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En entreprise, le fait religieux se stabilise

3 participants

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Josué

Josué
Administrateur

[size=38]En entreprise, le fait religieux se stabilise[/size]

Malgré un apaisement, une minorité persistante de cas suscite des tensions.



  • Romain Subtil, 
  • le 06/05/2021 à 19:42




En entreprise, le fait religieux se stabilise Centre-logistique-dAmazon-Bretigny_0

Dans un centre logistique d’Amazon, à Bretigny. [size=12]VINCENT ISORE/IP3 PRESS/MAXPPP

[/size]

En entreprise, le fait religieux se stabilise, tout en continuant, dans certains cas, de poser problème. C’est ce qui ressort de la 8e édition du Baromètre du fait religieux en entreprise publiée par l’Institut Montaigne.
Dans 70 % des entreprises, on repère des « situations » dont la fréquence est plus ou moins élevée. Il s’agit, pour la plupart, de demandes d’absence et d’aménagement du temps de travail, ou du port de signes religieux. « Ces faits, peu problématiques, se règlent facilement », note Lionel Honoré, auteur du Baromètre et directeur de l’Observatoire du fait religieux en entreprise.
La Croix vous explique, avec lumière et clarté, le monde qui vous entoure, afin que vous puissiez bâtir votre opinion.
+

Une minorité de comportements problématiques



Reste une minorité de comportements « rigoristes » qui grossit peu à peu : ils ont été repérés dans 12 % des situations en 2020-2021, contre moins de 8 % en 2019. Ils préoccupent, car ils génèrent des tensions : attitudes négatives envers les femmes, défiance à l’égard d’un manager qui restreint la liberté religieuse, prosélytisme… Les trois quarts concernent l’islam et des entreprises embauchant de la main-d’œuvre peu qualifiée : industrie, BTP, logistique… Très majoritairement, des hommes, souvent jeunes (20 à 35 ans), sont impliqués.

« D’un côté ça s’améliore, de l’autre ça s’aggrave, résume Lionel Honoré. De plus en plus d’entreprises se sont dotées d’outils– dispositions dans les règlements intérieurs, programmes de formation – qui donnent des résultats. Les services de ressources humaines rendent de vrais services au management de proximité, même s’il faudrait en faire encore plus. »
Plus l’entreprise compte de salariés, plus elle peut créer des services dédiés. Pour juguler un cas problématique, « tout dépend du savoir-faire du manager qui l’affronte, reprend Lionel Honoré. Il lui faut honorer les trois critères de la justice, de l’équité et du bon fonctionnement de l’entreprise. »

Les discriminations concernent toutes les religions


Les problèmes du fait religieux débouchent rarement sur des sanctions disciplinaires. « Ce peut être le signe que les entreprises sont plus sereines pour gérer les choses en amont, suggère Lionel Honoré. Ou bien que les managers sont encore peu assurés sur les procédures à suivre. D’autant que la jurisprudence, en la matière, est encore un peu aléatoire. »
À lire aussi

Le « travail de qualité », selon les Entrepreneurs et dirigeants chrétiens

En entreprise, le fait religieux se stabilise Manifestation-livreurs-repas-domicile-Uber-Deliverro-centre-ville-Nantesprotester-contre-arrete-municipal-interdisant-scooters-hyper-centre-ville_0


L’étude rappelle que le dévoilement de sa religion, quelle qu’elle soit, ouvre à un risque de discrimination (moqueries, mise à l’écart, etc.), mais que l’islam devient encore plus pénalisant au moment de l’embauche ou à d’autres moments comme la promotion à l’intérieur de l’entreprise. La majorité des pratiquants, musulmans en tête, ont donc tendance à cacher leur appartenance religieuse.

