Témoins de JEHOVAH VERITE actif


Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Témoins de JEHOVAH VERITE actif
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Témoins de JEHOVAH VERITE actif

forum des discussions sur la bible ouvert a tous.

Le Deal du moment :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : ...
Voir le deal
Le deal à ne pas rater :
Cartes Pokémon : la prochaine extension Pokémon sera EV6.5 Fable ...
Voir le deal

Vous n'êtes pas connecté. Connectez-vous ou enregistrez-vous

Infarctus : les symptômes que les femmes ignorent

Aller en bas  Message [Page 1 sur 1]

Josué

Josué
Administrateur

Infarctus : les symptômes que les femmes ignorent

infarctus
Essoufflement, fatigue, maux d’estomac… Les symptômes de l’infarctus chez la femme ne sont pas les mêmes que chez l’homme. Moins bruyants, moins douloureux, voire parfois inexistants, ils entraînent un diagnostic tardif et dans 55% des cas une issue fatale.
Un essoufflement

Chez la femme, l’infarctus peut être associé à une gêne respiratoire. Ce signe est une conséquence du retentissement de l’infarctus sur le fonctionnement de la pompe cardiaque.
Description : "Souvent, les femmes indiquent comme seuls symptômes d’infarctus du myocarde une difficulté à respirer soudaine et inattendue" explique le Dr Jean-Loup Dervaux, ancien assistant des hôpitaux de Paris. Elles peuvent aussi se sentir essouflée.
Que faire : "Les femmes doivent penser à leur cœur en cas d’essoufflement. Ces difficultés associées à une forte fatigue persistante, peuvent évoquer l’angoisse et orienter le diagnostic à tort vers une anxiété ou une dépression" prévient le Pr Claire Mounier de la FFC. Si vous êtes essouflée sans raison apparente, consultez sans attendre.
Le 02/04/2013 - Aurélie Blaize, journaliste santé - Validé par Pr Claire Mounier-Vehier, cardiologue et médecin vasculaire au CHRU de Lille

Josué

Josué
Administrateur

PROBLÈMES CARDIO-VASCULAIRES


Gros ventre...


Syndrome métabolique : quels risques?
Réagissez ! - 11 commentaires
Silencieux et méconnu, le syndrome métabolique, aussi appelé "de la bedaine" ou "du gros ventre", est dangereux pour la santé. Infarctus, AVC, troubles sexuels, diabète, décès… Voici ses dangers et comment savoir si vous êtes à risque, grâce à Médisite.fr !
Syndrome métabolique : une cause d’infarctus et d’AVC

Avoir un gros ventre ne doit pas être pris à la légère ! Selon l’étude Interheart menée dans 52 pays (1), ce serait le troisième facteur de risque de maladies cardio-vasculaires (derrière le tabagisme et un taux anormal de cholestérol). Comme nous l’explique le Dr Boris Hansel, endocrinologue : "Le gros ventre peut cacher un cortège de perturbations touchant le corps. Ces dernières peuvent accélérer la formation de plaques de graisses dans les artères. […] Puis à force de s’entartrer, empêcher la libre circulation du sang et de l’oxygène nécessaires aux organes." Résultat : un caillot peut se former dans le cœur ou dans le cerveau, c’est l’infarctus ou l’AVC.

Josué

Josué
Administrateur

Infarctus: que faire quand on est seul?

En France, une personne meurt d’un infarctus toutes les 40 minutes en moyenne. Pour réduire le risque d'arrêt cardiaque, il faut agir vite et bien. Comment faire quand on est tout seul à la maison? Les réponses de Medisite avec nos médecins spécialistes du cœur.
Appeler le Samu

Vous êtes seul(e) à la maison ou dans la rue quand soudainement vous avez mal à la poitrine, vous ressentez une pesanteur, une gêne pour respirer, une douleur qui irradie dans la mâchoire, l’épaule, le bras, qui dure plusieurs minutes? N’attendez pas et faites immédiatement le 15 (Samu). Il s’agit probablement d’un infarctus (un caillot de sang bouche une artère du cœur qui n’est plus suffisamment approvisionné en oxygène).
'C’est une urgence vitale. Son traitement est d’autant plus efficace qu’il est précoce', prévient le Pr Jean-Pierre Ollivier, chef du service cardiologie à l’hôpital du Val-de-Grâce (Paris). Selon la Fédération française de cardiologie, la mortalité diminue de 50% quand le traitement intervient lors de la première heure, et de 30% la deuxième heure. Au téléphone, le Samu interroge le patient pour évaluer la gravité des symptômes. Si le diagnostic de l’infarctus se confirme, une équipe médicale est dépêchée sur place.
Le 03/01/2012 - Aurélie Blaize, journaliste santé - Validé par Pr Salem Kacet, cardiologue

Josué

Josué
Administrateur

TROUBLES CIRCULATOIRES





Gonflements, jambes lourdes, prise de poids... La rétention d'eau est un tracas dont on se passerait bien ! Heureusement, il y a des solutions simples au quotidien. Le point avec Medisite.fr.
Rétention d’eau : réduisez le sel !

