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les jeunes musulmans plus radicaux que leurs aînés.

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Josué
Lechercheur
6 participants

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Lechercheur



Sondage : les jeunes musulmans plus radicaux que leurs aînés

74 % des Français musulmans de moins de 25 ans affirment mettre l'islam avant la République, alors qu'ils sont 25 % parmi les 35 ans et plus, selon un sondage Ifop.

Par Le Figaro

Publié le 8 septembre 2020 à 18:58, mis à jour le 9 septembre 2020 à 09:46


Pour 65 % des musulmans de moins de 25 ans, «l’islam est la seule vraie religion». Adobe Stock


Les jeunes musulmans français se disent plus radicaux que leurs aînés : c'est l'un des enseignements du sondage Ifop publié le 2 septembre pour Charlie Hebdo et la Fondation Jean-Jaurès. À la question : « Faites-vous passer vos convictions religieuses avant les valeurs de la République ? », 74 % des Français musulmans de moins de 25 ans affirment mettre l'islam avant la République, alors qu'ils sont 25 % pour les 35 ans et plus.
https://www.lefigaro.fr/actualite-france/sondage-les-jeunes-musulmans-plus-radicaux-que-leurs-aines-20200908

Josué

Josué
Administrateur

Séparatisme: 76 mosquées dans le collimateur de l’État
EXCLUSIF - Parmi ces lieux de culte, 18 pourraient être vite fermés à la demande de Gérald Darmanin.
Par Christophe Cornevin et Jean Chichizola

Publié le 02/12/2020 à 18:35, mis à jour hier à 10:00



Sur décision de la préfecture de la Seine-Saint-Denis et à la demande du ministre de l’Intérieur, la mosquée de Pantin a été fermée.[size=14] JULIETTE PAVY/Le Figaro[/size]
[size=18]«Une action massive et forte» contre le séparatisme. Ce jeudi, moins d’une semaine avant la présentation en Conseil des ministres du projet de loi «confortant les principes républicains», le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, va, selon nos informations, lancer une vaste offensive contre les mosquées et les salles de prières à risque. En mobilisant à cette fin l’ensemble des préfets, qui pourront s’appuyer sur une note de Beauvau relative aux «lieux de culte musulmans séparatistes» et à la conduite à tenir en la matière.
À LIRE AUSSI :Comment mieux armer notre droit: l’exemple des mosquées radicalisées
Ce document, en date du 27 novembre dernier, que Le Figaro s’est procuré, révèle que 76 lieux de culte, 16 en région parisienne et 60 dans le reste de la France, vont être particulièrement surveillés et contrôlés. Sur ces 76, 18 vont même être visés par des «actions immédiates» à la demande du ministre de l’Intérieur. Avec, en perspective, une possible et prochaine fermeture.
Sur ces 18 «cibles», trois se trouvent dans le département de la Seine-Saint-Denis. L’une d’elles[/size]

papy

papy

[size=47]Des prêtres menacés au nom d'Allah dans le Vaucluse[/size]





 
Par Jacques Paugam
 







les jeunes musulmans plus radicaux que leurs aînés. Png;base64,iVBORw0KGgoAAAANSUhEUgAAAAEAAAABCAQAAAC1HAwCAAAAC0lEQVR42mNkYAAAAAYAAjCB0C8AAAAASUVORK5CYII=les jeunes musulmans plus radicaux que leurs aînés. BB1bLRCq© Fournis par Le Point
Après la consternation, la colère. « C'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase », réagit Roger Rossin, le maire Les Républicains de Cairanne, où se trouve l'une des paroisses visées. « Les gens sont choqués et très en colère, je peux vous le dire. Penser que dans ce petit village d'environ 1 000 habitants, on soit menacé, c'est inouï », se désole l'édile au chevet de Cairannais cueillis, dimanche 6 décembre, par l'effroi. Une agitation inhabituelle pour ce petit coin aisé, « du fin fond du Vaucluse et loin de tout », selon l'aveu du maire. En cause, plusieurs missives à caractère menaçant adressées nominativement aux prêtres des villages de L'Isle-sur-la-Sorgue, du Thor, de Gordes, d'Aubignan et de Sainte-Cécile-les-Vignes, et un point commun, tous sont africains.

Ce qui est maintenant une affaire judiciaire ? une enquête est en cours ? aurait pu ne jamais voir le jour. « Je me réveille un beau matin et des paroissiens, des habitants du village, m'apprennent que l'office est menacé. » Roger Rossin est catégorique, ce ne sont ni la préfecture ni les autorités religieuses qui lui ont appris la nouvelle, sur le tard : « Tout de suite, on m'a posé la question : est-ce que tu as pensé à sécuriser l'église ? » Pris de court, le maire ajoute au dispositif policier la présence du garde champêtre. L'objectif ? Rassurer des fidèles déjà traumatisés par l'attentat de Nice et celui de Saint-Étienne-du-Rouvray en 2016.

« La moitié de la sacristie est tombée par terre »


Pour Apollinaire Onanéna, curé de la paroisse de Sainte-Cécile-les-Vignes, c'est le coup de massue. Selon les informations du Dauphiné libéré,l'enquête devra déterminer la nature réelle de la menace, mais l'inscription « Allah akbar », « Dieu est grand », laisse peu de doute sur la nature de ces revendications. « Je ne le reconnais plus, mon curé. Il était très volubile, et maintenant, il est comme pétrifié », témoigne Régis Rossin, présent dimanche lors de l'homélie du prêtre, visiblement choqué. « La moitié de la sacristie est tombée par terre. Ils ne savaient pas, c'est le prêtre qui le leur a appris. »

Simple malveillance, menaces réelles ? La cible, uniquement des hommes d'Église, tous dans la même aire géographique ? le département du Vaucluse ?, interroge les autorités. Un travail de recherche a visiblement été effectué en amont. Assez précis pour trouver des noms, repérer des adresses. À la préfecture, on ne tient pas à s'exprimer sur une enquête en cours, mais la présence policière sur le terrain a été renforcée. Tout juste précise-t-on l'appui de patrouilles dynamiques sur le terrain, en charge de la surveillance des paroisses. Pour les offices, l'exercice religieux, déjà contraint par les mesures sanitaires, s'est vu octroyer le renfort des troupes. « Des militaires » en tenue et bien armées « protégeaient, en effet, l'office de dimanche dernier à Sainte-Cécile », rapportait, dans son édition du mardi 8 décembre, Le Dauphiné libéré.

Des menaces prises au sérieux


« Le préfet a bien fait les choses », se félicite Julien Aubert, le député de la 5e circonscription du Vaucluse, contacté par Le Point. Dans un post Facebook, l'élu Les Républicains fait état de son émotion et a assuré les religieux concernés de son « soutien le plus entier dans ce moment difficile ». Lui non plus ne souhaite pas s'exprimer sur l'enquête mais a des raisons de penser que « les individus qui commettent des attentats ne préviennent pas à l'avance ». Le fait qu'il s'agisse de prêtres étrangers, de pays africains pour être précis, est un indice sur les motivations du ou des responsables, laisse entendre Julien Aubert, conscient du « choc émotionnel » rencontré par les habitants du Vaucluse. « On peut évidemment les protéger, mais le plus efficace serait de remonter la piste. » Un protagoniste maîtrisant assez l'arabe et le français, des cibles identifiées, l'origine des prêtres, le nombre important (sept personnes visées en tout), la référence faite à Allah? « Ce n'est pas amical, il faut le prendre au sérieux sans verser dans la psychose », constatait lundi 7 décembre sur France Bleu le vicaire général, Pascal Molemb.

Pas de psychose, mais de l'émoi. Au point que les deux sénateurs LR du département Alain Milon et Jean-Baptiste Blanc font remonter l'information directement sur le bureau du président du Sénat, Gérard Larcher. Le deuxième personnage de l'État s'est même fendu d'un coup de fil à Roger Rossin, parmi les premiers à tirer la sonnette d'alarme. « Il m'a demandé le ressenti des gens. Il voulait prendre le pouls, partager le fardeau. Pour lui non plus, ce n'est pas une situation normale. » Une attention bienvenue pour ce maire à l'épicentre d'une crise locale : « S'il se passe quelque chose, je serai en première ligne. Pas l'État. » Selon lui, les autorités ont d'abord fait sans lui par souci de discrétion. « Faut pas faire de vagues », explique l'édile en colère, indigné qu'on ne s'indigne pas : « Le curé représente quand même une institution morale ! »



