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Shoah : à la recherche des derniers criminels nazis

3 participants

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Josué

Josué
Administrateur

Shoah : à la recherche des derniers criminels nazis
Le Point.fr - Publié le 29/09/2013 à 11:55 - Modifié le 29/09/2013 à 18:48
Hans Lipschis, gardien présumé à Auschwitz, a été inculpé à 93 ans par la Cour de Stuttgart. Il clame n'avoir été que cuisinier du camp d'extermination.
Par FRÉDÉRIC THERIN, À MUNICH
À la une du Point.fr
La justice n'attend pas le nombre des années. La cour de Stuttgart vient d'inculper un gardien présumé d'Auschwitz pour complicité de meurtre. Ce vieillard, aujourd'hui âgé de 93 ans, qui s'appellerait Hans Lipschis selon la presse allemande, nie les accusations qui sont portées contre lui puisqu'il affirme avoir été simple cuisinier dans ce camp d'extermination où près d'un million de personnes sont mortes entre 1940 et 1945. Le Centre Simon-Wiesenthal n'a, pour sa part, aucun doute sur la culpabilité de cet homme qui figure à la quatrième place sur sa liste des criminels nazis les plus recherchés. Après avoir vécu une vie tranquille dans l'Allemagne de l'après-guerre, Hans Lipschis a immigré à Chicago en 1956. Mais les autorités américaines l'ont expulsé en 1982, quand son dossier d'ancien SS est devenu public. Vivant depuis à Ostalb dans le Bade-Wurtemberg, cette riche région du sud de la République fédérale, ce retraité a vécu tranquillement jusqu'à ce que la justice le rattrape, cette semaine.

Cette inculpation aurait encore été inimaginable il y a quelques années. Pendant près de six décennies, les juges allemands n'acceptaient, en effet, de statuer sur le sort d'un ancien nazi que si sa responsabilité individuelle de complicité d'assassinat pouvait être prouvée. Cette décision de la Cour fédérale de justice, qui date de 1969, a permis à beaucoup de complices directs ou indirects de l'Holocauste de finir leurs jours en toute tranquillité. Mais en 2011, à Munich, John Demjanjuk a été condamné à cinq ans de prison pour complicité dans l'extermination de plus de 28 000 juifs sans preuve d'actes criminels. La Cour a jugé que sa qualité de gardien du camp de Sobibor était suffisante pour établir sa responsabilité. Cette condamnation a créé un précédent qui permet aujourd'hui d'ouvrir de nouvelles enquêtes.

Ne voulant pas laisser passer cette "opportunité", le Centre Simon-Wiesenthal n'a pas hésité à lancer au mois de juillet une "opération de la dernière chance". L'association basée à Los Angeles propose ainsi de donner 25 000 euros à toute personne qui permettrait de trouver des complices de l'Holocauste. Rien qu'à Auschwitz, plus de 6 000 SS ont participé à l'extermination de convois entiers d'innocents. Même si quasiment tous les responsables de cette atrocité sont aujourd'hui décédés, les enquêteurs allemands ont déjà trouvé une petite quarantaine de personnes qui seraient encore en vie aujourd'hui. Tous nonagénaires, ils n'ont plus beaucoup de temps devant eux pour répondre de leurs crimes.
http://www.lepoint.fr/monde/shoah-a-la-recherche-des-derniers-criminels-nazis-29-09-2013-1736374_24.php

papy

papy

[size=55]Le plus vieil accusé de crimes nazis condamné à cinq ans de prison[/size]
Shoah : à la recherche des derniers criminels nazis Fad6c0a_1656403977584-043-dpa-pa-220516-99-307408-dpaiLors du procès au tribunal régional de Neuruppin, en Allemagne. (FABIAN SOMMER/dpa Picture-Alliance via AFP)
Josef Schütz était jugé pour « complicité » dans le meurtre de 3 518 prisonniers dans le camp de Sachsenhausen, en Allemagne. Jamais au cours de la trentaine d’audiences au tribunal de Brandebourg-sur-la-Havel, il n’aura exprimé le moindre regret.

