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Le refus de transfusion sanguine trouble-t-il l’ordre public ?

+3
alexandre
samuel
Josué
7 participants

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Josué

Josué
Administrateur

Rappel du premier message :

Le refus de transfusion sanguine trouble-t-il l’ordre public ?


Régulièrement, des personnes engagées dans la lutte contre les mouvements dits « sectaires » affirment que le refus de la transfusion sanguine génère un trouble à l’ordre public, afin de remettre en cause le statut cultuel des Témoins de Jéhovah reconnu par les autorités publiques.

Pourtant, les sources du droit français tout comme les faits ne confirment pas cette accusation.

Le député Philippe Vuilque a interpelé le ministre de l’Intérieur sur les supposées « entraves au service public », à propos de la recherche par les témoins de Jéhovah d’équipes médicales disposées à accepter les refus de transfusion sanguine. La réponse a été très claire :

« Les décisions des plus hautes instances juridictionnelles n’ont pas retenu le refus de transfusion sanguine des Témoins de Jéhovah comme étant un facteur de trouble à l’ordre public. » (1)

Dans la réalité, comme le constate Frédéric-Jérôme Pansier, magistrat au Tribunal de grande instance de Bobigny, « la situation d’une personne refusant toute transfusion sanguine alors que sa vie en dépend, demeure marginale » (2).

Par exemple, le chef du Bureau central des cultes a mené son enquête en vue de son audition par la commission d’enquête sur les sectes et les mineurs : il a demandé aux préfectures de tous les départements de France de faire le recensement sur les trois dernières années des incidents liés à la transfusion. Il conclut :

« Au vu des résultats obtenus, ce qui remonte, c’est un petit nombre d’incidents souvent réglés par la discussion. Jamais d’incident qui met en cause des enfants ou le pronostic vital ou le fonctionnement du service public hospitalier ne m’a été signalé ces trois dernières années. » (3)

Quant aux prétendus décès d’enfants de Témoins de Jéhovah, des recherches ont prouvé qu’ils restaient fictifs, comme le rappelle Nathalie Luca, chargée de recherches au CNRS et spécialisée sur la question des sectes :

« Des décès d’enfants, survenus faute de transfusion sanguine, n’ont plus été signalés en Europe occidentale depuis plusieurs années. » (4)

(1) Journal officiel, Assemblée nationale, Questions, 15 juin 2004, n° 33176, p. 4503.


Aude

Aude

Psalmiste a écrit:Je suis d'accord avec toi Odessa, et je trouve que beaucoup de personnes se permettent bien des choses sur ce forum, ne tenant pas compte de ce que dit la charte !

Je pense qu'il faudrait recardre le forum pour que ça ne parte pas dans tous les sens, sans quoi, plus personne n'y participera Sad

D'ailleurs, je remarque que beaucoup de personnes s'inscrivent, mais que très peu y participe !

Notre but ne devrait-il pas être de consacrrer plus de temps a nos frères et soeurs, qu'à ceux qui se mettent en guerre contre la WT ?

tbd

Psalmiste

Psalmiste

Dis moi Odessa, tu es toi aussi administrateur du forum, n'est ce pas ???

Pourquoi ne fais-tu pas 1 peu le ménage en ce qui concerne les messages ne respectant pas le réglement du forum ???

Aude

Aude

Psalmiste a écrit:Dis moi Odessa, tu es toi aussi administrateur du forum, n'est ce pas ???

Pourquoi ne fais-tu pas 1 peu le ménage en ce qui concerne les messages ne respectant pas le réglement du forum ???

Le seul admin c'est Alain, moi je ne suis là que pour les problèmes techniques compliqués qui ne sont pas accessible aux modo.
J'outrepasse déjà mes droits de modo, et j'en suis désolée. Suspect
Ce serait super si la charte était respectée par tous, ça nous éviterait d'en arriver là. pp

Josué

Josué
Administrateur

pas la peine d'ergoter le mot abstenir et en prendre dans tous les sens.
je m'abstient d'une chose .point.

