Témoins de JEHOVAH VERITE actif


Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Témoins de JEHOVAH VERITE actif

forum des discussions sur la bible ouvert a tous.

Le deal à ne pas rater :
Pokémon EV06 : où acheter le Bundle Lot 6 Boosters Mascarade ...
Voir le deal

Vous n'êtes pas connecté. Connectez-vous ou enregistrez-vous

Le refus de transfusion sanguine trouble-t-il l’ordre public ?

+3
alexandre
samuel
Josué
7 participants

Aller à la page : 1, 2, 3  Suivant

Aller en bas  Message [Page 1 sur 3]

Josué

Josué
Administrateur

Le refus de transfusion sanguine trouble-t-il l’ordre public ?


Régulièrement, des personnes engagées dans la lutte contre les mouvements dits « sectaires » affirment que le refus de la transfusion sanguine génère un trouble à l’ordre public, afin de remettre en cause le statut cultuel des Témoins de Jéhovah reconnu par les autorités publiques.

Pourtant, les sources du droit français tout comme les faits ne confirment pas cette accusation.

Le député Philippe Vuilque a interpelé le ministre de l’Intérieur sur les supposées « entraves au service public », à propos de la recherche par les témoins de Jéhovah d’équipes médicales disposées à accepter les refus de transfusion sanguine. La réponse a été très claire :

« Les décisions des plus hautes instances juridictionnelles n’ont pas retenu le refus de transfusion sanguine des Témoins de Jéhovah comme étant un facteur de trouble à l’ordre public. » (1)

Dans la réalité, comme le constate Frédéric-Jérôme Pansier, magistrat au Tribunal de grande instance de Bobigny, « la situation d’une personne refusant toute transfusion sanguine alors que sa vie en dépend, demeure marginale » (2).

Par exemple, le chef du Bureau central des cultes a mené son enquête en vue de son audition par la commission d’enquête sur les sectes et les mineurs : il a demandé aux préfectures de tous les départements de France de faire le recensement sur les trois dernières années des incidents liés à la transfusion. Il conclut :

« Au vu des résultats obtenus, ce qui remonte, c’est un petit nombre d’incidents souvent réglés par la discussion. Jamais d’incident qui met en cause des enfants ou le pronostic vital ou le fonctionnement du service public hospitalier ne m’a été signalé ces trois dernières années. » (3)

Quant aux prétendus décès d’enfants de Témoins de Jéhovah, des recherches ont prouvé qu’ils restaient fictifs, comme le rappelle Nathalie Luca, chargée de recherches au CNRS et spécialisée sur la question des sectes :

« Des décès d’enfants, survenus faute de transfusion sanguine, n’ont plus été signalés en Europe occidentale depuis plusieurs années. » (4)

(1) Journal officiel, Assemblée nationale, Questions, 15 juin 2004, n° 33176, p. 4503.

Josué

Josué
Administrateur

Le refus de tranfusion sanguine est-il autorisé par la loi française ?
Droit de la santé


Non seulement le droit de refuser un traitement médical est permis par la loi française, mais surtout il est protégé par plusieurs textes législatifs.

Dès 1995, le Code de déontologie médicale (1) avait prévu l’obligation du médecin de recueillir le consentement du patient avant toute intervention :

« Le consentement de la personne examinée ou soignée doit être recherché dans tous les cas. Lorsque le malade, en état d’exprimer sa volonté, refuse les investigations ou le traitement proposés, le médecin doit respecter ce refus après avoir informé le malade de ses conséquences. » (Article 36.)

Pour conforter cette liberté de choix en matière de soins, la loi du 4 mars 2002 (2) a introduit l’article L. 1111-4 dans le Code de la santé publique, qui établit en particulier :

« Le médecin doit respecter la volonté de la personne après l’avoir informée des conséquences de ses choix. Si la volonté de la personne de refuser ou d’interrompre tout traitement met sa vie en danger, le médecin doit tout mettre en œuvre pour la convaincre d’accepter les soins indispensables. Il peut faire appel à un autre membre du corps médical. Dans tous les cas, le malade doit réitérer sa décision après un délai raisonnable. [...]

Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment. »

(1) Décret n° 95-1000 du 6 septembre 1995. Il figure aux articles R. 4127-1 à R. 4127-112 du Code de la santé publique.

Josué

Josué
Administrateur


Gênes, les ordres du médecin de refuser un traitement médical: «Les décisions prises par un patient conscient doit être respectée"

Gênes. L'histoire qui voit une fille, Mary Tronti dénoncer pouvoir judiciaire la mère de l', Annunziata Iannone, qui ne fourniront pas aux soins médicaux en raison des Témoins de Jéhovah de prendre place sur l'ordre des médecins.

Le président Amedeo Bianco ne savons que les décisions prises par un patient conscient doit être observé. «Il ne fait aucun doute que dans les circonstances, la jurisprudence et aussi l'article 32 de la Constitution - dit White - nul ne peut être soumis à un traitement médical contre leur volonté, sauf dans le cas d'une personne atteinte de maladie mentale, n'est pas autrement traitables et pour protéger sa santé et le public. "

Dans ce cas, cependant, «cette femme est capable de consentir et est conscient de la nécessité d'un traitement - plus - là ou le tribunal procède à une sorte de son interdiction, qui, je crois impossible dans ce cas, ou la croyance, raisonnablement, que nous ne pouvons pas surmonter la volonté de la femme, informés et conscients. "

"Le juge a vu que vous obtenez la demande d'imposer un remède de sa fille parce que la mère incapable de consentir - a déclaré Amedeo Santuosso, un avocat - doit parler avec le patient, ou envoyer un médecin pour vérifier si tel est réellement capable ou non . Mais si les médecins ont déjà eu lieu, peut-être par un psychiatre comme cela arrive souvent dans ces cas, la femme est parfaitement capable de consentement, et accepter sa volonté, alors il n'y a rien à faire, mais respecter le choix de cette femme ".

Il peut donc être un trou dans l'eau pour Maria Tronti.

Source: www.genova24.it

samuel

samuel
Administrateur

tous les coups sont permis pour ceux qui ne nous aiment pas et dénigré c'est facile a faire.

Josué

Josué
Administrateur

Trelew: chirurgie à cœur ouvert, sans les donneurs de sang
Il s'agit d'un patient qui, pour des raisons religieuses, ne reçoivent pas de transfusions. C'est en Février. Il n'avait jamais rien fait de tel dans la ville. La pratique chirurgicale réalisée par une équipe de la Fondation Favaloro.

Après la chirurgie. Antelaf et Cristina, dans une salle commune, après cinq heures d'une opération complexe.
Quand la science est correctement appliquée, peut sauver des vies. Et c'est arrivé à Trelew. Témoin de Jéhovah Antelaf Jorge et sa religion sont interdits de transfusion sanguine. Mais la technologie de pointe en maîtrisant terminé principes bibliques. Est-ce que cette personne ne pouvait recevoir les donateurs chirurgie cardiaque et par une petite valve avec sa famille de profiter des plaisirs de tous les jours.

