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L'obésité a doublé dans le monde en 30 ans .

+2
Mikael
Josué
6 participants

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Josué

Josué
Administrateur

L'obésité a doublé dans le monde en 30 ans .
Le surpoids serait à l'origine de quelque 3 millions de morts chaque année

BRUXELLES La prévalence de l'obésité a quasi doublé en près de 30 ans dans le monde et touche 500 millions d'adultes, davantage les femmes que les hommes, la palme du surpoids parmi les pays riches allant aux Etats-Unis.
Des chercheurs de l'Imperial College de Londres et de l'Institut de recherche Population/santé de Hamilton au Canada ont étudié la progression du surpoids entre 1980 et 2008 chez les personnes de plus de 20 ans.

Le surpoids est atteint quand l'indice de masse corporelle (IMC) dépasse 25, l'obésité quand il atteint 30. A 35, on parle d'obésité sévère.

En 28 ans, l'IMC a augmenté aussi bien chez les hommes que chez les femmes. Dans le monde 1,460 milliard d'adultes sont en surpoids et la prévalence de l'obésité a quasi doublé, touchant 205 millions d'hommes et 297 millions de femmes -soit 9,8% des hommes et 13,8% des femmes.

Dans les pays riches, les Etats-Unis, avec une forte montée depuis 1980, gardent la palme du surpoids avec un IMC de plus de 28, tandis que le Japon a l'IMC le plus bas.

Les femmes du Bangladesh sont les plus maigres du monde, comme les hommes de RDCongo. Cas unique en Europe occidentale et rare dans le panorama mondial, l'indice de masse corporelle a baissé en 28 ans chez les femmes d'Italie, tandis qu'il n'augmentait que très peu en Belgique, en Finlande et en France.

Les chercheurs rappellent que le surpoids est un facteur de risque important pour les maladies cardiovasculaires, le diabète et le cancer et serait à l'origine de quelque 3 millions de morts chaque année.
© La Dernière Heure 2011

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

c'est le résultat de la mal bouffe.

Aude

Aude

Mikael a écrit:c'est le résultat de la mal bouffe.

C'est plus compliqué que cela ...
Y'a des gens qui ne mangent rien et qui surveillent tout pour bien s'alimenter et qui sont gros voir obèses. Par exemple ceux qui carburent aux anti-dépresseurs et aux anxiolitiques.
Mais il a aussi les insuffisances thyroïdiennes ou endocriniennes plus généralement qui sont devenus une vraie plaie de ce siècle etc...

Josué

Josué
Administrateur

Odessa a écrit:
Mikael a écrit:c'est le résultat de la mal bouffe.

C'est plus compliqué que cela ...
Y'a des gens qui ne mangent rien et qui surveillent tout pour bien s'alimenter et qui sont gros voir obèses. Par exemple ceux qui carburent aux anti-dépresseurs et aux anxiolitiques.
Mais il a aussi les insuffisances thyroïdiennes ou endocriniennes plus généralement qui sont devenus une vraie plaie de ce siècle etc...
oui mais ça c'est des cas particulier.

Aude

Aude

C'est clair que MacDO, sur-alimentation, confiserie & co c'est pas top pour la ligne.
Mais quand on dit aux gens qu'après 50 ans, il faut alléger en graisse et en sucre il ne veulent rien entendre même si les bilan de sang prouve qu'il ont du diabète et du cholestérol. affraid

Josué

Josué
Administrateur

Odessa a écrit:C'est clair que MacDO, sur-alimentation, confiserie & co c'est pas top pour la ligne.
Mais quand on dit aux gens qu'après 50 ans, il faut alléger en graisse et en sucre il ne veulent rien entendre même si les bilan de sang prouve qu'il ont du diabète et du cholestérol. affraid
mais petits enfants ne savent pas manger des frittes s'en prendre du ketchup et autres sauces aussi mauvaises pour la santé.

Aude

Aude

Moi aussi je fais la guerre à la maison contre les soda, coca & co mais les gars en achètent quand même.. No

Josué

Josué
Administrateur

Le Nutella, ma dernière raisaison d'exister







Une mère californienne porte plainte parce que le Nutella est gras et sucré. Elle trouve notamment que la publicité "montrant des mamans et des enfants ravis d'avaler la célèbre pâte à tartiner" est mensongère.

