Tout d'abord, pour de nombreux scientifiques, l'Hépatite C sera un des grands problèmes de santé publique dans les prochaines années. En France, selon des estimations de 2002 il y aurait au moins 600 000 personnes atteintes d'Hépatite "C" !
Sur ce chiffre 250 000 des malades porteurs du virus "C" auraient été infectés par transfusion ! Et sur ce nombre 200 000 personnes, sont potentiellement contaminantes et susceptibles de développer une Hépatite chronique. Ces porteurs chroniques du virus peuvent évoluer vers une cirrhose et celle-ci vers un cancer du foie dans 20% des cas. Si 40 % des cas sont difficiles à traiter cela veut dire que 80 000 porteurs chroniques vont développer une cirrhose et finalement 16 000 personnes contaminées vont avoir un cancer du foie mortel, en latence ! L'Association des victimes ajoute: "la contamination transfusionnelle par le virus "C" fera, à terme, beaucoup plus de mort que la contamination par le virus du SIDA". Comment cela? L'Hépatite C progresse lentement dans le corps. Il arrive que les symptômes ressurgissent 20 à 30 ans après la transmission ! Les complications de l'Hépatite "C", la cirrhose et le cancer du foie, sont moins rapides et moins spectaculaires que les complications liées au Sida, ce qui explique en partie le désintéressement des médias pour ces milliers de victimes. Voyez ici le témoignage de Daniel qui a contracté une maladie lourde suite à une TSF dans cette vidéo.(*)
Selon deux études du Centre médical de l'Université de Duke, révélée à l'AFP le 8 octobre 2007, 'les transfusions sanguines causeraient plus de mal que de bien', car le sang, quand il est stocké, perd de l'oxyde nitrique, un composant clé, dans les 3 heures qui suivent son prélèvement. Or ce dernier facilite le transfert d'oxygène des cellules des globules rouges du sang aux tissus. Les cellules des globules rouges deviennent plus dures alors que le taux d'oxyde nitrique diminue, rendant le passage dans les petits vaisseaux encore plus difficile."Si les vaisseaux sanguins ne peuvent pas s'ouvrir, les cellules des globules rouges refluent dans les vaisseaux et les tissus ne sont pas oxygénés." Des patients transfusés auraient une plus grande propension à faire des attaques ou défaillances cardiaques, ce qui peut entraîner la mort.
En France, un accident post-transfusionnel ABO (d’origine humaine), une cinquantaine de cas par an, se traduirait par un taux de décès de 10 à 20 % : soit au moins 5 décès par an. Hors ce cas, la transfusion est considérée comme "sûre à 98 %" en France ce qui équivaut à 2% de risques de complications lourdes et onéreuses, voire même à la mort dans certains cas ; soit plus de 8000 français chaque année concernés par les ABO ! Pourtant, régulièrement des patients portent plainte contre leur hôpital suite à ces contaminations.
(*) http://www.bonjour-docteur.com/article.asp?IdArticle=183
Sur ce chiffre 250 000 des malades porteurs du virus "C" auraient été infectés par transfusion ! Et sur ce nombre 200 000 personnes, sont potentiellement contaminantes et susceptibles de développer une Hépatite chronique. Ces porteurs chroniques du virus peuvent évoluer vers une cirrhose et celle-ci vers un cancer du foie dans 20% des cas. Si 40 % des cas sont difficiles à traiter cela veut dire que 80 000 porteurs chroniques vont développer une cirrhose et finalement 16 000 personnes contaminées vont avoir un cancer du foie mortel, en latence ! L'Association des victimes ajoute: "la contamination transfusionnelle par le virus "C" fera, à terme, beaucoup plus de mort que la contamination par le virus du SIDA". Comment cela? L'Hépatite C progresse lentement dans le corps. Il arrive que les symptômes ressurgissent 20 à 30 ans après la transmission ! Les complications de l'Hépatite "C", la cirrhose et le cancer du foie, sont moins rapides et moins spectaculaires que les complications liées au Sida, ce qui explique en partie le désintéressement des médias pour ces milliers de victimes. Voyez ici le témoignage de Daniel qui a contracté une maladie lourde suite à une TSF dans cette vidéo.(*)
Selon deux études du Centre médical de l'Université de Duke, révélée à l'AFP le 8 octobre 2007, 'les transfusions sanguines causeraient plus de mal que de bien', car le sang, quand il est stocké, perd de l'oxyde nitrique, un composant clé, dans les 3 heures qui suivent son prélèvement. Or ce dernier facilite le transfert d'oxygène des cellules des globules rouges du sang aux tissus. Les cellules des globules rouges deviennent plus dures alors que le taux d'oxyde nitrique diminue, rendant le passage dans les petits vaisseaux encore plus difficile."Si les vaisseaux sanguins ne peuvent pas s'ouvrir, les cellules des globules rouges refluent dans les vaisseaux et les tissus ne sont pas oxygénés." Des patients transfusés auraient une plus grande propension à faire des attaques ou défaillances cardiaques, ce qui peut entraîner la mort.
En France, un accident post-transfusionnel ABO (d’origine humaine), une cinquantaine de cas par an, se traduirait par un taux de décès de 10 à 20 % : soit au moins 5 décès par an. Hors ce cas, la transfusion est considérée comme "sûre à 98 %" en France ce qui équivaut à 2% de risques de complications lourdes et onéreuses, voire même à la mort dans certains cas ; soit plus de 8000 français chaque année concernés par les ABO ! Pourtant, régulièrement des patients portent plainte contre leur hôpital suite à ces contaminations.
(*) http://www.bonjour-docteur.com/article.asp?IdArticle=183