Antelaf entré dans la salle d'opération le 27 Février. Une équipe de spécialistes formés à la Fondation Favaloro, le reçut. Et pendant 5 heures le praticien était entre les mains de professionnels, mais avec la foi en Dieu. Sa famille a poursuivi l'opération deuxième-deuxième et quand alentours de 15h15 un des cardiologues s'approcha et leur dit: «L'opération a réussi, le patient est bien», fondus dans une étreinte.

C'est la première fois que cette pratique est effectuée sans les donneurs à cœur ouvert à Trelew et un patient qui a été exploitée pendant 20 ans de la même. Comme décrit Marcelo Nahin, médecin qui a opéré Antelaf, "a été une opération risquée parce que cette personne a déjà été opéré de la même chose il ya 20 ans, qui est, il a été une réintervention, ce qui implique un double engagement. La place des émotions a été le centre de cardio-vasculaires "Ville Lewis."

"Cette affaire est une réopération cardiaque ou une chirurgie cardiaque n'est pas la première fois. Est-ce un homme qui a subi une chirurgie ya exactement 20 ans à l'hôpital Guemes de Buenos Aires City. Cette fois, il a obtenu une valve cardiaque mécanique . Cette vanne a duré 20 ans, "si" il y avait besoin de changement »et que« a commencé à échouer ", a déclaré Nahin sur la pratique. Dans cette ligne a ajouté: "Il avait une soupape à disque mécanique simple, qui a cessé de l'utiliser, mais il ya 20 ans a été l'un sur le marché Celui qui s'en est maintenant de deux disques, car il a deux disques, il ya deux petites portes. qui s'ouvrent »et permettre l'écoulement de sang.

"Les réinterventions cardiaques sont plus complexes, des niveaux plus élevés de complications et de saignements que celles formulées pour la première fois. Ce cas est inhabituel parce que nous réintervention chez un patient qui ne peut pas recevoir de transfusions sanguines pour les Témoins de Jéhovah" a dit le professionnel.

Et cela est considéré comme "le premier témoin de Jéhovah qui opèrent dans Trelew sur la chirurgie cardiaque. Nous croyons qu'il est également en Patagonie." Dans ce contexte, le médecin par rapport à quand on travaille sur «un patient subissant une chirurgie pour la première fois, demandez de 10 à 12 donneurs de sang. Ici il y avait seulement la deuxième fois et ça saigne beaucoup, mais les bailleurs de fonds étaient nuls ".

Avec Antelaf, Nahin dit, «a présenté une récupération des cellules, à l'exception des cellules, ce qui serait comme une cellule de garde est un dispositif que certains globules rouges récupéré à partir du domaine de la chirurgie et qui peut être re-transfusé. Il est autorisé à utiliser le sang de patient, at-il précisé.

La méthode

Au-delà il n'y avait pas de transfusion sanguine, tous les succès est dû au changement de méthodes. Vannes ont été remplacés. "La soupape seul disque que nous obtenons produit beaucoup d'agitation dans le sang parce qu'il a un seul disque. Et il produit la croissance du tissu pannus qui était obstruée. Vannes Biliflet, à être plus ouverts, ont de meilleures performances hémodynamiques et ne génère pas une telle croissance tissus », a expliqué le professionnel.

"La réopération cardiaque", a déclaré le médecin a un risque beaucoup plus important car après la première opération du cœur est attaché à l'os, et le second est d'ouvrir la colonne vertébrale avec une spéciale fermée. La première intervention chirurgicale en utilisant un fermée coupe directe en 10 secondes où l'os est ouvert. Pour cette opération, que le cœur est attaché à l'arrière du sternum, en utilisant un oscillant fermé, ce qui est très semblable à ceux utilisés pour enlever le plâtre, mais à passer cette proximité, il faut environ 30 ou 40 minutes. Supposons que, si la touche de fermeture du cœur qui est coincé sous l'os, la chirurgie est terminée. Il faut donc être fine et détaillée. "

Comme le processus de récupération », les 48 premières heures sont cruciales et un haut niveau en chirurgie cardiaque à 7 jours, dit le docteur. L'opération coûte environ 35 000 dollars "sans récupération numération formule sanguine," a déclaré Nahin. qui a une valeur en dehors. #
http://www.diariojornada.com.ar/10695/Pol% C3% ADtica / Trelew_operacion_a_corazon_abierto_sin_dadores_de_sangre

Josué

Josué
Administrateur

Lorsque le sang n'est pas une option
13 FÉVRIER 2011
Facteurs influant sur la survie après l'utilisation de transporteurs d'oxygène à base d'hémoglobine chez 54 patients présentant une anémie potentiellement mortelle
Mackenzie FC, de la Lune PF-Massat, Shander A, M Javidroozi, Greenburg AG.
Dans le département d'anesthésiologie de l'Université du Maryland School of Medicine, Baltimore, Maryland (USA); cmack003@umaryland.edu
CONTEXTE: Chez les patients consentants Témoins de Jéhovah et d'autres pour qui le sang est contre-indiquée ou n'est pas disponible, la base d'oxygène porteuse d'hémoglobine (HBOC-201) peut permettre la survie en cas d'anémie sévère sont traités comme les conditions de base .
METHODES: Les facteurs de survie ont été identifiées dans plusieurs multicentrique, sans insu, pour "usage compassionnel" des patients gravement anémiques qui ont reçu le traitement standard disponibles sur l'administration de HBOC-201 par des utilisateurs novices, avec le soutien d'un spécialiste de santé. Les prédictions des résultats ont été analysés et comparés entre les survivants et les morts. Une variable composé, un produit d'un manque d'hémoglobine a été utilisé pour décrire les effets cliniques de gravité interactive et la durée de l'anémie. La mortalité, les corrélations entre les caractéristiques des patients et la survie de sortie de l'hôpital ont été déterminées à partir des données des patients.
RÉSULTATS: Cinquante-cinq patients (âge moyen 50 ans) avec risque de létalité faucille (concentration moyenne d'hémoglobine [Hb] au moment de la demande = 4 g / dL) a reçu 60 à 300 g de HBOC-201. Vingt-trois patients (41,8%) ont été libérés. La perte de sang peropératoire (45%), une tumeur maligne (18%), el'emolisi aiguë (13%) ont été les principales causes de l'apparition de l'anémie. Le délai entre l'apparition de l'anémie (<ou = 8 g / dL) et la perfusion de HBOC-201 était plus courte chez les survivants de la victime (3,2 contre 4,4 jours, p = 0,027). Les concentrations moyennes de Hb avant la perfusion de HBOC-201 chez les survivants et les morts ont été respectivement de 4,5 et 3,8 g / dL (p = 0120). Aucun effet secondaire grave n'a été associé à HBOC-201. La mesure de la longueur du temps, le déficit a distingué les survivants de Hb est mort. Cancer et insuffisance rénale ont été associés à la survie.
CONCLUSION: En comparant avant et après l'administration par les utilisateurs novices de HBOC-201 chez des patients souffrant d'anémie, a été associée à de meilleures chances de survie des patients avec une perte sanguine aiguë et l'hémolyse. Survival pourrait être plus probable si l'ampleur de la durée de l'affaissement du temps avait été réduit au minimum Hb avant traitement avec HBOC-201.
Source: PubMed.gov

Josué

Josué
Administrateur

CASTELFRANCO - Il ya environ 250 patients avec des problèmes de hanche qui lui sont adressées chaque unité opérationnelle années d'orthopédie de San Giacomo di Castelfranco Veneto, dirigé par le Dr Alberto Ricciardi (en photo).