Bon. C’est un peu comme porter plaine contre la ville d’Antibes ou de La Baule parce qu’il n’y a pas de panneau, à la plage, qui indique que l’eau est mouillée...

Du grand n’importe quoi.

Elle n’a qu’à goûter pour le savoir.
Ah merde, ce n’est pas écrit sur le pot "Ouvrir avant de manger".

Elle veut faire une plainte collective...

Il n’y a que les Américains pour faire ça.

Les défenseurs de la veuve et de l’orphelin crient au scandale, bien évidemment, et se joignent à la pauvre fille dans leur lutte contre la malbouffe.

Ça contient des polyinsaturés, des monoinsaturés, des peu-importe-quoi saturés, …

Et alors ?

C’est bon.

Point.

Est-ce qu’on continuera à prendre longtemps la tête à ceux qui fument pour leur dire que ce n’est pas bon pour la santé ? Croyez vous qu’ils ne le savent pas ? C’est leur choix.

Faudra-t-il alors dire à ceux qui mangent du Nutella qu’il y a du sucre ?

Les faire culpabiliser ?

Dans notre vie quotidienne il y a toujours des problèmes.

Les impôts, la pollution, la politique, le boulot, les accidents, les guerres…

Et si dans tout ce bordel on avait envie de s’enfiler une belle cuillère à soupe de Nutella ?

Le plaisir commence dès l’ouverture du pot, le petit bruit du papier qui se déchire.

Qui n’a pas eu des envies de meurtre quand vous avez découvert que votre pot de Nutella avait été mis au frigo ?

Tiens, tout en écrivant, je suis en train de racler le pot avec une grosse cuillère, pour choper tout ce qu’il reste sur les bords.

Non, mais…

Il faut qu’un certain nombre de personnes arrêtent de nous prendre la tête avec du grand n’importe quoi et qu’ils commencent un peu à profiter des choses de la vie.

Que nous reste-t-il à manger ?

De la viande ? Il faut vérifier la traçabilité.

De l’eau ? Il faut vérifier la bouteille.

Du pain ? Il faut vérifier le cours d’achat de la farine en bourse.

Des œufs ? Ah, je ne sais pas, il faut vérifier le trou de balle des poules…

Du foie gras ? Ah non, c’est inhumain…

Bon alors : tous à la maison, on ne sort pas à cause de la pollution, on ne mange pas à cause des gras polyinsaturés !

Il nous reste qu’à mourir dans nos vieux murs.

Ah non, pas possible : il y a du plomb dans la peinture.

Merde, je ne peux même pas mourir en paix.

Je me fais incinérer ? Non, pas de gaz à effet de serre.

Un cercueil ? Je veux le certificat de traçabilité du bois et des solvants utilisés.

Je suis coincé…

Alors, laissez-moi mon Nutella…
http://www.lepost.fr/article/2011/02/05/2396098_le-nutella-une-americaine-porte-plaine-moi-j-en-mange.html#xtor=EPR-275-[NL_732]-20110207-[vue-en-une]

Josué

Josué
Administrateur

Alors que la revue britannique The Lancet montre que l’obésité dans le monde touche aujourd’hui 10% de la population mondiale, soit 500 millions de personnes, et que cette obésité a doublé en 30 ans, la presse française titre : "Les français restent minces ….." (Le Parisien) ou "Obésité : les Français gardent la ligne" (Elle), ou encore "Les français au top de la minceur" (Europe1).
C’est un peu vite oublier que la France comptait en 2009 6,5 millions d’obèses, et qu’en 12 ans la prévalence de l’obésité des adultes français était passée de 8,5% à 14,5% et a donc probablement doublé en quelques 15 ans comme le souligne le rapport Obépi Roche de 2009 dirigé par le Professeur Arnaud Basdevant.


Alors désinformation, incompétence, inconscience ou tout à la fois ?

Il est vrai que l’étude menée par des chercheurs de l’Impérial Collège de Londres et de l’Institut Recherche et santé d’Hamilton au Canada fait froid dans le dos.

En 28 ans l’IMC a augmenté autant chez les hommes que chez les femmes. On compte dans le monde 1,46 Milliards d’adultes en surpoids. Ces problèmes ne concernent plus les seuls pays occidentaux ou les pays riches, mais le glissement se fait progressivement vers les pays à revenus bas ou moyens. Dans les pays riches, les Etats-Unis gardent la palme du surpoids avec une IMC de plus de 28 (La Nouvelle-Zelande est deuxième). Le Japon a l’IMC la plus basse a 22 pour les femmes et 24 pour les hommes. Cas unique en Europe, l’IMC a baissé en Italie, et les femmes les plus minces sont les suissesses.

Les chercheurs, le professeur Ezzati et le Professeur Yusuf qui ont mené l’étude, rappellent que le surpoids est un facteur de risque important pour les maladies cardiovasculaires, le diabète, et le cancer et serait à l’origine de 3 millions de morts chaque année. Cette bataille mondiale est difficile à gagner et pourrait passer par le contrôle et la prévention du cholestérol, de la tension artérielle et du tabagisme selon le Pr. Yusuf qui pense que le contrôle de l’obésité nécessitera des "interventions prolongées" sur des dizaines d’années.

Et même si dans ce tableau apocalyptique la France fait partie des moins mauvais, nous ne sommes pas bons : nous comptons 2,5 millions de diabétiques en France. L’obésité infantile est passée de 4% environ en 1966 à 15 à 18% selon les études aujourd’hui. Et n’oublions pas que le diabète, les maladies cardiovasculaires et toutes les pathologies rattachées à l’obésité et l’obésité elle-même auront probablement coûté 37 milliards d’euros au budget de la nation française en 2009.

L'ObObs attend du Professeur Basdevant, ''Monsieur Obésité'' de l’Elysée, qu'il sorte de son silence assourdissant face à de telles incohérences franco-françaises et de telles contre-vérités médiatiques suggérées.

Non, vraiment il n’y a pas de quoi pavoiser et sûrement pas de quoi prendre les enfants du bon dieu pour des canards sauvages.






Sources : The Lancet, Le Parisien, Elle, Europe1, Observatoire de l'obésité, Le Monde.fr, La Nutrition.fr

chico.

chico.

L'obésité infantile progresse et inquiète l'OMS
Mis à jour il y a 14 minutes
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a décidé de s'occuper de l'obésité des enfants. En 2012, celle-ci concernait 44 millions d'entre eux, selon les derniers chiffres disponibles, contre 31 millions en 1990.

(Photo: Keystone ARCHIVES / PHOTO D'ILLUSTRATION)
«L'obésité des enfants est l'un des problèmes majeurs de santé dans le monde», a indiqué vendredi à Genève Sir Peter David Gluckman, coprésident de la Commission pour la fin de l'obésité des enfants, mise en place par l'OMS en juin dernier. Il rappelle que les enfants obèses aujourd'hui risquent de contracter des maladies graves telles que le diabète et le cancer.

Dans la région Afrique telle que définie par l'OMS, qui comprend aussi les pays arabes, leur nombre a plus que doublé entre 1990 et 2012, passant de 4 à 10 millions. «Si cette tendance se poursuit», il y aura d'ici 2025 pas moins de «75 millions» d'enfants obèses dans le monde, avertit l'OMS dans un document.

Pour le Dr Sania Nishtar (Pakistan), coprésidente de cette Commission, deux des principales raisons de l'obésité des enfants sont le «syndrome de l'écran», autrement dit les heures passées par les enfants devant un écran tactile ou les jeux video, ainsi que la malnutrition.

Pour l'OMS, il n'y a pas de consensus à l'heure actuelle dans le monde sur les moyens d'empêcher l'obésité des enfants. La Commission nouvellement créée a pour but de collecter les meilleures méthodes et pratiques dans ce domaine.

Rapport attendu

Des experts sociaux, des spécialistes de la santé publique, des médecins et des économistes vont se réunir pour synthétiser les meilleures pratiques dans un plan cohérent, a ajouté l'OMS. Ils ont pour mission de présenter un rapport final, dont les conclusions seront présentées à l'Assemblée mondiale de la santé, qui se réunit une fois par an à Genève.

La Commission est composée de 15 membres, dont le Dr Jacques Rogge, ancien président du CIO, Mme Nana Oye Lithur, ministre chargée des femmes, des enfants et de la protection sociale du Ghana, et Paula Radcliffe, championne du monde du marathon féminin, et mère de famille.