Pourquoi ? "L'eau est attirée vers les milieux les plus concentrés", explique le Dr Blanchemaison, angiologue. Quand on mange trop salé, il y a trop de sel dans les tissus, ce qui y attire l'eau. Les gonflements peuvent alors survenir dans n'importe quelle partie du corps.
Que faire ? "L'organisme a besoin de très peu de sel pour fonctionner : entre 4 et 6 g par jour". Aujourd'hui, la consommation journalière de sel des Français s'élève à 12g. "Il y a du sel partout, dans les biscuits, les plats préparés..." Favorisez les produits frais, cuisinés maison, pour contrôler la quantité de sel. Évitez aussi les olives, les cornichons, la charcuterie et les produits fumés qui sont riches en sel."
Mise en garde : "La première cause de décès chez les femmes de plus de 50 ans est l'AVC, et l'une des principales causes de l'AVC est la surconsommation de sel."

Josué

Josué
Administrateur

Les infarctus chez les femmes plus souvent confondus avec des crises d'angoisse
Des chercheurs de l'Université McGill de Montréal ont voulu comprendre l'écart de taux de mortalité entre les hommes et les femmes victimes d'infarctus.
Pourquoi y a-t-il une telle différence de taux de mortalité entre les hommes et les femmes victimes d'infarctus ? Dans une étude publiée, lundi 17 mars, dans le Journal de l'Association médicale canadienne (en anglais), des chercheurs de l'Université McGill de Montréal observent que les femmes sont davantage victimes de mauvais diagnostics qui attribuent leur malaise à une crise d'angoisse.

Les chercheurs ont interrogé 1 123 patients âgés de 18 à 55 ans, hospitalisés dans 24 établissements canadiens, mais aussi dans un hôpital américain et un autre en Suisse. Les patients, tous atteints du syndrome coronarien aigu, ont répondu au questionnaire des scientifiques dans les 24 heures suivant leur admission.

Revoir le triage des patients à l'hôpital ?
Les chercheurs ont constaté qu'en moyenne, on pratiquait plus rapidement des électrocardiogrammes et des défibrillations sur les hommes que sur les femmes. Les chercheurs ont expliqué cette différence de traitement par le fait que les patients qui se présentaient aux urgences pour des douleurs thoraciques d'origine autre que cardiaques sont le plus souvent des femmes.

"Ces résultats suggèrent que le personnel affecté au triage (la répartition des malades, ndlr) est plus porté à écarter l'origine cardiaque du malaise chez les femmes qui présentent des symptômes d'anxiété", a souligné la chercheuse principale de l'étude, Louise Pilote.

Les femmes interrogées avaient des revenus plus modestes que les hommes participant à l'étude. Elles présentaient davantage de risque de diabète ou d'hypertension artérielle, avaient des cas de maladie cardiaque dans leurs familles et étaient enfin plus sujettes à la dépression et à l'anxiété.

Josué

Josué
Administrateur

Au cours des années 1970, l'hypertension artérielle (HTA) est devenue une question de santé publique. Pour autant, les médicaments alors disponibles - notamment des diurétiques - ne sont pas suffisamment efficaces et entraînent d'importants effets secondaires. Le professeur Pierre Corvol, médecin endocrinologue spécialisé en pathologie cardio-vasculaire, chercheur en biologie (Inserm U36) et professeur émérite au Collège de France, se consacre depuis des années à la recherche de meilleurs traitements.

Le Point.fr : Quel a été le point de départ de vos travaux?

Pierre Corvol : Pour mieux soigner l'hypertension artérielle, il fallait commencer par revenir aux fondamentaux et essayer de comprendre pourquoi la pression artérielle peut s'élever et s'abaisser dans certaines circonstances de la vie. Avec mon équipe, nous avons travaillé sur le système "rénine-angiotensine aldostérone". Il produit une molécule, la rénine, qui entraîne une vasoconstriction, donc un rétrécissement des artères, ainsi qu'une hormone, l'aldostérone, qui provoque une rétention d'eau et de sel. Or, cet ensemble est trop activé dans l'HTA. Dans les années 70, ce système était alors connu sur le plan physiologique, mais très peu sur le plan de la biochimie, de la structure des enzymes et des substrats, pas plus qu'au niveau des récepteurs.

Comment avez-vous pu progresser et avec quels résultats ?