Trois plaintes déposées


« Le maire a mis ceinture et bretelles », reconnaît Julien Aubert, lui aussi discret dès les débuts de l'affaire. Le député s'en expliquait dimanche 6 décembre sur Facebook : « Je ne souhaitais pas donner de la publicité à cette affaire et n'avais donc pas réagi, mais elle a été rendue publique ce matin lors de certains offices. » Depuis, les hypothèses vont bon train alors que se poursuit l'enquête. Toujours selon Le Dauphiné libéré, trois plaintes avaient été déposées à ce jour et l'enquête a été confiée à la brigade des recherches de la compagnie d'Avignon. Au diocèse, la consigne est faite désormais de ne plus réagir aux sollicitations de la presse. Officiellement pour laisser l'enquête suivre son cours, officieusement pour ne pas donner plus de publicité à des menaces jugées assez graves pour être prises au sérieux.

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/des-prêtres-menacés-au-nom-dallah-dans-le-vaucluse/ar-BB1bLBvx?ocid=BingNews

Josué

Josué
Administrateur

[size=33]Une prof de fac menacée de mort pour avoir critiqué l'islam[/size]


[size=33]Elle vit sous protection policière après avoir évoqué des « religions sexuellement transmissibles ». La Ligue des droits de l'homme a porté plainte contre elle.[/size]


 Par Clément Pétreault
Modifié le 17/12/2020 à 11:26 - Publié le 16/12/2020 à 17:00 | Le Point.fr



Lutte salutaire contre les discriminations ou censure motivée par des obsessions victimaires ? Une professeure de droit de l'université d'Aix-Marseille a vu son nom publié sur les réseaux sociaux à la suite de propos qualifiés d'« islamophobes ». Son tort ? Avoir expliqué, dans le cadre d'un cours sur les conflits de lois de master 2, que certaines religions – en l'occurrence, l'islam et le judaïsme – seraient « sexuellement transmissibles » et avoir ajouté : « L'un des plus grands problèmes qu'on a avec l'islam, et ce n'est pas le seul malheureusement, c'est que l'islam ne reconnaît pas l...

Josué

Josué
Administrateur

[size=38]Nouvelle dissolution d’une association de lutte contre l’islamophobie Abonnés[/size]

Les faits
 

La Coordination contre le racisme et l’islamophobie (CRI) a été dissoute en Conseil des ministres, mercredi 20 octobre. Cette petite association basée dans le Rhône dénonce un « coup de communication à visée électoraliste ». Depuis le début du quinquennat, les dissolutions d’associations se multiplient.



  • Mélinée Le Priol, 
  • le 22/10/2021 à 15:02 
  • Modifié le 22/10/2021 à 15:35




les jeunes musulmans plus radicaux que leurs aînés. Abdelaziz-Chaambi-president-fondateur-Coordination-contre-racisme-islamophobie-CRI-21-2021-Lyon_0



Abdelaziz Chaambi, président et fondateur de la Coordination contre le racisme et l'islamophobie (CRI), le 21 mars 2021 à Lyon. [size=12]STÉPHANE GUIOCHON/LE PROGRES/MAXPPP
[/size]
Moins d’un an après le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), le 2 décembre 2020, la Coordination contre le racisme et l’islamophobie (CRI) a été à son tour dissoute en Conseil des ministres, mercredi 20 octobre. Si les deux associations n’avaient pas le même rayonnement, la CRI étant plus confidentielle que le CCIF, elles partageaient le même double objectif : dénoncer les discriminations et actes anti-musulmans, et aider juridiquement les victimes. La CRI n’entendait toutefois pas défendre que les musulmans, mais les victimes de

papy

papy

Invoquant la laïcité, un chauffeur de bus refuse de s’arrêter pour une prière
AFP - mardi



les jeunes musulmans plus radicaux que leurs aînés. Png;base64,iVBORw0KGgoAAAANSUhEUgAAAAEAAAABCAQAAAC1HAwCAAAAC0lEQVR42mNkYAAAAAYAAjCB0C8AAAAASUVORK5CYII=
En Turquie, un passager d’un bus longue distance a demandé au conducteur de s’arrêter, pour qu’il puisse prier. Un refus lui a été adressé, pour ne pas pénaliser les autres passagers.

les jeunes musulmans plus radicaux que leurs aînés. AA13SrsG
[size=12]La compagnie précise que le passager récalcitrant a pu prier plus tard, lorsque le bus s’est arrêté sur une aire de repos.© photo d’illustration AFP