Par L'Obs avec AFP
·Publié le 28 juin 2022 à 10h14·Mis à jour le 28 juin 2022 à 11h13


Un verdict pour l’histoire : le plus vieil accusé de crimes nazis, Josef Schütz, 101 ans, jugé depuis octobre pour des exactions qu’on lui reproche d’avoir commises lorsqu’il était gardien dans un camp allemand, a été condamné à cinq ans de prison ce mardi 28 juin.
Cet ancien sous-officier des Waffen-SS était poursuivi pour « complicité » dans le meurtre de 3 518 prisonniers lorsqu’il opérait entre 1942 et 1945 dans le camp de Sachsenhausen, alors au nord de Berlin.

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Médecins nazis : les noirs secrets de l’université de Strasbourg
« Monsieur Schütz, vous avez été actif pendant environ trois ans au sein du camp de concentration de Sachsenhausen où vous avez été complice des meurtres de masse », a déclaré le président du tribunal de Brandebourg-sur-la-Havel (Est), Udo Lechtermann. « Vous y étiez conscient que des prisonniers y avaient été tués. Par votre présence, vous avez soutenu » ces actes. Puis il a ajouté :
« Toute personne voulant fuir le camp était fusillée. Ainsi, tout gardien de camp a participé activement à ces meurtres. »
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[size=31]Aucun regret exprimé en une trentaine d’audiences[/size]


A l’annonce de la lourde sentence, plus importante que le minimum de trois ans de prison pour complicité de meurtres inscrit dans le droit allemand, l’accusé est resté stoïque. « Je suis prêt », avait indiqué Josef Schütz en entrant plus tôt dans la salle du tribunal, habillé d’une chemisette grise et d’un pantalon de pyjama, dans une chaise roulante.
Son avocat avait déjà annoncé qu’il irait en cassation en cas de lourde peine, repoussant au mieux à début 2023 toute application de celle-ci. Mais étant donné l’état de santé fragile de Josef Schütz, qui comparaissait libre depuis octobre, son incarcération semble peu probable.
L’ex-secrétaire d’un camp de concentration nazi, qui a pris la fuite avant son procès, a été retrouvée
Jamais au cours de la trentaine d’audiences au tribunal de Brandebourg-sur-la-Havel, plusieurs fois reportées en raison de sa santé fragile, il n’aura exprimé le moindre regret. Au contraire, lundi, il a encore nié toute implication, se demandant « pourquoi il était là », et affirmé que « tout est faux » à son sujet.

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[size=31]Sa version contestée[/size]


Josef Schütz a avancé plusieurs récits sur son passé, parfois contradictoires. « Tout est déchiré » dans ma tête, avait-il même glissé lors de l’ouverture de l’audience avant d’être interrompu par son avocat.
Dernièrement, il a prétendu avoir quitté la Lituanie au début de la Seconde Guerre mondiale pour rejoindre l’Allemagne où il aurait travaillé comme ouvrier agricole durant tout le conflit : « J’ai arraché des arbres, planté des arbres », a-t-il expliqué à la barre, jurant n’avoir jamais porté d’uniforme allemand mais un « bleu de travail ».
Dans les archives de « l’Obs » : Albert Speer, dirigeant nazi « responsable mais pas coupable »
Une version contestée par plusieurs documents historiques mentionnant notamment son nom, sa date et son lieu de naissance prouvant qu’il avait bien été affecté de fin 1942 à début 1945 à la division « Totenkopf » (Tête de mort) des Waffen-SS.
Après la guerre, il a été transféré dans un camp de prisonniers en Russie et s’est ensuite installé dans le Brandebourg, région voisine de Berlin. Il a successivement été paysan, puis serrurier et n’a jamais été inquiété. Agé de 21 ans au début des faits reprochés, il est notamment soupçonné d’avoir fusillé des prisonniers soviétiques, d’« aide et de complicité de meurtres systématiques » par gaz de type Zyklon B et « par détention de prisonniers dans des conditions hostiles ».

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[size=31]Quatre anciens SS condamnés ces dernières années[/size]


Entre son ouverture en 1936 et sa libération par les Soviétiques le 22 avril 1945, le camp de Sachsenhausen a vu passer quelque 200 000 prisonniers, principalement des opposants politiques, des juifs et des homosexuels. Des dizaines de milliers d’entre eux ont péri, victimes principalement d’épuisement dû au travail forcé et aux cruelles conditions de détention.
https://www.nouvelobs.com/politique/20220628.AFP2026/commission-des-finances-coquerel-lfi-favori-une-piraterie-pour-le-rn.html

papy

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[size=48]Shoah : ces enregistrements qui bouleversent les Israéliens 
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La sortie d'un documentaire consacré au procès Eichmann pose un regard nouveau sur le rôle de l'officier nazi. Et remet en cause la thèse de la "banalité du mal", née à cette époque.


