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100 idées reçues sur les religions.

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samuel
chico.
Josué
7 participants

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Josué

Josué
Administrateur

[img]100 idées reçues sur les religions. Dsc00219z [/img]

chico.

chico.

tu pourras nous en dire plus s t p ?

Josué

Josué
Administrateur

chico. a écrit:tu pourras nous en dire plus s t p ?
première idée reçue .le fruit du jardin est une pomme.
que dit la bible exactement?

chico.

chico.

Josué a écrit:
chico. a écrit:tu pourras nous en dire plus s t p ?
première idée reçue .le fruit du jardin est une pomme.
que dit la bible exactement?
En regardant bien le récit la bible ne cite pas un arbre fruitier particulier .alors pourquoi tous le monde dit que c'est une pomme?

Josué

Josué
Administrateur

chico. a écrit:
Josué a écrit:
chico. a écrit:tu pourras nous en dire plus s t p ?
première idée reçue .le fruit du jardin est une pomme.
que dit la bible exactement?
En regardant bien le récit la bible ne cite pas un arbre fruitier particulier .alors pourquoi tous le monde dit que c'est une pomme?
voila ce que dit un dictionnaire catholique sur le sujet pomme.
(le récit biblique parle d'un arbre sans plus),elle fut probablement influencée par les hespérides.
voila un article sur les hespérides.
Les Hespérides
Elles seraient nées d'Atlas et de Pléioné. Les mythographes ne sont pas unanimes. Certains prétendent que les Hespérides seraient les filles d'Atlas et d'Hespéris, d'autres, les enfants de Nyx et de l'Erèbe. Elles porteront le nom de Aeglé, Erythie, Aréthuse, Hestia, Hespéra, Hespérousa et Hespéraea.

Atlas vivait non loin de leur jardin, portant la voûte céleste sur le dos. Ces pommes, offertes en présent de noces par Gaia à Héra, étaient gardées dans un jardin situé aux confins du monde par ces Hespérides et le dragon Ladon qui possédait cent têtes. Héraclès consultera les Nymphes du fleuve Eridan (Pô) qui lui conseilleront d'obliger Nérée à lui dire où se trouvait le jardin. Le héros devra flatter la divinité marine, qui prenait les formes les plus fantastiques lorsque l'on essayait de l'attraper, pour apprendre que le jardin se situait dans l'extrême Occident.

Le voyage sera émaillé d'aventures. Il délivrera Prométhée enchaîné et tuera l'aigle qui le tourmentait, mettra à mort Busiris, le roi d'Egypte, qui voulait le sacrifier à Zeus, luttera en Libye contre le puissant Antée, fils de Gaia et le tuera en le soulevant au-dessus du sol. Il sortira vainqueur d'une lutte à mort avec Lycaon, un fils d'Arès qui l'avait défié, volera un boeuf à Rhodes, le sacrifiera puis le mangera sous les injures de son propriétaire. Les sacrifices offerts à Rhodes à Héraclès seront, dès lors, toujours accompagnés de malédictions.

Héraclès se procurera les pommes, selon une version, grâce au conseil de Prométhée. Il persuadera le Titan Atlas d'aller les cueillir pendant que lui-même, aidé d'Athéna, soutiendrait le ciel. Le Titan refusera de reprendre son fardeau et décidera de remettre lui-même les pommes à Eurysthée. Héraclès fera semblant d'accepter et demandera à Atlas de le soulager le temps de mettre un coussin sur sa nuque. Il repartira avec les pommes sans demander son reste. Dans une tradition connue d'Euripide, Héraclès tuera Ladon et cueillera les fruits sur l'arbre. Ayant soif, il fera jaillir une source en frappant le sol. Cette source devait, plus tard, sauver les Argonautes. Une autre version rapporte qu'Emathion, fils d'Eos et de Tithonos, tentera d'empêcher Héraclès de s'emparer des pommes et sera tué. Héra placera Ladon dans le firmament où il deviendra la Constellation du Serpent. Cette version prend en compte le mythe selon lequel Atlas avait été transformé en une chaîne de montagnes. Le Titan aurait affronté le regard de la Gorgone en regardant la tête du monstre tenue à bout de bras par Persée. Eurysthée rendra les pommes héros car il ne pouvait garder des objets aussi sacrés. Athéna les rapportera dans leur jardin.
En relation avec Les Nymphes du fleuve Eridan, Constellation du Serpent, Tithonos, Emathion, Eurysthée, Ladon, Nérée et Héraclès (Hercule)