Et de plus en plus de gens qui apprécient la technique adoptée par la préférence primaire, l'intervention, l'accès par l'avant. Cette nouvelle approche permet de se conformer pleinement avec les muscles, les nerfs, pour limiter le risque de luxation et d'une récupération fonctionnelle plus rapide.

La chirurgie mini-invasive permet, grâce à l'utilisation de l'implant moins envahissant, une incision beaucoup plus petits que les interventions traditionnelles.

«Avec ce type d'intervention par intermusculaire et internervosa - explique le principal, le Dr Ricciardi - l'incision est réduite à environ 8 cm par rapport à la normale 15 cm Quelques caractéristiques de l'intervention effectuée par la partie antérieure (position du membre, non. manœuvres de stress) sont également de réduire considérablement la formation de caillots dans les jambes (thrombose veineuse profonde), une des complications les plus redoutées de la chirurgie de la hanche. De plus, en utilisant des implants qui permettent une économie de tissu osseux, peuvent également réduire considérablement perte de sang et donc l'utilisation de transfusions. "

C'est cette particularité à Castelfranco est d'attirer un nombre croissant de Témoins de Jéhovah de toute la région qui, par opposition à des transfusions de sang sont de trouver la technique du Dr Ricciardi un régal. La possibilité d'effectuer ce type d'opérations de la hanche sans transfusion a été rendue possible grâce à une étroite collaboration entre l'unité d'exploitation d'Orthopédie et anesthésiologie et de soins intensifs dirigés par le Dr Giorgio Zanardo.

Pour la chirurgie minimalement invasive est également accompagné d'un cours post-opératoire plus rapide -, ajoute le Dr Ricciardi -; habituellement le patient est «mettre ensemble» déjà dans le deuxième jour et conservés à l'hôpital pour 5-6 jours en moyenne. Vient ensuite la remise en état ​​dans un court laps de temps le patient revient la pleine autonomie de mouvement. La même pratique, à travers le front de rue, est d'avoir une bonne reflétée dans les interventions chez les patients obèses qui choisissent de plus que la structure soit exploité château. Source: www.oggitreviso.it

Josué

Josué
Administrateur

Le 16 juin 2011, lesinrocks.com a publié un article intitulé « Rapport anti-secte : lesgroupes apocalyptiques répondent ». Les Témoins de Jéhovah n'utilisent pas « des méthodes médicales qui leur sont propres ».Une étude effectuée par la Sofres révèle que leur suivi médical est identique à celui de leurs concitoyens.

Ils font systématiquement et librement appel aux services hospitaliers afin de recevoir les meilleurs traitements disponibles. De plus, tant le Conseil d'État que la Cour européenne des droits de l'homme ont jugé que le refus des transfusions sanguines par les Témoins de Jéhovah ne constituait pas des « dérives thérapeutiques ».

De fait, la loi française reconnaît au patient le droit de choisir ses traitements médicaux.Le Conseil d'État a jugé que le refus des transfusions sanguines constitue l'exercice d'une liberté fondamentale. La violation de cette liberté peut constituer une atteinte grave et manifestement illégale. Le Comité Consultatif National d'Éthique invite également àrespecter ce droit. Par ailleurs, un nombre croissant de patients refusent le recours à la transfusion pour des raisons autres que religieuses.

Enfin, contrairement à ce que laisse entendre l'article, les alternatives à la transfusion sont aujourd'hui pratique courante en milieu médical. Les centaines d'articles médicaux publiés chaque année par des journaux scientifiques de visée internationale attestent d'ailleurs l'intérêt des équipes médicales pour les techniques d'épargne sanguine.

Comme l'histoire récente l'a montré, la transfusion sanguine n'est pas sans risque, et les accidents transfusionnels provoquent chaque année de nombreux décès dans le monde. Soucieuses de cette réalité, les plus grandes sommités mondiales dans les domaines de la chirurgie, de l'anesthésie et des soins transfusionnels ont élaboré des protocoles de soins faisant appel aux alternatives à la transfusion. Ces protocoles utilisent les plus récentes avancées en matière médicale. Les Témoins de Jéhovah sont heureux de pouvoir en bénéficier.

Association cultuelle les Témoins de Jéhovah de France

Invité


Invité

En France un juge à le droit d'imposer la pratique de la transfusion sur un enfant mineur, si sa vie est considérée en danger et si les parents veulent interdire cet acte médical pour raison religieuse.

Dans le cas des mineurs, selon le même article, le médecin doit prendre les décisions qu'il juge nécessaires à la santé de l'enfant, même contre l'avis des parents :

« Le consentement du mineur ou du majeur sous tutelle doit être systématiquement recherché s'il est apte à exprimer sa volonté et à participer à la décision. Dans le cas où le refus d'un traitement par la personne titulaire de l'autorité parentale ou par le tuteur risque d'entraîner des conséquences graves pour la santé du mineur ou du majeur sous tutelle, le médecin délivre les soins indispensables. »

Josué

Josué
Administrateur

tant fait pas le cas est très rare.

Invité


Invité

Admin a écrit:tant fait pas le cas est très rare.

Tu peux être plus précis ?

Josué

Josué
Administrateur

les cas ou le juge doit statuer tout simplement .c'est bien toi qui parle d'un juge des enfants

Invité


Invité

Admin a écrit:les cas ou le juge doit statuer tout simplement .c'est bien toi qui parle d'un juge des enfants

Cela se produit chaque fois que l'enfant mineur d'un TJ a besoin d'une transfusion et cela ne se produit pas qu'en France

samuel

samuel
Administrateur

oui mais c'est rare comme il a été dit.surtout depuis la loi Kouchner.

Invité


Invité

samuel a écrit:oui mais c'est rare comme il a été dit.surtout depuis la loi Kouchner.

Si mes souvenirs sont bon, la loi kouchner ne concerne ni les mineurs ni les majeurs sous tutelle

Mais c'est vrai que les cas en France sont nettement inférieurs aux cas au Canada

samuel

samuel
Administrateur

pourquoi il aurait il plus de cas aux Canada ?

Invité


Invité

samuel a écrit:pourquoi il aurait il plus de cas aux Canada ?

Parce qu'il y a plus de cas au Canada, comment veux-tu que je sache pourquoi ?

samuel

samuel
Administrateur

si tu le dis c'est que tu as des sources alors donne tes sources.
merci d'avance.

Invité


Invité

Mes sources, elles étaient dans le forum d'Eliaqim demande à Alain ce qu'est devenu le contenu de ce forum il le sait comme moi

Josué

Josué
Administrateur

c'est a toi de les retrouver.il ne faut pas affirmer une chose quand on a pas la possibilité de le prouver.
ceci dit ça ne change en rien le fond du problème.

Invité


Invité

Admin a écrit:c'est a toi de les retrouver.il ne faut pas affirmer une chose quand on a pas la possibilité de le prouver.
ceci dit ça ne change en rien le fond du problème.

OK dorénavant on va dire que sur le forum personne ne dira rien s'il ne peut fournir la source de son information

Et tu sais aussi bien que moi que les données présentent sur le forum d'Eliaqim ont été détruites en même temps que son forum, alors me les réclamer c'est me demander quelque chose que tu sais très bien que je ne peux plus fournir car ils n'existent plus

Josué

Josué
Administrateur

c'est quand même mieux de fournir ses sources et en plus c'est plus crédible que de simple affirmations.

Invité


Invité

Admin a écrit:c'est quand même mieux de fournir ses sources et en plus c'est plus crédible que de simple affirmations.

OK alors fournit moi l'original des évangiles

Josué

Josué
Administrateur

je te parle de sources de tes affirmations pas sur les évangiles qui n'est pas le sujet.
pourquoi détournes tu le sujet ?

Invité


Invité

Admin a écrit:je te parle de sources de tes affirmations pas sur les évangiles qui n'est pas le sujet.
pourquoi détournes tu le sujet ?

Moi je te parles de mes sources d'informations sur les transfusion faites aux enfants mineurs au Canada contre l'avis de parents TJ

Ce n'est pas hors-sujet je crois

Qu'est-ce que j'ai affirmé sur les évangiles su un sujet qui parle de la transfusion ?

Je me suis contenté de te dire que je te fournirais mes sources détruites sur la transfusion quand tu seras capable de me fournir les manuscrits originaux des évangiles

Josué

Josué
Administrateur

Le principal point de polémique qui revient actuellement à l'encontre des témoins de Jéhovah réside dans leur refus sélectif de la transfusion sanguine. Ce choix thérapeutique fondé avant tout sur des convictions religieuses est régulièrement utilisé pour traiter ces chrétiens comme des criminels, accusant notamment les parents de mettre en péril la vie de leurs enfants mineurs. Mais, alors qu'on retrouve en boucle sur la toile des 'informations' sur des témoins de Jéhovah morts pour avoir refusés une transfusion au point qu'on ait l'impression que cela arrive tous les jours, la presse en fait rarement écho ! Que ce passe-t'il ? A-t'on de vrais chiffres ? Y a-t-il vraiment toujours préjudice à refuser une transfusion sanguine (TSF) ?

Une nouvelle rumeur diffusée en boucle

Sur le site Wikipédia on trouve ce postulat:

"Selon les médecins américains David Reed Dr Jerry Bergman, entre 450 et 1150 Témoins de Jéhovah meurent par an du fait de leur refus de se faire transfuser"

Quelles sont les sources ? Je cite: "voir Blood Transfusion du Dr. Jerry Bergman, Witness Inc., page 3 (le Dr Jerry Bergman est un expert auprès des tribunaux des États-Unis pour les questions touchant les Témoins de Jéhovah. Il a écrit plus de 20 livres et plus de 400 articles dans des ouvrages spécialisés.) Cité par vigi-sectes [archive]"

Pour la forme; le docteur Jerry Bergman, est en réalité un fervent créationniste, fils d'une mère témoin de Jéhovah, connu pour ses points de vues controversés sur l'Holocauste et le Darwinisme et ses prises de position contre les Témoins de Jéhovah (qui ne souscrivent pas à la croyance selon laquelle la terre aurait été aménagée en 6 jours de 24 heures)! Vigi-sectes est un site peu recommandable selon Google et principalement à charge contre les sectes.

Pour le fond; ce genre d'extrapolation si vraiment elle a été faite sur une base de projection scientifique sérieuse (entre la population du monde par rapport à celle des témoins de Jéhovah) est purement fantaisiste puisqu'elle ne tient pas compte des spécificités des pays, des hôpitaux, des alternatives et de chaque cas face à la transfusion sanguine !

En dehors des rumeurs colportées dans quelques sites internet, nous ne disposons d'aucuns chiffres statistiques précis du nombre de fidèles ou de leurs enfants qui seraient morts suite à leur refus de transfusion sanguines.
En France même sur le site de Wikipédia pris d'assaut par des opposants aux témoins de Jéhovah aucun cas avéré cité !

Enfin, le chef du Bureau des cultes, Didier Leschi, a indiqué un chiffre officiel et révélateur entre 2003 et 2006, lors de son audition parlementaire: "il m’a semblé nécessaire de demander aux préfectures des départements de faire le recensement sur les 3 dernières années des incidents liés à la transfusion. Au vu des résultats obtenus, ce qui remonte, c’est un petit nombre d’incidents souvent réglés par la discussion. Jamais d’incident, qui met en cause des enfants ou le pronostic vital ou le fonctionnement du service public hospitalier, ne m’a été signalé ces trois dernières années."

On est bien loin du cliché véhiculé sur l'hécatombe parmi les témoins de Jéhovah ! En vu de grossir le nombre des supposés victimes du refus de la TSF, certains opposants n'hésitent pas à jouer habilement de la confusion entre la mort suite à des complications aucunement liées au refus de la TSF et la mort qui serait causé par son refus, et entre un proche de témoins de Jéhovah concernés et ceux-ci... Mais au regard de la complexité des cas avérés ces critiques visant le refus sélectif et éclairé de la TSF perdent de plus en plus de consistance et, de ce fait, font plus appel à l'émotion qu'à la raison scientifique.



Le 'sang providence'

Tout serait parti de reportages télévisés sur Tf1 et France 2 sur les Témoins de Jéhovah à la fin des années 80. Des journalistes avaient interrogé certaines mères Témoins de Jéhovah sur le vif du sujet par cette question: "si votre enfant a besoin un jour d'une TSF, préfèreriez-vous qu'il meure ou bien choisiriez-vous qu'il se fasse soigner ?"

Ajoutons à cela, la sur médiatisation du don du sang comme vital et sans danger. A partir de là, l'opinion publique a été habilement formatée sur la certitude qu'il n'y avait pas de 3ème possibilité et que les Témoins - bien que fort méconnus - sont des fanatiques meurtriers. Il faut dire que dans l'imaginaire collectif: le sang = la vie. L'instinct de conservation est entretenu par la sacralisation du geste du donneur qui apparaît comme altruiste, solidaire et donnant la vie. Mais pour moi qui ai étudié la biologie appliquée et la biochimie à l'université, je sais qu'en médecine, les choses ne se passent pas exactement ainsi.

Il n'est pas question ici de dire que la transfusion est inutile mais de la relativiser.
Remettons les pendules à l'heure: on sait que le sang a pour fonction vitale de transporter l'oxygène dans le corps. Or, quand bien même il resterait la moitié seulement de nos globules rouges, le transport de l’oxygène peut se faire à environ 75 % de la normale, sachant qu'au repos on n’utilise que 25 % de l’oxygène disponible dans le sang. N'aurait-on donc pas un peu trop exagéré le problème de la perte de sang ?

En effet, pendant longtemps les chirurgiens ont pensé que le seuil du taux d'hémoglobine acceptable pour un patient ne devait pas descendre à 10 g par dl. Or, avec les avancées de la médecine, on a compris qu'un patient, selon son état, pouvait facilement survivre à 8 (voir dans certains cas à 4). Ce détail est intéressant puisque, selon des chirurgiens, cela permet de réduire de moitié les TSF quand on sait les nombreuses complications qu'elles entraînent !

