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les questions que vous vous posez sur l'Islam

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samuel

samuel
Administrateur

Les questions que vous vous posez sur l'islam
Par Olivier Bot | Mis à jour il y a 53 minutes
Jean-Marc Tétaz, expert en théologie et traducteur d'une biographie historique sur Mahomet répond à trois questions simples sur l'islam

les questions que vous vous posez sur l'Islam Image_big_ipad_http___mcdn.newsnetz.ch_story_1_7_1_17176962_4_topelement.jpg_1421318978


Photo d'illustration. (Photo: Keystone)
Traducteur de la biographie historique de Mahomet par Nagel Tilman, le Suisse Jean-Marc Tétaz, qui a étudié la théologie et la philosophie aux universités de Lausanne et Göttingen en Allemagne, répond à trois questions que se posent les non-musulmans.
L’islam est-il plus intolérant que les autres religions?
« L'islam » comme réalité monolithique n’existe pas. Comme toutes les religions, l'islam varie selon les époques, les pays, les couches sociales et les cultures. Il existe donc toute une série de formes de l’islam. Comme dans toutes les religions se réclamant à un titre ou un autre d'un texte sacré, ces différentes formes d’islam doivent se légitimer aux yeux de leurs membres comme aux yeux des adeptes d'autres formes de l'islam en faisant référence aux sources sacrées de l’islam.
Pour l’islam sunnite, les deux sources principales sont le coran et le hadith, c’est-à-dire le corpus des traditions orales censées remontées au Prophète et assurant la permanence de la présence du Prophète au sein de sa communauté. Il faut donc s’interroger sur les sources qui permettent, ou ne permettent pas, de justifier telle ou telle attitude, et sur la façon dont chaque forme de l'islam utilise les sources dont elle prétend tirer sa légitimité.
Cette question appelle une remarque préalable: la notion de tolérance est une notion moderne; elle apparaît en Europe comme conséquence du pluralisme religieux né de la Réforme protestante. Elle ne devient un principe politique reconnu qu’à la suite de l’expérience concrète des conséquences mortifères qu’entraîne l’intolérance religieuse (la Guerre de Trente ans en Allemagne, la Révolution anglaise de Cromwell en Angleterre). Mais il faudra attendre la fin du XVIIIe siècle pour que la France tolèrent les protestants. Se demander si une religion est tolérante, c’est donc d’emblée plaquer sur cette religion un cadre de lecture emprunté à l'histoire européenne.
C’est une question légitime, puisque nous avons de bonnes raisons de penser que les conséquences mortifères de l'intolérance sont un danger universel et qu’il faut tout mettre en œuvre pour les éviter, en Europe et ailleurs. En ce sens, l’expérience européenne est universalisable.
Demander si une religion est tolérante, c’est donc lui appliquer une grille de lecture étrangère. La première chose qu’il faut dire est que toute religion est intolérante. Avant d’être des différences de degrés, les différences sont des différences d’objets: toutes les religions ne sont pas intolérantes à propos des mêmes choses. Toutes les religions connaissent des normes qu’elles considèrent comme sacrosaintes et dont la violation est sanctionnée avec la dernière sévérité. Mais ces normes varient d’une religion à l’autre. Il peut s’agir de pratiques rituelles, du respect dû à certaines personnes ou à certains lieux, ou de la non-transgression de certains énoncés doctrinaux.
Durant la plus grande partie de son histoire, le christianisme a puni de mort les hérétiques, c’est-à-dire les personnes qui énonçaient des doctrines contredisant la doctrine définie par l’Eglise. Et le christianisme n’a généralement pas toléré les adeptes d'autres religions dans les territoires qu’il contrôlait. Le statut juridique des juifs, régulièrement expulsés et parfois massacrés, suffirait à nous le rappeler.
De ce point de vue, l’islam historique fut plutôt plus tolérant: s’il plaçait les adeptes des cultes païens devant l’alternative de la conversion ou de la mort, il tolérait dans les territoires qu’il contrôlait les religions monothéistes fondées par un prophète et se réclamant d’un livre sacré. Mais les croyants de ces religions ne jouissaient pas des mêmes droits que les musulmans. Ils étaient considérés comme des « protégés » devant payer un tribu spécial pour prix de leur protection. Et leur pratique religieuse était soumise à diverses restrictions.
L’islam incite-t-il à la violence?
On trouve naturellement des sources qui justifient la violence faite aux non-croyants, qu’il s'agissent de la pratique de la guerre sainte (djihad) ou de la peine de mort appliquée à des délits religieux ou moraux (mais cette distinction est évidemment une distinction européenne, étrangère à la logique propre du droit islamique qui prétend régler l’intégralité de la vie de la communauté musulmane pour son bien, dans ce monde et dans le monde futur). Mais ces sources, comme tous les textes et toutes les traditions sacrées, exigent d’être interprétés. Ce qui est donc décisif, ce sont les interprétations qu’on en a données.
On peut trouver au sein de l’islam des traditions qui proposent des interprétations spirituelles du djihad pour en faire la lutte intérieure contre le mal. Il est évident que ce n’est pas le sens original, par exemple des textes souvent invoqués du Coran comme les strophes 190 ss de la Sourate 2 « La Vache », dans laquelle on lit : « Combattez sur le chemin de Dieu ceux qui luttent contre vous. […] Tuez-les partout où vous les rencontrez. » Mais réinterpréter ces textes pour y trouver un autre sens est une pratique normale et inévitable dans toute religion qui se réfère à un ou des textes sacrés. En ce sens, une fois encore, la question décisive est de savoir si ce sont les traditions de l’islam qui professent une version spirituelle du djihad qui s’imposeront, ou bien celle qui réclament un retour aux pratiques de la guerre sainte de la première communauté musulmane.
Dans ce contexte, il n’est peut-être pas sans intérêt de rappeler que la première communauté musulmane, à l’époque de Mahomet et des quatre premiers califes "bien guidés" (jusqu'en 660 après JC), fait l’objet d'une forte idéalisation, sans commune mesure avec ce qu’on peut connaître dans le christianisme. Elle est considérée comme une communauté parfaite, toute entière régie par la loi divine. Cette idéalisation de la première communauté musulmane, qui était incontestablement une communauté de conquérants, rend la tâche de ceux qui veulent priver de sa légitimité le recours à la violence plus difficile que dans d'autres contextes.
L’apostasie et le blasphème sont-ils condamnés par l'islam?
Comme la plupart des religions, l'islam condamne le blasphème. Mais le christianisme le fait aussi. L’islam condamne également l’apostasie. Mais là encore, le christianisme l’a fait durant des siècle. Toute la question consiste naturellement à déterminer ce qu’est une apostasie et ce qu’est un blasphème. Comme tous les concepts juridiques, ces termes sont susceptibles de nombreuses interprétations.
Dans ce contexte, l’une des particularités de l’islam consiste à punir de mort « quiconque injurie le prophète, le déshonore, lui prête un défaut […], fait des allusions à son égard […], le compare à quelque chose pour l'injurier »,comme le formule une des sources fondamentales du droit islamique sur cette question. Cette règle de droit formulée par le qâdi ‘Iyâd al Yahsubî (mort en 1147/49) a été adoptée par toutes les écoles juridiques de l’islam sunnite ; elle explique la violence des réactions aux caricatures de Mahomet. Elle définit un de ces domaines sacrosaints à propos duquel l’islam est radicalement intolérant.
Mais l’islam n’est pas une réalité immuable et figée. La question centrale est de savoir quelles sont les ressources internes dont dispose l’islam pour légitimer religieusement une telle évolution. Techniquement, le droit islamique connaît la notion d’ijtihâd, qui désigne l'établissement de normes à partir des sources traditionnelles. Les formes conservatrices de l’islam proclament « la fermeture de la porte de l’ijtihâd » depuis le Xe siècle, figeant ainsi le droit islamique. Les réformistes plaident eux pour la réouverture de l’ijtihâd. C’est à mon sens une des questions qui décidera à quel point l'islam sera capable de justifier dans sa propre tradition la tolérance indispensable à son existence au sein des sociétés pluralistes européennes.
Pour plus de détails, voir Tilman NAGEL, Mahomet. Histoire d’un Arabe, Invention d’un Prophète, Labor et Fides, 2012, pp. 280 ss).
(Tribune de Genève)

