28 mars–3 avril JOB 11-15

28 mars–3 avril
JOB 11-15
La Bible ne prescrit pas un âge minimum pour remplir la fonction d’ancien. Bien qu’il faille reconnaître que les Écritures mettent l’accent sur les qualités spirituelles plutôt que sur les qualités physiques, le terme même d’“ancien” implique déjà un certain âge. Certes, l’âge seul n’est pas le facteur déterminant, mais, de l’aveu même de Moïse, l’expérience est un précieux atout pour ceux qui assument d’importantes responsabilités (Deut. 1:13). Nous lisons en Proverbes 20:29: “La beauté des jeunes hommes, c’est leur force, et la splendeur des vieillards, ce sont leurs cheveux gris.” L’énergie et l’enthousiasme des jeunes ne sont pas forcément synonymes de sagesse. En revanche, les longues années de vie dont les cheveux blancs sont la marque laissent présumer davantage de sagesse. “N’est-ce pas chez les hommes d’âge que se trouve la sagesse et dans la longueur des jours l’intelligence?”, demanda Job (Job 12:12; voir aussi le verset 20; 32:6, 7). Un jeune homme peut être désireux, voire impatient de servir, et se montrer plein de promesses. Mais son manque d’expérience dans la vie risque d’être pour lui un handicap lorsqu’il devra aider des personnes plus âgées à résoudre de graves problèmes. On ne peut s’attendre à ce que ses paroles, aussi sincères soient-elles, aient le même poids que celles d’un homme qui a davantage d’années derrière lui.

C'est vraiment beau tout ce que les reunion on fait pour transformer la vie des membres de la congregation, car je les regarde aller et ils sont tous heureux, ils sont tous plein de vie, ils embarque à tour de rôle sur l'estrade et vons faire des discours le dimanche dans notre ville ou dans les autres villes, et c'est normal de voir tout le monde participer, Jesus allais lire les ecriture devant sa congregation aussi, c'est le même programme que nous suivons tous ...

“L’homme aussi doit se coucher et il ne se lève pas. Jusqu’à ce que le ciel ne soit plus, ils ne s’éveilleront pas, et ils ne seront pas réveillés de leur sommeil. Ah! si tu me cachais dans le Schéol, si tu me tenais dissimulé jusqu’à ce que s’en retourne ta colère, si tu me fixais un délai et te souvenais de moi! Si un homme valide meurt, peut-il revivre? Tous les jours de mon service obligatoire [à cause de la permission divine de la méchanceté], j’attendrai, jusqu’à ce que vienne ma relève. Tu appelleras, et, moi, je te répondrai. Tu languiras après l’œuvre de tes mains.” — Job 14:12-15.
Tant qu’il était affligé, Job pensait que Dieu avait tourné sa face contre lui. Mais devant les difficultés que Dieu laisse venir sur nous, ne nous arrive-t-il pas, à nous aussi, d’avoir parfois le sentiment qu’il nous désapprouve et de désirer qu’il change l’expression de son visage à notre égard? Au “dernier jour”, la résurrection des morts retenus dans le Schéol ou l’Hadès sera le signe que Jéhovah Dieu accorde sa faveur à l’humanité rachetée. Job avait foi que Dieu le rappellerait à la vie, lui et d’autres humains, car un “rédempteur” viendrait qui paierait le prix fixé pour racheter Job du “service obligatoire” auquel il avait été vendu.

Job etait tourmenter par le malheur et pourtant Jehovah l'aimais qund meme, peut être que nous souffrons de differente facon, à cause de la maladie ou autre mais nous ne sommes ps oublier aux yeux de Jehovah, ils nous aimes, parfois en vieillissant nous avons des douleurs ou autre probleme, mais cela ne veux pas dire que Jah nous a abandonner ...

Job a pris l'image d'un arbre qui se régénère.
Bible avec notes et références Jb 14:13-15 Ah ! si tu me cachais dans le shéol, si tu me tenais dissimulé jusqu’à ce que s’en retourne ta colère, si tu me fixais un délai, pour te souvenir de moi !14Si un homme robuste meurt, peut-il revivre ? Tous les jours de ma corvée, j’attendrai, jusqu’à ce que vienne ma relève.15Tu appelleras, et moi je te répondrai. Tu languiras après l’œuvre de tes mains.

Quand un homme ou un ange se cachait ou se couvrait la face, le visage, c’était en signe d’humilité, de crainte révérencielle ou de respect (Ex 3:6 ; 1R 19:13 ; Is 6:2). Ce pouvait être aussi un geste de deuil (2S 19:4). En revanche, Éliphaz insinua à tort que la prospérité de Job l’avait rendu arrogant, de sorte que, pour ainsi dire, il ‘ se couvrait le visage de sa graisse ’. (Jb 15:27.) Comme dans le cas de Hamân, se faire voiler le visage par quelqu’un d’autre pouvait signifier l’humiliation, voire la condamnation. — Est 7:8 ; voir aussi Ps 44:15 ; Jr 51:51.

L’OPINION GÉNÉRALE « Les âmes de ceux qui meurent en état de péché mortel descendent immédiatement après la mort dans les enfers, où elles souffrent les peines de l’enfer, “le feu éternel” » (Catéchisme de l’Église catholique). D’après certains chefs religieux, l’enfer désigne plutôt la condition de celui qui est complètement séparé de Dieu.
LA VÉRITÉ BIBLIQUE « L’âme qui pèche — c’est elle qui mourra » (Ézékiel 18:4). Les morts « ne savent rien » (Ecclésiaste 9:5). Si l’âme meurt et ne sait rien, comment pourrait-elle souffrir dans un « feu éternel » ou même souffrir d’être définitivement séparée de Dieu ?
Dans la Bible, les mots hébreu et grec souvent traduits par « enfer » désignent en réalité l’endroit symbolique où vont les humains à leur mort. Alors qu’il souffrait d’une maladie douloureuse, Job a prié : « Oh que tu me caches dans la tombe [« les enfers », Traduction Œcuménique de la Bible] » (Job 14:13, King James Française). Job voulait se reposer dans la tombe, et non aller dans un lieu de tourment ou être séparé de Die

Les religions d'aujourd'hui enseignent des "fausseté" quand elles parles que l'âme monte au ciel et ne peu pas mourir ...

La "vrai" religion se dois d'enseigner "la vérité" consernant les ecritures ...
...

Ezeckiel 18:4
"L’âme qui pèche, c'est elle qui mourra."

“ Qu’est-ce qu’un mortel pour qu’il soit pur, ou pour qu’ait raison quiconque est né de la femme ? ” a demandé Éliphaz, avant de répondre : “ Vois ! En ses saints [Dieu] n’a pas foi, et les cieux mêmes ne sont pas purs à ses yeux. Combien moins lorsqu’un homme est détestable et corrompu, un homme qui boit l’injustice comme l’eau ! ” (Job 15:14-16). Éliphaz soutenait que Jéhovah ne tient aucun homme pour juste. Le Diable exploite les pensées négatives. Il souhaite que nous nous tourmentions au sujet d’erreurs passées, que nous soyons excessivement critiques envers nous-mêmes et que nous pensions ne pas pouvoir être rachetés. Il souhaite également que nous jugions inaccessible ce que Jéhovah demande de nous et que nous ne mesurions pas toute l’étendue de sa compassion, de son pardon et de son soutien.
Il est vrai que, tous, nous ‘ péchons et n’atteignons pas à la gloire de Dieu ’. Aucun humain imparfait ne peut satisfaire aux normes parfaites de Jéhovah (Rom. 3:23 ; 7:21-23). Mais cela ne signifie pas que nous n’avons pas de valeur à ses yeux. Jéhovah n’ignore pas que c’est “ le serpent originel, celui qu’on appelle Diable et Satan ” qui profite de notre état de pécheurs (Rév. 12:9, 10). Sachant que “ nous sommes poussière ”, Jéhovah se montre indulgent envers nous et ne nous fait pas continuellement des reproches. — Ps. 103:8, 9, 14.

“ Qu’est-ce qu’un mortel pour qu’il soit pur, ou pour qu’ait raison quiconque est né de la femme ? ” a demandé Éliphaz, avant de répondre : “ Vois ! En ses saints [Dieu] n’a pas foi, et les cieux mêmes ne sont pas purs à ses yeux. Combien moins lorsqu’un homme est détestable et corrompu, un homme qui boit l’injustice comme l’eau ! ” (Job 15:14-16). Éliphaz soutenait que Jéhovah ne tient aucun homme pour juste. Le Diable exploite les pensées négatives. Il souhaite que nous nous tourmentions au sujet d’erreurs passées, que nous soyons excessivement critiques envers nous-mêmes et que nous pensions ne pas pouvoir être rachetés. Il souhaite également que nous jugions inaccessible ce que Jéhovah demande de nous et que nous ne mesurions pas toute l’étendue de sa compassion, de son pardon et de son soutien.
Il est vrai que, tous, nous ‘ péchons et n’atteignons pas à la gloire de Dieu ’. Aucun humain imparfait ne peut satisfaire aux normes parfaites de Jéhovah (Rom. 3:23 ; 7:21-23). Mais cela ne signifie pas que nous n’avons pas de valeur à ses yeux. Jéhovah n’ignore pas que c’est “ le serpent originel, celui qu’on appelle Diable et Satan ” qui profite de notre état de pécheurs (Rév. 12:9, 10). Sachant que “ nous sommes poussière ”, Jéhovah se montre indulgent envers nous et ne nous fait pas continuellement des reproches. — Ps. 103:8, 9, 14.
Si nous abandonnons notre mauvaise conduite et si nous nous adressons à Jéhovah avec le cœur contrit et dans un esprit de repentance, “ il pardonnera largement ”. (Is. 55:7 ; Ps. 51:17.) Même si nos péchés “ sont comme l’écarlate, ils deviendront blancs comme la neige ”, nous assure la Bible (Is. 1:18). Par conséquent, soyons résolus à ne jamais renoncer à faire la volonté de Dieu.
Étant pécheurs, nous ne pouvons en aucun cas être tenus pour justes par Dieu grâce à nos propres mérites. Adam et Ève ont perdu la perfection et la perspective de vivre éternellement, non seulement pour eux, mais aussi pour nous tous (Rom. 6:23). Cependant, en raison de son profond amour pour les humains, Jéhovah a pris des dispositions afin de pardonner nos péchés, à condition que nous exercions la foi dans le sacrifice rédempteur de son Fils, Jésus Christ (Mat. 20:28 ; Jean 3:16). Quelle merveilleuse expression de la “ faveur imméritée ” de Dieu (Tite 2:11) ! Nous pouvons être rachetés. Dès lors, pourquoi laisser Satan nous amener à penser que nous ne pouvons pas l’être ?

it-1 p. 863-864 Face, visage Quand un homme ou un ange se cachait ou se couvrait la face, le visage, c’était en signe d’humilité, de crainte révérencielle ou de respect (Ex 3:6 ; 1R 19:13 ; Is 6:2). Ce pouvait être aussi un geste de deuil (2S 19:4). En revanche, Éliphaz insinua à tort que la prospérité de Job l’avait rendu arrogant, de sorte que, pour ainsi dire, il ‘ se couvrait le visage de sa graisse ’. (Jb 15:27.) Comme dans le cas de Hamân, se faire voiler le visage par quelqu’un d’autre pouvait signifier l’humiliation, voire la condamnation. — Est 7:8 ; voir aussi Ps 44:15 ; Jr 51:51.

Satan a prétendu que Job cesserait d’être fidèle s’il perdait la santé. Il a provoqué Jéhovah en ces termes : “ Touche jusqu’à son os et à sa chair, et vois s’il ne te maudit pas à ta face. ” (Job 2:5). Nul doute que le grand adversaire de Dieu se réjouirait s’il parvenait à faire en sorte que nous nous sentions inutiles à cause de limites physiques.
Or, Jéhovah ne nous rejette pas lorsque nous ne pouvons plus le servir autant qu’avant. Imaginez qu’un de vos amis se fasse agresser et soit blessé. Auriez-vous moins d’estime pour lui du fait qu’il ne pourrait plus faire autant pour vous que par le passé ? Non, n’est-ce pas ? Vous l’aimeriez toujours et vous prendriez soin de lui — d’autant plus s’il avait été blessé en défendant vos intérêts. Faut-il en attendre moins de la part de Jéhovah ? “ Dieu n’est pas injuste pour oublier votre œuvre et l’amour que vous avez montré pour son nom ”, atteste la Bible. — Héb. 6:10.
Les Écritures mentionnent “ une certaine veuve indigente ”, qui soutenait peut-être le culte pur depuis des années. Lorsque Jésus l’a vue déposer “ deux petites pièces de monnaie de très peu de valeur ” dans le trésor du temple, a-t-il jugé sa contribution insignifiante ? Au contraire, il a loué cette femme qui avait fait tout ce qu’elle pouvait, compte tenu de sa situation, pour soutenir le vrai culte. — Luc 21:1-4.
Si nous demeurons fidèles à Jéhovah, nous pouvons être sûrs que nos relations avec lui resteront intactes, quels que soient les ravages que nous cause l’imperfection par la vieillesse ou la maladie. Dieu n’abandonnera jamais ses fidèles, même si leurs difficultés restreignent leurs possibilités de le servir. — Ps. 71:9, 17, 18.