D'ailleurs, un témoin de Jéhovah, sous le pseudo DMA témoigne sur un site: "Je suis passé de 7.7 g d’hémo à 9.8 g en 5 jours.. grâce à l’EPO et un corps sain. 10 jours après j’étais à 11,5..." Qu'en est-il des enfants ?

Le cliché de l'enfant privé de soin vital

Prenons l'exemple d'un enfant en France qui perd beaucoup de sang suite à un grave accident. Le SAMU intervient; même s'il arrive tard, peut-il transporter dans son véhicule des produits sanguins ? Non; c'est interdit. Encore moins l'administrer à la va-vite. Si on doit le transfuser, il faudra faire des examens de compatibilité ce qui prend au moins une heure. Dans la pratique, que font les urgentistes ? Ils essaient de stopper l'hémorragie, ensuite restaurent le volume sanguin. Parfois, ils administrent de l'oxygène à forte concentration. Ensuite, selon la pratique, ils transfusent ou non. Dans le cas où on se trouve devant une clinique qui utilise les méthodes d'épargnes sanguines, on utilise des restaurateurs recombinants qui vont apporter de l'oxygène à l'organisme, de sorte que le cœur en pompant davantage de sang maintient les fonctions vitales. Le sang perdu ayant été remplacé par un liquide approprié, la circulation du sang maintenant dilué se fait plus facilement, même dans les petits vaisseaux. Les transformations chimiques qui s’opèrent permettent que davantage d’oxygène soit libéré dans les tissus et avec le temps la moelle osseuse reconstitue le sang perdu. Cela arrive très souvent. Plus l'enfant est jeune, plus son système sanguin est moins volumineux, et donc plus fragile pour supporter les effets post-transfusionnels. Le cas se complique quand il s'agit d'opérations programmées lourdes comme pour les hémophiles. Mais là encore, il existe des procédés éprouvés pour agir sans TSF allogène. Si un enfant a besoin de sang et que les parents s'y opposent le médecin peut transfuser sans passer par un tribunal...La question ne se pose donc plus.

Pourtant, en France, cela fait trente ans qu'on entend que les Témoins de Jéhovah laissent mourir leurs enfants mais depuis aucun décès imputable au refus de TSF n’a été recensé chez ces derniers ! Faut-il pour autant croire qu'il n'existe que la transfusion comme méthode pour stopper les hémorragies ou maintenir le volume sanguin lors d'opérations chirurgicales ?

Une avalanche de découvertes de risques post-transfusionnels

Si chaque année, en France 500 000 patients bénéficient de 2,5 millions de transfusions sanguines, le sang ne se conserve que 40 jours au maximum, et doit être compatible entre le receveur et le donneur [Sources] et dans 70 % des cas s'averre dangereux s''il est utilisé après 2 semaines. De plus avec la pénurie des dons, la prise en charge globale est onéreuse. D'où l'idée de se passer des dons...

Tout d'abord, pour de nombreux scientifiques, l'Hépatite C sera un des grands problèmes de santé publique dans les prochaines années. En France, selon des estimations de 2002 il y aurait au moins 600 000 personnes atteintes d'Hépatite "C" !

Selon la même source sur ce chiffre 250 000 des malades porteurs du virus "C" auraient été infectés par transfusion ! Et sur ce nombre 200 000 personnes, sont potentiellement contaminantes et susceptibles de développer une Hépatite chronique. Ces porteurs chroniques du virus peuvent évoluer vers une cirrhose et celle-ci vers un cancer du foie dans 20% des cas. Si 40 % des cas sont difficiles à traiter cela veut dire que 80 000 porteurs chroniques vont développer une cirrhose et finalement 16 000 personnes contaminées vont avoir un cancer du foie mortel, en latence ! L'Association des victimes ajoute: "la contamination transfusionnelle par le virus "C" fera, à terme, beaucoup plus de mort que la contamination par le virus du SIDA". Comment cela? L'Hépatite C progresse lentement dans le corps. Il arrive que les symptômes ressurgissent 20 à 30 ans après la transmission ! Les complications de l'Hépatite "C", la cirrhose et le cancer du foie, sont moins rapides et moins spectaculaires que les complications liées au Sida, ce qui explique en partie le désintéressement des médias pour ces milliers de victimes. Voyez ici le témoignage de Daniel qui a contracté une maladie lourde suite à une TSF dans cette vidéo.

Selon deux études du Centre médical de l'Université de Duke, révélée à l'AFP le 8 octobre 2007, 'les transfusions sanguines causeraient plus de mal que de bien', car le sang, quand il est stocké, perd de l'oxyde nitrique, un composant clé, dans les 3 heures qui suivent son prélèvement. Or ce dernier facilite le transfert d'oxygène des cellules des globules rouges du sang aux tissus. Les cellules des globules rouges deviennent plus dures alors que le taux d'oxyde nitrique diminue, rendant le passage dans les petits vaisseaux encore plus difficile."Si les vaisseaux sanguins ne peuvent pas s'ouvrir, les cellules des globules rouges refluent dans les vaisseaux et les tissus ne sont pas oxygénés." Des patients transfusés auraient une plus grande propension à faire des attaques ou défaillances cardiaques, ce qui peut entraîner la mort.

Un récent article du Wall Street Journal (en anglais) nous informe qu"un comité consultatif de l'Administration américaine des aliments et des médicaments recommande d'interdire aux personnes atteintes du syndrome de fatigue chronique [de plus en plus nombreux] de donner leur sang, un rétrovirus étant soupçonné d'avoir un lien avec cette maladie"
Selon l'anesthésiologiste cardiaque Bruce Spiess "Probablement 40 à 60 % des transfusions sanguines ne sont pas bonnes pour les patients" (De la Virginia Commonwealth University de Richmond) [Lien ici.]


Un intérêt croissant pour des alternatives à la TSF


Les TSF ne sont pas la panacée. Depuis 'les affaires du sang contaminé' on a pris conscience que le sang peut devenir un produit dangereux. Evoquant un article du New Scientist sur ce problème, Le Figaro du 26 septembre 2002 signale que des "centaines de personnes meurent chaque année au cours d'accidents de transfusion qui pourraient être évitées".

Le professeur Bernard Glorion, déclara en tant que président de l'Ordre des Médecins en 1996:"Dans les années à venir, la chirurgie sans transfusion devrait connaître une évolution importante, pour des raisons financières d'une part, et dans l'intérêt des patients, d'autre part. C'est un domaine qui dépasse largement le simple cadre des Témoins de Jéhovah" (Le Quotidien du Médecin, 19 février 1996 p 34)

Au Canada, à la fin de l’année 2002, 30% des demandes d’opérations sans transfusions émanaient de personnes qui n’étaient pas Témoins de Jéhovah ! (Lien ici)

La France va-t-elle suivre l'exemple du Canada ? En tout cas, on espère que les profits réalisés par les banques de sang ne vont pas l'emporter sur l'amélioration des techniques médicales.

Ainsi avec l’avènement de nouvelles épidémies infectieuses, l’amenuisement des dons, et le développement de la recherche médicale de plus en plus de méthodes alternatives à la transfusion sanguines sont proposées, voire préférées dans certains cas pour limiter les effets secondaires post-transfusionnels qui souvent surviennent bien après.
Rappelons que l’armée américaine, et plus de 120 cliniques dans le monde ont décidés de développer les alternatives à la TSF en souhaitant éviter l'utilisation du sang sur leurs patients. [1] Quels sont ces alternatives [2]?