Mon travail a consisté à purifier la rénine et à cloner son gène (ce qui a été publié dans Nature en 1982, NDLR). Il s'agissait des tout premiers clonages réalisés à l'époque, notamment dans le domaine cardio-vasculaire. Forts de ces résultats, nous avons réfléchi, avec mes collègues chimistes et avec l'industrie pharmaceutique, aux stratégies permettant de bloquer ce système rénine-angiotensine.

Nous avons d'abord travaillé sur la rénine : elle agit sur une protéine fabriquée par le foie qui s'appelle l'angiotensinogène et qui donne l'angiotensine I, elle-même inactive. Elle doit être transformée par une enzyme pour donner l'angiotensine II, qui, elle, agit sur les vaisseaux et la glande surrénale en entraînant une vasoconstriction et la production d'aldostérone.

Tout cela a été à la base de la découverte des premiers bloqueurs du système rénine-angiotensine et notamment les inhibiteurs de l'enzyme de conversion (qui convertit l'angiotensine I en angiotensine II), très utilisés par les patients. Le médicament a été initialement mis au point par le laboratoire Squibb.

Nous l'avons ensuite amélioré en bloquant d'autres cibles sur le système rénine-angiotensine. Il a alors fallu réaliser des essais chez l'animal avant de passer à l'homme. Avec mon ami Joël Ménard, avec aussi les équipes de l'hôpital Broussais et maintenant de l'hôpital européen Georges-Pompidou, nous avons mis au point un certain nombre de médicaments contre l'hypertension et étudié la possibilité d'associer deux inhibiteurs agissant à des niveaux différents du système rénine.

Pour terminer, nous nous sommes intéressés à la part génétique (et donc héréditaire) de l'HTA. Elle est évaluée à environ un tiers, mais elle est difficile à étudier, car beaucoup de gènes sont impliqués dans la régulation de la tension artérielle. Certains d'entre eux sont responsables de formes d'hypertension rares, mais ils nous aident à comprendre les mécanismes de régulation du métabolisme du sodium par le rein et de la pression artérielle.

Qu'espérez-vous à l'avenir ?

Nous aimerions identifier précisément les gènes responsables des hypertensions familiales. Ils sont nombreux, ils ont un faible effet pris individuellement, mais leur présence simultanée entraîne une élévation de la pression artérielle. Je pense qu'il sera plus intéressant encore de découvrir jusqu'à quel point les facteurs d'environnement (comme une prise excessive de sel) en conjonction avec le patrimoine génétique participent à l'élévation de la pression artérielle. Cela ne servira pas à faire des prédictions individuelles, mais à comprendre avec plus de finesse la part des gènes et de l'environnement dans l'HTA.


Consultez notre dossier : L'Inserm a 50 ans !

Josué

Josué
Administrateur

Infarctus : les 7 aliments à éviter
En évitant ou en limitant certains aliments, vous pouvez réduire significativement votre risque d'infarctus. La liste.

1 : Reblochon, camembert, Roquefort

Pourquoi : les fromages et le beurre sont des aliments à fortes teneurs en matières grasses saturées*, qui peuvent faire augmenter le mauvais cholestérol. Ils sont également très salés (le reblochon, camembert, les bleus comme le roquefort étant les plus salés) et peuvent favoriser l'hypertension.
La consommation recommandée : le beurre est à limiter aux tartines du petit-déjeuner (10g). Quant aux fromages, réduisez leur consommation à 1 à 2 portions de 30g/jour.
Que préférez : les laitages 0% si vous n’en consommez pas 2 fois plus. Sinon, prenez un yaourt au lait entier.
Pensez-y : attention aux sauces trop riches en matières grasses comme celle au beurre blanc, la mayonnaise...

* On distingue 2 sortes de cholestérol : le LDL ou mauvais cholestérol qui, en excès, peut s'accumuler contre les parois des artères, provoquant une athérosclérose, l'une des premières causes de l'infarctus ; et le HDL ou bon cholestérol qui récupèrent l'excès de cholestérol dans les organes et le rapporte au foie où il est éliminé.

Josué

Josué
Administrateur

Les quiches

Quiches, chips, gâteaux apéritifs, pizzas... Oubliez-les pour vous protéger de l'infarctus !
Pourquoi : lorsqu'une artère coronaire (qui vascularise le myocarde) est obstruée, le sang oxygéné n'arrive plus et les cellules du coeur en souffrance commencent à mourir. L'excès de sel et de graisses saturées que l'on trouve dans les snacks peut contribuer à une hypertension*, facteur de risque de l'infarctus. Cela peut également faire augmenter les dépôts graisseux dans les vaisseaux sanguins, qui peuvent finir par boucher les artères.
La consommation recommandée : 1 portion par semaine
Que préférez : des légumes coupés en morceaux au moment de l'apéritif, des fruits secs non salés...