Josué

Josué
Administrateur

*** it-1 p. 691-692 Éden ***
Qu’était le fruit défendu en Éden ?
Tous les arbres fruitiers d’Éden s’y trouvaient afin que l’homme en mange “ à satiété ”. (Gn 2:16.) Un seul, celui “ de la connaissance du bon et du mauvais ”, fut interdit au couple humain. Lorsqu’elle cita l’interdiction que Jéhovah avait faite à son mari, Ève déclara qu’il était défendu même de “ toucher ” à l’arbre et que la peine de mort sanctionnerait le mépris et la violation de la loi divine (Gn 2:17 ; 3:3). Des enseignements traditionnels ont essayé d’expliquer le fruit interdit de diverses façons : un symbole des relations sexuelles, représentées par une “ pomme ” ; la représentation du simple fait de connaître le bien et le mal ; ou la connaissance acquise en atteignant la maturité ainsi que par l’expérience, connaissance dont on peut faire un bon ou un mauvais usage. Cependant, vu l’ordre du Créateur d’‘ être féconds, de devenir nombreux, de remplir la terre ’ (Gn 1:28), le fruit de l’arbre ne pouvait représenter les relations sexuelles, car par quel autre moyen la procréation et la multiplication auraient-elles pu se faire ? Il ne s’agissait certainement pas de la seule faculté de reconnaître le bien et le mal, puisque pour obéir au commandement de Dieu il fallait que l’homme sans péché soit capable d’exercer ce discernement moral. Enfin, ce n’était pas la connaissance acquise en atteignant la maturité, car ce ne serait pas un péché pour l’homme que d’atteindre cet état et, logiquement, son Créateur ne l’obligerait pas non plus à rester dans un état d’immaturité.
Quant au genre de l’arbre, le récit des Écritures est muet. Par contre, il apparaît que l’arbre de la connaissance du bon et du mauvais symbolisait le droit ou la prérogative, que le Créateur de l’homme se réserve, de désigner à ses créatures ce qui est “ bon ” et ce qui est “ mauvais ”, et ensuite d’exiger légitimement qu’elles pratiquent ce qui est déclaré bon et s’abstiennent de ce qui est décrété mauvais pour garder son approbation en tant que Maître Souverain (voir ARBRES). Tant l’interdiction que la sentence prononcée par la suite contre le couple désobéissant accentuent le fait que ce fut l’acte de désobéissance lorsqu’ils mangèrent le fruit interdit qui constitua le péché originel. — Gn 3:3.
Bien que certains détracteurs d’aujourd’hui soient chiffonnés par la grande simplicité du récit des événements de l’Éden, il devrait être évident qu’une épreuve simple était tout à fait appropriée aux circonstances. La vie de l’homme et de la femme qui venaient d’être créés était simple ; elle n’était ni compliquée ni encombrée par toutes les difficultés, tous les soucis et tous les embarras que la race humaine rencontre depuis la désobéissance à Dieu. Néanmoins, dans toute sa simplicité, cette épreuve exprime succinctement et admirablement une vérité universelle : Dieu est le Souverain, l’homme dépend de lui et il a des devoirs envers lui. Et il faut ajouter que, quoique simple, le récit des événements survenus en Éden présente les faits à un niveau infiniment plus élevé que les théories qui situent les débuts de l’homme, non dans un jardin, mais dans une caverne, et le représentent totalement ignorant et dépourvu de sens moral. La simplicité de l’épreuve en Éden illustre le principe énoncé des millénaires plus tard par le Fils de Dieu, savoir : “ Celui qui est fidèle dans ce qui est tout petit est fidèle aussi dans ce qui est beaucoup, et celui qui est injuste dans ce qui est tout petit est injuste aussi dans ce qui est beaucoup. ” — Lc 16:10.
Cela dit, la présence de cet arbre interdit en Éden n’avait évidemment pas pour but de servir d’épine dans la chair au couple humain ; sa raison d’être n’était pas non plus de soulever un litige ou de donner matière à controverse. Si Adam et Ève avaient accepté la volonté de Dieu en la matière et avaient respecté ses instructions, leur demeure, le jardin, serait restée intacte, un lieu de plaisir et de délices. Selon le récit, c’est l’Adversaire de Dieu qui imposa aux humains un litige et une controverse à propos de l’arbre et qui les tenta pour qu’ils violent l’ordonnance divine (Gn 3:1-6 ; voir aussi Ré 12:9). Dotés du libre arbitre, Adam et Ève choisirent de se rebeller contre la domination légitime de Dieu, ce qui leur fit perdre le Paradis et le bonheur qu’ils connaissaient à l’intérieur. Bien plus lourd de conséquences, ils perdirent la possibilité de prendre d’un autre arbre de l’Éden, celui-là représentant le droit à la vie éternelle. C’est pourquoi le récit dit que Jéhovah “ chassa l’homme et posta à l’est du jardin d’Éden les chérubins et la lame flamboyante d’une épée qui tournoyait sans arrêt pour garder le chemin de l’arbre de vie ”. — Gn 3:22-24.

