Archéologue israélien affirme avoir trouvé le château du roi David

Archéologue israélien affirme avoir trouvé le château du roi David
Arqueólogo israelí asegura haber encontrado el castillo del Rey David
Jérusalem.- “C’est la citadelle du roi David, C’est la citadelle de Sion et c’est ce que le roi David a dépouillé les Jébuséens”, dit l’archéologue Eli Shukron.
Un archéologue israélien affirme avoir trouvé le légendaire Citadelle capturé par le roi David dans la conquête de Jérusalem, reprise d’un long débat sur l’utilisation ou la référence de la Bible comme un guide pour identifier les ruines antiques.
La déclaration Eli Shukron, comme beaucoup d’autres dans le domaine de l’archéologie biblique, a été critiqué; aussi, fait partie d’une série deArchéologues israéliens annonces, par lequel, ont mis au jour des palais du monarque biblique légendaire, vénéré dans la tradition religieuse juive ont établi Jérusalem comme la principale ville sacrée, bien qu’il y ait peu de preuves de son existence et le règne.
Le conflit israélo-palestinien actuel a également affecté le projet. Excavation, dans lequel invirtierton 10 million, est accessible depuis les dernières touristes, et a été réalisée dans un quartier arabe de Jérusalem et financé par un organisme qui établit les Juifs dans des maisons arabes contrôlés dans les zones de Jérusalem-Est, pour éviter la division.
Les Palestiniens revendiquent Jérusalem-Est, capturé par Israël en 1967, comme capitale d’un futur Etat indépendant.
Shukron, a fouillé les vestiges de la cité de David pendant près de deux décennies, estime que des preuves solides appuie leur théorie.
“C’est la citadelle du roi David, C’est la citadelle de Sion et c’est ce que le roi David a dépouillé les Jébuséens”, DIJO Shukron, qui a dit récemment abandonné Autorité des Antiquités d’Israël pour donner des conférences et travailler comme un guide.
“L’endroit correspond parfaitement à la Bible”.
Les fouilles Shukron, qui a débuté en 1995, découvert une fortification avec des blocs de cinq tonnes, placées sur les parois 6 mètres d’épaisseur. Tessons ont permis d’établir que le mur a une 3,800 vieux ans.
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[size=45]Israël : des chercheurs déchiffrent un parchemin de la mer Morte

 07h13, le 23 janvier 2018, modifié à 07h45, le 23 janvier 2018[/size]

Après avoir décrypté un premier parchemin évoquant un ancien calendrier, les chercheurs tentent d'en comprendre un deuxième@ GALI TIBBON / AFP

Deux chercheurs de l'université israélienne d'Haïfa ont réussi à relier 60 fragments de parchemin et à les décrypter, plus de 50 ans après leur découverte.

Des chercheurs israéliens ont reconstitué et déchiffré l'un des deux manuscrits des rouleaux de la mer Morte, qui n'avaient jamais été interprétés, plus d'un demi-siècle après leur découverte, a annoncé une université israélienne.
Des fragments finalement liés entre eux. Jusqu'ici, plus de 60 minuscules fragments de parchemin portant des inscriptions cryptées en hébreu étaient considérés comme provenant de parchemins différents, a affirmé dimanche Ilan Yavelberg, un porte-parole de l'université de Haïfa (nord).
Mais Eshbal Ratson et Jonathan Ben-Dov, du département d'études bibliques de l'université, ont découvert que tous ces fragments étaient liés après avoir commencé à les examiner il y a un peu moins d'un an, a expliqué Ilan Yavelberg. "Ils ont tout assemblé et sont arrivés à la conclusion qu'il s'agissait du même rouleau", a-t-il affirmé. Les deux chercheurs travaillent actuellement pour déchiffrer le second manuscrit, selon un communiqué de l'université.
Un manuscrit sur un ancien calendrier. De nombreux experts pensent que les manuscrits de la mer Morte ont été écrits par les Esséniens, une secte juive dissidente qui s'était retirée dans le désert de Judée vers des grottes à Qumrân, au-dessus de la mer Morte. Le rouleau déchiffré contient des références au calendrier de 364 jours utilisé par la secte, par opposition au calendrier lunaire utilisé dans la pratique religieuse juive aujourd'hui. Il se réfère également à des festivals annuels de récolte de vin et d'olives qui ne sont plus observés dans le judaïsme.
Une source archéologique très précieuse. Les 900 manuscrits, parchemins et papyrus, retrouvés entre 1947 et 1956 dans les grottes de Qumrân, sont considérés comme l'une des plus importantes découvertes archéologiques de tous les temps. Ils comprennent des textes religieux en hébreu, en araméen et en grec, ainsi que le plus vieil Ancien Testament connu.
Les documents les plus anciens remontent au IIIème siècle avant Jésus-Christ et le plus récent a été rédigé en l'an 70, au moment de la destruction du second Temple juif par les légions romaines. Lorsqu'ils ne sont pas exposés, les manuscrits sont conservés dans la pénombre, dans une réserve dont l'humidité et la température sont identiques à celles des grottes de Qumrân. 


Par Rédaction Europe1.fr avec AFP