* l'hypertension artérielle fragilise le système artériel, entraîne et/ou aggrave l'athérosclérose

Josué

Josué
Administrateur

6 : Les soupes en briques

Soupes en briques, plats préparés, pâtisserie industrielles... Tout ceci est mauvais pour votre coeur !
Pourquoi : Ces préparations que l'on trouve dans les supermarchés sont bien souvent trop riches en graisses et en sel. L'excès de sel pouvant favoriser l'hypertension*, et l'excès de graisses, l'athérosclérose, les principaux facteurs de risque pour les infarctus.
La consommation recommandée : 1 à 2 fois/semaine.
Que préférez : préparez vous-même vos plats le plus possible. "Privilégiez une cuisson à la vapeur, ou poêlée sans matière grasse, plutôt qu'au beurre ou en friture, et pensez à varier", explique le Dr de Reynal.
Sachez-le : le sel et les graisses sont des exhausteurs de goût économiques pour le fabricant qui permettent d'augmenter le poids des produits et leur prix au kilo.

* l'hypertension artérielle fragilise le système artériel, entraîne et/ou aggrave l'athérosclérose.

Josué

Josué
Administrateur

Un test oculaire pour détecter les patients à risque d’AVC
Une étude affirme qu’un simple test de la vue pourrait aider à déterminer les personnes risquant de faire un AVC.

Un simple test oculaire pourrait-il permettre de diagnostiquer les personnes à risque d’accident vasculaire cérébral ? C’est ce que suggèrent des chercheurs de l’université de Singapour. Une pression artérielle élevée peut endommager les vaisseaux sanguins de la rétine. Un test oculaire permettrait d’observer le fond de l’œil et d’évaluer les risques, selon eux.

Lire aussi : Présentez-vous plus de risques ?
Son principe est simple. Après l’application de gouttes spécifiques, une photo de la rétine est prise grâce à un microscope de faible puissance équipé d’une caméra. Disponible chez certains opticiens britanniques pour 25 euros environ, ce dispositif est utilisé pour surveiller les dommages sur les vaisseaux sanguins provoqués par le diabète.

Un risque deux ou trois fois plus élevé détecté

Pour tester son efficacité, les chercheurs ont pris des clichés rétiniens de près de 3 000 personnes dont la pression artérielle était élevée et qui n’avaient jamais eu d’AVC. Les vaisseaux sanguins situés à l’arrière de leurs yeux ont été observés. Pendant 13 ans, les participants ont été suivis. Durant cette période, 146 ont eu un AVC.

Les scientifiques ont constaté que les patients présentant des dommages légers au niveau des vaisseaux de leur rétine avaient 35% de risques supplémentaires de subir un accident vasculaire. Chez les personnes dont les dommages étaient sévères, ce risque augmentait de 137 %. Même les patients suivant un traitement pour la pression artérielle voyaient leurs risques d’AVC doubler, voire tripler selon l’état de leurs vaisseaux sanguins.

Pour le Dr Mohammad Kamran Ikram, auteur de l’étude, "l’imagerie de la rétine est une façon non-invasive et peu coûteuse d’examiner les vaisseaux sanguins de la rétine", et donc d’évaluer les risques d’AVC.

Source : DailyMail

Josué

Josué
Administrateur

INFARCTUS : LES 7 ALIMENTS À ÉVITER

En évitant ou en limitant certains aliments, vous pouvez réduire significativement votre risque d'infarctus. La liste.

1 : Reblochon, camembert, Roquefort

Page suivante 2 : Les saucisses

Pourquoi : les fromages et le beurre sont des aliments à fortes teneurs en matières grasses saturées*, qui peuvent faire augmenter le mauvais cholestérol. Ils sont également très salés (le reblochon, camembert, les bleus comme le roquefort étant les plus salés) et peuvent favoriser l'hypertension.
La consommation recommandée : le beurre est à limiter aux tartines du petit-déjeuner (10g). Quant aux fromages, réduisez leur consommation à 1 à 2 portions de 30g/jour.
Que préférez : les laitages 0% si vous n’en consommez pas 2 fois plus. Sinon, prenez un yaourt au lait entier.
Pensez-y : attention aux sauces trop riches en matières grasses comme celle au beurre blanc, la mayonnaise...

* On distingue 2 sortes de cholestérol : le LDL ou mauvais cholestérol qui, en excès, peut s'accumuler contre les parois des artères, provoquant une athérosclérose, l'une des premières causes de l'infarctus ; et le HDL ou bon cholestérol qui récupèrent l'excès de cholestérol dans les organes et le rapporte au foie où il est éliminé.

Contenu sponsorisé



Revenir en haut  Message [Page 1 sur 1]

Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum