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Excommunication / Apostat

2 participants

Aller en bas  Message [Page 1 sur 1]

1Excommunication / Apostat Empty Excommunication / Apostat Jeu 28 Aoû - 8:08

Psalmiste

Psalmiste

Bonjour,

Je recherche un texte officiel de l'Eglise catholique qui enseigne de ne plus fréquenter les excommuniés (apostats).

Si vous en possedez un, merci de bien vouloir le déposer sur le forum. C'est pour ensuite le faire lire à une théologienne catholique !

2Excommunication / Apostat Empty Re: Excommunication / Apostat Jeu 28 Aoû - 14:34

Josué

Josué
Administrateur

Tu n'as rien trouvé dans les bible catholiques?

3Excommunication / Apostat Empty Re: Excommunication / Apostat Jeu 28 Aoû - 14:37

Josué

Josué
Administrateur

J'ai trouvé ça sur wiki.

Église catholique romaine[modifier | modifier le code]

L'apostasie est, littéralement, une "désertion". Dans l'Église catholique, le terme est appliqué dans deux domaines différents : l'apostasie dite "de foi" consiste à abandonner la foi chrétienne, éventuellement pour embrasser une autre religion ; l'apostasie "des vœux de religion" consiste, pour un(e) religieux(se) à quitter l'ordre où il (elle) a fait profession. Thomas d'Aquin définissait l'apostasie comme "une certaine façon de s'éloigner de Dieu", et distinguait bien "l'apostasie de la vie religieuse" de "l'apostasie par incroyance" : cette dernière "sépare totalement l'homme d'avec Dieu, ce qui n'arrive pas dans n'importe quel autre péché"1.
On peut donc définir l'apostasie comme le reniement de la foi et des principes de la foi catholique, ce qui inclut également les dogmes et des traditions et articles de foi formulés par les papes et les conciles, les enseignements des Pères de l'Église et les enseignements ordinaires du magistère. Thomas d'Aquin et, à sa suite, les théologiens et canonistes établissaient une distinction très nette entre l'infidèle (celui qui n'a jamais reçu le baptême et qui professe un autre religion que la catholique) et l'apostat : ce dernier était plutôt assimilé à l'hérétique (celui qui dévie du dogme et des enseignements de l'Église). En effet, le sacrement du baptême était considéré comme définitif, du moment que les conditions de validité énoncées par le droit canonique avaient été respectées. De plus, le baptisé devait obéir aux préceptes de l'Église qui, à travers les tribunaux des évêques, exerçait un pouvoir de juridiction sur les fidèles. Le juriste romain Prospero Farinacci (1554-1618) assimilait ainsi l'apostat et l'hérétique : il suivait l'opinion commune des Docteurs car, malgré la nuance entre hérésie et apostasie, les normes et les peines canoniques concernant le crime d'hérésie s'appliquaient également au crime d'apostasie2. L'apostasie était même considérée comme plus grave, puisqu'il s'agissait d'un abandon total, et pas seulement d'une contestation partielle, de la foi chrétienne par l'individu : or si l'apostat refusait la foi chrétienne, il était toujours considéré comme justiciable des tribunaux d'Église et, en particulier, de l'Inquisition dans les pays où elle était établie.
Un cas spécifique posé aux canonistes et aux évêques était celui des apostasies forcées : les persécutions de chrétiens dans l'empire romain ou, plus tardivement, la capture de chrétiens par les musulmans en Méditerranée pouvaient conduire à ces reniements sous la contrainte. Sur cette question, canonistes et inquisiteurs ont fini par énoncer une modulation des peines en fonction des circonstances du reniement. Les apostats concernés pouvaient ainsi être réintégrés dans l'Église moyennant une pénitence3.
Dans l'Europe des XIIIe-XVIIe siècles, les nouveaux convertis venus du judaïsme et de l'islam étaient fréquemment soupçonnés de rester fidèles à la religion de leurs ancêtres. Puisqu'ils avaient reçu le baptême (soit sous la menace de la mort ou de l'expulsion, pour éviter diverses violences ou pour être libérés des discriminations touchant les infidèles dans la société du temps), ils étaient considérés comme des apostats et des hérétiques. Le droit canonique leur appliquait les mêmes sanctions qu'aux hérétiques, c'est-à-dire la peine capitale4Article connexe : marranisme"
Comme l'Église, pour infliger les peines prévues par le droit canonique, devait recourir au "bras séculier" (le pouvoir civil), en pratique le châtiment des apostats était pris en charge par les États. Par la suite, la sécularisation des États en Occident et la reconnaissance de la liberté de conscience ont contribué à faire de l'apostasie une affaire d'ordre purement spirituel entre l'individu et l'Église.

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