Josué

Josué
Administrateur

Dieu n’approuva en tout qu’une seule utilisation du sang, à savoir pour le sacrifice. Il imposa à ceux qui se trouvaient sous la Loi mosaïque d’offrir des sacrifices d’animaux afin de faire propitiation pour le péché (Lv 17:10, 11). Ce fut également conformément à Sa volonté que Son Fils, Jésus Christ, offrit sa vie humaine parfaite comme sacrifice pour les péchés. — Hé 10:5, 10.
L’application salvatrice du sang de Christ fut préfigurée de multiples manières dans les Écritures hébraïques. Au moment de la première Pâque, en Égypte, le sang mis sur les hauts et les montants des portes des maisons des Israélites protégea les premiers-nés qui s’y trouvaient de la mort provoquée par l’ange de Dieu (Ex 12:7, 22, 23 ; 1Co 5:7). L’alliance de la Loi, qui sous un certain aspect enlevait les péchés de manière typique, fut validée par le sang d’animaux (Ex 24:5-Cool. Les nombreux sacrifices sanglants, particulièrement ceux qu’on offrait le jour des Propitiations, servaient à faire propitiation pour les péchés de manière typique, car ils annonçaient l’enlèvement réel du péché par le sacrifice de Christ. — Lv 16:11, 15-18.
Le pouvoir légal que Dieu attache au sang lorsqu’il l’agrée à des fins propitiatoires fut illustré par le fait que le sang était versé à la base, ou au fondement, de l’autel et qu’il était mis sur les cornes de l’autel. La disposition de la propitiation avait sa base ou son fondement dans le sang, et le pouvoir (représenté par les cornes) des sacrifices résidait dans le sang. — Lv 9:9 ; Hé 9:22 ; 1Co 1:18.
Dans le christianisme, le caractère sacré du sang fut souligné encore plus fortement. Il n’y avait plus à offrir du sang d’animaux, car ces sacrifices d’animaux n’étaient qu’une ombre de la réalité, Jésus Christ (Col 2:17 ; Hé 10:1-4, 8-10). En Israël, le grand prêtre apportait une part symbolique du sang dans le Très-Saint du sanctuaire terrestre (Lv 16:14). Jésus Christ, le vrai Grand Prêtre, entra dans le ciel même, non avec son sang, qui fut versé à terre (Jn 19:34), mais avec la valeur de sa vie humaine parfaite représentée par le sang. Il ne perdit jamais ce droit à la vie par le péché, mais le conserva afin qu’il puisse servir à la propitiation pour le péché (Hé 7:26 ; 8:3 ; 9:11, 12). C’est pour ces raisons que le sang de Christ crie pour réclamer des choses meilleures que ne le fit le sang du juste Abel. Seul le sang du sacrifice parfait du Fils de Dieu peut réclamer la miséricorde, tandis que le sang d’Abel et celui des disciples de Christ morts en martyrs crient pour réclamer vengeance. — Hé 12:24 ; Ré 6:9-11.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Le concile de Jérusalem envoya sa décision aux congrégations chrétiennes pour qu’elles l’observent (Ac 16:4). Quelque sept ans après la promulgation de ce décret lors du concile de Jérusalem, les chrétiens continuaient à respecter cette “ décision ” de “ se garder de ce qui est sacrifié aux idoles ainsi que du sang, et de ce qui est étouffé, et de la fornication ”. (Ac 21:25.
que veux dire se garder dans se verset ?

Psalmiste

Psalmiste

Je me permet d'ouvrir 1 parenthèse pour poser 1 question concernant la transfusion :

Les musulmans l'acceptent-ils ?

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Psalmiste a écrit:Je me permet d'ouvrir 1 parenthèse pour poser 1 question concernant la transfusion :

Les musulmans l'acceptent-ils ?
je pense que oui.c'est pas un interdit coranique.

Psalmiste

Psalmiste

Ah ok !

Ils ne sont pas logique donc, car ils mangent halal, mais acceptent les transfusions !!!

Mais bon, bref... C'était juste 1 parenthèse.

Josué

Josué
Administrateur

Psalmiste a écrit:Ah ok !

Ils ne sont pas logique donc, car ils mangent halal, mais acceptent les transfusions !!!

Mais bon, bref... C'était juste 1 parenthèse.
pour palier a cela ils abrogent un verset.

Psalmiste

Psalmiste

Ca veut dire quoi "abrogne" ???

Josué

Josué
Administrateur

Psalmiste a écrit:Ca veut dire quoi "abrogne" ???
abrogé veux dire qu'un verset du coran enlève ou annule un autre verset.

philippe83


MODERATEUR
MODERATEUR

Et puisque l'on parle de "trouble à l'ordre public" au sujet du refus de la transfusion que dire aussi des milliers de mort suite au sang contaminé?
Depuis cette histoire des personnes meurent encore.
Et que dire maintenant du danger de la maladie de Crosfel-Jacob qui peut être décelé dans la transfusion et donc être transmise?

Voici ce que reconnait un journal médical..
Le refus de transfusion sanguine trouble-t-il l’ordre public ? - Page 3 Img13510

philippe83


MODERATEUR
MODERATEUR

Alors puisque le risque zéro n'existe pas dans le domaine de la transfusion peut-on aussi la refuser pour des raisons de choix médical en acceptant un autre traitement?

Ceux qui ont contracté une hépatite et qui mourront de celle-ci dans quelques années tout en ayant déjà des problèmes de santé, ceux qui ont été infecté de la maladie de crosfel-Jacob ET QUI LE SAURONT QUE DANS PLUSIEURS ANNEES AVEC LES CONSEQUENCES QUE L'ON SAIT, et QUI NE SONT PAS TEMOINS DE JEHOVAH,peuvent-ils avoir le droit de penser que la transfusion est dangereuse voir mortelle?

Et si en plus on découvre les scandales qui se cachent derrières tous cela pourra t-on dire que la transfusion à troubler l'ordre public????
L'avenir de nouveau nous le dira.....
A+

Aude

Aude

AFFAIRES CRIMINELLES

Procès sur le scandale du sang contaminé
Le virus HIV transmis aux hémophiles, le résumé sur cette affaire.

En Avril 1991, la journaliste Anne-Marie Casteret publie un article dans « l’évènement du jeudi » dans lequel elle déclare avoir la preuve de la distribution par le CNTS (Centre national de Transfusion sanguine) de sang contaminé par le virus du sida à des hémophiles.

Quelques dates :

1981 :

Découverte du virus du sida.

Fin 1983 :

L’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) recense 92 cas de porteurs du virus HIV en France et demande l’écartement des sujets à risques (notamment les homosexuels) des systèmes de dons.

20 juin 1983 :

Le professeur Jacques Roux demande l’arrêt des prélèvements de sang en prison.

13 janvier 1984 :

Myriam Ezratti, directrice générale de l’administration pénitentiaire, demande a contrario l’augmentation des prélèvements de sang en prison.

Mi-juin 1985 :

Le dépistage des donneurs de sang devient obligatoire. Malgré tout, rien n’est indiqué sur l’utilisation du stock de sang déjà récolté. De plus, alors qu’il est connu depuis 1984 que le chauffage d’extraits du plasma permet d’inactiver le virus, le stock de sang non chauffé continue d’être donné aux hémophiles.

Août 1986 :

Le CNTS publie un rapport annonçant la contamination d’1 hémophile sur 2 (environ 2 000 personnes). Apparemment les procédures auraient pris beaucoup de retard pour des raisons financières. Les français sont choqués par cette annonce.

Entre le 9 février et le 2 mars 1999, Laurent Fabius, premier ministre et les 2 autres ministres socialistes, Georgina Dufoix et Edmond Hervé comparent devant la Cour de Justice de la République (CJR) pour homicides involontaires.

Laurent Fabius aurait appris en avril 1985, que le fournisseur de dépistage « Diagnostics Pasteur » pouvait prendre la tête du marché à condition de revoir « intelligemment » le calendrier. En gagnant du temps, ils pouvaient ainsi rattraper leur retard sur leur concurrent Abbott et gagner le marché français.

Georgina Dufoix, alors ministre des affaires sociales, est accusée d’avoir ralenti la mise en place du dépistage systématique pour des raisons financières.

Edmond Hervé, ancien secrétaire d’Etat à la santé, a été chargé de tous les chefs d’accusation relatifs à l’affaire du sang contaminé.

Tandis que Laurent Fabius et Georgina Dufoix ont été relaxés des charges retenues contre eux, Edmond Hervé a été reconnu coupable « pour manquement à une obligation de sécurité ou de prudence » mais sera exempt de peine.

Les procédures se sont terminées en juin 2003 par divers non-lieux.

http://www.lesfaitsdivers.com/affaire/scandale-proces-sang-contamine/10624/

alexandre



Tu sais lire, tu t'es engagé à accepter cette charte. Point final.
On a pas de compte à te rendre.

Je n'ai pas le sentiment de critiquer les croyances des TdJ mais d'essayer de comprendre la coherence et la logique de leur dogme.

Je suis désolé si j'ai blessé un TdJ, je ne chreche qu'à exprimer MA comprehension de la Bible, c'est pour cela que j'ai dit, que l'interdit consiste à S'ABSTENIR TOTALEMENT de MANGER du sang, "Vous ne mangerez du sang d'aucune chair" (Lévitique 17,14).

C'est un interdit ALIMENTAIRE et uniquement alimentaire, rien à voir avec la transfusion sanguine !!!