Josué

Josué
Administrateur

autre idée reçue.
Marie est restée vierge.
elle était vierge lorsqu'un ange venu du ciel lui annoncé qu'elle attend un bébé:elle est vierge quand elle enfante;elle sera toujours vierge:Faux.

Josué

Josué
Administrateur

Marie n'est pas présentée par les évangiles comme ayant été perpétuellement vierge et d'ailleurs la conception virginale de Jésus est peu évoquée dans le nouveau testament.Marc n'en parle même pas et Jean non plus.

samuel

samuel
Administrateur

le dogme de l'immaculée conception est relativement récent il date des années 1800.

chico.

chico.

Josué a écrit:*** it-1 p. 691-692 Éden ***
Qu’était le fruit défendu en Éden ?
Tous les arbres fruitiers d’Éden s’y trouvaient afin que l’homme en mange “ à satiété ”. (Gn 2:16.) Un seul, celui “ de la connaissance du bon et du mauvais ”, fut interdit au couple humain. Lorsqu’elle cita l’interdiction que Jéhovah avait faite à son mari, Ève déclara qu’il était défendu même de “ toucher ” à l’arbre et que la peine de mort sanctionnerait le mépris et la violation de la loi divine (Gn 2:17 ; 3:3). Des enseignements traditionnels ont essayé d’expliquer le fruit interdit de diverses façons : un symbole des relations sexuelles, représentées par une “ pomme ” ; la représentation du simple fait de connaître le bien et le mal ; ou la connaissance acquise en atteignant la maturité ainsi que par l’expérience, connaissance dont on peut faire un bon ou un mauvais usage. Cependant, vu l’ordre du Créateur d’‘ être féconds, de devenir nombreux, de remplir la terre ’ (Gn 1:28), le fruit de l’arbre ne pouvait représenter les relations sexuelles, car par quel autre moyen la procréation et la multiplication auraient-elles pu se faire ? Il ne s’agissait certainement pas de la seule faculté de reconnaître le bien et le mal, puisque pour obéir au commandement de Dieu il fallait que l’homme sans péché soit capable d’exercer ce discernement moral. Enfin, ce n’était pas la connaissance acquise en atteignant la maturité, car ce ne serait pas un péché pour l’homme que d’atteindre cet état et, logiquement, son Créateur ne l’obligerait pas non plus à rester dans un état d’immaturité.
Quant au genre de l’arbre, le récit des Écritures est muet. Par contre, il apparaît que l’arbre de la connaissance du bon et du mauvais symbolisait le droit ou la prérogative, que le Créateur de l’homme se réserve, de désigner à ses créatures ce qui est “ bon ” et ce qui est “ mauvais ”, et ensuite d’exiger légitimement qu’elles pratiquent ce qui est déclaré bon et s’abstiennent de ce qui est décrété mauvais pour garder son approbation en tant que Maître Souverain (voir ARBRES). Tant l’interdiction que la sentence prononcée par la suite contre le couple désobéissant accentuent le fait que ce fut l’acte de désobéissance lorsqu’ils mangèrent le fruit interdit qui constitua le péché originel. — Gn 3:3.
Bien que certains détracteurs d’aujourd’hui soient chiffonnés par la grande simplicité du récit des événements de l’Éden, il devrait être évident qu’une épreuve simple était tout à fait appropriée aux circonstances. La vie de l’homme et de la femme qui venaient d’être créés était simple ; elle n’était ni compliquée ni encombrée par toutes les difficultés, tous les soucis et tous les embarras que la race humaine rencontre depuis la désobéissance à Dieu. Néanmoins, dans toute sa simplicité, cette épreuve exprime succinctement et admirablement une vérité universelle : Dieu est le Souverain, l’homme dépend de lui et il a des devoirs envers lui. Et il faut ajouter que, quoique simple, le récit des événements survenus en Éden présente les faits à un niveau infiniment plus élevé que les théories qui situent les débuts de l’homme, non dans un jardin, mais dans une caverne, et le représentent totalement ignorant et dépourvu de sens moral. La simplicité de l’épreuve en Éden illustre le principe énoncé des millénaires plus tard par le Fils de Dieu, savoir : “ Celui qui est fidèle dans ce qui est tout petit est fidèle aussi dans ce qui est beaucoup, et celui qui est injuste dans ce qui est tout petit est injuste aussi dans ce qui est beaucoup. ” — Lc 16:10.
Cela dit, la présence de cet arbre interdit en Éden n’avait évidemment pas pour but de servir d’épine dans la chair au couple humain ; sa raison d’être n’était pas non plus de soulever un litige ou de donner matière à controverse. Si Adam et Ève avaient accepté la volonté de Dieu en la matière et avaient respecté ses instructions, leur demeure, le jardin, serait restée intacte, un lieu de plaisir et de délices. Selon le récit, c’est l’Adversaire de Dieu qui imposa aux humains un litige et une controverse à propos de l’arbre et qui les tenta pour qu’ils violent l’ordonnance divine (Gn 3:1-6 ; voir aussi Ré 12:9). Dotés du libre arbitre, Adam et Ève choisirent de se rebeller contre la domination légitime de Dieu, ce qui leur fit perdre le Paradis et le bonheur qu’ils connaissaient à l’intérieur. Bien plus lourd de conséquences, ils perdirent la possibilité de prendre d’un autre arbre de l’Éden, celui-là représentant le droit à la vie éternelle. C’est pourquoi le récit dit que Jéhovah “ chassa l’homme et posta à l’est du jardin d’Éden les chérubins et la lame flamboyante d’une épée qui tournoyait sans arrêt pour garder le chemin de l’arbre de vie ”. — Gn 3:22-24.
donc l'histoire de la pomme c'est du bidon?