Josué

Josué
Administrateur

24.09.2021
En entreprise, le fait religieux se stabilise 20210914
Source le Dauphiné Libéré.

Josué

Josué
Administrateur

51% des Français ne croient pas en Dieu, d’après un sondage

Un peu plus de la moitié (51 %) des Français et des Françaises ne croient pas en Dieu et l’épidémie de Covid-19 a eu peu d’effet sur la pratique religieuse, selon un sondage Ifop* pour l’Association des journalistes d’information sur les religions (Ajir) publié ce jeudi. A la question « Vous, personnellement croyez-vous en Dieu ? », 51 % des sondés répondent « non » (contre 44 % en 2011 et 2004). Les Français étaient 66 % à croire en Dieu en 1947, selon un sondage Ifop de l’époque.

Dans le détail, les plus croyants sont chez les 65 ans et plus (58 %) puis chez les 18-34 ans (48 %). L’épidémie de Covid-19 les a-t-elle rapprochés d’une pratique religieuse ? « Non », disent les interviewés, à 91 %. Seuls 9 % répondent par l’affirmative. Sondés sur l’incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris en 2019, 79 % répondent que cet événement n’a pas réveillé en eux de « sentiment religieux » ni de « fibre spirituelle ». Mais 21 % ressentent le contraire.

Autre enseignement : les Français parlent de moins en moins de religion en famille : ils sont 38 %, contre 58 % en novembre 2009. Et seuls 29 % en parlent avec leurs amis (49 % en 2009). L’étude s’intéresse aussi à leur avis sur le pape François ; 41 % pensent qu’il défend « plutôt bien » les valeurs du catholicisme, 44 % qu’il les défend « ni bien ni mal » et 15 % « plutôt mal ». Par ailleurs, 68 % des Français pensent que les religions « peuvent contribuer à transmettre aux jeunes des repères et des valeurs positives : respect de l’autre, tolérance, générosité, responsabilité ». Ils étaient 77 % à le penser en 2009.

Pour 54 % des personnes interrogées, « toutes les religions se valent » (62 % en 2007). Pour 47 % des Français, « le message et les valeurs du christianisme sont toujours d’actualité ». Et pour 47 %, « les religions peuvent contribuer positivement aux grands débats de société : bioéthique, moralisation de l’économie, famille » (contre 51 % en 2009).

*L’enquête a été menée du 24 au 25 août auprès d’un échantillon de 1.028 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus par questionnaire auto-administré en ligne, selon la méthode des quotas.

https://www.20minutes.fr/societe/3131067-20210923-moitie-francais-croit-dieu-apres-sondage


Religion : la moitié des Français ne croient plus en Dieu



23 sept. 2021 • Selon un récent sondage Ifop, les Français sont de moins en moins nombreux à croire en Dieu. Ils seraient 49% aujourd'hui, contre 56% en 2011. Un recul qui s’observe depuis plusieurs décennies et ne concerne pas uniquement le catholicisme mais aussi d'autres religions comme le judaïsme et l'islam.

.

Josué

Josué
Administrateur

https://www.dailymotion.com/video/x84eenp
https://www.la-croix.com/Religion/moitie-Francais-croient-Dieu-2021-09-23-1201176838

Lechercheur



Avec tout ce qui se passe dans les religions , la réaction des gens peut se comprendre.

Josué

Josué
Administrateur

Chantal Delsol : "Le besoin de religieux ne meurt pas avec le progrès"

La philosophe Chantal Delsol explique comment la modernité a tué la civilisation chrétienne. Pour faire place à un néo-paganisme aux contours flous, avec l'écologie au centre.



En entreprise, le fait religieux se stabilise Messe-eglise-catholique-france_6325650
[size=10][size=10]"Les valeurs de compassion et d'égalité sont reprises et développées à satiété par la morale commune" observe la philosophe Chantal Delsol.

Fred TANNEAU / AFP


[size=13]Propos recueillis par Claire Chartier
Publié le 16/10/2021 à 17[/size]
[/size][/size]


Dans son dernier essai, La fin de la chrétienté (Le Cerf), l'écrivaine et philosophe Chantal Delsol, catholique traditionaliste revendiquée, ne fait pas que dresser un acte de décès assumé par tous. Elle analyse en profondeur la fin de cette civilisation chrétienne si souvent citée en référence dans le débat public ces temps-ci. L'auteure de La fin du renoncement (Le Cerf) explique que la représentation du monde qui la sous-tendait ne pouvait qu'être entièrement remise en question par la modernité. Une conclusion où le réalisme n'empêche pas une certaine amertume. 