Articles en relation

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Les événements actuel font du tord à la religion musulmane.

chico.

chico.

les questions que vous vous posez sur l'Islam Topelement
Derviche tourneur soufi, une méditation par le mouvement.Image: DR
Par Andrés AllemandMis à jour à 13h02
 
«Petit lexique pour comprendre l’islam et l’islamisme.» Tout simplement. C’est sous ce titre que paraît cette semaine un précieux ouvrage publié par l’éditeur Erick Bonnier, sous la direction de l’universitaire genevois Hasni Abidi, chercheur au Global Studies Institute. Djihad, fatwa, talibans, wahhabisme, mais aussi Daech ou encore Boko Haram... «Au-delà des controverses et des polémiques», le politologue entend clarifier les mots de l’islam. Parce que «les amalgames et les déformations (...) ne font qu’amplifier l’incompréhension, les clichés et le repli.» En voici sept, de ces mots, très largement méconnus, qui illustrent pourtant la grande complexité de cette religion. 
1. Choura
La «consultation» des croyants est une obligation faite au Prophète directement par Dieu, selon le Coran. De nos jours, cela a permis «de justifier l’instauration de régimes parlementaires de type occidental, tout en mettant en oeuvre la notion coranique». 
2. Dhimmi
Le «citoyen non musulman d’un Etat musulman» a le même statut juridique qu’un «hôte protégé». Il s’applique surtout au «peuple du livre» (juifs et chrétiens), mais inclut aussi parfois zoroastriens et sabéens. Les dhimmis sont soumis à des impôts spécifiques. «En échange, leur liberté de mouvement ainsi que la protection de leur vie, de leur corps et de leurs biens sont assurées. De même, une pratique restreinte de leur religion leur est garantie.» Mais pas question de «construire des lieux de culte» ni de «faire du prosélytisme» ou d’organiser «des manifestations religieuses ostentatoires». 
3. Djihad (le vrai)
Ce mot, tout le monde pense le connaître! Devenu synonyme de «guerre sainte» dans les médias, il a pourtant une toute autre signification. Il s’agit d’un «effort» tendu vers un objectif louable. Dans sa forme dite «majeure», il s’agit d’un «combat constant de l’homme contre ses passions, effort spirituel dont l’importance primait, à l’origine, sur l’effort guerrier». Dans sa forme dite «mineure», il désigne effectivement une «guerre légale», donc respectant des règles de droit. Ce qui est finalement assez limitatif. De nos jours, les groupes dits «djihadistes» accusent «leurs adversaires musulmans d’hérésie», car la loi islamique autorisela lutte armée dans le cas où «un dirigeant musulman renonce à sa foi». 
4. Ijtihad
Ce mot désigne en arabe «l’effort le plus intense (physique ou mental) que l’on place dans une activité». Mais il se réfère généralement à «l’exercice intellectuel entrepris par les oulémas ou muftis» pour comprendre les véritables implications de ce qui est écrit dans le Coran. C’est un «devoir religieux dont le fruit doit constituer le reflet de l’esprit et de la lettre des sources coraniques». Quitte à «se distancer des maîtres du passé». Bref, pas question de piquer au hasard des versets et de les appliquer littéralement, il faut au contraire faire un effort d’interprétation pour bien saisir dans quel esprit ils ont été écrits. «De nos jours, ceux qui souhaitent réformer le droit musulman» se sont emparés de ce concept. 
5. Soufisme
Nos médias parlent rarement de ce mouvement mystique. Il s’est pourtant implanté très tôt dans «tout le monde musulman». Influencés par «l’ascétisme chrétien» et «le monachisme bouddhiste», les soufis «estiment pouvoir accéder personnellement à la révélation de Dieu, d’où l’effort d’aller outre les paroles divines contenues dans le Coran». Du coup, «en relativisant le rôle du Prophète, leur mouvement a fait l’objet de persécutions». Récemment, on a vu des djihadistes détruire des mausolées soufis, «accusés d’hérésie». 
6. Takfir
Construit sur la même racine que kafir (mécréant), ce terme «se réfère à l’acte d’excommunier un individu ou un groupe d’individus de religion musulmane en raison de leur mécréance en Dieu.» De nos jours, les groupes radicaux, dénommés takfiristes, font un grand usage du takfir, accusant de mécréance tous ceux qui ne partagent pas leurs opinions. Ainsi, «le groupe Etat islamique (Daech) et Boko Haram déclarent unilatéralement qui sont les apostats à éliminer afin de renforcer leur pouvoir à travers la terreur.» 
7. Taqiya
Ce terme dérive d’un verbe signifiant «prévenir, se prémunir». Il se réfère à «une dissimulation de la foi par précaution», que ce soit «en cas de persécution ou pour éviter un préjudice». La sourate 3.28 du Coran dit: «Que les croyants ne prennent pas, pour alliés, des infidèles, au lieu de croyants. Quiconque le fait contredit la religion de Dieu, à moins que vous ne cherchiez à vous protéger d’eux.» Historiquement, la dissimulation a été systématisée par les chiites minoritaires, «accusés de toujours dissimuler leurs vraies croyances». Même si ce Petit lexique ne le dit pas, cette méfiance est souvent exprimée, de nos jours, face aux diplomates iraniens.  (TDG)
(Créé: 17.03.2015, 15h28)