Aude

Aude

Je n'ai pas le sentiment de critiquer les croyances des TdJ mais d'essayer de comprendre la coherence et la logique de leur dogme.

On a pas de dogme, on te l'a déjà dit. On a l'obéissance et c'est ce qui te manque.
Abstenez vous du sang est un commandement suffisamment clair on te l'a déjà dit aussi.

De plus tu ne cherches pas du tout à comprendre les croyances TJ du reste elles ne t'intéressent pas du tout.
Ton seul but est la confrontation pour l'instant.
Si tu veux passer à la trappe continue ainsi, c'est garanti, car notre temps et notre énergie passent avec des gens au coeur bien disposés uniquement.

Peux-tu comprendre cela.

Une dernière fois je me donne la peine de citer la charte de ce fofo:

Si votre intention est de vouloir partir en guerre contre les témoins de Jéhovah, ce site n'est pas fait pour vous,il y suffisemment de sites sur internet dans ce cas qui serait mieux adaptés.
Notre religion est une religion qui n'est pas agressive et n'a pas pour but de vouloir combattre ou diviser les personnes qui ont la foi en Dieu le tout puissant.

Apostats sans que les modérateurs soient au courrant que vous l'êtes...
Si vous participer dans le but de vouloir semer le doute ou activer la haine, l'exclusion de ce forum sera immédiate.

alexandre



Une dernière fois je me donne la peine de citer la charte de ce fofo:



Je n'interviendrais plus sur ce sujet.

Josué

Josué
Administrateur

Ne dit pas n'importe quoi alexandre car tu n'est pas la pour comprendre les tj mais pour les critiqués.
et comme la écrit Audiard ( il ne faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvage)

Josué

Josué
Administrateur

e Pr Luc Douay* explique comment des globules rouges de culture créés à partir de cellules souches peuvent survivre chez l’homme, alors que l’Etablissement français du sang lance une campagne de mobilisation des donneurs de sang, la recherche avance.

Par Sabine de la Brosse - Paris MatchRéagissez !

Paris Match. Quel est en France chaque année le nombre de transfusions ?
Pr Luc Douay. En moyenne 500 000. Elles se révèlent particulièrement nécessaires dans quatre situations. 1. Une urgence après un accident. 2. Des maladies nécessitant une transfusion au long cours. 3. Une anomalie congénitale des ­globules rouges (drépanocytose). 4. Chez les ­personnes atteintes d’une anémie réfractaire ­(dysmyélopoïèse).


Y a-t-il dans notre pays une pénurie des dons du sang ?
Les dons sont de plus en plus nécessaires en raison de l’augmentation des besoins due au vieillissement de la population et à l’incidence en hausse de certaines pathologies. Il va donc falloir trouver une solution complémentaire. Dans les pays en voie de développement la situation est plus délicate : la qualité des transfusions n’est pas parfaite, car la sélection des donneurs n’est pas ­optimale. On délivre chaque année dans le monde plus de 90 millions de poches de sang. Paradoxalement, c’est insuffisant.

Votre équipe vient de mettre au point la “fabrication artificielle” de globules rouges. Quel en a été le protocole ?
Notre technique a démontré que l’on peut produire des globules rouges à partir de cellules souches du sang. Non différenciées ou “neuves”, elles ne sont pas encore parvenues au stade de globules adultes. Elles sont donc contrôlables en laboratoire. Nous avons tout d’abord effectué un prélèvement sanguin chez un donneur pour, in ­vitro, en extraire les cellules souches. Elles ont ­ensuite été stimulées durant trois semaines par des facteurs de croissance. Cette étape a donc consisté à créer plus de 100 milliards de globules rouges de façon à pouvoir les étudier in vivo. On les a enfin réinjectés au même patient pour en étudier la durée de vie.

A-t-on relevé chez ce patient autotransfusé des ­effets secondaires ?
Nous n’avons relevé aucun problème particulier avec ces globules de culture. Il s’agit, là, d’une première mondiale où l’on démontre que des globules rouges produits en laboratoire se comportent de la même façon que des globules naturels.

Quelle sera la prochaine étape ?
L’enjeu désormais est de passer à une fabrication industrielle et de trouver les bonnes cellules souches de départ. On envisage, en premier lieu, une utilisation de cellules provenant du cordon ombilical. Avec chaque prélèvement on pourrait produire de 50 à 100 poches de sang. L’alternative : on recherche maintenant d’autres sources de cellules souches comme, par exemple, les cellules pluripotentes adultes (IPS) qui, fabriquées à partir d’une cellule de la peau, sont capables de générer toutes les cellules de l’organisme. Dans l’attente, que les donneurs de sang ne se ­démobilisent pas : leur générosité est plus que ­jamais indispensable !