(ats)

Josué

Josué
Administrateur

[size=30]Les médicaments qui font grossir[/size]
La prise de certains médicaments peut faire grossir. 5, 10, 20 kilos... mieux vaut le savoir avant pour réagir à temps et contrer cet effet très indésirable ! Voici la liste des médicaments concernés.
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La cortisone fait gonfler !
Utile pour soigner de nombreuses pathologies inflammatoires (arthrite…), lacortisone n’en reste pas moins un traitement redouté parce qu’elle peut faire gonfler !
Pourquoi ? "La cortisone entraîne une rétention de sodium donc d’eau", explique Martial Fraysse, pharmacien.
A partir de quelle dose ? Plus la dose prise est élevée, plus le risque de prise de poids est majoré. Sachez que la dose maximale est 1mg/kg de poids, voire plus dans certaines pathologies (ex : cancer…). Par ailleurs, la durée du traitement doit également être prise en compte. "Il peut y avoir un risque de rétention d’eau pour les traitements supérieurs à 1 mois, même parfois à partir de 15 jours", précise notre interlocuteur. Pour les traitements de 5 jours, le risque est très faible.
Que faire ? 
- En cas de traitement court : si on a vraiment peur de gonfler, on évite de resaler son alimentation.
- En cas de traitement long : adopter un régime pauvre en sel (consommés avec modération le lait, les yaourts, supprimer le sel à la cuisson et à l'assaisonnement...), et d’une manière générale augmenter sa consommation de protéines (viande, poisson) et privilégier les glucides lents (pâtes, riz) aux sucres rapides (bonbons, gâteaux) pour éviter de prendre de la graisse ! 
Dans tous les cas, parlez-en à votre médecin dès que vous constatez une prise de poids.[/size][/size]

samuel

samuel
Administrateur

L'obésité peut abréger la vie de huit ans
Mis à jour à 03:26
Les maladies auxquelles s'exposent les personnes obèses réduisent considérablement l'espérance de vie et les années de vie en bonne santé.

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L'obésité correspond à un IMC (poids divisé par la taille au carré) égal ou supérieur à 30 et l'obésité sévère à un IMC supérieur à 35. (Photo: Keystone)
L'obésité et l'obésité sévère sont susceptibles de faire perdre jusqu'à huit ans d'espérance de vie et jusqu'à 19 années de vie en bonne santé aux personnes concernées, selon une étude. Plus un individu est en surpoids jeune, plus le retentissement sur sa santé sera important.
Conduite par le Dr Steven Grover de l'université McGill (Montréal) et publiée vendredi dans la revue spécialisée, «The Lancet Diabetes & Endocrinology», la recherche est issue d'une modélisation mathématique, à partir d'une vaste base de données américaine (la «NHANES» 2003-2010) englobant des milliers d'adultes, âgés de 20 à 79 ans.
Risque accru de développer des maladies
Elle montre que l'obésité est associée à un risque accru de développer des maladies cardiovasculaires, incluant les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux (AVC) ainsi qu'un diabète.
Ceux-ci vont, en moyenne, considérablement réduire l'espérance de vie et les années de vie en bonne santé, par comparaison avec les personnes de poids normal, commente le Dr Steven Grover.
L'excès de poids est défini en fonction d'un indice de masse corporel élevé (IMC : poids divisé par la taille au carré) : le surpoids correspond à un IMC de 25 ou plus, l'obésité à un IMC égal ou supérieur à 30 et l'obésité sévère à un IMC supérieur à 35.
Deux fois plus d'obèses en 30 ans
Les gens en surpoids perdent entre 0 et 3 ans d'espérance de vie, selon l'étude. Les obèses (IMC de 25 à 30) entre un et six ans, tandis que les grands obèses perdent entre une et huit années d'espérance de vie. Les pertes d'espérance de vie les plus importantes concernent les jeunes adultes, âgés de 20 à 29 ans.
Le temps de «vie en bonne santé» perdu peut atteindre environ 19 ans chez les hommes et les femmes très obèses.
1,4 milliard de personnes en surpoids
L'étude a pris en compte le diabète et les maladies cardiovasculaires, mais pas d'autres pathologies (cancers, problèmes respiratoires..) pouvant également être liées à l'obésité chronique.
Selon l'OMS, le nombre de cas d'obésité a doublé depuis 1980. Le surpoids concerne 1,4 milliard de personnes de 20 ans et plus, parmi lesquelles plus de 200 millions d'hommes et près 300 millions de femmes sont obèses.
(ats)