Avant de revenir sur ses propos, le président de la Conférence des évêques de France, Eric de Moullns-Beaufort, a soutenu que "le secret de la confession" s'imposait au personnel de l'Eglise, et en ce sens-là, était "plus fort que les lois de la République". Est-on là devant ce que vous décrivez dans votre ouvrage : une Eglise pensant avoir toujours le pouvoir sur les âmes et les moeurs, alors que la civilisation chrétienne - la chrétienté - a bel et bien disparu ? 
Sur le fond, Mgr Moulins-Beaufort l'a rappelé, la République a toujours respecté le secret de la confession, qui n'est pas contraire au droit pénal français et admet bien le secret professionnel des avocats et des médecins. Mais Il y a probablement chez certains clercs aujourd'hui une inquiétude de ne plus détenir ce pouvoir alors qu'ils sont depuis des millénaires directeurs de conscience. Une grande partie de la population française ne supporte plus cette idée et le moindre bout de phrase pouvant laisser penser cela est très mal pris.  

papy

papy

[size=38]Les salariés préoccupés par la religion au travail[/size]

Les faits
 

Une étude de l’institut de sondage Harris Interactive montre que la plupart des salariés jugent problématique l’expression d’une religion au travail. Les jeunes seraient également plus enclins à accepter le fait religieux en entreprise.



  • Matthieu Lasserre, 
  • le 18/10/2021 à 06:54 
  • Modifié le 18/10/2021 à 08:48



En entreprise, le fait religieux se stabilise 64-personnes-interrogees-linstitut-sondage-Harris-Interactive-estiment-lexpression-croyance-religieuse-travail-probleme-important_0



64 % des personnes interrogées par l’institut de sondage Harris Interactive estiment que l’expression d’une croyance religieuse au travail est un « problème important ».[size=12]MICHAEL PROBST/A
[/size]


Le sujet est délicat, en particulier en France où la valeur de laïcité imprègne la société. Au sein d’une entreprise, la manifestation des croyances provoque des crispations entre collègues. Ce sont les conclusions d’une étude conduite par Harris Interactive pour l’institut Supérieur du Travail (IST), le Crif (Conseil de représentatif des institutions juives de France) et

Josué

Josué
Administrateur

Comme dans d'autres services et établissements publics, la radicalisation, le prosélytisme religieux et les atteintes à la laïcité constituent une réalité et un risque à l'hôpital. Telle est la conclusion du «rapport sur la prévention contre la radicalisation des agents des établissements de santé» commandé par le ministère de la Santé à l'urgentiste Patrick Pelloux. Désormais entre les mains du ministre Olivier Véran, le document mis en ligne jeudi affirme que «le système sanitaire et social est une cible du radicalisme, notamment islamiste.» L'ancien chroniqueur de Charlie Hebdo estime qu'il est «urgent de créer une charte de la laïcité obligatoire et systémique pour tous les agents hospitaliers», explique-t-il au Figaro.
» LIRE AUSSI - Bruno Retailleau: «Le gouvernement fait semblant de combattre l’islamisme»
Les faits dénoncés, «quasiment inexistants avant les années 1990», sont «en augmentation lente mais constante ces 30 dernières années», écrit le plus connu des médecins du Samu. S'il constate l'émergence d'«un communautarisme» à l'hôpital et «de conflits sur le port du voile» qui ont fait l'objet de nombreux témoignages, les cas de radicalisation au sens strict se comptent en quelques dizaines seulement. Qualifiant le sujet de «tabou», il dit observer un scepticisme général chez ses confrères (70 professionnels de la santé ont été interrogés) lorsque cette question est abordée.

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