Quelles sont les retombées possibles de cette production artificielle de globules dans le cadre d’autres applications médicales ?
Cette avancée en thérapie cellulaire ouvre la voie à d’autres études notamment dans les domaines de la cardiologie, de la neurologie et des maladies osseuses.
* Chef du laboratoire d’hématologie des hôpitaux Saint-Antoine et Trousseau, université Pierre-et-Marie Curie, Etablissement français du sang, Paris.
Pour en savoir plus : www.combattre-la-leucemie.com.

Josué

Josué
Administrateur

Quand la religion fait progresser la science

(Agence Science-Presse) - Le refus obstiné des Témoins de Jéhovah à recevoir des transfusions force les médecins à développer de nouvelles approches. Des approches qui, en retour, bénéficient à tous, peu importe leur religion.

" Plusieurs médecins refusent de traiter les Témoins de Jéhovah. Moi, j’y ai plutôt vu une opportunité d’améliorer nos pratiques. Opérer sans transfusion, c’est comme faire du trapèze sans filet : il faut être beaucoup plus prudent ", explique le Dr Nicolas Jabbour, qui dirige actuellement l’Institut de transplantation du Integris Baptist Medical Center, à Oklahoma City.

Il y a six ans, la Southern California University lançait un programme de greffes du foie sans transfusion. Initialement destiné aux Témoins de Jéhovah, le programme a eu des résultats si positifs qu'il a été élargi à l’ensemble des patients, révèlent le Dr Jabbour et ses collègues dans l'édition du 18 septembre de la revue médicale Archives of Surgery.

Il faut savoir que pendant une greffe de foie, les malades perdent généralement beaucoup de sang et nécessitent de nombreuses transfusions. Or, les patients qui perdent beaucoup de sang ont de moins bonnes chances de survie.

Pour réduire le recours aux transfusions, les patients commencent par se constituer des "réserves" de globules rouges en prenant du fer et de l’EPO (érythropoïétine, l’hormone dopante des sports d’endurance) plusieurs semaines avant leur opération. Cela donne une meilleure marge de manœuvre aux médecins en cas d’hémorragie.

Ensuite, durant la greffe elle-même, deux techniques permettent d’éviter le recours à des produits sanguins. Les médecins peuvent diluer le sang du patient avec un autre liquide, ce qui permet de maintenir la pression et la circulation dans le corps. Ils peuvent aussi réinjecter, une fois filtré, le sang perdu par le patient.

" Ce sont des techniques simples, mais encore peu utilisées ", explique le Dr Jabbour. Elles sont jugées acceptables par les Témoins de Jéhovah, qui refusent de recevoir le sang d’autrui ou de stocker leur propre sang en prévision d’une opération.

Qui plus est, cette chirurgie sans transfusion permet non seulement de diminuer les risques liés aux transfusions (réaction du système immunitaire, transmission de maladies), mais elle diminue aussi la demande auprès des banques de sang, soulignent le Dr Jabbour et ses collègues dans leur étude. Comme quoi science et religion font parfois bon ménage!
http://www.sciencepresse.qc.ca/archives/2006/cap1809063.html

Josué

Josué
Administrateur

«Bloodless 'transplantations pulmonaires Offre Conseil à l'avenir de la chirurgie
HOUSTON - Dernière Avril, après avoir appris que seule une greffe pourrait la sauver d'une maladie pulmonaire mortelle, Rebecca S. Tomczak a commencé à appeler certains des hôpitaux de premier rang dans le pays.
Elle a commencé avec l'Université Emory Hospital à Atlanta, à quelques heures de son domicile près de Augusta, en Géorgie Puis elle a essayé Duke et de l'Université de l'Arkansas et de la Johns Hopkins. Chaque informé Mme Tomczak, puis 69, de regarder ailleurs.

La raison: Mme Tomczak, qui a été baptisé à l'âge de 12 comme un témoin de Jéhovah, a insisté pour des raisons religieuses que sa greffe être effectuée sans une transfusion sanguine. Les témoins considèrent que l'Écriture interdit la transfusion de sang, même la sienne, au risque de perdre la vie éternelle.

