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Erreurs médicales

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1Erreurs médicales Empty Erreurs médicales Ven 12 Juil - 2:29

Josué

Josué
Administrateur

Erreurs médicales : les logiciels d'aide à la prescription pointés du doigt
Suite au décès d’une patiente à Versailles après une erreur informatique, les logiciels d’aide à la prescription sont sur la sellette. Selon le Parisien, ces logiciels ont souvent conduit à des erreurs parfois fatales.


Le Parisien titrait mercredi dans sa une, en caractère gras : "Mort sur ordonnance". Et les révélations font froid dans le dos.
En novembre 2011, une patiente décède des suites d’une allergie médicamenteuse. Sa famille avait porté plainte contre l’hôpital, l’allergie à l’antibiotique était pourtant inscrit noir sur blanc dans son dossier médical. Depuis, et grâce au rapport de la commission régionale de conciliation et d’indemnisation (CRCI), on sait que le décès est dû à une défaillance informatique du logiciel d'aide à la prescription.

Et le rapport est alarmant. Il estime que la menace de défaillance est réelle et que de nombreux hôpitaux sont concernés avec des conséquences parfois fatales pour les patients. "Ces systèmes, en place dans de nombreux établissements, n’assurent pas une sécurité fine, en particulier dans le domaine des éventuelles allergies", s'alarment les experts.

Un logiciel d’aide à la prescription est un outil informatique qui vise à aider les médecins, en élaborant les prescriptions, les traitements les mieux adaptés. Il permet de comparer les données d'un médicament avec celles d'un patient ou de lire l’historique des prescriptions d'un patient. Et certains de ces logiciels ne sont pas assez structurés pour une codification exacte et pour un contrôle exact.

Des défaillances sont signalées partout en France. A la Roche-sur-Yon, un médecin a vérifié minutieusement le système informatique du circuit médicamenteux et a découvert 35 catégories d’erreurs en un an, dont des erreurs de dosage voire même des erreurs de médicaments.

Ce constat alarmant a poussé Alain-Michel Ceretti, président de l’association de patients "Le lien", à réclamer à la ministre de la Santé, Marisol Touraine, de "retirer le plus vite possible les logiciels qui dysfonctionnent". Interrogée ce mercredi matin sur Europe 1, la ministre a affirmé que les logiciels défaillants "seront évidemment retirés", et qu'il n'était "pas acceptable que la vie du patient soit mise en danger pour cette raison [mais] je ne voudrais pas qu’à travers cette affaire, on jette, une fois de plus, un soupçon sur la manière dont les patients sont accueillis dans les hopitaux".


Le 10/07/2013 - La rédaction

2Erreurs médicales Empty Re: Erreurs médicales Dim 8 Déc - 9:25

Josué

Josué
Administrateur

Une pince chirurgicale de 15 cm oubliée dans le ventre d'une patiente
Cécile, 24 ans, a vécu pendant cinq mois avec l'instrument métallique oublié dans son corps..
Par Francetv info
Mis à jour le 07/12/2013 | 08:04 , publié le 07/12/2013 | 07:5



Les hôpitaux de Paris n'ont pas "connaissance à ce jour d’un autre dossier de ce type", raconte Le Parisien (article payant), samedi 7 décembre. Cécile, une jeune femme de 24 ans vivant à Créteil (Val-de-Marne), a vécu pendant cinq mois avec une pince chirurgicale dans le ventre, après une opération à l'hôpital Saint-Louis, à Paris. La victime a saisi la justice.

Cette patiente souffrant d’obésité, avait subi auparavant une ablation d’une partie de l’estomac. En novembre 2012, elle subit une chirurgie réparatrice du ventre, à l’hôpital Saint-Louis, à Paris. "Un mois après, j’étais pliée en deux, j’avais particulièrement mal du côté droit", témoigne-t-elle dans Le Parisien. "J’étais gonflée et j’avais un kyste juste au-dessus du pubis. Je suis retournée à l’hôpital, mais on m’a reçue en cinq minutes, sans me palper, et on m’a répondu que tout ça était normal".

"Quand j'ai vu la somme, j'ai fondu en larmes"
En avril dernier, après plusieurs visites infructueuses à l'hôpital, elle demande à son généraliste de lui faire prescrire une échographie. L’examen décèle un corps étranger, qui pousse l’hôpital à lui faire passer un scanner. Celui-ci révèle la présence d'une pince de 15 centimètres environ dans son ventre. Cécile, opérée en urgence, est alors indemnisée par l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), qui a estimé le préjudice à 5400 € pour cet "événement exceptionnel dû à une erreur de surveillance lors du recomptage des instruments".

"Quand j’ai vu la somme, dit-elle, j’ai fondu en larmes", se souvient la jeune femme. Son avocat réclame la nomination d'un expert indépendant. Il estime que l'AP-HP "prend sa cliente pour une idiote, alors qu’elle aurait pu avoir des complications terribles" et dénonce la "négligence et la désinvolture" de l’hôpital. Mais l’AP-HP rappelle que "le chef de service de l’hôpital concerné lui a présenté ses excuses" et assure que son indemnisation "correspond aux barèmes en vigueur".

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