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CAP Liberté de Conscience - Liberté de religion

2 participants

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Josué

Josué
Administrateur







CAP Liberté de Conscience - Liberté de religion - Liberté thérapeutique

Rapport du Département d’Etat américain - Deux pays -
deux mentalités

Par CAP Suisse
novembre 2010




Il semble que la politique étasunienne n’ait pas encore réussi à anéantir le fonds de santé de sa Constitution. Témoin sa constance dans la publication de rapports sur la situation des droits de l’homme dans le monde.Celui de 2010[1]démontre qu’imposer la laïcité au lieu d’encourager la liberté religieuse n’est pas forcément le bon choix.

En France, vers la fin du XVIIIème siècle, animés d’un même idéal maçonnique, les uns rejoignent la nouvelle nation. Alors que les autres tentent de l’établir chez eux. Il semble que la mayonnaise ait mieux pris au pays de Benjamin Franklin.

Certes, le dernier rapport du Département d’Etat américain ne nie pas que la France reconnaisse la liberté de religion. Mais il constate à quel point certains arbitraires la restreignent. Notamment, il fallait s’y attendre, la polémique autour du voile islamique et autres symboles religieux ne figure pas parmi les bons points du rapport.

Les auteurs soulignent également combien le conflit entre l’Eglise catholique et la République pèse encore, face à des solutions basées sur le bon sens. Et de citer abondamment tous les textes qui, en France, garantissent pourtant le droit de choisir, de changer et de pratiquer la religion de son choix.

A l’endroit des minorités religieuses, le rapport rappelle l’ingérence du gouvernement français là où il n’a que faire. A ce propos, il relate le questionnement fait au président de la MIVILUDES, M. Georges Fenech, par le CAP LC, au sujet de son objectivité personnelle et de sa neutralité.

De même, on apprend qu’en 2010, dans sa réponse au Rapporteur spécial des Nations Unies, le gouvernement français affirme que la MIVILUDES lutte contre toutes formes de discrimination (sic). Le rapport précise toutefois que dans l’exercice de sa véritable mission, elle se sert d’une liste d’organisations que l’on ne saurait soupçonner de dérives.De plus, précise-t-il, la manière dont la MIVILUDES se procure et utilise ses données est problématique.

Les rapporteurs admettent que le gouvernement français fait de sérieux efforts pour promouvoir la compréhension interreligieuse. Il combat le racisme, l’antisémitisme, ainsi que les actions violentes contre la religion islamiste.

Cependant, la description horrifiante d’actes de violence et de haine commis régulièrement contre des représentants ou des lieux de culte juifs et musulmans prouve une chose: S’il est si difficile de les empêcher, c’est sans doute parce qu’une variable est à l’œuvre dans le fait d’avoir érigé la laïcité en dogme.

D’une part elle sert de caution à ceux qui aiment à en découdre avec ce qu’ils ne comprennent pas. Et d’autre part, depuis que le monde est monde, s’il veut perdurer, aucun gouvernement ne peut se passer d’un élément de transcendance. C’est pourquoi, pour garder un semblant d’équilibre, celui de la France se condamne à un bricolage permanent.

Mikael

Mikael
MODERATEUR
MODERATEUR

la FRANCE est a la traine concernant la liberté de la religion.JJ ROUSSEAU devrait revenir

Josué

Josué
Administrateur

Sectes et démocratie
Françoise CHAMPION et Martine COHEN


Dans toute l’Europe, et au-delà, on a assisté ces dernières années à un grand débat sur les sectes, leur nature, leur nombre, leur influence, leur rôle. Des événements tragiques comme les suicides collectifs ont confirmé dans leurs convictions ceux qui pensent que les sectes sont un fléau pour la société qui les tolère et pour les individus qui s’y engagent. D’autres, au contraire, mettent en garde contre la nouvelle « chasse aux sorcières » qu’on risque de déclencher et en appellent au respect du droit à la liberté religieuse. Ne faut-il pas compléter les analyses classiques de Max Weber et d’Ernst Troeltsch, qui distinguent entre le type « Église » et le type « Secte » ? Plusieurs études sur des groupes controversés (le tristement célèbre Ordre du Temple Solaire, les Témoins de Jéhovah, la Soka Gakkaï, les Loubavitch... ou des mouvances accusées de dérives sectaires) illustrent les évolutions contrastées du paysage religieux aujourd’hui. On assiste d’ailleurs à une mondialisation de ces phénomènes. Les auteurs reviennent longuement sur le débat de société autour des sectes, sur leur nocivité réelle ou supposée, sur leur stigmatisation légitime ou irraisonnée dans les médias et l’opinion publique. Les sectes interrogent la laïcité de l’État et le droit : entrent-elles dans le droit commun des religions ou faut-il créer une législation « anti-sectes » spécifique ? Toutes ces questions très actuelles sont abordées dans un langage clair et précis par des spécialistes européens, sous la direction de Françoise Champion et Martine Cohen.

