Samedi 13 juin
Le chagrin et les soupirs s’enfuiront (Is. 35:10).
Dieu a promis par l’intermédiaire d’Isaïe que, de retour chez eux, les Israélites n’auraient pas à faire face à une nature hostile, ni à avoir peur des animaux ou des humains comparables à des bêtes sauvages. Tous, jeunes et vieux, seraient en sécurité (Is. 11:6-9 ; 35:5-10 ; 51:3). Mais la prophétie d’Isaïe indiquait aussi que toute la terre, et pas seulement la nation d’Israël, serait « remplie de la connaissance de Jéhovah comme les eaux recouvrent le fond de la mer ». Isaïe a de nouveau expliqué que les Israélites qui rentreraient d’exil n’auraient rien à craindre des animaux ou des humains. Et leurs terres produiraient des récoltes abondantes grâce à de nombreuses sources d’eau, telles qu’il y en avait dans le jardin d’Éden (Gen. 2:10-14 ; Jér. 31:12). Cette prophétie s’accomplirait-elle seulement à l’époque de ces Israélites ? Notons qu’elle annonçait aussi que les aveugles, les boiteux et les sourds seraient guéris. Or cela n’a pas été le cas de ceux qui sont rentrés de Babylone. Dieu indiquait donc qu’il guérirait toutes les maladies au cours d’une période encore à venir. w18.12 5 § 11-12.