 DANS L'HEBDO DU 21 JUILLET Durée : 3 min


Shoah : à la recherche des derniers criminels nazis Adolf-eichmann-1_6359288
[size=10]Image prise dans sa cellule d'Adolf Eichmann, le 15 avril 1961, à la prison de Ramle, en Israël.
AFP PHOTO / GPO


[size=13]par Stéphane Amar (Jérusalem)
Publié le 15/07/2022 à 13:00, mis à jour à 17:14

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Àchaque projection de son documentaire, Yariv Mozer voit venir vers lui des spectateurs bouleversés. "J'ai pensé à mes parents durant tout le film. C'est grâce à ce procès qu'ils ont enfin commencé à parler de la Shoah", lui raconte une septuagénaire. Car le documentaire du réalisateur israélien, Les Confessions du diable, consacré au jugement d'Eichmann, rebat totalement les cartes. Basé sur des enregistrements retrouvés en 2018, il revisite en profondeur ce moment qui a joué un rôle majeur dans la construction de l'identité d'Israël. 

Retour en 1957. À l'époque, Adolf Eichmann vit à Buenos Aires sous une fausse identité. Après des années de cavale entre l'Allemagne, l'Autriche et l'Italie, l'architecte de la solution finale occupe un emploi de mécanicien dans une usine Mercedes. La capitale argentine fourmille d'anciens nazis, dont le sinistre docteur Mengele, mais aucun n'a joué un rôle aussi crucial qu'Eichmann au sein du IIIe Reich. À la tête du bureau des affaires juives de la Gestapo, cet officier SS organisa méthodiquement la déportation des juifs européens vers les camps de la mort.  
ARCHIVES >> Il y a 50 ans, le procès Eichmann, dans L'Express, par Robert Badinter
Son terrifiant parcours fascine le journaliste néerlandais Willem
Shoah : à la recherche des derniers criminels nazis Qiotasession

papy

papy

Inauguration d’une exposition inédite sur les Justes

12 septembre 2022
[size=40]Shoah : à la recherche des derniers criminels nazis Site-Logos-des-institutions-et-associations-format-vignettes-7-620x349[/size]
80 ans après l’été 1942, marqué en France par les arrestations et déportations massives des Juifs, en particulier la rafle du Vel d’Hiv le 16 juillet, la CEF, en partenariat avec Yad Vashem (Institut international pour la mémoire de la Shoah), a souhaité, par cette initiative inédite, rendre hommage à celles et ceux qui ont eu le courage de s’ériger contre la persécution des juifs.

chico.

chico.

[size=38]Exposition : la mémoire restaurée des enfants d’Izieu[/size]
Analyse 
Les enfants d’Izieu, dont 45 ont été assassinés à Auschwitz en 1944, sont évoqués par les bonheurs de leur courte vie dans l’exposition poignante « Tu te souviendras de moi. Paroles et dessins de la Maison d’Izieu, 1943-1944 », à voir au Musée d’art et d’histoire du judaïsme à Paris.

Shoah : à la recherche des derniers criminels nazis LogoLaCroixLHebdo.e1b357f2
  • Nathalie Lacube, 
  • le 05/03/2023 à 15:15

papy

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[size=38]À Lyon, un mémorial de la Shoah sera inauguré en 2025[/size]
Explication 
Sur la place Carnot, près de la gare Lyon-Perrache, un mémorial de la Shoah devrait être inauguré le 26 janvier 2025, quatre-vingts ans après la libération du camp d’Auschwitz. Le projet retenu le 31 janvier et intitulé « Les rails de la mémoire » a pour vocation d’« interpeller le passant au cœur de la cité ».


  • Guillaume Daudé, 
  • le 15/02/2024 à 18:40


Vue d’architecte du projet de mémorial de la Shoah place Carnot, près de la gare de Lyon-Perrache.BLAISING BORCHARDT STUDIO



Un projet symbolique. Quatre-vingts ans après la libération du camp d’Auschwitz, le 26 janvier 2025, un mémorial de la Shoah devrait être inauguré près de la gare Perrache à Lyon. Cette métropole de la zone sud était rapidement devenue un haut lieu de la Résistance, du fait de la concentration des organes de direction de différents mouvements. C’est aussi là que fut arrêté et torturé Jean Moulin et que beaucoup de juifs, venus s’y réfugier, furent ensuite déportés.
Lyon fut aussi un des berceaux du négationnisme à partir de 1978, lorsque Robert Faurisson, alors professeur à l’université Lyon-2, nia publiquement l’existence des chambres à gaz. Elle fut, enfin, le théâtre du premier grand procès français d’un responsable nazi, Klaus Barbie, condamné pour crime contre l’humanité en 1987.

Un concours d’architecture lancé en 2023


« Cela faisait presque vingt ans que l’idée avait été lancée », rappelle le président de l’association pour l’édification d’un mémorial de la Shoah à Lyon Jean-Olivier Viout, vice-procureur général lors du procès Barbie. Grâce à une souscription publique et au soutien des collectivités, un concours d’architecture internationale avait été lancé en 2023, avec 96 candidats venant de 23 pays différents. « Le cahier des charges comprenait deux conditions, explique le président : le lieu d’abord, la place Carnot juste à côté de la gare d’où sont partis les convois ; l’inscription des noms des 6 millions de victimes de la Shoah ensuite, dont les 6 100 juifs de la région. »

Le 31 janvier, le jury constitué pour l’occasion a tranché en faveur du projet intitulé « Les rails de la mémoire », un mémorial conçu par le Studio Blaising et Borchardt constitué de 1 073 rails, comme les 1 073 km qui séparent la gare Lyon-Perrache du camp d’Auschwitz. L’association a symboliquement proposé à la SNCF d’offrir les rails.
« L’objectif était de sélectionner un projet à la fois concret et abstrait, pour arriver à rendre la symbolique de la Shoah en France, associée aux trains de la déportation, tout en étant une véritable œuvre d’art contemporaine, explique l’historienne Annette Becker, spécialiste des monuments mémoriaux et membre du jury. La structure faite de rails empilés est d’une simplicité incroyable et nous fait parvenir au cœur de l’atrocité : il est horriblement difficile d’assassiner un homme ; il est horriblement facile d’en assassiner 6 millions. »

« Rappeler la réalité de la Shoah »


Quel est l’enjeu d’un tel monument aujourd’hui ? L’œuvre doit faire réfléchir à ce qu’est un génocide : « C’est non seulement tuer ceux qui sont vivants, analyse l’historienne, mais aussi éliminer la culture et le souvenir – dimension que le juriste Raphael Lemkin voulait d’ailleurs intégrer à la définition adoptée par l’ONU en 1948. »

« Le monument ne s’inscrit pas dans une démarche communautaire, explique de son côté Jean-Olivier Viout, mais dans une démarche citoyenne : il s’agit de rappeler la réalité de la Shoah en interpellant le passant, au cœur de la cité, dans un lieu très fréquenté ». Un enjeu de mémoire crucial, alors que 18 % des 16-24 ans disent n’avoir jamais entendu parler de la Shoah, selon un sondage Opinion Way paru le 7 janvier.


À découvrir Au Mémorial de la Shoah, l’un des derniers témoins de la Nuit de cristal raconte

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Pie XII et les juifs : la fin du procès ?[/size]
Critique 
Dans Les Âmes tièdes (1), l’historienne Nina Valbousquet analyse la position du Vatican face à la Shoah, après avoir dépouillé les archives du pontificat de Pie XII ouvertes depuis 2020.


  • Guillaume Daudé, 
  • le 11/04/2024 à 17:42

Shoah : à la recherche des derniers criminels nazis 1389254-les-archives-du-saint-siege-pour-le-pontificat-de-



Les archives du Saint-Siège pour le pontificat de Pie XII, ont été ouvertes le 2 mars 2020.FABIO FRUSTACI / EPA/MAXPPP




Depuis la célèbre pièce Le Vicaire de 1963 qui mettait en cause le silence de Pie XII pendant la Seconde Guerre mondiale, on ne compte plus les livres sur le sujet. Qu’apporte de nouveau celui de l’historienne Nina Valbousquet ? Des conclusions qui s’appuient sur quatre ans de dépouillement méticuleux des archives du pontificat de Pie XII, ouvertes depuis 2020. Loin des controverses mémorielles et médiatiques, elle s’inscrit contre la logique de procès – procès à charge ou en canonisation – qui se focalise uniquement sur la figure du pape.

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