Invité


Invité

Mikael a écrit:Les événements actuel font du tord à la religion musulmane.


Y a pas que ça mais selon la bible , tout cela doit arriver comme prévue par Dieu qui leur mettra au coeur d'exécuter ses paroles. Comme tu le sais, Jésus lui-même a dit que pas une parole ou une seule lettre de la parole ( bible ) ne passera sans que cela n'arrive ( événements ). Même si Jésus a dit de ne pas avoir peur, nous sommes fait de chair et la peur fait aussi partie de nous meme pour nous temoin de Jéhovah . Par contre pour répondre directement à ta phrase, ce sont les extrémistes qui font du tort à la religion musulmane.

Carl Michel



Lecanadien a écrit:
Mikael a écrit:Les événements actuel font du tord à la religion musulmane.
.... Par contre pour répondre directement à ta phrase, ce sont les extrémistes qui font du tort à la religion musulmane.
La religion musulmane produit elle-même par la racine de son idéologie Coranique des fidèles intègrent à cette dernière. Ce qui est extrémiste pour vous est de soit intègre pour eux car leur agissement est conforme à ce qui est écrit dans le Coran et les hadiths.

Et heureusement , ce n'est pas la majorité des musulmans qui sont près à mettre en pratique cette idéologie coranique. Mais tous les religieux musulmans ont depuis leur enfance cette connaissance idéologique coranique (et hadiths) de victimisation par les autres (non musulman, ou autres clans musulmans) et que la voie de Dieu est d'y répondre par la violence. Cette idéologie est un terreau favorable pour ceux qui sont déçus de la vie et de la société; et ceux qui sont les plus à risque, ce sont ceux qui sont déjà en contacte avec cette idéologie depuis leur enfance.

chico.

chico.

Oui heureusement se n'est pas la majorité des musulmans.

Josué

Josué
Administrateur

les questions que vous vous posez sur l'Islam Don_mu10
Le Dauphiné Libéré.

Josué

Josué
Administrateur

les questions que vous vous posez sur l'Islam Femme10
Où sont les femmes ?
Virginie Larousse - publié le 06/05/2015

La photographie de l’événement a de quoi laisser perplexe. L’université islamique de Qassim (Arabie saoudite) a organisé, il y a quelque temps, une conférence sur « la place des femmes dans la société ». Excellente idée, quand on sait les chantiers à mener pour favoriser l’émancipation des femmes dans ce pays où elles n’ont même pas le droit de conduire. Sauf qu’aucune femme n’a été autorisée à y assister, et encore moins à prendre part aux débats. Sur la photo souvenir de la conférence, donc, un parterre d’hommes vêtus d’une tunique blanche et coiffés du traditionnel keffieh. On aurait presque envie de rire, si le sujet n’était pas aussi grave.