Pour avoir refusé de céder à un passager qui réclamait un arrêt le temps de faire sa prière, un chauffeur de bus longue distance a relancé bien malgré lui le débat sur la laïcité en Turquie. L’autocar effectuait, samedi, l’un des plus longs trajets à travers la Turquie, entre Van, près de la frontière iranienne, dans l’est, et Izmir, sur la côte égéenne, à l’ouest, soit plus 24 heures de voyage, selon l’avocat de la compagnie Oz Ercis, joint mardi.
«La compagnie se retrouve au centre d’une polémique sur la laïcité. Nous sommes désignés comme une cible. Or nous sommes respectueux de toutes les croyances», affirme l’avocat, Tuncay Keserci.
«La Turquie est un pays laïc»
Tout a commencé, selon lui, par le message sur Twitter d’un passager se plaignant de n’avoir pas pu faire sa prière pendant son voyage, parce que la compagnie avait refusé de s’arrêter. En réponse, la compagnie a rappelé, dans un communiqué partagé par son avocat, que la Turquie est un pays laïc, selon la Constitution.

«Aucun des droits définis par la Constitution ne peut être utilisé pour violer la conception démocratique et laïque» de la République, expliquait-elle. «Il n’est pas possible d’ignorer les droits des autres passagers, qui ne prient pas et qui veulent arriver à temps à leur destination pour qu’un passager puisse prier.»

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Lechercheur



Attaque de la basilique de Nice : vers un procès contre l’assaillant radicalisé
L’assassinat de trois personnes dans la basilique de Nice en octobre 2020 par Brahim Aouissaoui s’inscrit bien dans le cadre « d’un fanatisme religieux » lié à l’islam radical.

<p>Le quartier de la basilique Notre-Dame de l'Assomption a été bouclé par les forces de l'ordre après l'attaque à l'arme blanche jeudi matin.</p>
Le quartier de la basilique Notre-Dame de l'Assomption a été bouclé par les forces de l'ordre après l'attaque à l'arme blanche jeudi matin. - V.HACHE - AFP

Yves



Bonjour Philippe , ces informations te paraissent importantes pour les signaler. Et bien se que tu crains est écrit dans les écritures. Car le faux prophète, la bête à deux rois d’Ap 13.11, le dévastateur d’Esa 21.2, le bélier à deux cornes mis à terre de Daniel 8 c’est ce que tu crains. Et que le peuple de Dieu ne dis pas, il ne le dis pas car il tient fermé le livre, il tien fermé le livre parcequ’il ne suis pas les recommandations de Daniel.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

Pourquoi tu cites Philippe alors qu'il n'a pas participer sur ce sujet?

Lechercheur




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Salles de prières, prosélytisme, refus de mixité… Le sport, nouveau terrain de jeu de l'islam politique
Des hijabeuses manifestent devant la mairie de Lille pour protester contre un amendement interdisant le port de signes religieux ostensibles dans le sport.
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Salles de prières, prosélytisme, refus de mixité… Le sport, nouveau terrain de jeu de l'islam politique
Entrisme
Par Hadrien Brachet
Publié le 28/10/2023 à
À neuf mois des jeux Olympiques, la question de l’influence islamiste dans nos clubs sportifs semble sous-estimée par les pouvoirs publics. D’autant que la laïcité à la française compte peu de soutiens à l’international.
Il n’y a pas que l’école. Le nouvel ouvrage de Médéric Chapitaux rappelle que le monde sportif est lui aussi concerné par la montée du radicalisme religieux. Cet ancien gendarme, passé par le ministère des Sports, docteur en sociologie, s’est appuyé sur près de 18 000 documents, une dizaine d’entretiens avec des autorités publiques et des heures d’enquête sur le terrain pour décrypter les différentes formes de manifestation de l’islamisme dans la pratique
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Jean-Paul Rouzé
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L'islam ou

Lechercheur



loi séparatisme prévoit la fin de la présence des imams détachés de pays étrangers en 2024, alors qu’on manque de « prédicateurs made in France ». À Strasbourg, l’institut Islamica fait sa rentrée et forme une quarantaine d’élèves à « l’islam du Juste Milieu », le courant progressiste..

papy

papy

[size=42]Le Chiffre : 70-80 %[/size]