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L'obésité a doublé dans le monde en 30 ans . Chevron

Josué

Josué
Administrateur

LAURENT OURNAC : "L’OBÉSITÉ RESTE UNE VRAIE MALADIE"

Invité dans l’émission Touche pas à mon poste vendredi 4 septembre, Laurent Ournac est revenu sur son combat contre l’obésité et a souhaité faire passer un message à tous ceux qui en souffrent.
Reçu le 4 septembre par Julien Courbet sur le plateau de Touche pas à mon poste, Laurent Ournac est revenu sur sa métamorphose. Le comédien phare de la série Camping Paradis sur TF1 a été opéré d'une sleeve ce qui lui a permis de perdre 45 kilos.
"Je suppose que vous commencez à en avoir un peu ras-le-bol qu’on vous parle de ça mais c’est tellement incroyable et ça doit donner tellement d’espoir à ceux qui veulent y arriver…" a anticipé l’animateur de D8. Laurent Ournac a expliqué ne pas être gêné d’en parler si cela peut aider d’autres personnes à se sentir mieux. "Il ne faut pas perdre de vue que l’obésité, ça reste une vraie maladie, a-t-il souligné. On a du mal à en parler comme une mala­die, on a tendance à en parler comme un dérè­gle­ment et un manque de volonté, d'un manque d'inves­tis­se­ment dans une acti­vité physique…" Mais "il y a vrai­ment des gens qui en souffrent". Et il souhaite les décul­pa­bi­li­ser : "C'est pas de votre faute c'est aussi parce que vous êtes malades, donc allez consul­tez un nutri­tion­niste, un géné­ra­liste qui va vous conseiller de consul­ter une équipe médi­cale qui pourra vous prendre en charge."
Camping Paradis : Laurent Ournac a perdu 45 kilo
Régime : Laurent Ournac parle de sa nouvelle alimentation
Vidéo. Laurent Ournac : "Je me dis : c'est pas possible je n'ai jamais été comme ça"
http://www.medisite.fr/a-la-une-laurent-ournac-lobesite-est-une-vraie-maladie.924199.2035.html?xtor=EPR-26-920031[Medisite-A-la-Une]-20150908

chico.

chico.

Obésité : la stratégie de désinformation de Coca-Cola tombe à l'eau
Mots clés : obésité, Coca-cola, surpoids, sodas
Par figaro iconPauline Fréour - le 02/12/2015
Le groupe d'experts financé par le géant de l'agroalimentaire pour minimiser la responsabilité des sodas dans l'épidémie mondiale d'obésité s'est dissous après des mois de polémique.
C'est la fin d'un feuilleton à rebondissements. Le groupe d'experts soutenu financièrement par Coca-Cola pour étudier les responsabilités respectives de l'alimentation et de l'activité physique dans l'obésité vient d'annoncer sa dissolution, quatre mois après les premières révélations sur ses liens troubles avec le géant mondial des sodas et huit mois après sa création.
Baptisé «Global Energy Balance Network» (réseau sur l'équilibre énergétique global), ce groupe de chercheurs réputés a d'emblée diffusé des messages en rupture avec le discours habituel des spécialistes de l'obésité sur la junk food: ils y inculpent le manque d'activité physique des personnes en surpoids et minimisent la responsabilité de l'alimentation occidentale. «Les médias grand public et la presse scientifique se focalisent sur: «Ils mangent trop, ils mangent trop, ils mangent trop», et blâment les fast foods, les boissons sucrées etc.», déclarait ainsi Steven Blair, le vice-président du groupe, dans une vidéo de présentation de l'association. «Alors qu'il n'y a virtuellement aucune preuve tangible que c'est bien la cause (de l'épidémie d'obésité, ndlr)».
Des mails compromettants
Depuis lundi soir, le site de l'organisation est fermé, ne renvoyant plus que sur un bref communiqué qui justifie sa dissolution par une «restriction de ressources».
C'est le quotidien américain New York Times qui a révélé début août l'aide financière fournie au réseau par Coca-Cola. Selon l'agence Associated Press (AP), elle s'élève à 1,5 million de dollars.
Les fondateurs du réseau, parmi lesquels Steven Blair, professeur à l'université de Caroline du Sud, dont les recherches ont servi de base à la plupart des recommandations nationales américaines sur l'activité physique, et le Dr James Hill, membre de groupes de travail de l'OMS, se sont défendus d'être influencés par Coca-Cola dans leur travail. Mais des échanges de mails rapportés par AP fin novembre disent le contraire. «Je veux aider votre entreprise à ne pas être considérée comme un problème dans la vie des gens et à redevenir un entreprise qui leur apporte des choses importantes et positives», écrit par exemple le président du réseau à un cadre de Coca-Cola. L'entreprise aurait aussi participé à la création du site du réseau, au choix de ses dirigeants et à la rédaction de ses missions.
Le géant agro-alimentaire a déclaré à AP avoir «accepté la démission» du responsable du département science et santé chez Coca, Rhona Applebaum, à l'initiative du rapprochement entre les deux entités.
«Un non-sens scientifique scandaleux»
Les membres du réseau ont réfuté pendant des mois servir les intérêts de Coca. Mais de nombreux experts de ce champ de recherche ont exprimé leur indignation et reproché à Coca-Cola de reprendre à son compte une stratégie utilisée autrefois par les industriels du tabac, qui payaient des scientifiques pour entretenir le doute sur les méfaits de la cigarette. Dans une tribune publiée en août dans le New York Times cosignée par 35 experts en médecine et nutrition, le directeur du département de nutrition à l'école de santé publique de Harvard dénonce le «non-sens scientifique (…) scandaleux» du message véhiculé par le réseau. «Je pense qu'au bout du compte, le Global Energy Balance Network servait de porte-voix à Coca-Cola», estime pour sa part Yoni Freedhoff, professeur à l'université d'Ottawa, l'un des premiers à avoir émis des doutes sur les financements de l'association. «Et maintenant que Coca ne le finance plus, le porte-voix baisse le rideau. Cela en dit long sur la raison pour laquelle ce réseau a été créé».
La polémique avait poussé la faculté de médecine de l'université du Colorado, bénéficiaire d'une bourse d'un million de dollars de Coca-Cola, à y renoncer début novembre.