Françoise Champion et Martine Cohen sont chargées de recherches au CNRS et membres du Groupe de sociologie des relations et de la laïcité (CNRS-École pratique des hautes études).

Josué

Josué
Administrateur

http://www.sectes-infos.net/Radis_de_la_colere.htm
Citations de l’ouvrage « Les radis de la colère » par Jean-pierre JOSEPH
Très discrètement, depuis plusieurs années, se sont constituées, dans toutes les régions, des associations qui, par la suite, se sont regroupées et qui forment aujourd'hui la très célèbre ADFI (Association de défense de la famille et de l'individu). Ce mouvement reçoit de très fortes subventions de divers ministères et des collectivités locales. Par son intermédiaire, il est possible à toute personne se prétendant victime d'une secte de percevoir une indemnité lui permettant de se réinsérer dans la société. Il est donc fort possible que les individus qui viennent se plaindre sur les plateaux de télévision des "manipulations" qu'ils auraient subies, soient ceux qui viennent de toucher des subventions. Si tel est bien le cas, nous nous trouvons dans l'hypothèse unique et exceptionnelle du témoin qui est "passé à la caisse" avant de déposer...

En conclusion, mes convictions religieuses mises à part, ces associations créent beaucoup plus de troubles et de psychoses que les dangers contre lesquels elles sont censées lutter. Le site du CICNS montre à travers de nombreux témoignages que beaucoup de personnes sont maintenant victimes de cette psychose des nouveaux mouvements religieux.

Que penser des médias ? Il y en a certains qui respectent encore une certaine neutralité, mais en général il faut admettre qu’ils préfèrent laisser planer le doute sur les cotés mystérieux et dangereux des dites « sectes ». Ainsi, dans les moments creux de l’actualité on peut sortir le grand numéro, le tirage spécial sur les sectes. Et ça marche ! Les gens achètent. Alors pourquoi s’en priveraient-ils ?

Josué

Josué
Administrateur

LA LIBERTÉ RELIGIEUSE EST-ELLE PLUS MENACÉE AUJOURD’HUI ?
C’est l’une des raisons expliquant le regain d’attention sur le sujet. L’observatoire Pharos « du pluralisme des cultures et des religions », lancé mercredi 3octobre à Paris, se donne ainsi pour mission de pointer, sur son site Internet, « les atteintes de plus en plus fréquentes et de plus en plus graves à la liberté de conscience, à la liberté d’expression et à la liberté religieuse à travers le monde ». Les « printemps arabes », en particulier, concentrent les inquiétudes, en ce qui concerne notamment la place de l’islam dans les Constitutions.

Il ne faudrait pas oublier toutefois que les pays communistes de l’ancien bloc de l’Est – et encore aujourd’hui Cuba, le Vietnam ou la Chine – se sont longtemps illustrés en matière de répression, sans susciter la même mobilisation.

Celle-ci s’explique donc aussi par des motifs « stratégiques », comme le reconnaît explicitement une résolution du Conseil des 27 ministres des affaires étrangères de l’Europe de juin 2009.

« Les puissances occidentales les plus laïques s’aperçoivent que la religion joue un rôle important dans les relations internationales et que négliger ce facteur revient à “tronquer” leur politique étrangère », souligne le P. Henri Madelin, jésuite, auteur d’un rapport sur le sujet pour la Fondation pour l’innovation politique. La création par Bernard Kouchner en juin 2009 d’un pôle religions au sein de la direction de la prospective du ministère français des affaires étrangères français est à ce titre révélatrice.

QU’EST-CE QUE LA LIBERTÉ RELIGIEUSE ?
« Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu’en privé, par l’enseignement, les pratiques, le culte et l’accomplissement des rites », indique l’article 18 de la Déclaration universelle des droits de l’homme (DUDH).

Si certains pays – comme la France – sont tentés de ne lui garder que sa dimension individuelle, d’autres – comme l’Algérie – se bornent à tolérer sa dimension collective – la célébration de messes par exemple – mais refusent catégoriquement d’admettre un droit individuel à croire ou à ne pas croire.

Comme toute liberté, elle est bornée par les nécessités de « l’ordre public », celles qui ont conduit par exemple la France à interdire des manifestations de protestation contre le film The Innocence of islam.

Son articulation avec la liberté d’expression – protégée par l’article 19 de la DUDH – est plus délicate. Depuis les premières caricatures du prophète Mohammed en 1999, les pays de l’Organisation de la conférence islamique (OCI) tentent de faire adopter par l’ONU une résolution contre « le dénigrement » ou « la diffamation » des religions, un concept qui a resurgi ces derniers jours.

L’Union européenne et la France en particulier qui distinguent la critique des religions et l’incitation à la haine religieuse, seule susceptible de sanctions, s’opposent à ce texte.
http://www.la-croix.com/Religion/S-informer/Actualite/La-defense-de-la-liberte-religieuse-gagne-l-Europe-_EG_-2012-10-02-860052

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