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Les témoins de Jéhovah approuvent l'islam

4 participants

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Talab-al-ilm

Talab-al-ilm

Au nom d'Allah, l'Infiniment Miséricordieux, le Très Miséricordieux. Que la prière et bénédiction soient sur son messager, Mohammad, le dernier des prophètes. Amine

Bonjour tout le monde

J'aimerai partager avec vous un excellent article qui se trouve dans les publications des témoins de Jéhovah, il n'y a pas de meilleurs témoignages que leurs propres paroles de eux-mêmes :


Les maîtres de l’astronomie au Moyen Âge

DEPUIS la nuit des temps, le Soleil, la Lune et les étoiles fascinent. En étudiant leurs positions et leurs mouvements, l’homme a été capable de diviser le temps en jours, en mois et en années.

Parmi les nombreux peuples à avoir étudié les cieux nocturnes figurent les Arabes. Le Proche-Orient a connu un âge d’or des sciences à partir du IXe siècle de notre ère. Les astronomes arabophones de l’époque étaient considérés comme des maîtres en la matière. Leurs travaux ont joué un rôle prépondérant dans le développement de cette discipline passionnante qu’est l’astronomie. Voyons comment.


Des pionniers de l’astronomie

Au cours des VIIe et VIIIe siècles, l’islam, né en Arabie, se répand vers l’ouest en Afrique du Nord et en Espagne, et vers l’est jusqu’en Afghanistan. Les savants de cette vaste zone puisent dans l’héritage scientifique légué par les Perses et les Grecs, qui ont eux-mêmes été amplement influencés par les Babyloniens et les Égyptiens.

Au IXe siècle, des textes scientifiques fondamentaux sont traduits en arabe, parmi lesquels l’œuvre de l’astronome grec Ptolémée*. La dynastie abbasside, dont le territoire s’étend de l’Afghanistan à l’océan Atlantique, obtient de l’Inde des textes sanskrits contenant une mine d’informations sur les mathématiques, l’astronomie et d’autres sciences.

L’Islam attache du prix à l’astronomie. Pourquoi ? Notamment pour son utilité dans le culte. Les musulmans pensent qu’il faut prier en direction de La Mecque. Or un astronome est en mesure de déterminer la direction de cette ville depuis n’importe quel endroit. Au XIIIe siècle, certaines mosquées emploient d’ailleurs un astronome professionnel, un muwaqqit, pour aider les fidèles à prier de la manière qu’ils jugent convenable. Les données astronomiques permettent également de calculer les dates d’évènements ou de rituels religieux, comme la période de jeûne le mois de ramadan. Enfin, cette science permet aux pèlerins de connaître la longueur d’un voyage jusqu’à La Mecque et de choisir le meilleur itinéraire pour s’y rendre.


L’appui de dirigeants

À l’aube du IXe siècle, toute instruction supérieure dispensée à Bagdad comprend des cours d’astronomie. Le calife al-Ma’mun fonde un observatoire dans cette ville et un autre près de Damas. Son équipe de géographes et de mathématiciens analyse et confronte les données héritées des traditions perse, indienne et grecque. Des observatoires sont édifiés dans plusieurs autres villes proche-orientales*.

Les recherches menées dans ces centres débouchent sur des conclusions remarquables pour l’époque. Par exemple, en 1031, Abul-Rayhan al-Biruni émet déjà l’hypothèse selon laquelle les planètes décrivent des orbites elliptiques plutôt que circulaires.


On mesure la Terre

L’expansion de l’Islam stimule l’intérêt pour la cartographie et la navigation. Cartographes et géographes souhaitent effectuer des mesures extrêmement précises, et y parviennent souvent. Ce même objectif à l’esprit, et pour établir les degrés de latitude de la carte du monde qu’il est en train de dresser, le calife al-Ma’mun envoie deux équipes d’arpenteurs dans le désert syrien. Munis d’astrolabes, de baguettes d’arpentage et de cordes, les deux groupes se dirigent dans des directions opposées jusqu’à ce qu’ils notent un changement de un degré dans la hauteur de l’étoile Polaire. Ils considèrent que la distance ainsi parcourue correspond à un degré de latitude, soit à un trois-cent-soixantième de la circonférence terrestre. Ils en déduisent que la circonférence polaire de la Terre est de 37 369 kilomètres, un résultat plutôt proche du chiffre réel de 40 008 kilomètres !