D’où vient cette vision rétrograde de la femme dans le royaume wahhabite ? Pas vraiment de l’islam – du moins, apparemment pas de l’islam des origines, de celui prêché par Mahomet. Le Prophète de l’islam aimait les femmes. Il les tenait en estime. C’est ainsi qu’il avait désigné une femme, Umm Waraqa, pour conduire la prière dans un quartier de Médine, et qu’il invitait ses compagnons à s’instruire auprès de son épouse Aïcha. De là à dire que Mahomet était un féministe, il y a un pas que je me garderai de franchir : ce qualificatif serait anachronique pour une époque aussi lointaine – le VIIe siècle – et une culture aussi éloignée de la nôtre. Si le Coran porte la marque d’une indéniable volonté d’améliorer le sort des femmes – avec la possibilité donnée aux femmes d’hériter, de divorcer… –, le livre sacré de l’islam contient également des versets nettement moins avant-gardistes, à commencer par celui qui autorise les hommes à frapper leur épouse.

Cependant, force est de constater que les grandes traditions religieuses, y compris le bouddhisme tibétain, tiennent systématiquement les femmes en position d’infériorité… Je ne pense donc pas que le sort peu enviable réservé à la gent féminine dans de nombreux pays musulmans soit imputable à l’islam en tant que tel. Il reste qu’une étude réalisée par le Forum économique mondial sur l’égalité des sexes dans le monde montre qu’en 2014, les quinze derniers pays du classement ont tous l’islam pour religion majoritaire. Pourquoi ce problème est-il si prégnant en terre d’islam ? Sans doute en grande partie à cause du refus farouche de lire le texte sacré de manière distanciée. Car c’est bien une telle lecture, dans la tradition judéo-chrétienne, qui a permis aux femmes de gagner leur autonomie, même si la situation n’y est pas encore parfaite.

Heureusement, toutes les musulmanes ne vivent pas en Arabie saoudite, et l’obscurantisme n’est pas une fatalité. Certains pays musulmans – en particulier la Tunisie et le Maroc – ont enregistré d’indéniables avancées en matière de droits des femmes, et de plus en plus d’initiatives fleurissent, y compris de la part des hommes. En mars dernier, des hommes afghans ont ainsi défilé en burqa dans les rues de Kaboul, en signe de solidarité pour celles à qui l’on impose ce vêtement. Preuve que la femme peut encore croire en l’homme. |
http://www.lemondedesreligions.fr/mensuel/2015/71/ou-sont-les-femmes-06-05-2015-4642_215.php

Josué

Josué
Administrateur

Pour l’Aïd, les esprits s’échauffent à l’abattoir.
Des retards important ont exaspéré les clients;

Ce devait être un jour de fête, commémorant de manière symbolique l’enfant échangé par l’agneau et l’amour du prophète musulman pour Dieu. Hier matin, les esprits s’échauffaient autour de l’abattoir de Bellegarde. Pour l’Aïd-el-kébir, plus d’une centaine de Bellegardiens de confession musulmane attendaient le mouton qu’ils avaient réservé. Des moutons qui, de toute évidence, n’arrivaient pas.

« On fait des réunions chaque année avec le préfet, les élus et les responsables de l’abattoir pour tout planifier. Il est prévu que les professionnels passent à 6 h du matin, et les particuliers à 9 h pile. Aujourd’hui, nous avons acheté des tickets pour l’abattage et à 10 h 30, personne n’était encore passé. Nous avons été obligés d’appeler les élus… » rapporte Brahim Rguibi, président de l’amicale marocaine de Bellegarde.

Le Psig appelé en renfort
« Ça a pris du retard », reconnaît Jean-Pierre Fillion. D’après le premier adjoint, l’abattage a été retardé par le passage d’une quarantaine de moutons venant d’un éleveur privé : « Les gens qui avaient rendez-vous à 9 h ont eu plus de deux heures d’attente. Ils étaient désappointés ».
http://www.ledauphine.com/ain/2015/09/24/pour-l-aid-les-esprits-s-echauffent-a-l-abattoir

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