Quelques exemples de stratégies d'épargnes sanguines :

SOLUTIONS RESTAURATRICES OU DE REMPLISSAGE DE VOLUMES SANGUINS:






















LE RINGER LACTATE, LE DEXTRAN ET L'HEMACEL:
Ce sont des restaurateurs en cas de perte sanguine massive suite à un accident ou bien pendant une intervention chirurgicale pour combler rapidement les pertes. Les avantages: ils ne sont ni toxiques ni chers, facilement disponibles, pouvant être stockés à température ambiante, ne nécessitent pas d'épreuves de compatibilité et sans risque de maladie lié aux transfusions.
LES HYDROETHYLAMIDONS ETHYDROXYETHELS, OXYGENT (PFC). [Lien] :
Sont par exemple utilisées pour la prévention des chocs hypovolémique ou les opérations à cœur ouvert. Ils ont l'avantages de faciliter le transport de l'oxygène momentanément, de s'émulsionner dans de l'eau salée, et d'être rapidement éliminée par l'organisme [3]
SUBSTANCES RECOMBINANTES STIMULANTS LA PRODUCTION DE GLOB. ROUGES: L'ERYTHROPOIETINE RECOMBINANTE (RHU-EPO) :
Souvent utilisées pour pallier à l'anémie suite à une forte hémorragie (surtout du prématuré) par exemple (Lien) Ils ont l'avantage d'avoir une excellente tolérance, mais chez le prématuré il faut pallier à la carence en fer. Rares réactions anaphylactiques
LA DESMOPRESSINE:
Réduit le temps de saignement (Hémophilie de type A).
LES COLLES BIOLOGIQUES POUR STOPPER LES HEMORRAGIES : LE COLLAGENE ET LES GAZES DE CELLULOSES:
Ils couvrent de vastes zones de saignement des tissus.
TECHNIQUES CHIRURGICALES POUR STOPPER LES SAIGNEMENTS :
CHIRURGIE AU LASER, ELECTROCAUTERISATION, CHIRURGIE PAR BISTOURI AUX RAYONS GAMMA:
Pour sceller ou cicatriser des saignements sur de grandes surfaces de tissus pour réaliser, par exemple, des greffes. Permet aussi de sceller les vaisseaux sanguins en même temps.
FACTEURS DE COAGULATION SYNTHETIQUES, EMBOLISATION ARTERIELLE:
Permet de former des caillots pour gagner du temps. Utilisés pour certains types d'Hémophilie.
AUTRES TECHNIQUES CHIRURGICALES POUR OPERER SANS TRANSFUSION : ·HEMODILUTION:
Dans l'arthroplastie totale de hanche par exemple (Lien)
COAGULATION À FAISCEAU ARGON ET SCALPEL À ULTRASONS:
Permet de couper et de coaguler en même temps. Sur des organes qui saignent abondamment, comme le foie ou la rate. Les cancéreux évoluent mieux et les récidives sont moins fréquentes.
OXYGENOTHERAPIE HYPERBARE ET HYPOTHERMIE:
Réduire de fortes pertes de sang (cas jusqu'à 1.8 g/dl !) Efficace et utilisée par des pompiers.
TRANSFUSION AUTOLOGUE OU TECHNIQUE DE RECUPERATION [4]:
CELL SAVER:
Le sang est nettoyé et peut être retourné pour le patient dans un circuit fermé jusqu'à 60 % du sang épanché peut ainsi être récupéré avec quelques risques pour les (fœtus) césariennes.

AUCUNES DERIVES THERAPEUTIQUES MAIS JUSTE UN CHOIX !

Au vu de tous ces éléments, il serait vraiment réducteur et peu objectif de laisser entendre que refuser le sang équivaut à refuser la vie. Le sang n'est pas synonyme de vie; on peut mourrir après avoir été transfusé. Les facteurs risques-bénéfices ayant été évalués; dans la plupart des cas le refus du sang ne comporte pas plus de dangers que le sang lui même. Certaines méthodes alternatives ayant fait leurs preuves ceux-ci ont aussi l'avantage de provoquer moins d'effets secondaires. Ce qui est en jeu c'est surtout le droit de choisir un traitement alternatif au bénéfice de la recherche médicale qui avance à grands pas dans ce domaine [5] ! Des Témoins de Jéhovah hémophiles, ou gravement accidentés, ont été soignés avec succès à l'aide de ces techniques. Mais la médecine, hélas, ne guéri pas tout; beaucoup de gens sont morts alors qu’ils avaient accepté une transfusion et, inversement, d'autres sont en vie alors qu'ils avaient refusé cette thérapeutique ! Même si en France quelques Témoins adultes sont morts après avoir refusé du sang, cela ne prouve pas qu'ils seraient encore en vie s'ils en avaient accepté. Les protocoles de soins faisant appel aux alternatives à la transfusion utilisent les plus récentes avancées en matière médicale. Les Témoins de Jéhovah sont heureux de pouvoir en bénéficier tout comme bien d'autres patients...



[1] Il y a quelques années, on a répertorié dans le monde plus de 120 hôpitaux qui ont mis sur pied des services spécialisés dans la médecine et la chirurgie sans TSF. Dans le monde, plus de 100 000 chirurgiens et médecins se sont engagés à respecter les croyances des Témoins de Jéhovah en les soignants sans TSF. Ils sont prêts à collaborer avec près de 1500 Comités de Liaison Hospitalier, composés de Témoins qui travaillent les uns avec les autres pour proposer, en synergie, les meilleures solutions alternatives aux nombreux cas qu'ils rencontrent. La clinique parisienne Alleray-Labrouste, par exemple, vient de développer un service chirurgical sans transfusion de sang . Aux Etats-Unis, l’Englewood Hospital Medical Center (EHMC) dispose d’un budget de 4,69 millions de dollars pour le programme de médecine sans TSF dont 1,49 million de dollars ont été débloqués par Steven Rothman, politicien américain républicain et membre de la Chambre des représentants des États-Unis (Lien ici). Toujours dans ce pays, il existe des cliniques où on trouve à l'entrée cet avertissement : " Ici on soigne sans transfusions sanguines".

[2] Les Témoins de Jéhovah ont élaboré un DVD qui reprend quelques-unes de ces alternatives. Des critiques (dont des médecins consultés par M.Brard) ont fustigé un manque de preuves, alors que la plupart des membres du comité scientifique ayant collaboré à la fabrication du DVD sont des sommités mondiales et des références dans leur domaine: citons parmi eux le Professeur J. Scheele, chef du service de chirurgie générale digestive et de transplantation, à Iéna en Allemagne; Professeur Van Der Linden, du Département d'anesthésie cardiaque à l'hôpital Brugmann-HUDERF, Bruxelles; le Dr R. K. Spence, Directeur de programme de formation en chirurgie à Birmingham (Alabama) aux Etats-Unis; et le Dr T. K. Rosengart, chef du service cardiothoracique à Evanston Northwestern Healthcare dans l'Illinois. Les faits montrent que ces thérapeutiques ont fait leur preuve. Pour plus de renseignements cliquer ici. .

