administrateur

en fait personne ne sait l'origine de ce microbe.

Josué

Josué
Administrateur

source REUTERS.
Les graines germées sont la cause la plus probable de l'épidémie mortelle provoquée par la bactérie Escherichia coli (E. coli), ont déclaré, vendredi, les autorités allemandes sur la foi de nouvelles données. "Ce sont les graines germées", a déclaré Reinhard Burger, le patron de l'Institut Robert-Koch, l'autorité fédérale de contrôle des maladies. "Les personnes qui ont consommé des graines germées ont neuf fois plus de chances de souffrir de diarrhées hémorragiques que les autres."

"L'épidémie n'est pas terminée", a-t-il ajouté. Les autorités sanitaires allemandes ont par ailleurs levé leurs réserves sur la consommation de concombres, de tomates et de salades.

Josué

Josué
Administrateur

[img]Concombres infectés: 11 morts en Allemagne Bactries [/img]

samuel

samuel
Administrateur

Admin a écrit:[img]Concombres infectés: 11 morts en Allemagne Bactries [/img]
Le plus fort c'est qu'il y a encore des morts.

Josué

Josué
Administrateur

[img]Concombres infectés: 11 morts en Allemagne Concombre [/img]

Josué

Josué
Administrateur

7 enfants âgés de 20 mois à 8 ans sont hospitalisés à Lille après avoir été victimes de diarrhées sanglantes, provoquées par la désormais fameuse bactérie e-coli. Cette fois-ci, le concombre échappe au banc des accusés: il s'agirait de steaks hachés surgelés de la marque Steaks Country (vendus chez Lidl) qui seraient à l'origine de la contamination. Des études complémentaires sont en cours pour confirmation, mais les clients qui auraient acheté ce lot de steaks qui périment les 10, 11 et 12 mai 2012 sont invités à le rapporter au magasin.

Cette viande hachée suspecte mise en cause dans l’intoxication alimentaire viendrait essentiellement d’Allemagne, selon les informations de France Info. La société française SEB, fabricant ces steaks hachés a confirmé que la viande suspecte provenait essentiellement d'Allemagne, des Pays-Bas, de Belgique, mais aussi de France, où elle a été abattue note La Voix du Nord. Ensuite, toutes les carcasses sont acheminées en France pour être transformées.

"Une partie du lot venait de la Belgique et de l'Italie et il doit même y avoir de la France dans le lot. Sur la totalité du lot, il y en a pour 10 tonnes", a expliqué Guy Lamorlette, le PDG de la société SEB, cité par Europe 1.

"Au niveau de la fabrication, on considère qu’on a fait les choses dans les règles de l’art", précise Guy Lamorlette, le gérant de la société SEB au micro de France Info. "Avec tout ce qui vient de se passer en Allemagne, tout le monde est un peu stressé", confie-t-il.

Et 10.000 lots de cette viande suspecte ont été vendus, tous dans le Nord-Pas-de-Calais, indique Guy Lamorlette.

Les diarrhées sanglantes aigues dont sont victimes ces enfants peuvent entraîner une insuffisance rénale grave. D'après France Info, plusieurs d'entre eux ont été placés sous rein artificiel.

Les 7 enfants hospitalisés sont dans un état jugé "sérieux" mais stable" par les médecins. Trois d'entre eux sont sous dialyse. Ces enfants ne sont pas de la même famille, ni de la même ville (ce sont les hôpitaux de Douai, Valenciennes et Dunkerque qui ont donné l'alerte, note La Voix du Nord): plusieurs magasins ont sans doute dû vendre ces steaks.

La firme Steaks Country, basée à Saint-Dizier, a mis en place un numéro vert, le 0800.802.511.

Josué

Josué
Administrateur

bactérie e-coli
ALERTE
Steaks hachés contaminés : un enfant de deux ans dans le coma



L'un des sept enfants hospitalisés à Lille, après avoir mangé des steaks hachés, a été placé dans un coma artificiel.




La situation semble de plus en plus alarmante. Alors que 7 enfants 20 mois à 8 ans. ont été hospitalisés après avoir mangé du steak haché de la marque Steak Country, deux autres cas suspects font l'objet d'investigations.

C'est du moins ce qu'a affirmé le ministre de la Santé, Xavier Bertrand, lors d'une réunion sur la situation sanitaire, dans les locaux l'agence régionale de santé (ARS), vendredi à Lille.

L'un d'entre eux, celui âgé de 2 ans, a été placé en coma artificiel, indique LCI. "Il se trouve dans un état préoccupant", précise le Dr Michel Foulard, chef du service néphropédiatrique du CHRU de Lille. L'état des cinq autres enfants est "stable", assure le docteur Michel Foulard, chef de service au CHRU de Lille, cité par

Pour déterminer comment la bactérie s'est retrouvée sur la viande, des analyses ont été réalisées sur les échantillons suspects. Les résultats de ces tests devraient être connus lundi.

"Nous avons reçu des échantillons provenant à la fois des familles ayant consommé ces steaks et du producteur. Leur analyse sera connue sans doute dans le week-end et au plus tard lundi", a déclaré Estelle Loukiadis, qui dirige un laboratoire dépendant du ministère de l'Agriculture.

La France tirera "toutes les conséquences" de l'enquête sur les steaks hachés suspects, a déclaré jeudi le ministre de l'Agriculture, Bruno Le Maire, cité par LCI.

De son côté, l'Italie a déjà tiré quelques conséquences de cette infection, indique La Voix du Nord. Les autorités italiennes ont annoncé avoir saisi jeudi environ 5 tonnes de steaks hachés et de boulettes de la marque Steak Country.

Josué

Josué
Administrateur

afp.com/Joel Saget
Le ministre de la Santé Xavier Bertrand a appelé les personnes souffrant de diarrhée et celles qui ont acheté des graines germées à "ne pas les consommer".
Le ministre de la Santé Xavier Bertrand a, dimanche à Bordeaux, appelé à la vigilance les personnes souffrant de diarrhée ou de fortes douleurs abdominales et celles qui ont acheté des graines germées en leur demandant de "ne pas les consommer et les rapporter".
"Il faut consulter rapidement un médecin et ne pas avoir recours à l'automédication" en cas de diarrhée ou de douleurs abdominales fortes, a souligné le ministre qui "préfère que l'on soit davantage vigilant et qu'on ne passe à côté d'aucun cas potentiel" de syndrome hémolytique et urémique (SHU).
"Je demande également à toutes les personnes qui auraient pu acheter des graines de ne pas les consommer et de les ramener", a-t-il insisté "dans l'attente du résultat des enquêtes en cours".
Sur les sept personnes souffrant de SHU hospitalisées au CHU de Bordeaux, des médecins ont indiqué que leur état était stationnaire pour une personne en service réanimation et les cinq autres admises au service de néphrologie.
En revanche, l'état de santé d'une femme de 78 ans est jugé lui "sévère et préoccupant".
Le ministre a en outre révélé qu'un nouveau médicament était "expérimenté" au CHU de Bordeaux, "un médicament qui a été utilisé en Allemagne", le Soliris, et qui "ici est utilisé plus tôt pour permettre aux organismes de pouvoir faire face de manière plus efficace".
Une conférence téléphonique avec l'ensemble des responsables de la santé au niveau européen doit également avoir lieu dimanche pour "faire le point sur la traçabilité de ces graines afin de comprendre quelle est l'origine de cette bactérie", a indiqué le ministre.

Josué

Josué
Administrateur

Seulement quelques semaines après une épidémie d'E. coli qui a fait une quarantaine de morts en Allemagne, les cas groupés de contamination par la bactérie avérés en Gironde ont mis les autorités sanitaires françaises en alerte. Mais que sait-on réellement de cet épisode ? Le Point.fr fait le bilan des connaissances disponibles à ce jour.

- La souche d'Escherichia coli en cause en Gironde est-elle la même que celle qui a fait une quarantaine de morts en Allemagne ?

Il semble que oui. Des prélèvements ont été effectués sur chacune des sept premières personnes victimes des symptômes et hospitalisées à Bordeaux. Pour l'heure, l'agence régionale de santé (ARS) d'Aquitaine n'a reçu les résultats que pour trois de ces patients. Dans les trois cas, il s'agit bien de la même souche O104, rare et particulièrement virulente, de la bactérie E. coli. Deux nouvelles personnes présentant les mêmes symptômes ont été à leur tour hospitalisées lundi et devraient rapidement faire l'objet des mêmes examens.

- Pourquoi les graines germées sont-elles de nouveau pointées du doigt ?

La cellule de l'Institut de veille sanitaire en région Aquitaine a mené un interrogatoire auprès de six des sept premiers malades hospitalisés à Bordeaux, la septième personne n'étant pas en mesure de répondre aux questions. Cette étude épidémiologique a rapidement montré que tous avaient en commun d'avoir participé, le 8 juin dernier, à la même kermesse d'un centre de loisirs de Bègles (Gironde). Au menu, ce jour-là, figuraient des soupes de légumes saupoudrées de graines germées non cuites. Or on sait que la cuisson détruit la bactérie. L'aliment consommé cru fait donc depuis l'objet de tous les soupçons. "Il y a un faisceau d'indices précis, graves et concordants, mais pas de certitude", estime Yves Charles, directeur départemental de la protection des populations en Gironde.

- D'où viennent les graines germées consommées à Bègles ?

L'enquête a rapidement permis de déterminer que les graines de roquette, de fenugrec et de moutarde servies aux participants de la kermesse du centre de loisirs de Bègles provenaient toutes d'un magasin Jardiland situé à Villenave-d'Ornon. Ces graines "sèches" que le consommateur doit faire germer lui-même avant consommation ont été achetées le 25 mai dernier. Deux employés du centre auraient été chargés de leur culture. Les sachets de graines sont commercialisés par la société britannique Thompson et Morgan. Mais, selon le directeur du Jardiland, la fiche de traçabilité indiquerait l'Italie comme provenance.

- Comment les autorités comptent-elles vérifier la source de la contamination ?

Des prélèvements ont été effectués sur des sachets de graines de roquette, de fenugrec et de moutarde de même marque et portant le même numéro de lot que celles consommées à Bègles. D'autres échantillons portant sur des lots différents ont aussi été faits. Le tout a été adressé à un laboratoire spécialisé basé à Lyon. Mais la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) ignore encore quand les résultats des analyses seront connus. De son côté, la cellule de l'Institut de veille sanitaire en région Aquitaine va poursuivre son enquête épidémiologique auprès de l'ensemble des participants à la kermesse du centre de loisirs de Bègles.

- Comment peut-on expliquer deux vagues de contaminations aussi rapprochées liées à des graines germées ?

La question taraude les scientifiques. "Nous n'avons pour l'instant aucune explication, mais cela pose question, c'est très intrigant", indique Christine Martin, directrice de recherche à l'unité de microbiologie de l'Inra Clermont-Ferrand-Theix. "Nous naviguons dans le brouillard, mais il paraît tout de même hautement improbable, si effectivement les graines germées sont de nouveau en cause, qu'il n'y ait pas une origine commune entre ce qui est arrivé en Allemagne et ce qui survient en France", estime-t-elle.

- Les graines germées sont-elles plus propices qu'un autre aliment au développement de la bactérie ?

"On connaît encore très peu de choses de cette souche O104", souligne la chercheuse de l'Inra Christine Martin. "En ce qui concerne les graines, les conditions de leur germination (température, milieu humide, production de nutriments lors de la germination) sont effectivement favorables au développement des Escherichia coli", indique-t-elle. "Dans ce contexte, une contamination très faible des graines peut suffire, puisqu'on sait que ce type de bactéries se reproduit très vite. "Leur population peut doubler en une heure, voire même en une demi-heure", note-t-elle.

- En sait-on tout de même un peu plus sur la souche tueuse O104 de bactérie E. coli ?

À la suite de l'épidémie en Allemagne, un séquençage ADN et des analyses génomiques ont été réalisés par cinq laboratoires sur trois souches différentes de la bactérie Escherichia coli O104. "Ces investigations ont révélé qu'il s'agissait d'une bactérie parfaitement atypique", explique Christine Martin. En effet, cette souche ne ressemble pas aux autres Escherichia coli entérohémorragiques (ECEH). 93 % de son génome est, au contraire, identique à celui de bactéries E. Coli de type pathogénique entéroaggrégatif (qui provoquent des diarrhées sans gravité), à ceci près qu'elle a acquis la faculté de produire une Shigatoxine typique des ECEH. "Il semble qu'il y ait eu un transfert de gène", précise la chercheuse. Autre particularité notable, il apparaît que le réservoir naturel de cette souche de bactérie est l'intestin des êtres humains - qui peuvent en être porteurs sains -, et non celui des animaux. Un élément important pour la compréhension des épidémies qui surviennent et qui sont encore loin d'avoir livré tous leurs secrets.

Josué

Josué
Administrateur

Alimentation: rien à craindre si l'on mange de tout et sans excès
Publié le 30-06-11 à 08:33 Modifié à 09:12 par Le Nouvel Observateur avec AFP 1 réaction

L'Anses a évalué le risque toxicologique de certains aliments courants et prône la diversité alimentaire, afin d'écarter les risques pour la santé.

source : NouvelObs ->

Mikael

Mikael
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MODERATEUR

Admin a écrit:Alimentation: rien à craindre si l'on mange de tout et sans excès
Publié le 30-06-11 à 08:33 Modifié à 09:12 par Le Nouvel Observateur avec AFP 1 réaction

L'Anses a évalué le risque toxicologique de certains aliments courants et prône la diversité alimentaire, afin d'écarter les risques pour la santé.

source : NouvelObs ->
facile a dire la diversité alimentaire encore faut il en avoir les moyens.

Josué

Josué
Administrateur

bactérie e-coli
CRISE SANITAIRE ?
Contamination à la bactérie e.coli: premier décès en France
02/07/2011 à 10h07 - mis à jour le 02/07/2011 à 11h37 | 1450 vues | 7 réactions


Parmi les sept personnes hospitalisées à Bordeaux, l'état de santé de cette femme de 78 ans était réservé.


Bactérie e-coli. | MAXPPP

Après l'Allemagne, la France se dirige-t-elle vers une crise sanitaire ? La bactérie e.coli vient de faire sa première victime en France.

Parmi les 7 personnes hospitalisées suite à une intoxication alimentaire par la bactérie e.coli à Bordeaux, l'une d'entre elle a perdu la vie samedi dans la nuit.

L'état de santé de cette femme de 78 ans s'est aggravé dès mardi. Les médecins du CHU de Bordeaux se montraient réservés sur son pronostic vital. Elle avait alors été placée en service de réanimation.

Le décès signe-t-il le début d'une épidémie à l'image de celle qui a sévit en Allemagne ?

Josué

Josué
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Un lot de graines de fenugrec importées d'Égypte en 2009 est considéré comme le lien "le plus probable" entre les intoxications par la bactérie E. coli en France et en Allemagne, a annoncé, mardi, l'agence européenne de sécurité alimentaire EFSA. L'EFSA a demandé à la Commission européenne de prendre les mesures nécessaires pour éviter de nouvelles contaminations et un retrait des graines provenant de ce lot pourrait être décidé dès mardi par l'UE, selon une source européenne.

"L'enquête de traçabilité menée par l'EFSA a conclu qu'un lot de graines de fenugrec importées d'Égypte est le lien le plus probable entre les deux épidémies" en Allemagne et en France, a annoncé l'agence basée à Parme (Italie) dans un rapport publié en ligne sur son site internet. L'EFSA avait déjà évoqué la piste égyptienne dans un communiqué publié le 29 juin. Mais le ministère égyptien de l'Agriculture avait écarté le 1er juillet la responsabilité de graines de fenugrec produites en Égypte.