28 décembre 2023 18 h 44 min


les jeunes musulmans plus radicaux que leurs aînés. Le-Chiffre-70-80--e1703785355879
[size][size][url][/url]
 [/size]
C’est, selon le recteur de la Grande Mosquée de Paris, la proportion des musulmans parmi les détenus dans les prisons françaises aujourd’hui. Chems-Eddine Hafiz, interrogé par Mizane TV, a réclamé un « Plan Marshall » pour les aumôniers musulmans qui manquent de moyens, notamment dans les prisons, car, a-t-il dit, « on sait très bien aujourd’hui que dans les prisons, on dit, il y a 70-80 % de musulmans ». Cette estimation recoupe un rapport parlementaire français de 2014, et dépasse la fourchette établie par le Washington Post en 2008, et par le Guardian, quotidien de gauche britannique en 2016, qui eux proposaient 60-70 %. Cela ne doit pas conduire à stigmatiser l’islam. D’autres facteurs entrent en jeu, dont les statistiques françaises ne facilitent pas la mesure. La nationalité compte : 39 % des délinquants interpellés à Lyon et 55 % à Marseille sont étrangers, et en Ile-de-France 63 % des agressions sexuelles et 93 % des vols commis dans les transports en commun sont le fait d’étrangers. L’origine ethnique a son importance : Hugues Lagrange, directeur de recherches au CNRS affirmait en 2010 que « les adolescents éduqués dans des familles du Sahel sont 3 à 4 fois plus souvent impliqués comme auteurs de délits que les adolescents élevés dans des familles autochtones ; et ceux qui sont éduqués dans des familles maghrébines, deux fois plus ». Quant à l’anthropologue Didier Fassin, il avançait, lui, en 2016 que « 77 % des personnes détenues appartiennent à des minorités ethniques ». Ces données sont sérieuses mais il ne faut essentialiser ni l’ethnie, ni la nationalité, ni la religion : le phénomène qui relie ces trois adjuvants à la délinquance aujourd’hui en France est l’immigration.[/size]

BenFis

BenFis

... et les radicalisés qui ont commis des attentats meurtriers ces dernières années en France étaient quasiment tous musulmans.

Lechercheur



Dès le 1er janvier 2024, la France n’acceptera plus d’imams envoyés de l’étranger pour prêcher dans les mosquées. L’État souhaite encourager la formation en France.
C’était l’une des grandes promesses d’Emmanuel Macron contre le séparatisme, qu'il avait annoncé en 2020 lors d’un discours aux Mureaux (Yvelines). Dans une lettre envoyée aux pays concernés, Gérald Darmanin annonce que la France n’acceptera plus d’imams détachés à partir du 1e janvier. Ceux déjà présents sur le territoire devront changer de statut après le 1e avril.

Accusés de relayer un islam radical
Envoyés par le Maroc, la Turquie ou l’Algérie, ces imams, employés par ces États, sont accusés pour certains d’être le relais d’un islam radical. Une décision bienvenue, mais jugée insuffisante pour Tareq Oubrou, le grand imam de Bordeaux (Gironde). "Il faut s’occuper des imams qui sont déjà en place, de leur formation, préparer tout un programme pédagogique adapté, pour qu’ils soient en phase avec les enjeux et les défis de notre société", commente-t-il. D’après les estimations, quelque 300 imams détachés sont présents sur le territoire.

papy

papy

[size=49]Italie : une école fermée pour la fin du ramadan crée la polémique[/size]

[size=36]Face au risque d’absence des élèves, un établissement scolaire de la métropole milanaise a décidé de fermer ses portes le 10 avril, provoquant la colère de la droite italienne.[/size]

De notre correspondant à Rome, Quentin Raverdy
Publié le 26/03/2024 à 17h00, mis à jour le 27/03/2024 à 08h36


les jeunes musulmans plus radicaux que leurs aînés. 2556017



[size=80]La polémique est désormais nationale et ne devrait pas retomber de sitôt. Sûrement pas d'ici le 10 avril prochain, date choisie par une école de l'est de Milan pour fermer ses portes à l'occasion de l'Aïd-el-Fitr, jour marquant la fin du ramadan. Une décision prise à l'unanimité par le conseil scolaire de l'Istituto Comprensivo Iqbal Masih de Pioltello, il y a de cela dix mois. Et confirmée lundi 25 mars par les représentants des professeurs, des parents d'élèves et du personnel administratif. Un « choix éducatif et non religieux », veut-on rassurer du côté de la direction de cet établissement de près de 1 300 élèves, rassemblant des classes de la maternelle jusqu'au début du secondaire.[/size]

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