Compte tenu de la complexité de la transplantation pulmonaire, dans lequel les transfusions sont monnaie courante, certains médecins estiment que pose la procédure dangers inacceptables. D'autres ne pouvaient pas aller au-delà de l'éthique de tout cela. Avec plus de 1.600 personnes gravement malades en attente d'un don du poumon, était-il approprié d'en donner un à une femme qui pourrait inutilement sacrifier sa vie et l'orgue avec elle?

Au moment où Mme Tomczak trouvé le Dr Scott A. Scheinin à l'Hôpital méthodiste de Houston au printemps dernier, il avait depuis longtemps fait la paix avec ces dilemmes. Comme un certain nombre de médecins, il avait acquis la conviction par un nombre croissant de recherches que les transfusions souvent des risques inutiles et devrait être évitée autant que possible, même dans les cas complexes.

Par cherry-picking patients avec de faibles chances de complications, le Dr Scheinin a estimé qu'il pourrait fonctionner presque aussi toute sécurité, sans que le sang avec elle. La façon dont il l'a vu, les patients ont diminué thérapies de sauvetage tout le temps, pour toutes sortes de raisons, et ce n'était pas sa place à refuser des soins simplement parce que ces raisons étaient parfois religieuse ou non conventionnelle.

«À la fin de la journée», il avait résolu, "si vous acceptez de prendre soin de ces patients, vous êtes d'accord pour le faire à leur manière."

Le cas de Mme Tomczak - le 11 soi-disant transplantation pulmonaire sans effusion de sang tenté au Methodist sur trois ans - allait devenir le dernier essai d'une approche novatrice qui a été mis au point pour tenir compte des croyances uniques de huit millions dans le monde des témoins de Jéhovah, mais pourrait bientôt devenir une pratique courante pour tous les patients chirurgicaux.

Contrairement à d'autres patients, Mme Tomczak n'aurait aucune butée. Explicite dans son entente avec le Dr Scheinin, c'est que si quelque chose a terriblement mal, il lui permettrait de saigner à mort. Il avait regardé les patients témoins meurent avant, avec un élixir de sauvetage à portée de main.

Mme Tomczak a rejeté la perspective d'une greffe pour la plupart de deux ans, elle avait lutté avec la sarcoïdose, une maladie progressive de cause inconnue qui conduit à des cicatrices dans les poumons. La maladie l'a forcée à quitter son emploi à temps partiel avec Nielsen, le cabinet d'études de marché.

Puis, en Avril, lors d'un voyage à la côte en Caroline du Sud, elle a constaté qu'elle était trop essoufflé pour rejoindre ses petits-enfants gambader sur la plage. Attaché à un réservoir d'oxygène, elle regardait de la promenade, de plus en plus triste et en colère, puis déterminé à récupérer sa santé.

«Je voulais être là et de faire partie de leur vie», a rappelé Mme Tomczak, tamponnant larmes.

Elle savait qu'il y avait du danger en refusant de prendre le sang. Mais elle pensait que le plus grand danger viendrait de offenser Dieu.

«Je sais», dit-elle, «que si je faisais quoi que ce soit qui viole le droit de l'Éternel, je ne serais pas le faire dans le nouveau système, où il va faire la terre en un paradis. Je sais qu'il ya des risques. Mais je pense que je suis couvert. "

Couper les risques et coûts

L'approche du Dr Scheinin serait d'utiliser - à l'origine appelée "médecine sans effusion de sang", mais plus tard rebaptisé "la gestion du sang des patients» - a été autour depuis des décennies. Son mentor au Methodist, le Dr Denton Cooley A., le pionnier reconnu cardiaque, réalisée chirurgie cardiaque sur des centaines de Témoins de départ dans les années 1950. La première transplantation pulmonaire sans effusion de sang , à l'Université Johns Hopkins, c'était en 1996.

Mais près de 17 ans plus tard, le degré de difficulté pour ces procédures demeure aussi élevée que le Dr Scheinin et son équipe sont parmi les prêts très peu d'entre eux tentent.

En 2009, après l'analyse des données propres méthodistes, le Dr Scheinin a acquis la conviction que si il a choisi soigneusement les patients, il peut effectuer des transplantations pulmonaires sans transfusions. Les administrateurs d'hôpitaux résisté au début, sachant que même de petits nombres de décès pourraient exercer une surveillance des organismes de réglementation fédéraux.

«Mon travail est de pousser les risques de là," a déclaré le Dr A. Oussama Gaber, directeur de l'hôpital de la transplantation ", donc je n'étais pas vraiment excité à ce sujet. Mais les chiffres étaient très convaincants. "

Aucun des 10 patients qui ont précédé Mme Tomczak, dont deux qui avait le double-pulmonaires greffes, a eu des problèmes liés à la perte de sang chirurgicale ou d'anémie post-opératoire, le Dr Scheinin dit. La première, la Caroline du Nord homme qui a reçu un poumon en 2009, décédé en Novembre après avoir développé une hémorragie interne et une infection. Plusieurs autres avaient diverses complications post-opératoires, mais tout allait bien, le Dr Scheinin dit.