Josué

Josué
Administrateur

autre idée reçue:Jésus voit le jour dans une étable!.MATTHIEU ne dit que les rois mages ont trouvé Jésus dans une maison.

(Matthieu 2:11-12) 11 Et quand ils entrèrent dans la maison, ils virent le petit enfant avec Marie sa mère, et, tombant, ils lui rendirent hommage. Ils ouvrirent aussi leurs trésors et lui offrirent des dons : or, oliban et myrrhe. 12 Cependant, parce qu’ils avaient été divinement avertis en rêve de ne pas retourner vers Hérode, ils se retirèrent dans leur pays par un autre chemin.
Luc dit
(Luc 2:5-7) [...] . 6 Pendant qu’ils étaient là, les jours où elle devait accoucher furent au complet. 7 Et elle mit au monde son fils, le premier-né, et elle l’enveloppa de langes et le coucha dans une mangeoire, parce qu’il n’y avait pas de place pour eux dans la pièce où loger.

. Les crèches, tableaux et autres représentations de la Nativité que l’on peut observer ici et là ont tendance à idéaliser la scène. Mais revenons à la réalité. Une mangeoire est une auge, un bassin dans lequel mangent les animaux de ferme. La petite famille logeait donc dans une étable, un endroit qui ne se distingue pas particulièrement par la qualité de son air ni par sa propreté — pas plus à l’époque qu’aujourd’hui d’ailleurs.

Josué

Josué
Administrateur

autre idée reçue.
les mages sont des rois et il sont trois.
les mages sont des savants persans spécialiste de l'astrologie et de l'astronomie dont nous ne connaissons pas le nombre.

(Matthieu 2:1) 2 Après que Jésus fut né à Bethléhem de Judée, aux jours d’Hérode le roi, voyez, des astrologues venus de l’Est arrivèrent à Jérusalem,
les évangiles ne disent pas combien et ne disent pas non plus leurs noms.

samuel

samuel
Administrateur

les trois rois doivent surement symbolisé la trinité.par contre les noms de ses rois je ne sais pas ou l'église à été les cherchés.

Josué

Josué
Administrateur

samuel a écrit:les trois rois doivent surement symbolisé la trinité.par contre les noms de ses rois je ne sais pas ou l'église à été les cherchés.
J"ai trouvé ceci.
N'avez-vous pas remarqué quelque chose? D'abord, dans l'évangile, on n'indique pas leur nombre. À cause des trois présents mentionnés, on a déduit qu'ils étaient trois. Mais cette conclusion ne s'impose pas. Ensuite, l'évangile ne dit pas qu'ils étaient rois. Il semble que, dans notre tradition populaire, nous nous soyons inspirés de textes de l'Ancien Testament (« les rois... enverront des présents », Ps 72,10; voir aussi Is 60,2). En fait, le mot « mages », tel que rapporté dans l'évangile, pointe davantage vers des astrologues ou des prêtres de cultes anciens (perses ou mèdes).

L'origine des mages

Le texte évangélique ne donne qu'une indication vague de l'origine des mages. Elle parle « d'Orient », ce qui indique l'Est par rapport à la Terre Sainte. Ce pourrait être la Babylonie, la Perse, la Syrie ou autre. En fait, l'indication n'est pas plus précise et laisse place à plusieurs possibilités. Les dons offerts nous orientent vers l'Arabie et/ou la Syrie, sans exclure d'autres possibilités. De toute évidence, l'évangéliste Matthieu ne s'intéresse pas directement aux mages, mais plutôt aux signes dont ils sont porteurs dans le récit. Les détails quant à leur nombre, à leur origine et à leur nom seront comblés plus tard par la tradition populaire.