papy

papy

Selon une étude mondiale sur la santé, le nombre de personnes obèses a augmenté de 82 % entre 1990 et 2010. Le surpoids tue trois fois plus que la sous-alimentation, bien que la faim soit toujours un problème dans de nombreux pays. Majid Ezzati, l’un des auteurs de l’étude, constate : « En 20 ans, on est passé d’un monde où les gens souffraient de sous-alimentation à un monde où l’excès de nourriture et une alimentation malsaine rendent les gens malades, même dans des pays en développement. 

Josué

Josué
Administrateur


3 choses à savoir sur la NASH, la maladie du foie et de la malbouffe

C'est la première journée internationale de la cirrhose NASH: voici comment éviter cette nouvelle maladie du "foie gras", devenue une véritable épidémie.


  • Dominique LannesHépato-gastro-entérologue, spécialiste du foie



[size=15]La NASH ("Non Alcoolic Steato Hepatitis") est une forme d'hépatite qui était inconnue il y a encore peu de temps.


[/size]
L'obésité a doublé dans le monde en 30 ans . NASH
FLAMMARION

"NASH, la maladie de la malbouffe", par le Dr Dominique Lannes avec Catherine Siguret, éditions Flammarion

Josué

Josué
Administrateur


La moitié des Américains ont cherché à perdre du poids l'année dernière

Les femmes et les hommes entre 40 et 59 ans sont plus exposés aux dangers de l'obésité.

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[size=7]GETTY IMAGES/ISTOCKPHOTO

La moitié des adultes américains ont cherché à perdre du poids l'année dernière



SANTÉ - La moitié des adultes américains tentent de perdre du poids, selon une nouvelle grande enquête de santé publique publiée jeudi, alors que les Etats-Unis sont frappés par une épidémie d'obésité.
40% de la population américaine était estimée obèse en 2015-2016, une proportion qui monte à plus de 70% si l'on inclut les personnes en surpoids.
Les chiffres de cette nouvelle enquête publiée par les Centres de contrôle et de prévention des maladies montrent que le poids est une préoccupation largement partagée aux Etats-Unis.
49% des plus de 20 ans ont déclaré avoir cherché à perdre du poids dans les 12 derniers mois, dont 42% des hommes et 56% des femmes. Près de six femmes sur dix, dans la tranche 40-59 ans, disent chercher à perdre du poids. En moyenne, plus les personnes sont aisées, plus elles s'en inquiètent.
L'enquête montre que ces tentatives ne sont pas limitées aux personnes obèses ou en surpoids. Le quart des personnes ayant un poids normal ou inférieur à la normale, et un tiers chez les femmes, disent avoir également cherché à maigrir.