Dr Scheinin, 52 ans, originaire de New York, a dit qu'il aimait ruée vers le funambule de fonctionnement sans filet. Il a déclaré que son objectif a été renforcé par la connaissance que si un patient est décédé par manque de sang, une seconde vie peut se bloquer dans la balance - le patient liste d'attente qui aurait autrement reçu l'orgue.

«Si je suis d'accord pour faire un pontage aortique chez un patient qui refuse le sang, et c'est un risque que nous sommes tous les deux prêts à prendre, c'est entre lui et moi», le Dr Scheinin dit. "Avec une greffe, si le patient meurt, vous risquez d'avoir des gens dire que vous avez perdu un organe précieux."

Mais le Dr Scheinin et son équipe sont également motivés par l'agenda plus large - des transfusions limites pour tous les patients chirurgicaux, et pas seulement ceux qui ont des objections religieuses.

Les dernières données du gouvernement montrent que l'un des tous les 400 unités transfusées est associée à un événement indésirable comme une réaction allergique, une surcharge circulatoire ou d'une septicémie. Malgré cela, la part des procédures hospitalières qui comprennent une transfusion, généralement de deux ou trois unités, a doublé en 12 ans, à un sur 10.

Pourtant, des dizaines d'hôpitaux avec des programmes qui répondent aux Témoins de Jéhovah, un marché millions de patients aux États-Unis, les chercheurs ont constaté que les patients chirurgicaux généralement faire tout aussi bien sans transfusions.

"Ils survivent choses que sur le papier on ne s'attendait pas à aller bien du tout», a déclaré Sherri J. Ozawa, une infirmière qui dirige l'établi de longue date programme de médecine sans effusion de sang à l'hôpital Englewood dans le New Jersey.

L'économie est également d'aider le mouvement gestion du sang. Le traitement et la transfusion d'une seule unité de sang peut coûter jusqu'à $ 1.200, et de nombreux hôpitaux tentent de réduire. Les administrateurs du Methodist ont déclaré que leurs transplantations pulmonaires exsangues coûtent généralement 30 pour cent moins de transplantations pulmonaires d'autres, en partie parce gestion prudente du taux d'hémoglobine avant l'intervention a entraîné une diminution des complications et des séjours plus courts.

Les experts disent qu'ils commencent à voir un impact mesurable sur l'utilisation du sang, bien que les données pour l'appuyer ne sont pas encore disponibles. Dr Richard J. Benjamin, le médecin-chef de la Croix-Rouge américaine, a prédit que les chiffres ne montrent la première baisse en usage depuis la crise de SIDA a commencé dans les années 1980, peut-être par un million d'unités.

«Nous changeons cette culture, cette réaction transfusionnelle réflexe», le Dr Scheinin dit. "Et je pense que cela a été une bonne chose pour tous nos patients."

En place un plan

En Octobre, les Tomczaks envoyé leur caniche, Coco, vivre avec des amis et a déménagé temporairement à Houston. Ils sont restés pendant le premier mois dans une maison bien rangée banlieue avec un couple témoin, Peter et Gerry Deichler, qui ne s'étaient jamais rencontrés. Les dispositions avaient été prises par l'hôpital de l'église du comité de liaison, un réseau national qui relie les patients avec les médecins.

Deux jours après son arrivée, Mme Tomczak marché de longs couloirs méthodistes comme son mari, Gene, son réservoir d'oxygène roues derrière elle. Bien que la respiration sifflante et lasse, elle était gaie comme caractéristique qu'elle a enduré de nombreux tests et a rencontré ses médecins pour la première fois.

Mme Tomczak, un non-fumeur qui avait été malade avant de tomber garniture, a pris acte simulé lors d'un médecin de lire son dossier qu'elle était devenue obèse. "Il est censé dire que je suis moelleux," at-elle objecté.

Dr Scheinin a expliqué que la maladie avait diminué sa capacité pulmonaire de près de moitié. Les bonnes nouvelles, dit-il, était que le scanner a montré qu'elle n'avait pas le genre d'adhérences qui pourraient causer des saignements abondants pendant la chirurgie.

Les médecins examiné le formulaire de Mme Tomczak avait signé «sciemment refuser son consentement» pour les transfusions de sang total et de ses quatre composantes principales - qui transporte l'oxygène des globules rouges, qui combattent l'infection des globules blancs, caillots formant des plaquettes et le plasma. Le formulaire a publié les médecins de toute responsabilité si elle est morte par manque de sang.

Cinq jours plus tard, l'hôpital a ajouté Mme Tomczak à sa liste d'attente pour un poumon d'un donneur décédé. Pour déterminer son rang, pneumologue de l'équipe, le Dr Harish Seethamraju, calculé un score basé sur l'urgence qu'elle avait besoin d'une greffe et combien de temps elle était susceptible de survivre.

Il l'a placée dans la moitié supérieure de candidats énumérés à l'échelle nationale, et le Dr Seethamraju prédit qu'il faudrait deux à trois mois pour elle de se lever dans la liste et être assortis. Sans une greffe, il lui a donné une chance de 50 pour cent de survivre à une année.

Les frais de l'hôpital pour une transplantation pulmonaire, qui seraient versées par l'assurance-maladie et une politique complémentaire privée, serait très probablement l'approche d'un demi-million de dollars.

Lorsque Mme Tomczak a annoncé dans une conférence téléphonique famille qu'elle avait l'intention d'avoir la greffe sans transfusion, ses trois filles ne montez pas beaucoup d'un défi. Ils savaient qu'elle était suffisamment grave de sa foi à transporter un portefeuille de cartes de médecins avertissement de ne pas la traiter avec du sang.

Mais ils ont néanmoins trouvé les perspectives troublantes. La fille aînée de Mme Tomczak, Kim R. Davis, 49 ans, qui a quitté l'église comme un adolescent, a lutté pour donner un sens aux incohérences apparentes, comme la façon dont les Témoins pourrait avoir des transplantations, mais pas les transfusions. «Il est difficile pour moi de concilier», a déclaré Mme Davis, qui vit à Charlotte, Caroline du Nord "Mais elle croit fermement en la matière."

Fondée au 19ème siècle et surtout connu pour porte-à-porte évangélisation, les Témoins de Jéhovah d'abord publié une position sur les transfusions en 1945, que le système de don de sang expansion après la Seconde Guerre mondiale. Elle est née de décrets dans les deux Testaments qui interdisent la consommation de sang, qui est vénéré comme une source de vie. L'église, basé à Brooklyn, prend la position selon laquelle il n'ya pas de distinction entre la consommation par voie orale et une alimentation par voie intraveineuse.

Ligne des Témoins dur a ses points faibles. L'église a déclaré en 2000 que c'était aux membres de décider d'accepter ou non fractions du sang, comme les facteurs de coagulation qui sont extraits du plasma. Elle a aussi laissé à la conscience individuelle d'accepter ou non des protéines synthétiques qui stimulent la production de globules rouges ou d'utiliser des techniques mécaniques qui permettent de conserver et de récupérer le sang.
la suite ici.
http://www.nytimes.com/2013/02/25/us/bloodless-lung-transplants-for-jehovahs-witnesses.html?pagewanted=all&_r=1&

Josué

Josué
Administrateur

Le refus de transfusion sanguine trouble-t-il l’ordre public ? - Page 3 Sang_b10

philippe83


MODERATEUR
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Figaro santé magasine : "un nouveau test de détection du virus de l'hépatite C..." édité le 27/11/2015
L'article montre que de nos jours encore des millions de personnes meurent toujours de cette maladie (suite à des seringues de drogue et à cause de la transfusion sanguine).
A+

philippe83


MODERATEUR
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ps: sur cet article je me suis tromper c'est des milliers de personnes qui en meurent chaque année et non des millions mais par contre ces des millions de personnes qui sont infectées.
Veuillez m'excuser pour ce lapsus. monkey
A+

Josué

Josué
Administrateur

Etrange que personne ne crie sur les toits ce genre d'information.

philippe83


MODERATEUR
MODERATEUR

Salut Jo

C'est peut-être pas le moment d'en parler dans les médias car avec les attentats du 13 Novembre les gens se sont massés dans les centres de transfusion pour donner leur sang alors leur dire ensuite dans le Figaro-magasine santé DU 27/11/2015,que l'on peut attraper ENCORE DE NOS JOURS l'hépatite c suite à une transfusion et en...mourir çà peut fait un peu désordre. Surtout que les centres de transfusion sont toujours en besoin de stocks.
A+

samuel

samuel
Administrateur

Surtout que c'est un sujet basé beaucoup sur l'émotion.

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