La tradition populaire

Notre imaginaire est beaucoup imprégné d'écrits tardifs. Ce n'est qu'au VIe siècle qu'un écrit araméen leur donne un nom (et fixe leur nombre à trois): Melkon (ou Melchior), Balthasar et Gaspard. Dans l'Église latine, ce n'est qu'au Moyen-Âge (IXe siècle) qu'il en sera question.

Notons finalement que la tradition des crèches de Noël remonte à François d'Assise, au jour de Noël 1223. Depuis ce temps, s'est répandue la coutume de reproduire, souvent avec les talents artistiques locaux, la scène de la visite de mages. Peu d'entre elles ont d'abord un souci « historique », c'est-à-dire voulant reproduire avec exactitude la scène d'origine.

En fait, la tendance est davantage suscité par le désir d'indiquer que le Christ nous atteint jusqu'à chez-nous, si bien que les Inuits réaliseront une crèche qui situe la scène dans l'Arctique, les Africains en Afrique, etc. Pour ceux qui sont de culture occidentale, la plupart de leurs crèches sont inspirées des grandes oeuvres d'art du Moyen-Âge, de la Renaissance ou autres. On ne peut donc pas se fier à leur représentation pour savoir ce qui a pu se passer après la naissance de Jésus.

Guylain Prince, OFM
Bibliste, Montréal
http://www.interbible.org/interBible/decouverte/comprendre/2000/clb_000128.htm

Josué

Josué
Administrateur

autre idée reçue.
Jésus est un enfant unique.
aucune représentation dans la peinture religieuse de frères ou de soeurs.Parfois son cousin Jean ,mais c'est tout.Et puis,il est dit que Marie ne voulait pas d'autre enfant.:FAUX.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Les frères de Jésus. Les quatre Évangiles, les Actes d’apôtres et deux lettres de Paul parlent des “ frères du Seigneur ”, du “ frère du Seigneur ”, de “ ses frères ”, de “ ses sœurs ”, et nomment quatre de ces “ frères ” : Jacques, Joseph, Simon et Judas (Mt 12:46 ; 13:55, 56 ; Mc 3:31 ; Lc 8:19 ; Jn 2:12 ; Ac 1:14 ; 1Co 9:5 ; Ga 1:19). La plupart des biblistes acceptent l’accumulation de témoignages indiquant que Jésus avait au moins quatre frères et deux sœurs et que tous étaient les descendants de Joseph et de Marie, conçus normalement après la naissance miraculeuse de Jésus.
Les opinions arbitraires selon lesquelles ces frères de Jésus étaient les fils de Joseph par un mariage antérieur ou par un mariage léviratique avec une belle-sœur sont à considérer comme imaginaires, car il n’en existe aucune confirmation dans les Écritures, ni même une allusion. L’affirmation d’après laquelle “ frère ” (adélphos) signifie ici cousin (anépsios) n’est qu’une assertion hypothétique dont l’invention est attribuée à Jérôme et ne date que de 383 de n. è. Non seulement Jérôme ne cite aucune source à l’appui de sa nouvelle hypothèse, mais encore, dans ses écrits postérieurs, il n’est plus sûr de ses opinions et exprime même des doutes au sujet de sa “ théorie des cousins ”. J. Lightfoot déclare :
“ Saint Jérôme n’invoqua aucune autorité traditionnelle pour appuyer sa théorie, et [...], par conséquent, il faut chercher les témoignages en sa faveur uniquement dans les Écritures. J’ai examiné les témoignages des Écritures, et [...] la somme des difficultés [...] fait plus que contrebalancer ces arguments secondaires en sa faveur, et en fait doit amener à la rejeter. ”
— St. Paul’s Epistle to the Galatians, Londres, 1874, p. 258.

chico.

chico.

concernant les frères de Jésus un catholique ma dit un jour que c'est ses cousins car en grec le mot cousin n'existe pas.que dit exactement la bible ?

Josué

Josué
Administrateur

chico. a écrit:concernant les frères de Jésus un catholique ma dit un jour que c'est ses cousins car en grec le mot cousin n'existe pas.que dit exactement la bible ?
si le mot existe même dans les bibles catholiques.la preuve la bible Osty dans Colossiens dit

10 Aristarque, mon compagnon de captivité, vous salue, ainsi que Marc, cousin de Barnabas, pour lequel vous avez reçu des ordres ; (s’il va chez vous, recevez–le).
moralité il est bien question des frères de Jésus et pas ses cousins.

chico.

chico.