À voir également sur Le HuffPost:

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Josué

Josué
Administrateur

[size=62]"Sous-alimentation et obésité vont sans doute être aggravées par le changement climatique"[/size]
L'obésité a doublé dans le monde en 30 ans . PlaceholderCes trois maux "ont des moteurs communs", selon ces experts. ((SPENCER PLATT / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / AFP))

Selon un étude publiée dans la revue "The Lancet", obésité, sous-alimentation et changement climatique sont des phénomènes qui interagissent.

Par L'Obs avec AFP
Publié le 28 janvier 2019 à 08h20




Obésité, sous-alimentation et changement climatique sont les trois facettes d'une même menace pour l'humanité et il faut les combattre globalement, assurent lundi 28 janvier dans la revue "The Lancet" des spécialistes, selon qui les multinationales de l'alimentaire doivent être encadrées comme l'ont été celles du tabac.

Comment la nourriture industrielle trompe notre cerveau

Ces trois maux "ont des moteurs communs", selon ces experts : "De puissants intérêts commerciaux, une réponse politique insuffisante et un manque de mobilisation de la société civile."
Par conséquent, les solutions doivent elles aussi être communes, estiment ces spécialistes.

[size=42]"Ces trois phénomènes interagissent"[/size]

La prestigieuse revue médicale britannique a publié lundi le rapport de ces experts, venus de l'université d'Auckland (Nouvelle-Zélande), de l'université George-Washington (Etats-Unis) et de l'ONG World Obesity Federation.
Ce document au ton engagé est la suite d'une première étude consacrée au lien entre alimentation et environnement, parue le 17 janvier dans "The Lancet". Elle préconisait de diviser par deux la consommation mondiale de viande rouge et de sucre et de doubler celle de fruits, légumes et noix.
Issus des travaux de 43 experts de 14 pays, le nouveau rapport enfonce le clou : "Ces vingt dernières années, obésité, dénutrition et changement climatique ont été considérés séparément et la lenteur des réponses politiques est inacceptable."
"Ces trois phénomènes interagissent : le système alimentaire est non seulement responsable des pandémies d'obésité et de dénutrition, mais génère aussi 25% à 30% des émissions de gaz à effet de serre", assurent les spécialistes, qui pointent en particulier "l'élevage de bétail".
Autre interaction :
"Nos systèmes de transport dominés par la voiture favorisent un mode de vie sédentaire [avec trop peu d'activité physique, NDLR], tout en générant de 14% à 25% des émissions de gaz à effet de serre."
Selon ce rapport, le système de production alimentaire (basé sur des "multinationales de la nourriture et de la boisson focalisées sur les profits"), les politiques agricoles, les modes de transport et l'urbanisation sont donc les différents maillons d'une même chaîne, qui étrangle l'humanité et la planète.

[size=42]Aggravation "par le changement climatique"[/size]

"Sous-alimentation et obésité vont sans doute être considérablement aggravées par le changement climatique", prédisent les experts.
Les phénomènes climatiques extrêmes, comme les sécheresses, pourraient à la fois priver certaines populations de nourriture et faire monter le prix des fruits et légumes, ce qui augmenterait la consommation d'aliments industriels. 
"Il faut prendre conscience de ces connexions", plaide l'une des auteurs du rapport, la professeure Corinna Hawkes, en prônant une réponse globale.
Cette réponse combinerait politiques de santé publique (recommandations en faveur de régimes alimentaires sains, promotion de l'activité physique...) et des politiques budgétaires et fiscales (financement de modes de production durables, taxes pour faire baisser la consommation de viande rouge ou favoriser le transport non-motorisé...).