Les observatoires du Proche-Orient possèdent un attirail impressionnant : astrolabes, quadrants, sextants, cadrans solaires et autres appareils, non moins ingénieux, servant à étudier et à suivre la trajectoire des corps célestes. Certains de ces instruments sont gigantesques. Leurs fabricants pensent en effet que plus ils sont grands, plus ils sont précis.


Un généreux leg

Ces maîtres de l’astronomie du Moyen Âge ont abattu un travail colossal. Ils ont dessiné les constellations et en ont dressé un catalogue, ont nommé les étoiles, élaboré des calendriers plus exacts et continué de perfectionner les tables astronomiques servant à tracer la courbe des mouvements célestes. Ils étaient capables de déterminer, à tout moment du jour ou de la nuit, la position du Soleil, de la Lune et de cinq planètes visibles, une aide inestimable à la navigation. En observant la position des corps célestes, ils pouvaient également donner l’heure et tenir un calendrier.

Pour expliquer les mouvements planétaires, les astronomes arabophones ont bâti des théories qui ont été à deux doigts de résoudre les incohérences décelées dans le modèle de l’Univers proposé par Ptolémée. Seulement, ils ignoraient que c’est le Soleil, et non la Terre, qui se trouve au centre des orbites planétaires. Reste qu’ils ont tracé la courbe de mouvements stellaires avec une précision sans précédent et que leurs découvertes se sont avérées extrêmement précieuses aux futures générations d’astronomes du monde entier.

[Notes]

Les Grecs avaient déjà compris que la Terre est sphérique. Sinon, raisonnaient-ils, comment quand on se dirige vers le sud l’étoile Polaire pourrait-elle paraître plus bas dans le ciel ?

L’implantation de tels observatoires était souvent motivée par l’intérêt qu’un dirigeant portait à l’astrologie.

[Encadré/Illustrations, page 19]

ANCÊTRE DE L’ORDINATEUR PORTABLE ?

On a parlé de l’astrolabe, le prédécesseur du sextant, comme de “ l’instrument d’astronomie le plus remarquable qui ait précédé le télescope ”. Au Moyen Âge, les savants du Proche-Orient s’en servaient pour des calculs horaires et de positions des corps célestes.

L’astrolabe était constitué d’une représentation raffinée du ciel sur un disque de métal poli. Sur le pourtour du dispositif étaient inscrits les degrés ou parfois les heures du jour. L’appareil, que l’on tenait à la verticale, comportait une règle pivotante (l’alidade) munie d’un viseur à travers lequel on observait un astre pour en déterminer la hauteur. Les résultats étaient alors lus sur le disque, gradué telle une règle à calcul.

Grâce à cet instrument polyvalent, on pouvait identifier les étoiles, prévoir pour n’importe quel jour donné l’heure du lever ou du coucher du soleil, déterminer la direction de La Mecque, arpenter un terrain, calculer des hauteurs et s’orienter. C’était l’“ ordinateur portable ” d’alors...

[Illustrations]

Astrolabe du XIIIe siècle.

Astrolabe-quadrant du XIVe siècle.

[Indications d’origine]

Astrolabe : Erich Lessing/Art Resource, NY ; astrolabe-quadrant : © New York Public Library/Photo Researchers, Inc.

[Illustration, page 16]

Gravure du XVIe siècle représentant des astronomes ottomans qui emploient des méthodes développées par les savants arabes.

[Illustration, page 17]

Les astronomes ont inscrit les mouvements planétaires dans un nombre croissant d’almanachs compilés à travers le monde islamique.

[Illustration, page 18]

Globe céleste, 1285 de notre ère.

[Illustration, page 18]

Pages d’un manuscrit arabe sur les constellations rédigé par l’astronome ‘Abd al-Rahman al-Sufi vers 965 de notre ère.

[Crédit photographique, page 17]

Pages 16 et 17 : Art Resource, NY

[Crédits photographiques, page 18]

Manuscrit : Avec l’autorisation de la British Library ; globe : © The Bridgeman Art Library

Source:  http://wol.jw.org/fr/wol/d/r30/lp-f/102012125

Wa Salam

.

http://www.aimer-jesus.com

chico.

chico.

Il ne faut pas exagéré il n'est pas question d'apologie de l'Islam dans cette article.il question aussi des grecques.
Pas très honnête cette maniéré de ce servir d'un article pour dire ( vous voyez même les témoins approuvent). Ce qui n'est pas exacte.

