Le fabuleux destin politique de Najat Belkacem
Elle ne connaît rien à rien, mais elle travaille ses dossiers jusque tard le soir en lisant les fiches de synthèse élaborées par ses énarques de collaborateurs.
Tout ceci porterait à sourire s’il s’agissait d’une petite stagiaire gaffeuse qui préparerait son rapport de stage mais c’est bien du porte parole du gouvernement de la France dont nous parlons, et accessoirement ministre du grotesque Ministère des Droit des Femmes : Najat Vallaud-Belkacem.
Titulaire d’un BAC ES obtenu en 1995 (ça commence mal), elle obtient une licence de droit à l’université d’Amiens. Dès son arrivée à Paris elle se voit contrainte de trouver des « jobs étudiants » selon ses termes. Il n’en est rien, Najat travaille comme assistante parlementaire, mais comme elle le précise dans un article « il fallait quand même travailler deux jours par semaine ».
À cette époque elle réside à la Cité Universitaire de Citeaux, dans le 12e arrondissement de Paris. Elle y est réputée pour être une capricieuse qui prend systématiquement des taxis, même pour parcourir quelques centaines de mètres. Mme Vallaud-Belkacem devient ensuite juriste, pendant trois ans, dans un cabinet d’avocat dans lequel sa mission consistait à « vérifier que les décisions rendues par les tribunaux de première instance et de cour d’appel n’étaient pas en contradiction avec la Constitution et d’autres jurisprudences »
Puis elle décide sans explication, soudainement, de militer au PS et parvient, grâce à Gérard Collomb, maire de Lyon, à être salariée sans plus faire acte de présence. C'est donc bien un emploi fictif à la mairie de Lyon.
Pourquoi de tels privilèges ?
Le maire de Lyon, Collomb, a bien perçu en elle la possibilité de capter le vote communautaire musulman. Il lui créée donc sur mesure, dans la plus pure tradition socialiste, un poste de chargé de mission au sein de son équipe. Encore en emploi fictif. Qualité indispensable, être très très gentille au lit.
C'est magique.
Vallaud-Belkacem devient ensuite conseiller régional grâce au vote communautaire musulman, présidente de la commission en charge de la culture de la région Rhône Alpes.
Puis elle s’engage à cœur perdu sur les thèmes à la mode de la discrimination, du sexisme dans la société et du vivre ensemble, auprès de Ségolène Royal en 2007.
Laquelle la recommande fortement à François Hollande pour être porte parole de campagne, puis porte parole du gouvernement et ministre.
À lire en complément : http://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/najat_vallaud-belkacem_ses_dessous_affolent_353489
Elle ne connaît rien à rien, mais elle travaille ses dossiers jusque tard le soir en lisant les fiches de synthèse élaborées par ses énarques de collaborateurs.
Tout ceci porterait à sourire s’il s’agissait d’une petite stagiaire gaffeuse qui préparerait son rapport de stage mais c’est bien du porte parole du gouvernement de la France dont nous parlons, et accessoirement ministre du grotesque Ministère des Droit des Femmes : Najat Vallaud-Belkacem.
Titulaire d’un BAC ES obtenu en 1995 (ça commence mal), elle obtient une licence de droit à l’université d’Amiens. Dès son arrivée à Paris elle se voit contrainte de trouver des « jobs étudiants » selon ses termes. Il n’en est rien, Najat travaille comme assistante parlementaire, mais comme elle le précise dans un article « il fallait quand même travailler deux jours par semaine ».
À cette époque elle réside à la Cité Universitaire de Citeaux, dans le 12e arrondissement de Paris. Elle y est réputée pour être une capricieuse qui prend systématiquement des taxis, même pour parcourir quelques centaines de mètres. Mme Vallaud-Belkacem devient ensuite juriste, pendant trois ans, dans un cabinet d’avocat dans lequel sa mission consistait à « vérifier que les décisions rendues par les tribunaux de première instance et de cour d’appel n’étaient pas en contradiction avec la Constitution et d’autres jurisprudences »
Puis elle décide sans explication, soudainement, de militer au PS et parvient, grâce à Gérard Collomb, maire de Lyon, à être salariée sans plus faire acte de présence. C'est donc bien un emploi fictif à la mairie de Lyon.
Pourquoi de tels privilèges ?
Le maire de Lyon, Collomb, a bien perçu en elle la possibilité de capter le vote communautaire musulman. Il lui créée donc sur mesure, dans la plus pure tradition socialiste, un poste de chargé de mission au sein de son équipe. Encore en emploi fictif. Qualité indispensable, être très très gentille au lit.
C'est magique.
Vallaud-Belkacem devient ensuite conseiller régional grâce au vote communautaire musulman, présidente de la commission en charge de la culture de la région Rhône Alpes.
Puis elle s’engage à cœur perdu sur les thèmes à la mode de la discrimination, du sexisme dans la société et du vivre ensemble, auprès de Ségolène Royal en 2007.
Laquelle la recommande fortement à François Hollande pour être porte parole de campagne, puis porte parole du gouvernement et ministre.
À lire en complément : http://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/najat_vallaud-belkacem_ses_dessous_affolent_353489