Josué a écrit:
chico. a écrit:concernant les frères de Jésus un catholique ma dit un jour que c'est ses cousins car en grec le mot cousin n'existe pas.que dit exactement la bible ?
si le mot existe même dans les bibles catholiques.la preuve la bible Osty dans Colossiens dit

10 Aristarque, mon compagnon de captivité, vous salue, ainsi que Marc, cousin de Barnabas, pour lequel vous avez reçu des ordres ; (s’il va chez vous, recevez–le).
moralité il est bien question des frères de Jésus et pas ses cousins.
merci de ses renseignements.donc l'église c'est enfoncée dans le mensonge en disant que Marie est toujours vierge et un mensonge en apporte un autre comme celui des frères de Jésus.

Josué

Josué
Administrateur

chico. a écrit:
Josué a écrit:
chico. a écrit:concernant les frères de Jésus un catholique ma dit un jour que c'est ses cousins car en grec le mot cousin n'existe pas.que dit exactement la bible ?
si le mot existe même dans les bibles catholiques.la preuve la bible Osty dans Colossiens dit

10 Aristarque, mon compagnon de captivité, vous salue, ainsi que Marc, cousin de Barnabas, pour lequel vous avez reçu des ordres ; (s’il va chez vous, recevez–le).
moralité il est bien question des frères de Jésus et pas ses cousins.
merci de ses renseignements.donc l'église c'est enfoncée dans le mensonge en disant que Marie est toujours vierge et un mensonge en apporte un autre comme celui des frères de Jésus.
c'est exactement ça un mensonge en apporte un autre.

philippe83


MODERATEUR
MODERATEUR

On peut rajouter Luc 1:36 :"Elisabeth votre COUSINE" traduction catholique de Le Maistre de Saci.

Actes 12:12 nm de Crampon 1938 """(12). Jean Marc,COUSIN de Barnabé qui accompagné Paul et Barnabé dans l'île de Chypre..."""

Donc conclusion: le mot 'cousin' est bien utilisé dans les versions catholiques!!!!!!!!!
a+ Chico.

Absent



COUSIN: Enfant d'une tante ou d'un oncle. Le mot grec anépsios (cousin)n'apparaît qu'une fois, en Colossiens 4:10, où Paul appelle Marc "le cousin de Barnabas". Ce terme grec a pour sens premier "cousin germain", mais peut désigner, dans un sens large, tout cousin. Anépsios figure aussi dans la Septante en Nombres 36:11 (pluriel), mais l'expression hébraïque du texte massorétique se traduit littéralement par "fils des frères de leurs pères".

La Bible de Sacy par exemple dit en Luc 1:36 qu’Élisabeth était la cousine (suggénis) de Marie. Ce mot grec est considéré comme une forme particulière du mot suggénês, rendu par "parent" ou "proche" dans les traductions modernes (Lc 2:44; 21:16; Ac 10:24; Jé; Os; MN). Suggénês apparaît cinq fois dans la Septante, là aussi dans le sens de "parents" en général et non dans le sens restreint du terme moderne "cousin". - Lv 18:14; 20:20; 25:45; 2S 3:39; Éz 22:6; LXX.

Bien qu'on ne trouve pas dans les Écritures hébraïques de mot correspondant à cousin, ce lien de parenté y est indiqué par des expressions comme 'les fils de l'oncle d'Aaron' ou "le fils de son oncle". (Lv 10:4; 25:49). Il est question de mariages entre cousins: Jacob et Rachel, ainsi que les filles de Tselophehad (Gn 28:2; 29:10-12; Nb 36:11). Ces mariages entre cousins ne figuraient pas dans les interdits mosaïques prohibant l'inceste (Lv 18:8-16). Aujourd'hui, les lois civiles diffèrent sur la question; certains États et nations autorisent les mariages entre cousins, d'autres les interdisent.

Josué

Josué
Administrateur

autre idée reçue
les romains ont condamné le Christ!
Jérusalem ,en cette période de pâque est envahie par les fidèles .Pilate redoute que Jésus provoque une émeute.Alors il l'arrête,le juge et le condamne à mort.faux

Josué

Josué
Administrateur

(Jean 18:3) 3 Judas donc prit la troupe de soldats et des agents [envoyés par] les prêtres en chef et les Pharisiens, et il vint là avec des torches et des lampes et des armes [...]
les soldats en question n'étaient pas des soldats romains mais des supplétifs juifs.
à la soldes des prêtres.
(Marc 14:43) 43 Et aussitôt, tandis qu’il parlait encore, Judas, un des douze, survint, et avec lui une foule avec des épées et des bâtons, venant de la part des prêtres en chef, des scribes et des anciens [...]

chico.

chico.

Ce n'est pas sur ordre des romains que Jésus a été arrêter mais par un tribunal juif à la solde du grand prêtre.

Josué

Josué
Administrateur

chico. a écrit:Ce n'est pas sur ordre des romains que Jésus a été arrêter mais par un tribunal juif à la solde du grand prêtre.
c'est exact.
le récit de JEAN fait mention d'une concertation informelle entre les grands-prêtres et les pharisiens pour déterminer la conduite à tenir,'que faisons -nous? cet homme opère beaucoup de signes.Si nous le laissons continuer ainsi ,tous croiront en lui,les romains interviendront,ils détruiront notre temple et notre nation.c'es Caïphe qui préside cette réunion.

Pro-TJ

Pro-TJ

chico. a écrit:Ce n'est pas sur ordre des romains que Jésus a été arrêter mais par un tribunal juif à la solde du grand prêtre.

BJR

De son enfance et à sa majorité, Jésus est passé inaperçu. Il avait un métier et un travail.
Quand est arrivé son age adulte, et en tant que juif et prédicateur, il a fait comme le demandait la loi et le prophétes.

Pour rester dans le sujet, Jésus n'a jamais perturbé l'empire romain et pourtant il a déplacé des foules en faisant des miracles et il a mis tout son coeur à rester discret en tant que Roi pour dire au gens, suivez moi.

C'est pas les romains qui on tué Jésus, même Pilate s'en lave les mains.
Il faut quand même savoir que la justice à cette époque était aussi importante que celle d'aujourd'hui.

Jésus, il y en a qui le compare à un martyr mais c'est pas du tout vrai ! Il a volontairement donné sa vie et souffert et c'est son peuple qui l'a tué, pas les romains!

Je sais pas si je m'explique bien, mais c'est comme si un catholique qui tu le pape, ou un musulman qui tu mohamed ...

Résumé : Jésus a été tué par ces frères.

Chris Smile


chico.

chico.

Pro-TJ a écrit:
chico. a écrit:Ce n'est pas sur ordre des romains que Jésus a été arrêter mais par un tribunal juif à la solde du grand prêtre.

BJR

De son enfance et à sa majorité, Jésus est passé inaperçu. Il avait un métier et un travail.
Quand est arrivé son age adulte, et en tant que juif et prédicateur, il a fait comme le demandait la loi et le prophétes.

Pour rester dans le sujet, Jésus n'a jamais perturbé l'empire romain et pourtant il a déplacé des foules en faisant des miracles et il a mis tout son coeur à rester discret en tant que Roi pour dire au gens, suivez moi.

C'est pas les romains qui on tué Jésus, même Pilate s'en lave les mains.
Il faut quand même savoir que la justice à cette époque était aussi importante que celle d'aujourd'hui.

Jésus, il y en a qui le compare à un martyr mais c'est pas du tout vrai ! Il a volontairement donné sa vie et souffert et c'est son peuple qui l'a tué, pas les romains!

Je sais pas si je m'explique bien, mais c'est comme si un catholique qui tu le pape, ou un musulman qui tu mohamed ...

Résumé : Jésus a été tué par ces frères.

Chris Smile


mais je suis d'accord avec ça.et l'église pendant des siècles a accusé les juifs d'avoir tuer Dieu.

Josué

Josué
Administrateur

autre idée reçue
Le saint-sépulcre est le tombeau de Jésus.
Vénérée par tous les chrétiens l'église située dans la ville de Jérusalem abrita jours seulement ,dans une tombe creusée dans son sous-sol,le corps du Messie;FAUX.

chico.

chico.

Josué a écrit:autre idée reçue
Le saint-sépulcre est le tombeau de Jésus.
Vénérée par tous les chrétiens l'église située dans la ville de Jérusalem abrita jours seulement ,dans une tombe creusée dans son sous-sol,le corps du Messie;FAUX.
il est tellement vénérée que les gardiens du 'temple' se battent à coups de balais pour en avoir le privilège de le garder.

Josué

Josué
Administrateur

chico. a écrit:
Josué a écrit:
chico. a écrit:tu pourras nous en dire plus s t p ?
première idée reçue .le fruit du jardin est une pomme.
que dit la bible exactement?
En regardant bien le récit la bible ne cite pas un arbre fruitier particulier .alors pourquoi tous le monde dit que c'est une pomme?
[img]100 idées reçues sur les religions. Fruitdfendue001 [/img]
Extrait du livre juifs du pourquoi?

chico.

chico.

merci de se complément d'information. :boukk

Josué

Josué
Administrateur

Le premier pape est saint Pierre.
cet apôtre reçoit de Jésus lui même le titre de pape .il prend alors son bâton de pèlerin,quitte Jérusalem pour Rome et fonde une église sur le cite du Vatican:FAUX

chico.

chico.

Josué a écrit:Le premier pape est saint Pierre.
cet apôtre reçoit de Jésus lui même le titre de pape .il prend alors son bâton de pèlerin,quitte Jérusalem pour Rome et fonde une église sur le cite du Vatican:FAUX
la bible dit elle que Pierre à été à ROME ?

Josué

Josué
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chico. a écrit:
Josué a écrit:Le premier pape est saint Pierre.
cet apôtre reçoit de Jésus lui même le titre de pape .il prend alors son bâton de pèlerin,quitte Jérusalem pour Rome et fonde une église sur le cite du Vatican:FAUX
la bible dit elle que Pierre à été à ROME ?
la bible ne dit pas que Pierre à été à Babylone par contre Pierre dit ceci.

(1 Pierre 5:13) 13 Celle qui est à Babylone, [et] qui a été choisie comme [vous], vous envoie ses salutations, ainsi que Marc mon fils.
et se verset déplais souverainement à l'église qui dit dans un commentaire tiré de la bible Osty ceci.
celle qui est...c'est à dire ;l'Eglise qui est à Babylone ,c'est à dire à Rome,appellation infamante de la capitale du paganisme.

samuel

samuel
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*** w94 15/10 p. 27-28 Le tombeau de Pierre: au Vatican? ***
“ON A découvert le tombeau du prince des Apôtres.” Cette annonce triomphale du pape Pie XII a été retransmise par Radio Vatican. C’était à la fin de 1950; une série de fouilles complexes effectuées sous la basilique Saint-Pierre venait de prendre fin. Pour certains, les résultats de ces fouilles archéologiques constituaient la preuve que Pierre était vraiment enseveli au Vatican. Cependant, tout le monde n’était pas de cet avis.
Aux yeux des catholiques, l’église Saint-Pierre au Vatican revêt une signification particulière. “Le but principal des pèlerinages à Rome est de rencontrer le successeur de Pierre et de recevoir sa bénédiction, lit-on dans un guide catholique, car Pierre est venu à Rome et il y a été inhumé.” Mais Pierre a-t-il vraiment été inhumé à Rome? Sa tombe se trouve-t-elle au Vatican? A-t-on découvert ses ossements?
Un mystère archéologique
Les fouilles, qui ont commencé vers 1940 et ont duré environ dix ans, ont soulevé bien des controverses. Qu’ont découvert les archéologues désignés par le pape? D’abord un cimetière païen contenant de nombreuses tombes. Dans l’une d’elles, sous l’actuel autel papal, ils ont identifié un édicule, c’est-à-dire une niche destinée à abriter une statue ou une image, ménagé dans un mur recouvert de plâtre rouge et encadré de deux parois latérales. Enfin, et assez mystérieusement, quelques restes humains ont été mis au jour, restes qui proviendraient, pense-t-on, de l’une des deux parois latérales.
C’est ici que commence l’interprétation. D’après un certain nombre d’érudits catholiques, les découvertes confirment ce que dit la tradition relative au séjour et au martyre de Pierre à Rome, sous le règne de Néron, peut-être au cours de la persécution de 64 de notre ère. On prétend que ces restes sont les reliques de l’apôtre et ils peuvent être reconnus comme tels grâce à une inscription qui, selon une interprétation, signifie “Pierre est ici”. Il semble que le pape Paul VI accordait du crédit à cette hypothèse quand, en 1968, il annonça la découverte des “restes de saint Pierre, qui sont dignes de notre dévotion et de notre vénération”.
Les interprétations suscitèrent également des arguments contraires. L’archéologue catholique Antonio Ferrua, un jésuite, qui a participé aux fouilles vaticanes, a affirmé à plusieurs reprises qu’on ‘ne lui avait pas permis de publier’ tout ce qu’il savait sur le sujet, renseignements qui démentiraient que l’on ait identifié les reliques de Pierre. Qui plus est, un guide de Rome publié en 1991 et édité par Paul Poupard, cardinal catholique, dit que “les ossements humains qui ont été retrouvés sous les fondations du Mur rouge, n’ont, à l’examen scientifique, révélé aucun rapport avec l’apôtre Pierre”. Curieusement, dans l’édition suivante (un peu plus tard en 1991), cette phrase a été supprimée, et un nouveau chapitre intitulé “Pierre à Saint-Pierre: une certitude”, a été ajouté.

Josué

Josué
Administrateur

moralité rien ne prouve que c'est le tombeau de Pierre.

Josué

Josué
Administrateur

[img]100 idées reçues sur les religions. Seulglisecatholique001 [/img]

samuel

samuel
Administrateur

merci pour l'article.

Josué

Josué
Administrateur

c'est tiré de la revue Le Point qui montre que l'église catholique n'est pas unie comme elle le dit .

chico.

chico.

en fait il y a plusieurs églises catholiques mais une seule église catholique romaine.

Josué

Josué
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chico. a écrit:en fait il y a plusieurs églises catholiques mais une seule église catholique romaine.
il y a les ( vieux catholiques)qui en font aussi partie.

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