Carl Michel



Les avancés scientifiques des arabes n'ont rien à voir avec la religion (Islam). La science est une chose, la religion une autre. Chaque civilisation a contribué à la science sans dépendre de leur religion; même a nui sur un certain point lorsqu'on pense à l'astrologie.

chico.

chico.

C'est aussi du copiage car ils ont ramener ses recherches suite aux invasions.

Talab-al-ilm

Talab-al-ilm

Au nom d'Allah, l'Infiniment Miséricordieux, le Très Miséricordieux. Que la prière et bénédiction soient sur son messager, Mohammad, le dernier des prophètes. Amine

Bonjour

Les arabes ont puisé la science dans le Coran et la sunna qui la source de la science civilisationnelle. En islam, la religion et la science sont comme deux soeurs jumelles.

Voici encore un autre article tout aussi intéressant que j'ai pris du site officiel des témoins de Jéhovah:



Pionniers de la médecine au Moyen Âge

BIEN des aspects de la médecine moderne ne sont peut-être pas aussi modernes qu’on le pense. En réalité, nombre de pratiques médicales d’aujourd’hui avaient cours il y a plusieurs siècles dans certains pays. Considérons, par exemple, l’histoire de la médecine médiévale au Moyen-Orient.

● En 805 de notre ère, le calife HARUN AL-RASHID a créé un hôpital à Bagdad, sa capitale. Entre le IXe et le XIIIe siècle, d’autres dirigeants ont construit et financé des hôpitaux à travers l’Empire islamique, depuis l’Espagne jusqu’en Inde.

Ces hôpitaux accueillaient riches et pauvres, quelle que soit leur religion. Non seulement les médecins soignaient les malades, mais aussi ils effectuaient des recherches et formaient de nouveaux praticiens. Il y avait des salles séparées pour chaque spécialité : médecine interne, ophtalmologie, orthopédie, chirurgie, maladies contagieuses et déficiences mentales. Chaque matin, le médecin, accompagné de ses étudiants, examinait ses patients et leur prescrivait un régime alimentaire ou un traitement. Des pharmaciens, au sein même de l’hôpital, dispensaient des médicaments. Un personnel d’encadrement était chargé de tenir les registres, de régler les dépenses, de superviser la préparation des repas et de s’acquitter d’autres tâches administratives. Exactement comme aujourd’hui !

Des historiens tiennent ces hôpitaux pour l’“ une des plus grandes réalisations de la société médiévale musulmane* ”. Dans tout l’Empire islamique, “ l’hôpital en tant qu’institution s’est développé de façon révolutionnaire, ce qui a été déterminant dans l’évolution des soins médicaux et des sciences de la santé jusqu’à nos jours ”, explique Howard Turner, écrivain et historien.

RHAZÈS est né au milieu du IXe siècle dans la ville antique de Rey, à présent une banlieue de Téhéran. Il est qualifié de “ plus grand médecin et clinicien de l’Islam et de tout le Moyen Âge ”. Dans l’intérêt de ses confrères, ce philosophe scientifique notait les conditions initiales de ses expériences, les méthodes et les instruments utilisés, ainsi que les résultats obtenus. Il recommandait également à tous les médecins de se tenir au courant des dernières découvertes dans leur spécialité.

Rhazès a mené à bien nombre de projets. Par exemple, ses observations ont été compilées dans une encyclopédie en 23 volumes, intitulée Al-Hawi (Le livre complet de la médecine), qui compte parmi les textes médicaux les plus renommés. Au dire de certains, cette œuvre remonte jusqu’aux origines de l’obstétrique, de la gynécologie et de la chirurgie ophtalmologique. Dans ses 56 traités médicaux, on trouve les plus anciennes descriptions fiables de la variole et de la rougeole. Rhazès a aussi découvert que la fièvre est un mécanisme de défense du corps humain.

De plus, il dirigeait des hôpitaux à Rey et à Bagdad, où il soignait des déficients mentaux, ce qui lui a valu le titre de père de la psychologie et de la psychothérapie. Rhazès a même trouvé le temps de produire des ouvrages de chimie, d’astronomie, de mathématiques, de philosophie et de théologie.