Phosphore et magnésium

Le fenugrec est une plante aux feuilles ovales, proches du trèfle. Ses graines sont utilisées dans l'alimentation, car elles sont très riches en phosphore et en magnésium notamment. Il peut être utilisé comme engrais dans l'agriculture biologique. Le lot incriminé, d'un volume de 15 tonnes, a été importé en 2009 en Allemagne, puis ensuite redistribué dans d'autres pays, notamment en France. L'EFSA estime que d'autres lots importés d'Égypte pendant la période 2009-2010 pourraient également être incriminés et précise qu'elle poursuit son enquête de traçabilité.

"L'EFSA demande à la Commission européenne de prendre les mesures pour éviter d'exposer les consommateurs à des contaminations par les graines suspectes et de contacter tous les États qui peuvent avoir reçu des graines de ce lot", indique le communiqué. Les experts des États membres de l'UE se sont réunis mardi à Bruxelles pour discuter des mesures à prendre sur la base des recommandations de l'EFSA et un retrait de la vente pourrait être décidé, a-t-on appris de source européenne.

Incertitudes en France

Le lot incriminé est porteur de la souche O104:H4 de la bactérie E. coli entérohémorragique (Eceh). L'intoxication due à cette souche a fait à ce jour 48 morts en Allemagne et un en Suède. Une deuxième épidémie touche la France où une dizaine de personnes ont été atteintes par la bactérie Eceh dans l'agglomération de Bordeaux. L'enquête de traçabilité réalisée par la Direction de la consommation (DGCCRF) du ministère français a montré que les graines germées consommées étaient du fenugrec, de la moutarde et de la roquette.

Une femme âgée est décédée des suites d'une infection due à la bactérie E. coli à Bordeaux (sud-ouest), premier cas connu en France depuis la vague récente de contamination, mais elle n'était pas porteuse de la souche O104. Le rapport publié mardi par l'EFSA établit le lien entre l'épidémie en France et l'épidémie en Allemagne. Le secrétaire d'État français à la Consommation Frédéric Lefebvre a mis en cause des graines achetées en Allemagne par la société britannique Thompson & Morgan et revendues en France.
source A F P

larose



Bonjour,

J'avais trouvé ceci sur le net, c'est juste une hypothèse qui a été émise pp

http://www.cf2r.org/fr/notes-actualite/bacterie-tueuse-doit-on-craindre-une-action-de-terrorisme-bacteriologique.php

Invité


Invité

Maintenant que l'on sait que les concombres sont hors de cause je suggère de modifier le titre du sujet

larose



Pourquoi ? Le titre rappelle un moment précis de l'actualité.

Invité


Invité

larose a écrit:Pourquoi ? Le titre rappelle un moment précis de l'actualité.


Le concombre à été innocenté, le titre est de la diffamation pour tous les producteurs de concombres

Aude

Aude

florence_yvonne a écrit:
larose a écrit:Pourquoi ? Le titre rappelle un moment précis de l'actualité.


Le concombre à été innocenté, le titre est de la diffamation pour tous les producteurs de concombres

L'actualité c'est 80% de désinfo....On ne devrait jamais rien cautionner par prudence.

Josué

Josué
Administrateur

le journal qui a fait cette info ne change pas le titre de cette fausse info pour autant.

Invité


Invité

Les journaux sont déjà partis à la poubelle, tandis que si quelqu'un fait une recherche su Google il va tomber sur ce titre et ne comprendra pas qu'il n'est plus d’actualité

Josué

Josué
Administrateur

non les journaux ont leurs archives qui sont consultables en ligne.

Aude

Aude

florence_yvonne a écrit:Maintenant que l'on sait que les concombres sont hors de cause je suggère de modifier le titre du sujet

jplussoi

C'est sûr que ce serait mieux de mettre " bactérie E. coli" car de toute manière ce n'est pas le concombre qui a fait des victimes mais la bactérie.

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