[size=42]L'exemple de la lutte antitabac ? [/size]

Pour les auteurs du rapport, les multinationales de l'alimentaire (désignées sous le nom de "Big Food") doivent être encadrées de la même manière que celles du tabac.
Ils proposent la création d'une "Convention-cadre sur les systèmes alimentaires", calquée sur la Convention-cadre pour la lutte antitabac (CCLA). Ce texte, adopté en 2003 par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), vise à réduire la consommation de tabac mais aussi à lutter contre le lobbying de cette industrie pour limiter son influence sur les politiques publiques.
"En 2016-17, le secteur des boissons sucrées aux Etats-Unis a dépensé 50 millions de dollars en lobbying pour contrer des mesures destinées à diminuer la consommation de soda", selon le rapport. 
"La nourriture est évidemment différente du tabac, puisqu'elle est indispensable à la vie, mais ce n'est pas le cas des aliments mauvais pour la santé", fait valoir l'un des auteurs, le professeur William H. Dietz. "Les points communs [entre l'industrie de la malbouffe et celle du tabac] sont les dégâts qu'elles provoquent et le comportement des entreprises qui en tirent profit", ajoute-t-il.
Selon l'OMS, 1,9 milliard d'adultes dans le monde sont en surpoids, dont 650 millions sont obèses, ce qui est un facteur de risque pour le diabète, les maladies cardio-vasculaires et le cancer. Dans le même temps, 462 millions d'adultes souffrent de maigreur.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Le coca cola est pour les jeunes une vrais drogue et avec le taux de sucre qu'il contient bonjour les kilos.

chico.

chico.

Comment l’obésité gagne la planète (et pourquoi l’alimentation ne fait pas tout)
Léa Bello et Elsa Longueville Il y a 4 heures
4 commentaires
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Les humains meurent aujourd’hui davantage de surpoids que de malnutrition. Des chercheurs étudient comment l’obésité est devenue, en quarante ans, une autre « épidémie mondiale ».

© Peter Dazeley

Entre 1975 et 2016, la proportion de personnes obèses a presque triplé au niveau mondial, et le surpoids concerne désormais plus d’un adulte sur trois. Souvent montrée du doigt, notre alimentation et les calories ingérées ne font pas tout. Maladie chronique aux conséquences parfois graves sur la qualité et l’espérance de vie, l’obésité est le résultat de multiples facteurs, sociaux, environnementaux et biologiques.

En étudiant ce qui a changé dans nos habitudes de vie et notre nutrition ces quarante dernières années, voici quelques clés pour discerner les origines de ce qui est désormais considéré par l’OMS comme une « épidémie mondiale ».

Une fois la vidéo terminée, tentez ce test pour calculer votre niveau d’activité physique et de sédentarité.

Sources :

Données mondiales sur l’obésité et le surpoids (Organisation mondiale de la santé)Données mondiales sur les maladies et la mortalité (Global Burden of Disease)Données mondiales sur l’alimentation et l’agriculture (Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture)Consommation alimentaire annuelle en Suède (Public Health Nutrition, 2015)Résultats de l’étude de cohorte française NutriNet-SantéDépense moyenne hebdomadaire Chine, Etats-Unis, Royaume-Uni, Brésil et Inde (Obesity Reviews, 2013)Compensation énergétique dans le métabolisme humain (Current Biology, 2021)Diagramme des multiples facteurs contribuant à l’obésité (Obesity System Map, Foresight Report, 2011)
AUSSI SUR MSN - Obésité infantile : accompagner sans stigmatiser

Josué

Josué
Administrateur

[size=65]Obésité en Europe : pourquoi l'OMS lance un cri d’alarme[/size]

[size=36]ÉCLAIRAGE - Une "épidémie" de surpoids et d'obésité, responsable de plus de 1,2 million de décès par an, fait rage en Europe, s'inquiète l'Organisation mondiale de la santé dans un nouveau rapport.[/size]



L'obésité a doublé dans le monde en 30 ans . 1494511-une-canette-de-soda-zero-sucre
Une canette de soda "zéro sucre"

Crédit : MONICA SCHIPPER / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / GETTY IMAGES VIA AFP

 Lutte contre l'obésité : faut il taxer les sodas ?
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Marie-Pierre Haddad
publié le 04/05/2022 à 12:00






La mise en garde de l'Organisation mondiale de la santé. Selon l'OMS, l'obésité est comparable à une véritable pandémie. Elle demande urgemment des prises de décision et des lois pour lutter contre ce fléau en pleine expansion. "Les taux de surcharge pondérale et d'obésité ont atteint des proportions épidémiques dans toute la région et continuent de progresser", a déploré dans un communiqué la branche européenne de l'organisation qui regroupe 53 États. 

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