AVICENNE, originaire de Boukhara, dans l’actuel Ouzbékistan, est un autre pionnier de la médecine. Il est devenu l’un des plus éminents praticiens, philosophes, astronomes et mathématiciens du XIe siècle. Son encyclopédie, Canon de la médecine, couvrait tout le champ de la connaissance médicale de l’époque.

Avicenne y affirmait entre autres que la tuberculose est contagieuse, les maladies peuvent se propager à travers l’eau et le sol, les sentiments ont une incidence sur le bien-être physique, et que les nerfs véhiculent les messages de douleur et de contraction musculaire. Le Canon présentait 760 préparations pharmaceutiques avec leurs propriétés, leurs effets et les indications thérapeutiques ; il énonçait par ailleurs quelques principes relatifs à l’expérimentation de nouveaux remèdes. Traduit en latin, ce texte a été utilisé dans les écoles de médecine d’Europe pendant des centaines d’années.

ABULCASIS occupe également une place de choix dans l’histoire de la médecine. Au Xe siècle, cet inventeur d’Andalousie (dans l’actuelle Espagne) a produit un précis de 30 volumes incluant un traité de chirurgie de 300 pages. Il y décrivait des actes chirurgicaux innovants comme la suture à l’aide de boyaux de chat, l’extraction des calculs de la vessie au moyen d’un instrument introduit dans le conduit urinaire, l’ablation de la thyroïde et l’extraction de la cataracte.

Abulcasis recourait à des “ pratiques cliniques relativement modernes ” pour faciliter les accouchements difficiles et remettre les épaules démises. Il a introduit l’usage des pansements en coton, et celui du plâtre pour ressouder un os brisé. Il a également développé des techniques pour remettre en place des dents luxées, faire de fausses dents, corriger l’alignement dentaire et éliminer le tartre.

Les premières représentations d’instruments chirurgicaux figuraient dans le traité de chirurgie d’Abulcasis. Cet ouvrage contenait les dessins de 200 instruments et expliquait quand et comment les utiliser. Certaines de ses inventions ont très peu changé en mille ans.


La connaissance gagne l’Occident

Au cours des XIe et XIIe siècles, des érudits ont traduit en latin des textes médicaux arabes, notamment à Tolède (Espagne), au mont Cassin et à Salerne (Italie). Des médecins ont ainsi pu étudier ces traductions dans des universités de l’Europe latine. La connaissance médicale du Moyen-Orient “ a atteint les moindres recoins de l’Europe durant les siècles qui ont suivi, peut-être même plus que n’importe quelle autre science islamique ”, signale l’auteur scientifique Ehsan Masood.

À l’évidence, les découvertes et les inventions des savants médiévaux tels que Rhazès, Avicenne, Abulcasis et leurs contemporains peuvent légitimement être considérées comme le fondement de ce que nous appelons aujourd’hui la médecine moderne.

[Note]

R. Rāshid, Histoire des sciences arabes : Technologie, alchimie et sciences de la vie, Seuil, vol. 3, 1997, p. 187.

[Illustration, page 23]

Rhazès, médecin et alchimiste, dans son laboratoire.

[Indication d’origine]

© Sheila Terry/Photo Researchers, Inc.

[Illustration, page 24]

Manuscrit arabe représentant des instruments chirurgicaux d’Abulcasis.

[Indication d’origine]

© bpk, Berlin/Staatsbibliothek zu Berlin/Ruth Schacht/Art Resource, NY

[Illustration, page 24]

Avicenne surveille la préparation d’un remède contre la variole.

[Indication d’origine]

Gianni Dagli Orti/The Art Archive at Art Resource, NY

Source : http://wol.jw.org/fr/wol/d/r30/lp-f/102012330

Wa Salam

.

http://www.aimer-jesus.com

chico.

chico.

Pourquoi tu éludes mes réponses et tu continus a poster des sujet comme un robot?

Talab-al-ilm

Talab-al-ilm

Au nom d'Allah, l'Infiniment Miséricordieux, le Très Miséricordieux. Que la prière et bénédiction soient sur son messager, Mohammad, le dernier des prophètes. Amine

Bonjour  chico.

Les articles sont prient du site officiel des témoins de Jéhovah. Est ce que je n'ai pas le droit des les partager sur le forum ?

Wa Salam

.

http://www.aimer-jesus.com

samuel

samuel
Administrateur

L'article ne dit pas que les témoins approuvent l'islam.le titre et accrocheur mais complétément faux.

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