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Risque de coupures d’électricitéLe vrai coupable jamais nommé !

3 participants

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Josué

Josué
Administrateur

Risque de coupures d’électricitéLe vrai coupable jamais nommé !
« Si chaque Français baisse de 1 degré la température de sa pièce de vie, c’est la production de 2 réacteurs économisée ! », assure la campagne publicitaire du ministère de l’Environnement et de l’Ademe (Agence de l’environnement) en cette période de grand froid. Non, trois fois non, c’est de la pure désinformation.

Baisser la température de 1 degré chez soi ne fait pas économiser d’électricité du tout quand on se chauffe au gaz, au fioul ou au bois. Or une forte majorité de ménages se chauffe à ces énergies-là. Ils ne sont donc nullement concernés par ce message d’information. Pour être informative et ne pas induire en erreur, cette campagne publique aurait dû préciser « si chaque Français se chauffant à l’électricité », ce qui ramène les résidences principales concernées à seulement 30 % du parc !
Mais cette manipulation ne doit rien au hasard. La France est le seul pays européen qui risque à ce point de manquer d’électricité en hiver, et c’est pour une seule et unique raison, le chauffage électrique. Car c’est lui et lui seul qui occasionne les pics de consommation exceptionnels dès qu’il fait froid. Nos voisins européens qui n’ont jamais eu à promouvoir le chauffage électrique pour consommer la production de leur parc nucléaire ne connaissent pas ces pics hivernaux.
Durant la dernière grande vague de froid de février 2012, le chauffage électrique avait pompé à lui seul 40 % de la consommation totale d’électricité et provoqué des pics de consommation spectaculaires. « Le maximum historique est passé de 75 000 MW dans les années 2000 à plus de 100 000 MW en février, soulignait alors RTE, le réseau de transport d’électricité. Chaque hiver sera de plus en plus difficile en cas de vague de froid de cette ampleur. » Prémonitoire !
De fait, pour chaque degré extérieur en moins, le chauffage électrique augmente la puissance appelée de 2 400 MW, l’équivalent de deux réacteurs. C’est 4,5 fois plus qu’en Allemagne et en Espagne, 6 fois plus qu’en Italie.
Alors plutôt que cacher cette vérité aux Français et plutôt que faire payer tous les consommateurs, les pouvoirs publics seraient bien inspirés de regarder la réalité en face. Le chauffage électrique est une impasse pour notre réseau électrique, notre approvisionnement en électricité et son coût. Plutôt que continuer à le soutenir en vantant les mérites des radiateurs « intelligents » et en refusant d’imposer une étiquette énergie aux radiateurs électriques sous prétexte qu’ils seraient trop mal classés en F ou G, il vaudrait mieux aider les ménages concernés à réduire drastiquement leurs besoins de chauffage et à changer d’énergie. Qu’on soit équipé d’un vieux convecteur grille-pain ou d’un radiateur électrique ultra-moderne ne change en effet pas grand-chose en plein hiver. Quand il fait froid, ils fonctionnent tous à pleine puissance !

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Mais en Espagne et en Italie il ne fait pas si froid qu'en France ?

Josué

Josué
Administrateur

[size=35]Gros temps pour les éoliennes[/size]
Risque de coupures d’électricitéLe vrai coupable jamais nommé ! 2007-175326
Photo : Le premier parc éolien offshore de France, au large de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique). Crédits photo : Caroline Paux /Hans Lucas via AFP.
Le temps se gâte pour les éoliennes ! Non seulement leurs performances énergétiques sont décevantes, leur longévité et leur recyclage jugés problématiques, mais elles sont accusées de gâcher le paysage, d'être bruyantes, de perturber les ruminants, de tuer les oiseaux et, s'agissant des installations en mer, de désorienter mortellement les cétacés tout en nuisant aux ressources halieutiques. Bref, d'être peu économiques et encore moins écologiques. En outre, leurs fabricants éprouvent des difficultés technologiques, tel le géant allemand Siemens (cf. LSDJ n°1947).
Et voilà que la Cour des comptes européenne vient d'alerter sur un « dilemme écologique », rapporte Ouest-France (19 septembre, en lien ci-dessous). Dans un audit daté du 18 septembre relatif au déploiement des énergies marines renouvelables (EMR — apport en lien ci-dessous), l'organe de contrôle européen pointe un manque d'évaluation des conséquences sur l'environnement des champs marins d'éoliennes et les problèmes de cohabitation avec les pêcheurs : « Dans l'ensemble, les auditeurs craignent que l'essor des EMR en Europe se fasse au détriment du milieu marin, au-dessus comme au-dessous du niveau de la mer », résume le communiqué de la Cour des comptes européenne. Cet audit lui a permis d'analyser la situation de l'éolien dans quatre pays européens : l'Allemagne et les Pays-Bas, champions du développement des EMR, l'Espagne qui préfère carrément investir dans d'autres technologies, et la France, qui vient d'inaugurer son premier parc marin au large de Saint-Nazaire, ce qui la situe nettement à la traîne (en février 2022, Emmanuel Macron annonçait un objectif de 40 gigawatts (GW) d'éolien en mer en 2040, alors qu'aujourd'hui, notre unique parc marin en service produit... 0,48 GW contre 7,7 GW en Allemagne et 12,7 GW au Royaume-Uni). Rien de surprenant au demeurant : les Français sont les plus rétifs à l'installation d'éoliennes, qu'elles soient terrestres ou maritimes, comme vient de le rappeler le très populaire Stephan Bern, chargé par Emmanuel Macron de la Mission Patrimoine (cf. son interview au Dauphiné : « On défigure le pays avec des éoliennes qui ne sont pas souhaitées par les Français. »)
Cet audit jette un froid sur les ambitions de l'UE qui compte beaucoup sur le développement des éoliennes en mer (fixes ou flottantes) pour atteindre la neutralité carbone en 2050. Une ambition coûteuse, souligne ce rapport : près de 17 milliards d'euros d'aide ont été engloutis dans les EMR au cours des 15 dernières années. Les dernières nouvelles ne sont pas encourageantes pour le secteur éolien, ni d'ailleurs pour l'écologie. Comble du paradoxe, elles viennent d'Allemagne : avec le feu vert du gouvernement, le géant énergéticien allemand RWE a entrepris le 25 août de démonter des éoliennes à Garzweiler, en Rhénanie, dans l'ouest du pays, pour agrandir une mine de charbon à ciel ouvert, la plus polluante des énergies fossiles !
Philippe Oswald

samuel

samuel
Administrateur

Et comme la population augmente de même que la consommation, c'est un vrais problème.
C'est le serpent qui se mord la queue.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Les gens ne veulent pas d'éoliennes , ni de centrale aux charbons et encore de centrale atomique, mais veulent quand même de l'électricité.

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