[3] En octobre 1980, une Témoin de Jéhovah gravement blessée au cours d’un accident de la route en Hollande risquait de perdre la vie par suite des pertes sanguines subies. Comme ses convictions religieuses ne lui permettaient pas d’accepter une transfusion de sang allogène, il semblait y avoir peu d’espoir de survie. Pourtant, sa vie a été sauvée, grâce à du sang artificiel reçu du Royaume-Uni (Lien ici).
[4]La plupart des Témoins, selon leur conscience, acceptent ce type de transfusion considérant que c'est une prolongation de leur système sanguin.

[5] Le refus d'un élément thérapeutique ne délie nullement le médecin de sa responsabilité quant aux autres possibilités de soin ; son devoir d'assistance reste entier à cet égard. Mais s'il a pris toutes les mesures que les limitations clairement imposées par le patient lui permettaient, le médecin ne peut être accusé d'aucune faute.
http://www.lepost.fr/article/2011/08/11/2567056_les-temoins-de-jehovah-et-la-transfusion-sanguine.html
c'est un peu long mais des plus intèrssant.

alexandre



Actuellement la WT sépare les différents composants sanguins en deux catégories: les composants "essentiels" et interdits (Le plasma, Les globules blancs (leucocytes)...) et les composants "secondaires" et autorisés (L'albumine, Les immunoglobines ...).



Questions :

Comment Dieu a-t-il accordé aux hommes le droit d'opérer une telle séparation ?

Sur quelle base opérent-ils cette séparation est-ce simplement sur la base du pourcentage de chacun des composants par rapport au sang total, et s'il en est ainsi, à quel niveau de pourcentage se situe la ligne de partage entre la catégorie "essentielle" et la catégorie "secondaire" ?

Ou bien procédent-ils à cette séparation en définissant dans quelle mesure est vital le rôle que joue chaque composant ?

S'il en est ainsi, comment évaluent-ils et déterminent-ils l'importance toute relative de ce rôle ?

Invité


Invité

alexandre a écrit:Actuellement la WT sépare les différents composants sanguins en deux catégories: les composants "essentiels" et interdits (Le plasma, Les globules blancs (leucocytes)...) et les composants "secondaires" et autorisés (L'albumine, Les immunoglobines ...).



Questions :

Comment Dieu a-t-il accordé aux hommes le droit d'opérer une telle séparation ?

Sur quelle base opérent-ils cette séparation est-ce simplement sur la base du pourcentage de chacun des composants par rapport au sang total, et s'il en est ainsi, à quel niveau de pourcentage se situe la ligne de partage entre la catégorie "essentielle" et la catégorie "secondaire" ?

Ou bien procédent-ils à cette séparation en définissant dans quelle mesure est vital le rôle que joue chaque composant ?

S'il en est ainsi, comment évaluent-ils et déterminent-ils l'importance toute relative de ce rôle ?

tbd

alexandre



Les composants sanguins et la conscience TJ
Composant sanguins interdits et pratiques défenduesComposants sanguin acceptés et pratiques autorisés
Le sang totalL'albumine
Le plasmaLes immunoglobines
Les globules blancs (leucocytes)Les préparations pour hemophiles (facteur VIII et IX)
Les globules rouges
Les plaquettes
Le stockage du propre sang du patient afin que celui-ci puisse lui être restitué lors d'une transfusion ultérieurLa dérivation du sang du patient au-travers d'une machine "coeur-poumon", ou toute autre dérivation durant laquelle la "circulation extracorporelle demeure ininterrompue
Actuellement l'organisation WT sépare les différents composants sanguins en deux catégories: les composants "essentiels" et les composants "secondaires" (c'est le résutat de cette séparation qui est présenté dans le tableau ci-dessus). Ce classement par catégories illustre en lui-même la nature arbitraire et l'incohérence de telles normes.

Comment Dieu a-t-il accordé aux hommes le droit d'opérer une telle séparation ?

Sur quelle base opérent-ils cette séparation est-ce simplement sur la base du pourcentage de chacun des composants par rapport au sang total, et s'il en est ainsi, à quel niveau de pourcentage se situe la ligne de partage entre la catégorie "essentielle" et la catégorie "secondaire" ?

Ou bien procédent-ils à cette séparation en définissant dans quelle mesure est vital le rôle que joue chaque composant ?

S'il en est ainsi, comment évaluent-ils et déterminent-ils l'importance toute relative de ce rôle?

Invité


Invité

alexandre a écrit:Les composants sanguins et la conscience TJ
Composant sanguins interdits et pratiques défenduesComposants sanguin acceptés et pratiques autorisés
Le sang totalL'albumine
Le plasmaLes immunoglobines
Les globules blancs (leucocytes)Les préparations pour hemophiles (facteur VIII et IX)
Les globules rouges
Les plaquettes
Le stockage du propre sang du patient afin que celui-ci puisse lui être restitué lors d'une transfusion ultérieurLa dérivation du sang du patient au-travers d'une machine "coeur-poumon", ou toute autre dérivation durant laquelle la "circulation extracorporelle demeure ininterrompue
Actuellement l'organisation WT sépare les différents composants sanguins en deux catégories: les composants "essentiels" et les composants "secondaires" (c'est le résutat de cette séparation qui est présenté dans le tableau ci-dessus). Ce classement par catégories illustre en lui-même la nature arbitraire et l'incohérence de telles normes.

Comment Dieu a-t-il accordé aux hommes le droit d'opérer une telle séparation ?

Sur quelle base opérent-ils cette séparation est-ce simplement sur la base du pourcentage de chacun des composants par rapport au sang total, et s'il en est ainsi, à quel niveau de pourcentage se situe la ligne de partage entre la catégorie "essentielle" et la catégorie "secondaire" ?

Ou bien procédent-ils à cette séparation en définissant dans quelle mesure est vital le rôle que joue chaque composant ?

S'il en est ainsi, comment évaluent-ils et déterminent-ils l'importance toute relative de ce rôle?

Quel est le verset qui parle des globules rouges ?

alexandre



Le plasma constitue 55 pour cent du volume total du sang.

C'est de toute évidence à cause du volume qu'il représente, qu'il est rangé dans la catégorie des "composants essentiels" interdits par la Watch Tower.

Pourtant le plasma est, en réalité, constitué de plus de 93 pour cent d'eau. Quels sont les composants de ce qui constitue, approximativement, les 7 pour cent restants? Ce sont principalement, l'albumine, les globulines (dont les immunoglobines forment la part la plus importante), les fibrinogènes et les facteurs de coagulation (utilisés dans les préparations pour hémophiles)

Ce sont là, précisément, les composants que l'organisation classifie comme étant acceptables par ses membres! Le plasma est interdit, pourtant ses principaux composants ont autorisés --- pourvu qu'ils soient introduits dans le corps, séparément. Comme quelqu'un le fit observer, c'est comme si un docteur demandait à une personne de cesser de manger des sandwichs au jambon et au fromage et qu'il dise ensuite à cette personne qu'elle a le droit de désassembler le sandwich et de manger séparément le pain, le jambon et le fromage, mais pas sous forme de sandwich.

Josué

Josué
Administrateur

nous allons tourné en rond nous parlons du sang et de son interdit biblique.pas sur les globules rouge et autres composants.
la bible parle sur le sang point.

alexandre



nous allons tourné en rond nous parlons du sang et de son interdit biblique.pas sur les globules rouge et autres composants.
la bible parle sur le sang point.

Comme d'habitude vous essayez de clore un vrai débat qui porte sur "LES REGLES" établi par la WT et déclarées bibliques. Il est normal de questionner ces "règles", leurs légitimités, leurs coherences, leurs fondements bibliques et leurs pertinences.

C'est la WT qui établi le tableau ci-dessous, il normal de questionner les critères qui lui on permis de faire ces règles.

Peut-on espérer des REPONSES et non une fin de non-recevoir SVP ????



Les composants sanguins et la conscience TJ
Composant sanguins interdits et pratiques défenduesComposants sanguin acceptés et pratiques autorisés
Le sang totalL'albumine
Le plasmaLes immunoglobines
Les globules blancs (leucocytes)Les préparations pour hemophiles (facteur VIII et IX)
Les globules rouges
Les plaquettes
Le stockage du propre sang du patient afin que celui-ci puisse lui être restitué lors d'une transfusion ultérieurLa dérivation du sang du patient au-travers d'une machine "coeur-poumon", ou toute autre dérivation durant laquelle la "circulation extracorporelle demeure ininterrompue
Actuellement l'organisation WT sépare les différents composants sanguins en deux catégories: les composants "essentiels" et les composants "secondaires" (c'est le résutat de cette séparation qui est présenté dans le tableau ci-dessus). Ce classement par catégories illustre en lui-même la nature arbitraire et l'incohérence de telles normes.

Comment Dieu a-t-il accordé aux hommes le droit d'opérer une telle séparation ?

Sur quelle base opérent-ils cette séparation est-ce simplement sur la base du pourcentage de chacun des composants par rapport au sang total, et s'il en est ainsi, à quel niveau de pourcentage se situe la ligne de partage entre la catégorie "essentielle" et la catégorie "secondaire" ?

Ou bien procédent-ils à cette séparation en définissant dans quelle mesure est vital le rôle que joue chaque composant ?

S'il en est ainsi, comment évaluent-ils et déterminent-ils l'importance toute relative de ce rôle?

Josué

Josué
Administrateur

c'est pas une régle car il est question de conscience.
tu comprends la différence ?

alexandre



DOUBLON
La modération

Josué

Josué
Administrateur

Enfin, le chef du Bureau des cultes, Didier Leschi, a indiqué un chiffre officiel et révélateur entre 2003 et 2006, lors de son audition parlementaire: "il m’a semblé nécessaire de demander aux préfectures des départements de faire le recensement sur les 3 dernières années des incidents liés à la transfusion. Au vu des résultats obtenus, ce qui remonte, c’est un petit nombre d’incidents souvent réglés par la discussion. Jamais d’incident, qui met en cause des enfants ou le pronostic vital ou le fonctionnement du service public hospitalier, ne m’a été signalé ces trois dernières années."

On est bien loin du cliché véhiculé sur l'hécatombe parmi les témoins de Jéhovah ! En vu de grossir le nombre des supposés victimes du refus de la TSF, certains opposants n'hésitent pas à jouer habilement de la confusion entre la mort suite à des complications aucunement liées au refus de la TSF et la mort qui serait causé par son refus, et entre un proche de témoins de Jéhovah concernés et ceux-ci... Mais au regard de la complexité des cas avérés ces critiques visant le refus sélectif et éclairé de la TSF perdent de plus en plus de consistance et, de ce fait, font plus appel à l'émotion qu'à la raison scientifique.

Josué

Josué
Administrateur

LE SUJET EST
Le refus de transfusion sanguine trouble-t-il l’ordre public ?

Invité


Invité

Admin a écrit:LE SUJET EST
Le refus de transfusion sanguine trouble-t-il l’ordre public ?

Est-ce que la non assistance à personne en danger est un trouble de l'ordre public ?

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

justement c'est la question posé.il faut remonté au premier message pour avoir la réponse.
je t'invite a le faire.

Invité


Invité

Mikael a écrit:justement c'est la question posé.il faut remonté au premier message pour avoir la réponse.
je t'invite a le faire.

Je ne te parle pas de la transfusion mais de la non assistance à personne en danger et non, je ne suis pas hors sujet et on ne tourne pas en rond non plus

Josué

Josué
Administrateur

as tu seulement lue le premier message ?

Invité


Invité

Admin a écrit: as tu seulement lue le premier message ?

Oui je l'ai lu

Mais des juges ont aussi ordonnés des transfusion sur enfant contre la décision des parents, car il ont jugés que sans cela il y aurait non assistance à personne en danger et c'est grace à ces décisions que

Des décès d’enfants, survenus faute de transfusion sanguine, n’ont plus été signalés en Europe occidentale depuis plusieurs années

Psalmiste

Psalmiste

Dis moi Florence, pour que l'on puisse faire des transfusions, il faut bien que des personnes donnent leur sang, n'est ce pas ?

Comme tu sembles être pour la transfusion, je suppose que tu dois avoir l'habitude de te rendre dans 1 centre de transfusion, pour aller donner ton propre sang, n'est ce pas ?

Invité


Invité

Psalmiste a écrit:Dis moi Florence, pour que l'on puisse faire des transfusions, il faut bien que des personnes donnent leur sang, n'est ce pas ?

Comme tu sembles être pour la transfusion, je suppose que tu dois avoir l'habitude de te rendre dans 1 centre de transfusion, pour aller donner ton propre sang, n'est ce pas ?

J'ai donné régulièrement mon sang et mes plaquettes aussi longtemps que j'ai pu,donc pendant de longues années, mais mon traitement médical actuel rend mon sang inutilisable, de plus je suis porteur sain d'un staphylocoque doré et ayant subit de nombreuses opérations chirurgicales, mes veines sont trop abimées, sinon bien sur que je continuerais à donner, je suis A- et c'est un rhésus très demandé

Psalmiste

Psalmiste

Et bien en faisant cela, tu vas contre ce qu'enseigne la bible... Mais bon, c'est toi qui vois !

alexandre



Et bien en faisant cela, tu vas contre ce qu'enseigne la bible... Mais bon, c'est toi qui vois !



Je ne savais pas que la Bible interdisait la transfusion sanguine ou Le stockage du propre sang du patient afin que celui-ci puisse lui être restitué lors d'une transfusion ultérieur ..???

Quelles sont les references qui justifient cette interdiction ?

Psalmiste

Psalmiste

La bible dit clairement de s'abstenir de sang !

Invité


Invité

Psalmiste a écrit:Et bien en faisant cela, tu vas contre ce qu'enseigne la bible... Mais bon, c'est toi qui vois !

Depuis quand les déistes sont-ils sensé suivre les enseignements de la Bible ?

Invité


Invité

Psalmiste a écrit:La bible dit clairement de s'abstenir de sang !

L'auto-transfusion est autorisée chez les témoins de Jéhovah

alexandre



La bible dit clairement de s'abstenir de sang !

OU est ce écrit ???

Contenu sponsorisé



Revenir en haut  Message [Page 1 sur 3]

Aller à la page : 1, 2, 3  Suivant

Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum