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La personne digne de confiance garde les confidences.

3 participants

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Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Mercredi 22 décembre
La personne digne de confiance garde les confidences (Prov. 11:13).

Les anciens en particulier doivent appliquer ce principe. Un ancien comprend qu’il ne doit pas révéler les « propos confidentiels » des membres de son assemblée. S’il le faisait, il perdrait leur confiance et salirait sa réputation. Les frères à qui on a confié des responsabilités dans l’assemblée ne peuvent pas avoir un « langage double », ou « trompeur » (1 Tim. 3:8 ; note). Ils ne peuvent pas se montrer hypocrites ou avoir tendance à bavarder. Par amour pour sa femme, un ancien ne lui fera pas porter le poids d’une information qu’elle n’a pas besoin de connaître. De son côté, une femme peut aider son mari à garder une bonne réputation en ne l’incitant pas à parler de choses confidentielles. De cette façon, non seulement elle soutiendra son mari, mais en plus elle honorera ceux qui se sont confiés à lui. Plus important encore, elle réjouira Jéhovah parce qu’elle contribuera à la paix et à l’unité de l’assemblée (Rom. 14:19). w20.03 22 § 13-14.

Examinons les Écritures chaque jour 2021

Josué

Josué
Administrateur

Le discernement nous permet de comprendre qu’il y a “ un temps pour se taire et un temps pour parler ”. (Ecclésiaste 3:7.) Il nous rend également prudents dans nos propos. On lit en Proverbes 11:12, 13 : “ Celui qui manque de cœur a méprisé son semblable, mais l’homme au vaste discernement garde le silence. Celui qui circule en calomniateur dévoile les propos confidentiels, mais celui dont l’esprit est fidèle couvre l’affaire. ” Sans conteste, l’homme ou la femme qui méprise quelqu’un “ manque de cœur ”. Selon le lexicographe Wilhelm Gesenius, un tel individu est “ dénué d’entendement ”. Il manque de jugement, et l’emploi du mot “ cœur ” montre que toute la personne intérieure manque de qualités. Si quelqu’un se disant chrétien laissait son bavardage tourner à la calomnie ou à l’insulte, les anciens se devraient d’intervenir pour mettre un terme à cette situation malsaine au sein de la congrégation. — Lévitique 19:16 ; Psaume 101:5 ; 1 Corinthiens 5:11.

Josué

Josué
Administrateur

Questions de lecteurs
● Que signifie le texte de , et comment s’applique-​t-​il aux chrétiens pour ce qui est de garder certaines choses confidentielles ?
Ce texte déclare  : “Celui qui répand la calomnie dévoile les secrets ; ne te mêle pas avec celui qui ouvre ses lèvres.” La première partie est très claire. Un calomniateur est quelqu’un qui parle volontairement en mal d’une personne dans l’intention de la présenter sous un mauvais jour. Pour y parvenir, il dévoile délibérément et déforme des renseignements qui devraient être gardés confidentiels.
La deuxième partie du verset  est assez semblable, mais elle concerne “celui qui ouvre ses lèvres”. Une personne peut être trahie par ses lèvres, comme par ses yeux ou ses mains, en ce sens que l’un ou l’autre de ces organes ; peut l’amener à être tentée et à pratiquer de mauvaises choses (). Celui qui est trompé par ses lèvres s’attire des ennuis, car sa bouche s’ouvre pour répéter tout ce qu’il entend. Il est sans protection, car il ne maîtrise pas ses paroles. Le roi David fit cette remarque : “Je veillerai sur mes voies, de peur de pécher par ma langue ; je mettrai un frein à ma bouche.” (Ps. 39:2 NW). Celui qui “ouvre ses lèvres” fait tout à fait le contraire. Il garde rarement quelque chose de confidentiel. Le texte de  nous conseille de ne pas nous ‘mêler’ avec lui, car il pourrait nous attirer autant d’ennuis qu’un calomniateur.
Ce sujet relatif aux questions confidentielles présente en réalité deux aspects. La dernière partie de  met en évidence l’un d’eux. Ce texte nous conseille principalement de nous montrer prudents avec celui à qui nous confions des renseignements confidentiels. Il arrive qu’une personne ait certains renseignements ou projets personnels qu’elle ne désire pas rendre publics dans l’immédiat. Elle peut en parler à l’une de ses relations en s’attendant à ce que celle-ci garde ces choses confidentielles ; elle peut même lui demander d’agir ainsi. Plus tard, elle apprend que cette relation a révélé à d’autres ces renseignements privés qui en réalité ne les regardaient pas. De cette expérience, l’homme sage tirera une leçon et déterminera en conséquence ce qu’il dira à l’avenir.
Cependant, sans vouloir en aucun cas excuser celui qui a l’habitude de trahir des confidences, il faut admettre que tous les hommes sont imparfaits. Le disciple Jacques écrivit : “La langue, il n’en est pas un du genre humain qui puisse la dompter.” (). Même des personnes ayant les meilleures intentions font parfois des erreurs et parlent inconsciemment de certaines choses qu’elles auraient dû garder confidentielles. Ainsi, une certaine part de responsabilité repose sur celui qui ne veut pas rendre publique une certaine question. Plus nombreuses seront les personnes à qui il parlera de cette chose confidentielle, plus il y aura de chances qu’elle devienne connue de tous. En outre, s’il en fait part à une personne qui a l’habitude d’‘ouvrir ses lèvres’, cette éventualité deviendra pratiquement une certitude.
L’autre aspect important de cette question montre que nous devons être personnellement dignes de confiance. C’est ce que recommande le texte de , où nous lisons : “Défends ta cause contre ton prochain, mais ne révèle pas le secret d’un autre, de peur qu’en l’apprenant il ne te couvre de honte, et que ta mauvaise renommée ne s’efface pas.” Celui qui révèle des renseignements qui devaient être gardés confidentiels, alors que cela n’était pas nécessaire et qu’il n’y avait pas été autorisé, se couvre d’opprobre. De plus, une fois qu’une question privée a été révélée publiquement, il n’est plus possible de revenir en arrière malgré toutes les complications auxquelles cela peut conduire.
Considérons quelques situations et relations courantes dans la vie qui attirent notre attention sur le caractère privé de certains renseignements.
Un mari et une femme, qui forment “une seule chair”, ont en commun de nombreux projets et connaissent leurs faiblesses et d’autres choses d’ordre familial ; mais ils s’attendent à ce que tout cela reste confidentiel (). Si l’un des conjoints prend l’habitude de rapporter inconsciemment à d’autres de telles choses, il pourra en résulter de nombreux problèmes. Par exemple, en plaisantant, un mari peut parler d’un trait de caractère particulier de sa femme. Lorsque celle-ci l’apprendra, elle s’en offensera très facilement. Bien qu’il ne s’agisse là que d’un exemple, il montre comment peut naître la désunion entre le conjoint qui s’attend à ce qu’une telle chose demeure confidentielle et celui qui la révèle. En revanche, le lien d’amour qui unit deux conjoints est consolidé lorsque chacun d’eux constate que l’autre est digne de confiance pour ce qui est des questions personnelles ou familiales (). On peut également apprendre aux enfants à user de discrétion en ne répétant pas tout ce qu’ils entendent dans le cercle familial.
De par ses relations avec un ami intime ou avec un associé en affaire, une personne apprend parfois des choses confidentielles. Il serait impossible de fixer des règles pour déterminer exactement ce qui doit être confidentiel dans de telles relations. Cependant, on peut garder présent à l’esprit que la confiance mutuelle est un puissant lien d’union entre amis intimes (). S’il vous arrive de vous demander si vous pouvez rapporter à d’autres ce que votre ami vous a dit, il est préférable de ne pas le faire, tout au moins tant qu’il ne vous y a pas autorisé. Ce point de vue général est également vrai dans les questions d’affaires ; gardez présent à l’esprit que vous pouvez porter un grave préjudice matériel à votre employeur en révélant certains renseignements confidentiels concernant ses affaires. Les Écritures exhortent les employés à ‘se montrer entièrement fidèles’. — .
Il faut également considérer d’autres situations qui concernent la congrégation chrétienne. Dans chaque congrégation de témoins de Jéhovah, des ministres mûrs ont été nommés pour s’acquitter de diverses tâches (). En exerçant leurs fonctions, ils apprennent souvent des choses confidentielles ; il est indispensable qu’ils les gardent confidentielles. Par exemple, dans  il est montré qu’un membre de la congrégation qui a quelque problème d’ordre spirituel, ou qui a peut-être commis un péché, doit se rendre auprès des hommes spirituellement mûrs pour recevoir de l’aide. Le texte d’ représente prophétiquement ces hommes comme des lieux où l’on trouve le rafraîchissement et la protection. Quelle excellente chose que de pouvoir exposer son problème et de recevoir une aide équilibrée et spirituelle, tout en ayant la pleine assurance que ce problème ne sera pas connu de tous dans la congrégation ou dans le voisinage !
Ces ministres mûrs ne parleront même pas à leur femme et à leurs amis intimes de ce qui leur a été ainsi confié. Ils savent que s’ils agissaient ainsi ils nuiraient au respect accordé à leur position ; les membres de la congrégation hésiteraient à venir à eux. Avec le temps, il leur serait peut-être même impossible de jouer leur rôle de bergers spirituels. S’ils gardent confidentiels les renseignements reçus, c’est aussi pour éviter de placer un fardeau sur les épaules d’autrui. Par exemple, si un homme rapporte à sa femme certains renseignements confidentiels qu’il a recueillis dans l’exercice de ses fonctions ministérielles, celle-ci sera à son tour dans l’obligation de garder ces choses confidentielles. Agirait-​il bien envers elle qui est un “vase plus faible” ? (). Même si, dans un moment de faiblesse, elle demande par curiosité à son mari ce qui s’est passé ou pourquoi il parlait avec telle personne, l’attitude correcte et pleine d’amour consistera pour lui à dire gentiment qu’il s’agit d’une question confidentielle concernant la congrégation. De cette façon, elle n’aura pas à porter un fardeau mental non nécessaire. Ensuite, si quelqu’un lui pose des questions à ce sujet, elle pourra lui répondre honnêtement qu’elle ne sait pas au juste.
Tous les membres de la congrégation devraient coopérer avec les serviteurs nommés en ne cherchant pas à obtenir des renseignements sur des questions confidentielles. Les hommes sont plutôt curieux de nature, et en général nous aimons bien apprendre de nouvelles choses. Ce n’est pas un mal en soi. Le nombre de nouvelles pensées relatives à la Bible et au ministère chrétien que nous pouvons apprendre et partager avec d’autres est illimité (). Cependant, nous devons contrôler notre curiosité lorsqu’il s’agit de choses confidentielles. Rappelez-​vous Samson et Dalila. Comme Samson ne voulait pas révéler à Delila un secret qui concernait sa fonction théocratique, elle lui dit en quelque sorte : ‘Tu ne m’aimes pas’. Puis, “comme elle était chaque jour à le tourmenter et à l’importuner par ses instances, son âme s’impatienta à la mort, il lui ouvrit tout son cœur”. (.) Par suite, Samson a souffert personnellement et a également nui temporairement à la cause du vrai culte en privant Israël de sa direction (). Sans aucun doute, aucun parent ou ami chrétien ne désire aujourd’hui imiter Delila.

samuel

samuel
Administrateur

La langue peut être utilisé comme une arme ou comme un outil, elle peut servir à détruire les relations ou à les construisent.
Malheureusement , il souvent plus facile de démolir que d'encourager.
Alors faisons bien attention à son usage.

Josué

Josué
Administrateur

Après avoir parlé de la maîtrise de la langue, Jacques mentionna les guerres et les luttes parmi les frères. Il fallait qu’il y ait eu un esprit poussant à rendre la pareille, sinon il n’y aurait pas eu de guerres. Une personne seule ne peut livrer une bataille. Il faut qu’il y ait un autre avec lequel se battre. S’il n’y avait eu qu’un seul homme au cœur mauvais et ne mettant pas de frein à sa langue, il n’aurait pas été nécessaire que Jacques écrivît comme il le fit. Il aurait été possible d’éviter cette situation parmi les frères si les mesures nécessaires avaient été prises pour le maintien de la paix.
 Comment peut-on garder la paix quand quelqu’un parle d’une manière offensante ? Il faut se souvenir en premier lieu qu’on ne doit pas rendre la pareille en tenant des propos semblables. Quand un frère vous offense personnellement, faites preuve de la même maîtrise de soi que David, qui écrivit : “ Je disais : Je veillerai sur mes voies, de peur de pécher par ma langue ; je mettrai un frein à ma bouche, tant que le méchant sera devant moi. ” (Ps. 39:2). C’est là un bon principe à suivre, que vous ayez affaire aux gens de ce monde ou à des frères qui vous offensent. Il faut se contenir, ne pas laisser monter une colère ou une indignation soudaine, susceptible de faire perdre votre équilibre. La maîtrise de soi est un signe de maturité spirituelle. Dans la plupart des cas, il est possible d’arranger les choses en allant trouver l’offenseur en particulier, sans attendre trop longtemps. Telle est la formule que Jésus présenta dans Matthieu 18:15-17 pour la solution de beaucoup de problèmes.

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